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En réponse au message de Daweb du 12/10/12
La prévention doit être portée avant tout par les parents ! Ceux qui ne veulent pas gérer les enfants ne devraient pas en faire et se reposer sur le système !
Par ce que le problème est bien là : l'abandon des parents.
Par contre que les parents qui n'y arrivent pas demandent de l'aide, ok, mais faudrait t'il qu'ils le veuillent et que cela les intéresse.
Demande à tous les enseignants à Kourou l’intérêt que la majorité des parents portent à leurs enfants, c'est affligeant : il n'en ont rien à...
Le système ne devrait être là que pour s'occuper des enfants qui n'ont plus de parents,
pour une raison ou une autre, ou pour aider les parents qui essayent et qui échouent.
On est des humains, normalement capables de passer outre l'instinct bête de reproduction. Surtout dans un système ou l'IVG est accessible et gratuite, ainsi que de nombreux et efficaces moyens de contraception.
bien d'accord avec vous Dawed sauf que quand faire un enfant équivaut à toujours de l’argent pour certaines accoucher devient un emploi régulier.
frauder les services de l'état devient un jeu:mère seul 7 enfants,sans revenu......
Si vraiment le gouvernement voulait faire des économies il s'y serait pris autrement en évitant les abus dangereux:CMU et toutes sortes d'aides destinés souvent à celui qui s'enrichit sur le dos de ceux qui payent leurs impôts.
Il n'y a qu'a passer au quartier Savane pour voir comment un LTS (logement très social) se transforme en hôtel,chambre de passe,chambre à louer ou tout simplement un T2 se métamorphose en T6.
Je pense qu'il y a une volonté municipale (Maire et Police) de fermer les yeux et ne pas voir ce qu'ils se passent à Kourou.j’appelle cela moi:je protège mon électorat et j'assure ma longue carrière ou celle à venir.
En réponse au message de Caroline B. du 11/06/12
COUP DE GUEULE : MERCI MONSIEUR LE SENATEUR MAIRE DE KOUROU,
Suite à l’article sur France Guyane du 02-03 juin 2012 concernant vos contribuables du lotissement agricole de Wayabo, je tiens à vous remercier pour votre compassion et intérêt :
Les citoyens de Kourou ne craignent pas de se faire renverser par un transport en commun, il n’y en a pas ;
Ils n’ont pas à réfléchir devant de multiples poubelles pour trier leurs déchets, cela ne se fait pas ;
Ils participent à l’économie de leurs garagistes en endommageant leurs voitures sur les routes en permanence dégradées de la ville ;
Ils ne sont pas gênés par le bruit lors de l’entretien des espaces verts/ trottoirs, ils le font eux-mêmes à l’heure qui les arrangent ;
Ils participent au développement des petits boulots en l’absence de cantine et de structure extra-scolaire pour les tous-petits kourouciens ;
Et s’ils souhaitent s’investir dans l’économie locale, en créant une entreprise agricole :
Ils n’ont pas de permis pour construire des bâtiments respectant la législation européenne ;
Ils n’ont pas d’accès à l’eau potable pour abreuver leurs animaux (toujours dans le cadre de la réglementation européenne !) ;
Ils n’ont pas d’électricité… Cela contribue sûrement à avoir une planète plus « verte » !
Ainsi le challenge est encore plus grand et ils ont encore plus de raison d’en être fiers !
Et maintenant que ce soit en ville ou en campagne, chacun peut se faire cambrioler et même tirer dessus mais tout va bien dans le meilleur des mondes, il n’y a pas d’urgence ou elles sont ailleurs...
Encore un grand merci Monsieur le Sénateur-maire
Une exploitante agricole de Wayabo et habitante de Kourou, la ville spatiale qui semble être sur une autre planète…
Le « coup de gueule » de Mme Caroline B. mérite d’être connu et reconnu surtout dans son contexte, quitte à y passer par une certaine finition. Mme Caroline B. me le permettra certainement.
Il est à remarquer dans son récit qu’elle parle de deux espaces distincts que sont la ville elle-même et le lotissement agricole de Wayabo. Le dénominateur commun serait le fait que les deux espaces appartiennent à la municipalité de Kourou, d’où ses remerciements appuyés, adressés à M. Antoinette, Sénateur–Maire, le tenant pour responsable des douloureux faits invoqués, en ville comme à Wayabo.
Il est heureux que l’ancienne présidente de l’Association Wayabo, n’évoque « que » l’absence d’électrification de la zone, l’absence des permis de construire, l’absence du réseau d’eau potable pour (ses) animaux et le mauvais état de la voirie – encore qu’il ne soit pas clair si ses remarques concernent la chaussée de la ville et/ou celle du lotissement aussi ?
Au passage, l’article de France-Guyane auquel elle se réfère laisse clairement entendre – et Mme Caroline B. le développe à son tour – que si insécurité il y a, c’est à cause de l’absence de l’éclairage public. Or, comme la mairie n’envisage même pas de l’installer, on en conclue en toute logique que c’est bien l’équipe municipale – et principalement M. le Sénateur-Maire – qui porte la responsabilité première dans cette « insécurité ».
Par contre, elle laisse sans aucune réaction les écrits du journaliste, qui sont des propos qu’on avait déjà lu dans ce journal à l’époque des « inspections de mise en valeur », menées par l’EPAG en novembre dernier, comme quoi « …les terres de Wayabo (sont) propriétés de l’EPAG…pour obtenir un titre de propriété, les exploitants doivent démontrer leur capacité à mettre leurs terres (?) en valeur…
C’est heureux, car l’absence du titre de propriété ne fait donc pas partie de ses préoccupations, grâce au fait qu’elle avait obtenu en février 2011 – avec onze autres élus soudainement jugés « méritants » – la ré- promesse de vente de la part de … l’EPAG, c'est-à-dire deux semaines après la parution de véhémentes protestations sur notre site préféré, fin janvier 2011. Ce qui valorise davantage son opinion.
Donc, M. le Sénateur-Maire serait le responsable de tous ces maux, selon ce coup de gueule. Ce point de vue me paraît partisan à outrance, alors précisons bien :
L’aménagement du lotissement Wayabo n’a, pour ainsi dire, strictement rien à voir avec la municipalité de Kourou. La ville n’était pas à l’origine du projet, elle n’en a jamais été le concepteur ni le financier. Le seul rapport entre la ville et cet aménagement est qu’il se trouve, par hasard, sur le territoire de compétence de cette municipalité.
La zone de Wayabo appartient depuis des années – par cession gratuite de la part des Domaines – à l’EPAG, c’est bien cet organisme qui est encore et toujours le propriétaire de toute la zone : en effet, si beaucoup ont eu les ré-promesses de vente (c’est touchant…), comme Mme Caroline B. – ils attendent toujours leurs titres, tandis que d’autres (ceux qui ont donné la voix à la protestation, les « méchants ») demeurent en procès mémorables et réellement passionnants contre cet organisme.
Tout le monde peut connaître le rôle de l’EPAG et de ses administrateurs (notamment de la DAAF, concepteur et financeur d’origine de l’aménagement Wayabo), rien que grâce aux médias à qui nous devons rendre hommage (Blada, TV Guyane Première, La Semaine Guyanaise)
Les reproches des contestataires ont été suffisamment étayés et adressés à l’EPAG pour interdire leur détournement actuel à l’encontre de la Mairie de Kourou ou de quiconque.
L’électrification de la zone n’a jamais été le rôle prévu de la Ville, la voirie non plus, le réseau d’eau potable encore moins.
C’est à l’EPAG et à ses administrateurs que nous avons reproché l’absence de l’électricité (bel et bien prévue/promise/jurée), l’état de la voirie et l’absence de permis de construire (assortie avec une menace claire dans la convention d’occupation), mais aussi la lenteur des travaux et le temps perdu, l’insécurité juridique par manque de titre de propriété, le mépris exprimé par cinq années de refus de répondre à nos courriers, tout comme leur procédé tel qu’il est, etc. etc.
Et ni les faits ni les responsabilités n’ont point changé depuis. Ce n’est pas dans leur nature…
Mme Caroline B. faisait partie des contestataires, étant même présidente de notre association.
Comment alors, à présent, peut-elle procéder à une telle confusion des rôles ?
Quant à son exigence du réseau d’eau potable, elle devrait se souvenir qu’il n’a jamais été prévu pour Wayabo, voire, elle n'aurait aucun sens et représenterait une dépense publique futile pour une zone agricole aussi étirée, dont le sous-sol regorge d’eau d’excellente qualité ; Mme Caroline B. le sait, puisqu’elle a un forage de professionnel.
Si la qualité de son eau ne trouve pas grâce aux yeux de l’administration (?) ou auprès de ses chèvres, ce n’est tout de même pas la faute de M. le Sénateur-Maire.
(Je profite de l’occasion pour demander à tous les intéressés de cesser de réclamer le réseau d’eau potable pour cette zone agricole. Demander une telle stupidité est franchement dévalorisant.)
Le permis de construire est en effet délivré par la municipalité. Mais, en reprochant à l’édile locale l’absence des permis (depuis sept ans, tout de même !), Mme Caroline B. feint d’ignorer que lorsque le demandeur du permis (= l’agriculteur) n’est pas le propriétaire du terrain concerné, il doit joindre l’accord de principe du propriétaire dudit terrain (= EPAG, depuis toujours) à sa demande en Mairie... Sans cet accord écrit la municipalité NE PEUT délivrer le permis de construire, il serait immédiatement retoqué par le contrôle de légalité, en Préfecture. La même Préfecture qui coiffe l’EPAG… Eh oui, la Guyane étant si petite, les cercles se referment vite par ici !
Or, l’EPAG n’a jamais répondu à nos demandes en ce sens (non plus). Et les préfets successifs n’ont répondu non plus et les directeurs de l’Agriculture non plus et la Chambre d’Agriculture non plus et le Conseil Régional non plus etc. etc.
Ce sont les administrateurs de l’EPAG. M. le Maire de Kourou n’en fait pas partie.
D’où vient donc ce reproche à M. Antoinette ?
Mme Caroline B. devrait relire La Semaine Guyanaise, dans laquelle le secrétaire générale de l’EPAG a promis les permis de construire (reconnaissant donc que leur délivrance dépend, in fine, de lui) pour les personnes ayant été jugées « méritantes » à leur parcelle.
Pourquoi alors Mme Caroline B., jugée « méritante » depuis février 2011, réclame ses permis à M. le Sénateur-Maire, sans même mentionner l’EPAG ? Pourtant, elle a rencontré un illustre représentant de sa direction lors d’une réunion récente, consacrée à « l’insécurité » de la zone. Est-ce là-bas qu’il a été découvert que M. Antoinette est la cause de l’absence des permis de construire mais aussi de l’agression relatée dans la presse ?
(La raison dernièrement avancée de l’impossibilité des permis de construire serait l’absence de l’inscription de Wayabo aux Cadastres. A regarder donc encore et toujours vers l’EPAG et les Cadastres… Ceci contredit néanmoins le fait qu'au moins un chanceux a bel et bien eu son permis en avril dernier, pour un bâtiment élevage. Que les intéressés aillent se renseigner !)
Quant à cette agression à laquelle elle se réfère, est-ce qu’elle va jusqu’à prétendre que M. le Sénateur-Maire possède des parcelles à Wayabo étant éleveur émérite et employeur d’individus remarquables, y compris de quelques criminels endurcis, fugitifs d’un très grand pays voisin ?
Mme Caroline B. ne mentionne surtout pas que Wayabo est en zone gendarmerie et ignore, visiblement, la priorité absolue de l’action publique en matière de sécurité en Guyane.
Au titre des efforts, le déplacement des forces de l’ordre en sous-effectifs officiellement constants doit donc obéir à des raisons sérieuses. Comme par exemple « l’inspection de mise en valeur » de l’EPAG, le lundi 14 novembre dernier, lorsque la gendarmerie avait assuré la proximité par six agents, liste des agriculteurs à la main.
Et même s'ils pensaient à demander la cartographie de la zone à son propriétaire-aménageur, cela ne changerait rien à la nature du terrain : que voulez-vous qu'ils y contrôlent le jour, à part nous qui roulons en voiture ? Les employés illégaux ou les non-employés illégaux ?
Pour ce qui est le prétendument trop faible empressement de la Ville à reprendre la voirie de Wayabo - que certains commencent à chuchoter -, il est (serait) tout à fait normal : qui aurait envie d’hériter d’un ouvrage dont le simple maintien en l’état demande plusieurs mois de réparations lourdes chaque année, pour ne pas dire une réfection complète tranche par tranche ?
Vous allez me dire, oui, mais la voirie n'est pas encore terminée : intéressant, car elle l'est, officiellement et depuis des années.
Le fait que Wayabo ne soit pas une zone prioritaire pour la Ville est tout à fait normal : comment pourrait-on justifier le contraire ? En quoi une zone agricole, sans électricité, sans téléphone, sans permis de construire, inexistante aux yeux des cadastres, sans titres de propriété, à statut juridique digne du collectivisme le plus obscure, donc sans aucune attractivité pour ses occupants, repoussoir à tout investissement, à production agricole négligeable par conséquence, pourrait-elle être « prioritaire » pour une ville quelconque ? Expliquez-moi cela.
Si cette zone devait être prioritaire pour quelqu'un, alors elle aurait dû l'être pour l'EPAG, le Ministère de l'Agriculture (DAAF), le Ministère de l'Outre-Mer et le Ministère du Développement Durable. Mais aussi pour « notre Région à nous », pseudo-participante, elle aussi, du pseudo-Plan pour le Développement Durable de l'Agriculture Guyanaise (PDDAG)
Mais elle est plutôt une épée de Damoclès pour l’équipe municipale, rien qu’à cause du futur entretien de la voirie et les railleries conséquentes à venir, dont on vient de voir un exemplaire précoce et déplacé.
Tenez, un aperçu : sur les quelque soixante-dix parcelles, six sont habitées par les agriculteurs, une parcelle abrite une maison dont l’occupation est assimilable à une location et je vous fais grâce du nombre de sites occupés par d’autres types de personnes…
Sept ans après « l’installation des agriculteurs » sur 4000 ha de forêt sacrifiée, sur fond d'une « politique » qui se veut garante de la « protection des terres agricoles ».
Réclamer l’éclairage public pour une zone agricole – comme le relate le journal -, et croire, de surcroît, qu’il va diminuer l’insécurité, demande, chers voisins de Wayabo, l’intervention urgente d’un psychiatre. Et si l’on essayait d’être crédible ?
Vous pourriez prétendre, par exemple, que si les conditions d’existence changeaient sur la zone, il y aurait alors plus d’habitants, plus de vie, moins d’isolement et moins d’insécurité, et même un certain intérêt de la Ville… Et même plus de production ! Ça vous dit ?
Mais là, il faudrait parler d’un autre organisme, pas de la ville de Kourou… Vous ne l’avez pas expliqué au représentant de l’EPAG lors de cette réunion sur l’insécurité ?
Que voulez-vous qu'elle aille y faire, la maréchaussée ? Il y a plus de bien à garder et d'insécurité à surveiller dans n'importe quelle rue de Kourou que dans tout Wayabo !
Critiquer la Ville aussi injustement sape la crédibilité d’autres remarques bien plus judicieuses sur la gestion municipale, abaissant de fait le niveau de tout débat démocratique. Si Mme Caroline B. veut soulever des lacunes dans la gestion municipale, elle n’a que choisir LES lacunes DE la gestion municipale. Il y en a suffisamment, même des belles et même concernant Wayabo.
Seulement, les bonnes questions ne concernent plus certaines personnes, on dirait...
Il convient de ne pas enterrer les responsabilités de quiconque, surtout au prix d’un faux procès à un tiers, soit-il l’édile locale. Rendons à César ce qui est à César.
Bref, cette dame a réussi à invoquer Wayabo et certains de ses particularités, sans même mentionner son propriétaire-aménageur qu’est l’EPAG. Époustouflante performance !
J’ai tout de même l’espoir - connaissant l’intégrité remarquable de Mme Caroline B. - que cette absence et ces reproches étranges à M. le Sénateur-Maire ne sont point au service des calculs mesquins, mais viennent d’un simple écart de clavier.
Zoltan Gyurenka
En réponse au message de 3wap du 27/05/12
Grosse maligne, tu vois tu commences à grenouiller et tu voudrais que je te fasse confiance sur le comptage des points, tsss, tsss...
"Je l'inscris ici, comme ça, nous aurons la trace et nous pourrons le proposer à 3*lui quand il écrira que cela ne fut pas"
Il est où ton "peut-être", hum? Que je saisisse la nuance entre l'affirmatif et l'hypothétique...
Et quand dans le post juste avant tu déboules et prends position en affirmant de but en blanc que je nie...Et que subitement tu te la joues impériale "bon ok cette fois on prend des notes pour confondre le menteur". Tu permets que je me méfie un peu.
En outre, la phrase que tu cites ne contient aucun engagement ferme. Elle ne le peut pas d'ailleurs, la réussite des intentions en question dépendant, on s'en doute, de tout un tas d'autres conditions sur lesquelles la garde des sceaux n'a aucune influence. Lis mieux, ce n'est pas une promesse mais un voeux...Les politiques "visent" et ne garantissent rien! Alors comment vas-tu faire le tri pour savoir si Taubira a personnellement failli ou non? Surtout sur un terrain balisé par Hollande et son premier ministre. Tu peux préciser tes critères?
Je te laisse t'imprégner des attentes des victimes de ce génocide, autre crime contre l'Humanité, et oui, je la montrerais du doigt, vu que celle-ci a une connaissance très précise du dossier et que la France a de la merde sous ses godasses, alors oui, je la montrerais du doigt si ça se transforme en une parodie de justice diluée dans le temps et égarée dans les antichambres du politiquement correct ou de petits arrangements entre amis.
Oui, je l'attends là, pour voir si ses bras sont aussi forts à serrer tout ce que sa langue dit d'eux.
Je l'attends là dessus et toute la profession judiciaire mise un fol espoir sur cette femme. Et dans tous les domaines de ces ordres, qui ne lui auront pas été soufflé dans l'oreille par M. Vigouroux et par la dame Batho (tu t'es pas demandé pourquoi elle avait une dame Batho à ses cotés ? )
Comment savoir si les politiques ont failli ou pas ? ça se remarque très vite, parce que dans la profession, ils ne sont pas les derniers pour dire ce qui ne va pas et ils identifient sans problème, ce qui ne fonctionne pas et par la responsabilité de qui, cela ne fonctionne pas. Donc, on le saura très vite.
Alors, asseye toi et laisse venir. Pour TOUTES les victimes, j'espère qu'elle ne faillira pas. Qu'elle dénoncera les entraves, qu'elle refusera de se laisser enfermer dans un sale jeu politique.
Détrompe toi, je me nourris d'espoir.
De Blada à Sienne, pour confirmation du message que vient de vous adresser Didou (ci-dessous) : Il va vous falloir rectifier le tir ou renoncer à écrire dans ce courrier. Merci.
Voici quelques extraits de vos réponses (qui n'ont pas été mises en ligne) à divers interlocuteurs :
Peut-être un coup de Baron d'Arignac te ferait du bien...
Je ne sais si tu as inventé l'eau tiède mais le raisonment mâtiné d'arithmétique de zouk de Marrakech fait peur...
Je sens que tu fais parti des vieux qui annone OK je vais du social je le réponds
j'ai l'impression d'être dans une anti-chambre pre-alzeitmer..
Tu devrais me remrcier que je t'informe... Mon rêve est de rencontrer des gens qui m'apprennent des choses
L'âge de contributeurs devrait être affiché... les retraités qui s'enuient et tournent en rond c'est bon mais c'est stérile...
j'ai l'impression d'être dans une anti-chambre pre-alzeitmer..
t'es pas fatigué d'être dans le rôle du niais...
Ce qui est sût avec toit je voyage tranquille tu es dans la stratégie du roquet questionneur et usant de copier/coller ça t'es arrivé de penser par toi même...
es-tu un apparichik sans malice qui suce les pouvoirs en place... et que personne soupçonne d'avoir inventé l'eau tiède?
vraiment y-a des commenteurs de raz-mottes...
Tu as l'impression à ton âge de tout savoir et d'être pétri de certitudes...
J'imagine que tu es à la retraite et que tu t'ennuies chez toi
J'imagine que tu n'as pas dû faire beacoup d'étude supérieure pour se complaire dans ce rasses-mottes
t'as pas honte à ton âge?!
A mon avis quelque soit ton âge tu dois penser àdébourrer
Essaies de nous étonner, copie un truc quelque part d'un peu subtil ou file ton compte à un voisin... fais un truc... !!!
je crois que tu devrais penser à débourrer ça te ferait du bien sincèrement.
Tes réflexions à 2 € sont loin de mon cadre de référence... gardes tes sertitudes l'on t'aime comme ça...
J'aime les psycho-rigide normatif au moins avac eux l'on n'est sûr que l'eau tiède ne sera pas inventée... Merci de ce raisonnement basique
tu débourres parfois? Viens en bordée avec moi prends du sialise ou du viuagra tu verras ça te fera du bien?
Et un petit dernier, dont nous avons tenu compte :
Blada a parfaitement raison de dégager les messages qui ne disent rien!!! C'est le bon sens!
En réponse au message de Daaam du 31/03/12
Oui ou non Kourou a-t-elle été épinglée par la cours des comptes pour sa mauvaise gestion municipale, ses recrutements erratiques et ses comptes bidons ?
Oui ou non Kourou a-t-elle un taux d'imposition supérieure à la moyenne nationale pour les villes de taille comparable ?
Oui ou non les valeurs de bases (valeurs locatives pour être précises) sont-elles fixées après consultation de la commune via le CCID et le CIID ?
Oui ou non les villes de la taille de Kourou arrivent-elles pour la plupart d'entre elles à se priver d'un "service com" ?
Bizarrement, on n'entend pas votre voix sur ces sujets.
posez peut être la question différemment car que veut dire "épinglée"?
Ce sont des magistrats qui officient à la chambre régionale des comptes et dans ces mécanismes de contrôle ordinaire et régulier, il y a des préconisations et aussi des sanctions dont la mise sous tutelle. Personnellement je n'ai pas la réponse mais les bladanautes pourraient chercher la listes des villes mises sous tutelle partielle ou totale, et si vous parlez de comptes bidons, cela veut dire fraude et escroquerie, j'ose espérer que les responsables sont en prison ce soir.
par contre contribuable depuis 1998, si j'avais observé à mon arrivée ici des taux élévés de fiscalité locale, l'observation année après année du taux de la part communale de cette fiscalité n'a effectivement pas augmenté depuis ce temps-il a même diminué- contrairement aux parts des autres institutions publiques. Là excusez moi mais prenez vos feuilles d'impôt sur 4 ans et plus avant de répondre sinon on va saliver pour rien.
En réponse au message de Thefamily du 11/03/12
AVIS A LA MAIRIE DE MATOURY
à quand une loi plus ferme concernant les ordures qui s'entassent avant et surtout après le passage des camions poubelle ? les déchets sauvages jetés n'importe où
à quand l'interdiction des animaux de ferme, laissés vagabondés dans les rues..............
à quand le ramassage des carcasses de voitures ?
et à quand la réfection de certaines rues qui ressemblent de plus en plus à des rues après un bombardement ?
Popopopo ! Je te vois arriver à tes gros sabots, Thefamily. Tu veux enlever à Kourou sa couronne de reine de GarbageCity
C'est nous qu'on a des ordures qui s'entassent partout, même dans les coins reculés où personne n'est sensée habiter......... ou alors des Plutoniens
D'ailleurs, c'est même chez nous que la future usine d'eau minérale stocke les bouteilles vides, ouais Thefamily en lisière de la mangrove, empilées à coté d'une belle grosse balise maritime, de nombreux et divers filets de pêche de divers et toujours aussi nombreux accessoires de cuisine y compris casseroles, des linges, des fauteuils en plastiques ou autre chaise longue. et des faitouts des faitouts sales partout Si, si.
C'est chez nous que les coqs promènent leur harem de poules ; où les jeunes poulets finissent en rustine sur les pneus des voitures. Oui, aussi des cat*cat qui roulent au bruit.
Et les voitures, ben, on a aussi ou alors une voiture sans roue, ou sans porte, ou sans portes et sans roue ou sans porte, sans roue, sans pare-brise, ou encore sans roue, sans porte sans pare-brise et tout le reste aussi, s'expose sur les parking comme des divas de tuning ?
Et les trous, comment as-tu pu oublier que Kourou possède les titres de Trouland, Troulala, Troupawtou, Trounombreux, Trouplein, Trouboukou, Troubazar, Trounat, Trouvini et j'en oublie sûrement.
A Matoury, comme l'équipe municipale vous organise des festivals, fêtes, commémoration, ça peut se comprendre qu' y'a plus le temps pour le reste pour les nombreuses GM des services municipaux. Et ta commune, elle, elle communique." Tel jour au conseil municipal, on parle de trous , venez nombreux pour vous combler"
Mais à Kourou, rien silence radio ordre du jour secret. Ce sont un peu énervé sur leur site quand sur Blada on les a un peu stimulé sous les bras, au sujet calcification de la page communale.
Si t'es maso, tu y vas à tous les conseils, espérant y placer un trou ou l'autre (mais entre nous, le conseil n'aime pas qu'on parle des trous) Quitte à te pendre au luminaire au bout de 10 minutes quand Bébert des PK va se plaindre de la mouche qui pète celle qui l'empêche de dormir, ou du maskilili qui lui bouffe la corde du hamac (quand il est dedans, sinon c'est pas marrant) ou Gilberte qui se désespère de voir les arbres fruitiers pousser sur sa parcelle "à visée agricole" et que ça risque pas d'arriver malgré les gros yeux du conseil, vu qu'elle n'en a planté aucun arbre fruitier, juste des cahuttes qu'elle loue au prix d'une chambre au Ritz.
Tu me diras, ça règle plusieurs problèmes d'un coup, car tu ne pendras qu'une fois, même si la PM est dans la salle, elle ne se déplace que sur le coup de fil d'un ami.
Je te rassure, force est de constater qu'on a une vie en dehors des trous et faut faire avec les porceaux, porcs, porcines et tout ceux qui l'aiment et les protègent par leur inaction.
En parler, fait vivre la démocratie, et ils peuvent courir pour la saboter.
Faut donc composer hypocritement avec les ordures, les grosses ordures et les supra ordures qui non-gèrent tout cette partie du contrat qu'un jour on a eu la connerie de signer avec eux.
Et voilà qu'ils se multiplient, deviennent légions, se déclinent en CC, CCquoi, CCpour qui clament la "mutualisation" bien qu'ils n'arrivent pas à tenir leur propre maison.
Je veux bien qu'ils servent de pansement social, l'aigreur serait moins vive, si les résultats y étaient. Que l'on remarque les forces en action. Pas qu'on est l'impression que plus y en a et moins, ils font.
Attends les sur ta pelouse, qui je te le certifie, sera tondue et nettoyée, le matin du passage de leur caravane sono en quête de ta voix aux prochaines élections et regarde avec soulagement, ceux pour qui tu ne voteras jamais plus.
Loue appartement T2,meublé entierement neuf,2eme etage ds residence,vu sur lac bois chaudat, chambre climatisée,850.00 euros/mois
850 euros un T2. Du grand art spéculatif ! Y a des gens qui acceptent ça ? A combien cette personne louerait un T4 ou pire, une maison ? Faut redescendre sur terre là...
j'aimerai avoir des infos sur l’hôtel à Paramaribo SULLIES SUITES :quelqu'un Y a t-il séjourner depuis sa rénovation qualité de la piscine, breakfast,propreté de la chambre pour unesuite DEluxe?
Merci pour vos infos....ou bien vous pouvez me donner d'autre adresse d'hotel sur PARAMARIBO
En réponse au message de Grenouille973 du 19/12/11
Eh oui, cette année encore j'ai l'intense plaisir de participer aux cadeaux de noël des jeunes Kourouciens, Ordinateur portable, disque dur, appareil photo ... bref ils seront gâtés ces petits jeunes ... si méritants!
En même temps on ne m'a pas demandé mon avis ... c'est tellement plus simple de se servir chez les gens que de se lever le matin pour aller bosser, n'est ce pas !? ouiii je sais du travail il n'y en a pas, c'est pas de leur faute, les pauvres bougres ! en attendant me voilà délester de qq centaines d'euros ...
Père Noel, s'il te plait, apporte moi des livres cette année, ça au moins je suis sur de ne pas me les faire voler !!!
bonnes fêtes à tous !!!!!
Et tu n'es pas hélas la seule, ce WE un nombre important de PC portable (pour ne parler que d'eux) ont rejoint la hotte du Père Noël et vont apparaître grâce au miracle du moment, dans les chambres de quelques jeunes kourouciens (les autres communes ne seront pas oubliées) à Noël Et comme leur parent y croit encore à la manne divine, aucun ne se posera de questions.
En réponse au message de Foot In The Plate du 05/12/11
Corbeau : langage familier, délateur, auteur de lettres ou de coups de fil anonymes.
Sans vouloir vous brusquer cher Blada, les usagers du courrier écrivent sous anonymat conformément à la charte qui les laissent libres ou non d'utiliser un pseudo.
Lors de l'inscription est mentionné "blada s'engage à ne jamais fournir votre adresse email".
Hors visiblement, Chokapix mentionne une adresse bqglv@onsenfou.com.
Sans préjuger, mais un peu quand même, il semble que cette adresse commence par les initiales présumées réelles de Léonor Valdez, donc serait sienne.
Certes Chokapix n'est pas Blada, mais dans ce cas n'est-ce pas abusif malgré tout ?(la question est aussi par quel moyen la connaitrait-il? )
-Est-ce alors compatible avec les règles évoquées?
-Puisque Blada a connaissance de l'identité réelle de l'usager qualifié de corbeau ( la question de Gossipigirl97 "par quel moyen" est pertinente bien que Léonor Valdez valide puisque ce pseudo évoque "le secret de polichinelle" ) , le plus simple n'était-il pas de ne pas publier ses courriers puisque, toujours selon la charte "blada se réserve le droit de ne pas mettre en ligne les courriers ne répondant pas à ces critères sans avoir aucunement à s’en justifier (...)" ?
-Un autre aspect de la charte qui pose problème et qui illustre la difficulté ( je vous l'accorde ) d'appliquer à la lettre les principes établissant cette charte : "Ce courrier des lecteurs est avant tout un lieu d’échanges, argumentés et courtois, et non pas un ring de boxe ".
Fabien traitant un autre usager de "sombre imbécile", cela relève-t-il au moins de l'échange courtois puisque cela n'a rien d'un échange argumenté ?
Je prends Fabien pour exemple parce que c'est le dernier que j'ai lu, mais il n'est sans doute pas le seul.
J'ai donc envie de rebondir sur la question de Gossipigirl97 en la traduisant différemment pour répondre aux interrogations similaires qui pourraient surgir à l'esprit d'autres lecteurs :
notre anonymat sur Blada est-il vraiment garanti ?
Je vais tâcher de répondre à vos questions (je = odile farjat, responsable de blada.com) :
Lors de l'inscription est mentionné "blada s'engage à ne jamais fournir votre adresse email".
> Je vous le confirme
Hors visiblement, Chokapix mentionne une adresse bqglv@onsenfou.com.
>Chokapix nous a déjà apporté la preuve de sa mémoire d'éléphant. Il a vraisemblablement noté cette adresse (en partie au moins) à l'époque, pas si lointaine - deux ans peut-être - où les adresses étaient encore accessibles dans le courrier des lecteurs et que bqglv y sévissait.
-Puisque Blada a connaissance de l'identité réelle de l'usager qualifié de corbeau ( la question de Gossipigirl97 "par quel moyen" est pertinente bien que Léonor Valdez valide puisque ce pseudo évoque "le secret de polichinelle"
>La question n'est pas pertinente, puisque LV-BQ s'est "lâché" (d'autant que tous les indices étaient déjà réunis depuis bien longtemps).
le plus simple n'était-il pas de ne pas publier ses courriers
>La censure ne nous est ni facile ni naturelle, et les calomnies, colportées par ceux qui tirent les ficelles contre ce petit blada qui dérange, commencent à nous glisser dessus. Et puis c'est aussi pour nous une façon de ne pas nous abandonner aux mêmes pratiques que ceux qui cherchent à nous écraser par tous les moyens, y compris les plus bas. Si "parasite" il y a - puisque c'est ainsi que "certains" ou "certaine" nous traitent -, c'est un petit bruit énervant qui perturbe un peu l'écoute des gros haut-parleurs de la langue de bois et du mensonge institutionnalisé. Un exemple tout frais : comparez la pravda kouroucienne de novembre 2011 (dite "La Lettre des élus") avec le dernier rapport de la Chambre régionale des comptes : du gaspillage de deniers publics institutionnalisé dont vous ne trouverez pas trace dans la pravda kouroucienne (ouf ! heureusement qu'on est en République). Je vous invite à lire plus précisément la première partie de la page 46 du rapport de la CRC (sur les employés fantômes) où il est question des activités confiées au cabinet du maire, dont le grand maître est Leonore Valdez / Bernard Quémon. Comment éviter d'en rire et/ou d'en pleurer ?
-Un autre aspect de la charte qui pose problème et qui illustre la difficulté ( je vous l'accorde ) d'appliquer à la lettre les principes établissant cette charte : "Ce courrier des lecteurs est avant tout un lieu d’échanges, argumentés et courtois, et non pas un ring de boxe ".
Fabien traitant un autre usager de "sombre imbécile", cela relève-t-il au moins de l'échange courtois puisque cela n'a rien d'un échange argumenté ?
Je prends Fabien pour exemple parce que c'est le dernier que j'ai lu, mais il n'est sans doute pas le seul.
>Certes, il y a des dérapages, pas toujours bien contrôlés de notre part, mais pas bien méchants je pense.
notre anonymat sur Blada est-il vraiment garanti ?
>OUI
Là-dessus, je me dois quand même d'ajouter : sauf en cas de procédure judiciaire, chacun devant pouvoir répondre de ses actes devant la justice, s'il y a lieu.
Vous voyez, il n'y avait pas de pieds dans le plat.
Odile Farjat
En réponse au message de T-a du 28/11/11
vous avez vu ce que jodla écris sur la page d'accueil je cite « Au moins une femme sur trois dans le monde a été maltraitée, battue ou contrainte à des rapports sexuels dans sa vie » à l'entendre c'est un passage obligatoire pour les femmes dans leurs vie comme le service militaire l'à été pour les hommes à une époque , sacré jodla , c'est affiché en ce moment en plus
là vous allez fort et davantage même sur un sujet aussi grave. D'ailleurs vous intervenez sur tout, vous avez un avis sur tout et c'est votre droit, mais aussi une analyse sur tout et là vous frisez l'excès.
L'audience de blada est indéniable dans les rubriques de services, et plutôt que de lui faire de mauvais procès ainsi qu'au petit groupe qui écrit dans la ligne de la rédaction, je tente d'être factuelle sans jugement de valeur. Ainsi récemment à propos des impôts, le débat public sur la fiscalité à kourou. 2 exemples que par exemple les blada relancent en dépit du bon sens et de faits vérifiables:
- les valeurs fiscales sont déterminées par l'Etat avec une revalorisation d'environ 2,1% par an et des augmentations individuelles suite à des constats de travaux ou d'agrandissement par exemple par les services en charge de la mise à jour de l'assiette fiscale. La ville n'a donc que le pouvoir de voter la variation des taux, à la hausse, à la baisse ou par des mesures de maintien. La fiscalité élevée de Kourou est donc une vielle histoire, et l'équipe municipale actuelle - c'est un fait que la plus mauvaise foi ne peut hélas gommer- a effectivement baissé ou au pire maintenu les taux depuis 1995 à aujourd'hui, pour un niveau de baisse pour la seule ville de Kourou significatif à partir de cette année de référence.
Maintenant le résultat global, quand il est à la hausse doit se lire dans la revalorisation annuelle de l'Etat et dans les votes la plupart du temps à la hausse des autres institutions bénéficiaires de ces impôts et autorisées à voter leur propre taux(etat, région, communes, intercommunalités, epag, chambres consulaires ETC...) Alors quand hors contexte, on reprend les regrets du Maire de Kourou d'avoir baissé quelquefois les taux, dans un souci légitime de diminution de la pression fiscale, il vaut mieux y entendre que la ville au lieu de baisser ses taux quand elle l'a fait, aurait dû en fait les maintenir sans les augmenter pour autant. le manque à gagner a été par exemple ,chaque année de baisse, l'équivalent de la part communale d'un groupe scolaire ou son équivalent d'intérêt public. Les frustrations sont réèlles quand dans le bilan global les augmentations sont au rendez vous, avec la revalorisation annuelle de l'Etat, l'inflation et les hausses des autres donneurs d'ordre, alors que de telles hausses ne sont pas du fait de la ville de Kourou...sujet donc complexe que l'on ne peut traiter avec une mauvaise foi partisane.
Enfin, le serpent de mer du taux "record" de la taxe sur le foncier non bâti... A une époque déjà lointaine, la ville de Kourou de majorité gaulliste a eu à préserver ses intérêts en tant que collectivité ( dans un contexte encore émergent du spatial avec ses défiscalisations légales mais néanmoins, ENORME propriétaire foncier non bâti) et à ce titre a utilisé le levier de taux très élevés afin de se garantir quelques recettes fiscales complémentaires. les valeurs de base de cette taxe restant toutefois faibles pour un produit fiscal limité. Les faits sont néanmoins là, cette taxe depuis 1995 a aussi été traitée à la baisse ou au pire au maintien.
Pour la ville de Kourou, c'est encore mieux qu'à Cayenne, on ne peut dire le taux d'absentéisme par manque de suivi et d'outil ! Ci-dessous un extrait de l'audit (rapport 2010 de la CRCC de Guyane : http://www.ccomptes.fr/fr/CRC11/documents/ROD/ANR201002.pdf).
"La commune a ainsi beaucoup de difficultés pour connaître le taux d’absentéisme du
personnel de la ville de Kourou. Les documents transmis à la chambre pour 2008 ne
permettent pas de le déterminer : pas de différenciations suffisantes entre les types d’absence, chiffres erronés et non rapportés au nombre potentiel de jours travaillés."
Bravo ! Espérons que la situation est en cours d'amélioration M. Eleonore Valdez ?
"L’absentéisme est un vrai problème pour la ville de Cayenne. Le nombre d’absences se situe aux environs de 72 500 jours par an, soit environ 57 jours par agent (hors congés annuels). La moyenne se situe aux environs de 10 à 20." Extrait du rapport 2010 de la Chambre Régionale de la Cour des Comptes de la Guyane sur la Gestion de la ville de Cayenne. Ce rapport est visible dans sa totalité sur le site de la CRCC.
Il serait aussi intéressant de connaître le taux d'absentéisme pour la ville de Kourou ?
En réponse au message de Phil De Montjoly du 22/11/11
Evidemment je suis d'accord sur les énormes problèmes d'insécurité à Kourou mais il n'y a pas qu'à Kourou ! Il est sans doute naturel qu'on ne parle ici sur Blada que des problèmes de Kourou (ou presque), mais regardez ailleurs, à Cayenne ou Remire-Montjoly ... Il y a autant de braquages ou d'agressions, il suffit de lire les titres de france-Guyane chaque matin.
L'insécurité concerne toute la Guyane et je ne vois pas comment les pouvoirs publics peuvent améliorer la situtation car leur politique est toujours la même après une série de braquages : des déclarations d'apaisement, un petit barrage provisoire sur une route, un petit renfort provisoire dans un autre coin, des contrôles routiers provisoires ...
Cela fait des années que cela dure. Il faudrait compter le nombre de gendarmes présents à Kourou (départementaux, mobiles, maritimes), c'est sans doute la ville la plus "Fliquée" de France et pourtant, l'insécurité perdure et s'aggrave. Cherchez l'erreur !
En effet Phil de Montjoly il n'y a pas que Kourou mais j'y réside et y côtoie beaucoup de monde de tous horizons.
Et vous avez raison de dire que Kourou et une des communes ou villes ayant le plus de force de l'ordre de France.Mais quand la politique du Maire et de dire que tout va bien dans sa commune,que l'insécurité est en baisse,d'ailleurs il ne s'y passe tellement rien que régulièrement des gendarmes en exercice se font agresser par arme blanche ou par arme à feu.
Quand un Maire annonce qu'il a fait une erreur en abaissant les impôts,la question est les impôts de qui puisque majeur parti des habitants de Kourou vivant dans de soit disant LLS transformés plus tard en majestueusement villas avec 6,7,10 chambre louer 600€ minimum.
Il n'y a qu'a faire un tour au quartier savane.
Mais peut être préfère t'il la rue derrière le Mc Donald on s'y croise souvent.
Alors à Kourou on augmente les impôts pour faire un groupe scolaire tous les ans Super les enfants ou adolescentes font des enfants ce n'est pas un problème ce qu'il faut c'est mettre les enfants à l’école.
Allez JEA vivent l’électorat qui n'y connait rien et qui avale toute tes conneries vivent les bâtiments sociaux et vivent les adolescentes enceintes.Vivent les habitants imposables c'est pas la peine de critiquer Sarkozy.JEA/ SARKO même combat seul la tranche moyenne paye.
En réponse au message de 3wap du 08/11/11
Tu te plantes, je ne considère pas que nos lois actuelles soient équivalentes à celle de Vichy, ne serait-ce que parce que nos juges les tempèrent en se basant aussi sur des fondements humanistes (CEDH notamment). Tu prends la discussion en cours, mais l'idée c'était plutôt d'éprouver la cohérence dogmatique du principe selon lequel la loi est la loi. Visiblement, vu l'émotion suscitée, il semblerait que sous le gouvernement de Vichy ce principe n'était plus aussi important aux yeux de nos légalistes purs et durs. Mais ils sont apparemment incapables de dire pourquoi. Pour moi la réponse est simple, les lois antisémites sont indignes de tous principes humanistes. C'est avant tout en cela qu'elles sont condamnables à mes yeux, et non pas en se tortillant effectivement du derrière pour se raccrocher au statut plus ou moins non-légitime de ses auteurs. En convenir imposerait donc d'admettre qu'il puisse y avoir effectivement d'autres nécessités humaines qui s'impose parfois au stricte respect de,la loi. Ils existent des lois infâmes, et il est prudent de se souvenir pourquoi elles le sont, afin de mieux les rejeter.
Ceci-dit il est vrai que la première circulaire d'hortefeux contre les Roms était pour moi assez proche de la logique discriminatoire et stigmatisante propres aux lois antisémites du gouvernement de Vichy. Mais je ne suis pas juriste et je peux donc me tromper.
Au lieu de te voiler la face sur le rôle économique de l'immigration en Guyane, tu devrais aller faire un tour sur les chantiers, pour voir qui y bosse précisément.
http://www.franceguyane.fr/.../la-siguy-epinglee-dans-un-dossier-de-travail-dissimule-
Rassure-toi, si j'adopte la position commode du vertueux donneur de leçon, c'est juste pour l'exercice de style et pour faire vivre notre petit débat. En vrai, tout comme toi, j'ai une sainte trouille des barbares qui viennent égorger nos fils et non compagne. Je dois simplement être plus distraits pour ne pas être conscient du drame que représente cette invasion étrangère...qui nous lamine selon Marine. Au fait, ça me fait penser... t'as vu que Cush a traité Le Pen de Nazi, et tu ne lui attribues pas de point Godwin? Tss, là je suis très déçu! On n'est pas d'accord sur tout, mais tu ne m'avais pas habitué à çe genre de compromission. La loi Godwin c'est la loi Godwin tout de même! On ne l'applique pas à la tête du client! C'est plutôt du copinage de bas étage tout ça, indigne d'un parangon de vertu légaliste prônant le respect de toute les lois.
Sinon, je suis moi-même assez surpris que tu puisses t'ériger en gardien du temple de toutes les vérités, concernant le "sens de l'immigration". D'où peux-tu bien te venir une telle prétention affabulatrice? Allons, un peu de modestie que diable.
Ah oui enfin, je confesse tout de même que si je prends régulièrement soin de rappeler les âneries de notre guide au sujet de sa foi en la suprématie de la vertu calotine. C'est bien que par principe personnel je place effectivement les vertus humanistes fondée sur la raison humaine, chère à Montesquieu, au dessus de celles propres aux autres formes de croyances spirituelles, sans exclure pour autant qu'elles puissent se rejoindre vers un sommet. C'est totalement subjectif, mais il me semble en effet que le bien qui émane de la raison est toujours plus grand et beau que celui qui émane de la vision. Les tenants de la piėté légaliste oublient donc juste d'imaginer que l'idéal raisonnable de toute loi devrait être de servir le bien de l'humanité sans restriction. Ce qui suppose parfois certains compromis, le périmètre clos d'une démocratie n'étant qu'une illusion que n'importe quel migrant adepte de la marche à pied peu briser.
Et oui, tout de même, ceci procure une certaine satisfaction de voir l'agacement suscité lorsque l'on rappel quelques enjeux humanistes basiques. Si cela vous agace tant, c'est à vous qu'il revient de découvrir pourquoi, hommes de peu de foi.
Quel agacement?
Il me semble que c'est plutôt vous qui avez du mal à faire passer votre idée subversive de lois votées par une majorité démocratiquement élue et que vous refusez d'appliquer parce qu'elles choquent votre "morale"
Quand de plus vous mettez sur le même plan la déportation des juifs sous Vichy et la reconduite de Roms à la frontière, c'est bien vous qui passez les bornes:
"Le gouvernement français a ainsi assuré avoir reconduit 979 ressortissants roumains et bulgares entre le 28 juillet le 17 août, dont 151 "de manière contrainte" et 828 "de manière volontaire". Les personnes reconduites de "manière volontaire" ont accepté 300 euros pour rentrer chez elles. ", peut-on lire dans Le Monde
http://www.lemonde.fr/.../la-france-en-pointe-de-l-expulsion-des-roms-en-europe
A ma connaissance, ceux qui ont été mis dans les wagons de la SNCF en 1941pour leur dernier voyage vers l'Est, non seulement n'ont pas touché un petit pécule, mais ont été entièrement dépouillés (y compris de leurs dents en or quand on les a sortis des chambres à gaz)
Alors, vous feriez mieux de la mettre en veilleuse...
Et de réfléchir aux conséquences désastreuses du refus d'appliquer les lois sans la moindre sanction, qui donne un sentiment justifié d'impunité à tous les hors-la-loi et de vivre en voyoucratie à ceux qui s'évertuent à les appliquer.
En réponse au message de 3wap du 30/10/11
Ma loi du plus fort? T'es allée chercher ça où?
La citation de Montesquieu parle de raison humaine, pas de la raison du plus fort...
Je ne vois absolument pas en quoi une famille qui vit illégalement dans un squat sous la menace d'une expulsion, parce que la loi c'est la loi, serait du côté du plus fort.
La raison humaine implique peut-être que les plus faibles ne soient pas frappés aveuglément par nos lois, lorsque leur application ne fait qu'aggraver les choses... Je pense que ce souhait ne nous renvoie pas à l'état de nature, mais qu'au contraire il nous en éloigne. Et il ne s'agit pas là d'anarchie, puisque qu'il s'agit bien de respecter une règle essentielle, celle de la vertu. Et il me semble que les états despotiques ont aussi des lois que les individus soumis sont invités à suivre rigoureusement. La loi c'est la loi n'est donc en rien ce qui caractérise notre démocratie. La vertu si, peut-être.
La question c'est donc de savoir s'il est tout à fait vertueux d'exiger que des individus mis au banc de la société soient systématiquement contraints à respecter les lois, alors même que leur situation les poussent à en enfreindre certaines pour survivre. Mon opinion c'est que non, ce n'est pas totalement vertueux! Ce qui l'est d'avantage à mon sens, c'est d'arriver à faire le distinguo entre un squatter qui agresse ou tue et un autre qui bâtit une maison illégalement pour y abriter sa famille. Il me semble que le jour où n'arriverons plus à faire la différence, en n'étant plus obnubilés que par un principe légaliste: la loi c'est la loi. Plutôt que par une ambition humaniste. Alors, là oui, peut-être bien que nous serons alors bel et bien revenus à l'état de nature.
Je suis allée chercher ça entre autre, dans les groupements ou associations d'occupants de terre illégaux qui ont été "entraînés" par un plus fort ou plusieurs plus forts (en gueule?) qui sous couvert de droit à la terre, va se planquer derrière des personnes qui n'ont rien et qui espèrent tant. Et qui sont aujourd'hui victimes de ces mêmes parce qu'expulsées. Et victimes des politiques locaux (d'autres forts) qui mettent depuis deux ans du carburant dans les logements sociaux. Un coup de poker, avec autour de la table des personnes qui jouent tout juste à la bataille.
Tu as suivi Sablance en voisin ? tu vois les projets qui naissent sur la commune, c'est évident que ça allait chauffer. Qui a calculé le risque, le pauvre gars qui remue la terre depuis des années ou le gars qui a l'origine a monté l'asso en se disant : si j'y vais seul, je vais me faire expulser dans peu de temps, allons chercher des candidats à l'expulsion future.ANSAM, NOU PLI FÔ Sauf qu'il y a dans ce cas, un fort que toi.
Les gens qui n'ont vraiment rien, tu les retrouves sinon isolés dans les chambres sous-louées chez des particuliers propriétaires ou pas (encore les plus forts).
Pour les propriétaires de terrain qui font de ce trafic d'humain, un revenu sympathique la Loi semble vouloir se réveiller. Et y'a des forts à sanctionner si tu lis les témoignages en fil des articles à ce sujet.
Pour les locataires qui amortissent, voir plus, leur loyer en sous louant des chambres à des moins "forts" qu'eux il existe une clause de bail, qui est tout simplement l'annulation de celui-ci, quitte à le transférer provisoirement aux occupants jusqu'à trouver une solution plus adéquates.
Détrompe toi, même si on met les plus faibles en avant, y'a toujours un fort qui se planque derrière eux.
Et moi, suis d'avis que la justice devrait actionner les Lois en s'y intéressant une bonne fois pour toute.
En réponse au message de Flo De Kaw du 10/10/11
La taxe TOBIN ? C'est l'arlésienne, ma chochotte.
Ta raison, pas un qui sache comment la mettre en place. A mon humble avis, pas facile car il faudrait sans doute qu'il n'y ait pas de paradis fiscal pour qu'elle fonctionne.
Sinon elles sont jolies les coupes-carottes de Yvor-le-Great. Elles font juste une peu froid dans le dos, mais par cette châleur…
La mettre en place, difficile ? C'est d'une facilité déconcertante, prélèvement au panier. Dés la concrétisation de la transaction c'est à dire : sortie d'une valeur du compte bancaire prélèvement de la taxe vers compte ouvert au dépot et consignation (ça fera économiser une nouvelle structure de gestion) . Et là, je viens d'écrire le mot magique : bancaire.
Les gouvernements européens se font empapaouter par les banques et aucun n'a les ouilles pour nationaliser ou imposer la présence d'économistes d’État, dans les conseils d'administration dés lors qu'un seul euro de la population a été injecté dans les caisses de celle-ci pour leur venir en aide. Ils ont beau se réunir à Berlin tous les 15 jours, à part bouffer leur bilan carbone, ils n'avancent pas d'un seul pas.
Nan, Flo quand ça veut ça peut et ça peut très vite, regarde nous : si tu fais des transactions avec ta CB et l'étranger. Dés qu’intervient une devise étrangère, big, ta banque te colle des frais de transaction Cb. C'est automatique.
Quand j'entends la chorale de Sarkosy chantait sur toute la gamme qu'il maîtrise la crise. Les fous ! Il pose des rustines sur une chambre à air déchirée de toute part et pour un mec qui fait du vélo régulièrement, je trouve que ça révèle une incapacité lourde à prendre une saine décision celle de changer la chambre à air.
J'ai lu dans FG que les Guyanais n'étaient pas inquiets pour leur argent (dans les banques - même si BNP a les doigts pris et bien pris dans le toxique) . Et pourtant mes amis, il part dans des tonneaux sans fond en ce moment et j'espère vraiment que les Guyanais vont s'intéresser à où part leur argent, car si ça continue, le pire est à venir.
Ici, nous n'avons pas besoin de beaucoup pour nous énerver les uns contre les autres.
suite au débat du vendredi 23septembre2011 sur la chaine de guyane 1e de l'assasinat de mr Methon. comme invité:mr le prefet,mr le procureur,et le président de la chambre de commerce.la remarque que je souhaite faire le jour du debat Mr le procureur à préciser,que c'est pas toujours l'Etat qui faut accusé: je pense que l'Etat c'est son devoir de controler.(beaucoup de petit commerce.qui ne sont pas controler-non pas de licence-(clandestin)- par fois ceux la son soutenu par des gens Bien placé(dans l'administration que l'etat doit voir ce qui se passe devant sa porte-.je pense que Mr Methon était homme de droit et respectueux il voulait que tout le monde doit être égaux il géne c'est pour celà qu'on l'a tué dans une souffrance horible. quand je pense il y avait une Réunion a la chambre de commerce qui avait étè faite deux ou trois jours avant sa mort à ce sujet-(restauration-commerce illégaux) je me pose des questions!!!. je pense que l'Etat les Administrations concernès ferait en sorte que celà ne se reproduise plus jamais.
En réponse au message de Relena du 16/09/11
Pourquoi je ne suis pas étonnée? Va savoir, la lassitude face à certaines élus totalement à l'ouest, enfin 40 M d'€ et ils ont toujours pas fini les travaux de finition du nouveau marché au vieux bourg?!(sachant que le vieux bourg fait partie des quartiers prioritaires pour les actions du PRU) En plus, le marché a été inauguré en grandes pompes, c'est toujours comme ça avec Mr le Maire, des annonces suivies de rien du tout ou très peu concrètement...Vivement les prochaines élections, reste à savoir si on aura "moins pire " en face de lui! Là peut être que je place la barre un peu haut.
Le Bourg: Rien dans l'histoire, les archives ou la mémoire collective ne mentionne le terme "vieux" Bourg à Kourou. Les gens qui choisissent de vivre à Kourou disent logiquement donc "LE BOURG".
Et juste pour information, le marché du Bourg n'a pas été inauguré en grandes pompes, mais a été le cadre des voeux du maire à la population, dans le chantier encore en cours(pas de chape au sol, pas de fermeture et d'isolation de la façade arrière,, pas encore d'équipements commerciaux type chambre froide ou vitrine isothermes). la remise du grand prix d'architecture, A M O, décerné au Pôle Culturel de Kourou par le ministre de la culture, a été faite en plein chantier du Palais de Chaillot...avec ses scories et même ses toilettes de chantier.
En réponse au message de 3wap du 31/07/11
Rahhh, un mythe qui s'effondre... Le Partenariat Public Privé, ou PPP pour les intimes.. Ça avait l'apparence de l'arnaque, ça avait l'odeur de l'arnaque...Ben s'était bien une grosse arnaque, grâce à laquelle les deniers publics auraient dû engraisser le groupe Eiffage sur trente ans... Imaginez, 38,8 millions d'euros annuels de loyer sur 30 ans (soit plus d'un milliard) pour un coût de travaux initial inférieur à 400 000 euros... Ben voilà, le truc se casse la gueule. Oh, mais rassurez vous braves gens, le groupe Eiffage lui sera indemnisé... Car le privé est tout particulièrement adepte de ce genre de partenariat sans risques de pertes, lorsqu'il est conclu avec une vache à lait un peu bête, tel que l'état, qui paye l'addition quoi qu'il arrive.
Rappelons que ce machin formidable a été monté de toute pièce par les mêmes types, pour qui l'orthodoxie budgétaire (comprendre pour eux, la réduction des dépenses publics) est l'alpha et l'omega de toutes politiques publics...Ça fait flipper.
http://csht.medicalistes.org/IMG/pdf/hopitalfrancilien0001.pdf
Extrait d'un article du Cannard sur le sujet.
"le recours à une maîtrise d'ouvrage publique financée par l'emprunt aurait été une solution moins coûteuse, moins hasardeuse et surtout davantage maîtrisable pour l'établissement" Extrait d'un rapport de la Chambre régionale des comptes IDF.
Sans déconner...
Tu m'étonnes qu'ensuite il faille ramer sec, pour faire croire aux gogos que ce sont plutôt les immigrés qui leur pompent leur pognon.
Eh, mon gars Philippe2! Tu crois pas qu'on devrait aussi faire appliquer la loi qui interdit aux gogos d'avaler n'importe quelles salades?
"le recours à une maîtrise d'ouvrage publique financée par l'emprunt aurait été une solution moins coûteuse, moins hasardeuse et surtout davantage maîtrisable pour l'établissement"
Extrait d'un rapport de la Chambre régionale des comptes IDF.
L'emprunt? Quel emprunt? Croyez-vous qu'avec 1600 milliards d'Euros à faire rembourser par vos enfants l'Etat n'est pas assez endetté comme ça?
http://www.fb-bourse.com/dette-publique-francaise-2011/
En réponse au message de Philippe2 du 08/07/11
"de jeunes et jolies compagnes d'un soir, attendant perchées sur les tabourets du bar" certes mais pas dans une chambre avec un charriot à balais; nuance d'importance, non?
Moi, aussi je veux délirer grave sur le sujet comme Gilles et clic-clac. D'après le bruit des balais de chiottes (= sources journalistiques se trouvant à 7000km du lieu d'enquête), DSK aurait (note le conditionnel) proposé la botte à 2 employées de l’hôtel, la nuit précédent l'évènement . Celles ci auraient décliné très poliment ayant d'autres qu....s à fouetter dans ce qui semble être un bordel de luxe (Le Sofitel et son célèbre service de chambre à carte numérique). Sur ce ré-apparait la dame qui a réellement passée la nuit avec lui et qui aurait aidé à fournir tout ce qu'il fallait comme ADN DSKanienne à la prude Nafissatou (dont l'intégralité de l'interrogatoire s'est déroulé dans sa langue maternelle) pour monter l'arnaque du siècle. Ouf ! c'est dit ! Mais franchement, quel santé, ce bonhomme !
Et pendant ce temps là, les vraies affaires continuent.
Je vous déconseille vivement au prix où sont les chambres, le SOFITEL NYC. Aux dernières nouvelles, il y avait AUSSI un homme dans la chambre (qui ne savait pas lui non plus qu'il y avait quelqu'un) entrain de desservir la chambre quand la victime présumée est entrée.
Et du coup, la policier de NYC (d'après le NYPOST ou le Times, je sais plus) après 4 jours décide de vérifier les passages de pass (d'ouverture de porte) de la même.
Si quelqu'un du service, était déjà dans la chambre, son pass n'aura pas été utilisé.
On attend jusqu'à vendredi et ça va finir en partouze cette affaire.
Pauvres de ceux qui sont malaxés dans cette horrible machine.
Précisions sur Wayabo, réponse à l’EPAG (voir jodla du 01/01/11)
Membre de l’Association Wayabo et particulièrement concerné par cet aménagement qui sort de l’oubli grâce à Blada, je ne peux laisser sans réaction la réponse de l’EPAG à la publication de notre protestation. J’ai lu avec intérêt le courrier de l’EPAG, avec un intérêt d’autant plus grand que c’est la toute première réponse de cet organisme qui a ignoré tous nos courriers depuis 2005, fussent-ils des courriers individuels ou collectifs, simples lettres ou avec avis de réception…
Sans vouloir répéter le contenu du courrier de l’Association, je me borne à donner du relief à quelques propos de l’EPAG. Bonne lecture à Tous.
« L’EPAG… a installé 71 agriculteurs à Wayabo en 2005. »
Avec des Convention d’Occupations Précaires, contrat qui – à part d’être rebutant -, interdit formellement toute construction. Ce contrat-surprise nous a été présenté comme une passerelle provisoire jusqu’à l’achèvement de l’aménagement, car l’EPAG ne peut vendre des terrains non viabilisés.
Comme la fin des travaux a été prévue pour novembre 2006, il nous a été promis-juré que les parcelles seront vendues en décembre 2006, après le constat de mise en valeur. (Une fois les parcelles vendues, nous pourrons obtenir les permis de construire, bien entendu.)
Ceci est intéressant, car pour constater une mise en valeur, il convient de définir préalablement ce qu’on entend par la mise en valeur… élémentaire, en droit ! Or, aucun cahier des charges n’a été constitué, ce qui est logique, puisque nous avons été sélectionnés sur des projets économiques très détaillés, ces plans d’investissements servant, naturellement ,comme référence de « mise en valeur »
Mais, comme il est impossible de réaliser une entreprise agricole en un an, l’EPAG (par la voix de Mlle C. P.) a prévu que le constat de mise en valeur sera, en novembre 2006, la constatation de la déforestation, même partielle. Logique, puisqu’on ne peut guère faire plus en une année, mais ce travail peut être parfaitement considéré comme un engagement sérieux. D’autant plus que le coût de la seule déforestation est cinq fois supérieur (!!) à la valeur de ces terres, selon les propres Services Fiscaux…
Tout ceci a été expliqué /promis à chacun d’entre nous, lors de la signature des Conventions d’Occupation Précaire.
Comme il s’agit d’un organisme public, à qui on n’attribue pas, à priori, de mauvaises intentions, et comme les mêmes propos ont été tenus aussi par la Direction de l’Agriculture, tous les attributaires ont signé, à ma connaissance, cette Convention léonine.
Ceci a été le premier et principal mensonge de l’EPAG.
« Le programme consistait à créer 25 Km de voies d’accès »
Quelle omission ! Voyons ! Le programme consistait à créer 25 km de voies d’accès mais surtout électrifier toute la zone ! Plus la ligne téléphonique !
(Ils ont même promis, pour certains d’entre nous, le réseau d’eau potable. Ce qui est tout à fait stupide pour un lotissement agricole.)
Le fait d’avoir été prudent de ne pas préciser, dans la fameuse Convention, ni la nature de l’aménagement ni ses délais, ne met pas l’EPAG à l’abri. Il y a trop de témoins… Par contre, on peut y voir les prémices d’une tromperie…
En effet, si l’électrification n’a jamais été prévue - comme ose affirmer aujourd’hui le directeur actuel de l’EPAG -, comment expliquer alors l’acceptation des projets d’investissements exigeant par nature le réseau électrique ? L’installation et l’incitation au travail de ces investisseurs ?
Je rappelle qu’il y avait, dans la Commission Locale du Foncier qui nous a sélectionnés, deux agents de la DAF et trois représentants de la Chambre d’Agriculture, dont son président ! Tous experts en agriculture ! Aucun d’entre eux n’aurait remarqué que l’on ne peut faire du fromage sans électricité ? Que l’on n’installe pas un élevage moderne de poules pondeuses sur un groupe électrogène ? Qu’il est impossible d’automatiser l’arrosage des serres sans la puissance du réseau ?
Aucun d’entre eux n’aurait éclairé la représentante de l’EPAG, Mlle C. P., qui servait de secrétaire, que des projets de cette nature n’ont aucun avenir sans électrifier la zone ?
(Cela dit, ils existent bel et bien de documents officiels, même en ma possession, où d’autres administrations précisent que l’aménagement de Wayabo comporte les routes et l’électrification…)
L’acceptation de ce genre de projets d’envergure confirme aussi le calendrier prévu de l’achèvement de l’aménagement (fin 2006 !), puisque tous ces travaux ont plus que supposé la réalisation rapide de sérieuses constructions de la part des attributaires.
L’EPAG est donc responsable de l’impossibilité de réaliser les investissements les plus sérieux du Lotissement Wayabo, responsable ainsi de nos pertes financières.
« et aujourd’hui, chaque parcelle est accessible »
Certes… Mais n’oublions pas qu’une portion de route est toujours en travaux, que l’accès même du Lotissement, la route des Singes Rouges demeurait impraticable par temps humide jusqu’à septembre 2010 ( !), que la route interne du Lotissement se décompose partout. Voyez à la limite des parcelles 45 et 47 : il sera infranchissable d’ici quelques jours, des nids d’autruche partout…
Il faudrait inviter souvent M. le Préfet ou M. le Président de la Région : je dis cela parce que la dernière réparation à laquelle l’EPAG s’est livrée sur notre route date de la veille de leur visite de la zone, en avril 2010. Après deux ans d’abandon, l’EPAG a bouché 53 trous en un après-midi ! J’ai compté avec délectation…
Véritable Potemkine-aménagement, mais au moins on sait pour qui ils font des travaux…
Pitoyable !
J’ajoute aussi que la technique de construction des voies de Wayabo a été une technique « expérimentale ». Pourtant, il n’y avait rien à expérimenter, trois voix (dont la mienne, par écrit) se sont élevées en 2006 pour les prévenir que cette technique n’existe pas … pas pour les tropiques, en tout cas. Et qu’en aucun cas, une route de ce genre ne pourra supporter des véhicules de plus de trois tonnes…
Voyez le résultat, pour trois millions d’Euros d’argent public.
Vous voulez rire ? Sur une portion de voie absolument inutile (500 m quand même) où personne ne passe, l’herbe pousse sur l’asphalte ! Il fallait l’avoir réussi !
« après 3 phases de travaux, correspondant à 3 phases de financements disponibles »
Sans vouloir semer la zizanie, certains agents de la DAF accuseraient l’EPAG de n’avoir pas été capable de mobiliser des fonds disponibles…
« … la sélection des agriculteurs, les attributions provisoires, les constats de mise en valeur, les attributions définitives,… à chaque étape, l’EPAG travaille toujours avec l’avis de ses partenaires : Chambre d’Agriculture, Direction de l’Agriculture et de la Forêt, la Mairie de Kourou. »
Travail parfaitement louable mais effectué depuis 2005. Tout a été planifié, acté, écrit. Voir plus haut.
« Recueillir les avis de la profession maximise les chances de réussite… »
Intéressant ! La Chambre d’Agriculture, la Direction de l’Agriculture et de la Forêt et même la Mairie de Kourou, ça, c’est la « profession ». Mais pas les agriculteurs eux-mêmes, même pas par hasard ! Et non seulement l’EPAG ne demande jamais leurs avis, mais ignore même leurs besoins, leurs préoccupations, leurs travaux. Il les méprise au point de ne pas répondre à un seul de leurs courriers depuis 2005 !
A ce stade, nous, les principaux intéressés, ne sommes pas des « clients » de l’EPAG, ni même des citoyens aux sens républicain, mais des sujets. Les sujets de quelques roitelets des bureaux.
Quant aux organismes cités, leurs avis ont été déjà recueillis en 2005. Mais à force de les recueillir sans arrêt, vous risquez d’y perdre la tête : citons, par exemple, le changement à la tête de la Chambre d’Agriculture. De M. Labranche à M. Epailly, les avis changent forcément… Est-ce une raison de renier la continuité des engagements, la continuité de l’administration, la continuité de l’Etat donc ?
On vous a jamais appris que la continuité est l’une des bases de la légitimité ? Même d’un Etat...
« ..d’augmenter rapidement la production agricole guyanaise »
En nous interdisant toute forme de constructions depuis plus de cinq ans ? En affichant un retard de cinq ans sur l’aménagement ? En annulant l’électrification et le téléphone? En nous traitant gratuitement de » spéculateurs » ?
« Toute concertation consomme du temps, ce qui en donne également à l’attributaire réalisant son programme personnel d’installation sur une parcelle qu’il a souhaitée petite ou grande selon son ambition et son type d’exploitation. »
Un peu trop de temps... Et c’est précisément vos reniements et d’incompétences qui nous empêchent de « réaliser nos programmes personnels ».
« Les efforts de mise en valeur des 51 premiers agriculteurs ont été conséquents, et les premiers chiffres provisoires (une dernière commission est prévue dans 15 jours) présentent un résultat positif de 70%. Les parcelles non valorisées, donc reprises et bientôt redistribuées représentent 30%. Sur les reprises, seuls 4 attributaires ont déposés une réclamation. »
Traduction : L’EPAG s’est autorisé, en 2009, à effectuer une « inspection de mise en valeur », en reniant tout ses engagements et inspectant donc le résultat de ses propres manquements. Il s’autorise à déclarer à une trentaine attributaires qu’ils doivent travailler mieux, mais refuse de dire ce qu’il attend d’eux, nous ayant jamais présenté un extrait de procès-verbal quelconque de ses « inspections » . L’EPAG ne tient même pas compte des projets initiaux des attributaires et garde le silence devant nos questions portant sur l’arbitraire de ses décisions.
L’autre moitié des attributaires n’a reçu, à ce jour, aucun courrier, aucune suite donc à ‘l’inspection de 2009. Ca bosse dur dans les bureaux….
« sur les reprises, seuls 4 attributaires ont déposés une réclamation. »
C’est à dire tous. Il s’agit tout de même de la confiscation de leurs efforts. Fin novembre, il y avait déjà 6 ou 7 plaintes contre l’EPAG devant le Tribunal Administratif.
« A la fin du mois de février 2011, l’autorisation de déposer un permis de construire et une attribution définitive sera accordée à une quinzaine d’agriculteurs »
La délivrance des permis de construire est devenue légalement possible en mars 2009 déjà, date à laquelle l’EPAG a obtenu le permis de lotir. Il est tout à fait révélateur qu’il nous a soigneusement caché cette avancée majeure et continue à refuser son accord pour l’obtention des permis de construire.
Il est temps de préciser pour ceux qui se sentent irrités par les constructions des agriculteurs qu’il est nécessaire d’avoir un permis de construire pour les maisons, même en milieu rural (avons-nous le droit d’habiter sur place ou l’agriculture se fait par correspondance ?), mais aussi pour les hangars, entrepôts et même pour les bâtiments d’élevage. Et même pour les serres, selon les circonstances ( ?), c’est pour cela que moi-même je ne pouvais avoir une subvention pourtant accordée pour des serres agricoles en 2007.
Quant à l’attribution définitive, il faut savoir que l’EPAG a renié aussi son engagement écrit de vente. Il propose, au mieux, des baux emphytéotiques, contrats de location, ce qui n’a rien à voir avec la propriété sur la base de laquelle nous nous sommes engagés en 2005.
« si leur progression concorde avec leurs engagements. »
Cela est une insulte de la part de l’EPAG. On aimerait bien que nos progressions concordent avec nos prévisions - et pas avec nos engagements ! Nous ne nous sommes pas engagés pour les beaux yeux de l’EPAG, mais pour nous-mêmes, pour nos familles, pour notre épanouissement individuel et professionnel !
«… L’EPAG encourage cette jeune association, âgée de 4 mois, que nous avons déjà reçue le 1er septembre… »
Notre Association a été créée en octobre dernier…
« ce qui lui semble incohérent »,
Mais tout ceci est parfaitement cohérent, cher EPAG ! Dès la Convention Précaire léonine, en passant par votre silence quinquennal plus que méprisant. Il s’agit d’un monstrueux ratage, encore un aménagement agricole abandonné dès son lancement, exactement comme pour Matiti, le Plateau des Mines, Nancibo… Vous avez échoué ou vous avez saboté.
Comme vous nous avez invités à y investir, il s’agit d’une tromperie.
On a déjà vu, en Guyane, des victimes abandonner leurs efforts, perdre leurs biens, découragées par l’abandon. Mais c’est la première fois qu’une administration jette dehors les gens de leurs investissements en les accusant d’être responsables du résultat lamentable de ses propres turpitudes.
Cela signifie, en quelque sorte, le RETABLISSEMENT DE l’ESCLAVAGE.
Ne pas avoir fait l’aménagement, c’est du sabotage. Contre la Guyane, contre la France et contre nos investissements.
Vouloir nous « juger », c’est de l’outrecuidance.
Envisager à nous jeter dehors ou simplement ne pas vendre les parcelles aux prix fixés par vous-même en 2005, c’est de l’escroquerie en bande organisée.
« Dans notre souci bien réel de communiquer… »
Il y a un temps pour tout. Vous auriez dû communiquer jusqu’à mars 2009. Expliquer les retards, demander notre patience, expliquer vos choix techniques, nous rassurer… Bref, nous traiter comme des humains, pas comme des sujets gênants qu’on insulte à répétition !
Communiquer. Comme je l’avais suggéré à votre ancien directeur, M. Cardona, en 2007. Mais je rêve.
Après mars 2009, vous auriez dû respecter ce qui restait de notre contrat et vendre les parcelles. Vite et en silence.
A présent, vous avez donc un souci bien réel de nous communiquer le reniement de tous les volets (technique, juridique…) du feu aménagement de Wayabo. C’est juste pour rigoler, n’est-ce pas ?
Il serait grand temps d’écouter, enfin, la recommandation sensée de Mme Christiane Taubira et supprimer purement et simplement cet organisme incapable et budgétivore qu’est l’EPAG.
M. Gyurenka, Zoltan
Ingénieur agronome
Membre du Conseil d’Administration de l'association Wayabo
Bonjour
pour ne répondre à personne en particulier car tout le monde semble avoir un petit quelque chose à dire sur le sujet de Wayabo, je pense qu'il est urgent que les membres de l'association prennent la parole et explique clairement qui ils sont et pourquoi ils ont crée cette association. Car les bien penseurs de Blada qui ont toujours une opinion sur tout même quand ils ne maitrisent ABSOLUMENT pas le sujet, sont en route pour démonter une action digne et légitime par méconnaissance du contexte.
L'association Wayabo n'a pas été crée pour obtenir du foncier comme toutes ces associations que l'on voit et qui sont souvent à la limite de la légalité !!! L'association de wayabo a été crée dans le but que l'on évite de leur reprendre ces mêmes terrains.
La création de de la zone agricole de Wayabo incluait la voirie l'électrification et l'induction d'eau. Aujourd'hui la voirie est dans un état franchement cata à certains endroits, l'eau et l'électricité inexistants.
Pour ceux qui ne connaissent pas le système agricole, les parcelles de wayabo ont été attribuées sur des projets agricoles concrets, viables et économiquement réalistes. Hors quand on attribue des terrains, que l'on demande des garanties et des engagements aux attributaires on respecte ses propres engagements ... sinon les projets des différents attributaires ne sont plus viables ...
Pour exemple j'avais rencontré une jeune dame dont le projet était d'avoir un élevage caprin dans le but de transformer le lait en fromage .... quel Bladanaute super intelligent peut me dire comment on fait du fromage sans électricité donc sans chambre froide ??? et je ne parle pas de l'eau.
Quant au bati sur l'exploitation ??? il est peut être vrai qu'un hangar agricole n'est pas soumis à permis de construire (je ne le sais pas, c'est à vérifier).
Mais sachez messieurs dames que lorsque que vous venez de passer 3 ans à travailler comme un fou pour mettre à propre le terrain, faire pousser des pâturages, mettre en place des clôtures, et tout cela pendant vos week end parce qu'il faut bien bosser pour avoir la capacité financière de construire un tel projet, et bien le jour où vous arrivez à mettre 12 vache dans votre prairie (parce que vous avez plus de sous pour en acheter d'autres!!) ben votre plus grande sécurité c'est d'habiter sur place !!!! car là bas comme partout n'importe, les voleurs de vaches ça existe et quand vous retrouvez que la tête ben vous avez un peu les boules !!!
Donc il est plus que légitime que la régularisation foncière de cette zone soit faite pour le confort de nos agriculteurs ...
Quant à l'amalgame fait avec la spéculation financière de certaines zones agricoles qui ressemble plus aujourd'hui à Beverlly Hills qu'à une grande prairie, je l'admet elle existe, c'est sur, c'est évident et c'est rageant car les parcelles de ces zones là ne sont attribuées que par copinage. Mais que ce genre de zone comme celle de PK à Kourou par exemple n'entache pas le travail des vrais agriculteurs : allez faire un tour à wayabo et on reparlera de spéculation financière après.
Enfin hier soir j'étais présent à une réunion agricole à Matiti et la phrase suivante à été dite : si demain il y a une guerre et que nous n'avons plus de containers qui arrivent chez nous, on mange quoi ?
Les plus vergogneux me répondront que l'on a des voisins .... oui mais c'est quand même dommage non et puis c'est un peu limite la honte .....
En définitive ce qui me met le plus en rage c'est que ici comme en métropoles les non agricoles passent leur temps à râler sur les prix de l'alimentation mais que aucun d'entre ne soutienne les agriculteurs, les vrais...
Cordialement
En réponse au message de Cush du 30/01/11
Concernant le courrier des futurs agriculteurs de Wayabo, le jour où on ne verra plus de terrains ou de portions de terrains attribués gratuitement en vente quelques années après, quasiment au prix du terrain constructible, le problème sera réglé. Il suffit de regarder les petites annonces. Marre aussi des magouilles de cette sorte sur le foncier. S'il suffit de défricher un terrain et de planter 3 bananiers pour devenir agriculteur et exiger les subventions, tout en percevant son salaire de fonctionnaire, alors la Guyane est le pays des agriculteurs. Mais où est la production ?
La solution: interdire la revente des terrains attribués avant 40 ou 60 ans ? Impossible, une fois que les titres fonciers sont attribués, les propriétaires font ce qu'ils veulent. Le fermage, peut-être, les terrains appartenant à une association qui les loue aux agriculteurs en accession à la propriété, à vous de trouver de vraies solutions pour arrêter toutes les magouilles de tous bords.
Une magouille parmi tant d'autres au pays de la magouille. Tu penses pas que la Chambre d'Agriculture a un rôle à jouer là dedans ? Comme organisme de contrôle d'une réelle exploitation des parcelles attribuées comme telles. Les gens qui se voient attribués une parcelle à caractère d'exploitation agricole, ne sont-ils pas obligatoirement affiliés à la chambre d'agriculture ? Avec cotisation obligatoire à la première récolte ? Y'a pas de récolte ? Allez ouste, y'en a plein qui demande ta place......ta maison ? tu la laisses fallait pas construire en dur.
Je te parle de maison, car siI un jour tu passes sur les PK, tu remarqueras peut être la parcelle sur laquelle sont plantés des "algéco" , ce sont des petits espaces qui se reproduisent très bien.
Tu me diras, plus tu as d'agriculteurs (des vrais pas les planteurs de 4 bananiers) plus tu devrais avoir de production......t'en verrai encore beaucoup des tomates à 7 euros le kilo aux marchés ?
Pour enlever l'idée que j'en voudrais aux agriculteurs de jouer, au flux de la production.
En lisière de Kourou, pas à des kilomètres enfoncés dans la forêt, tu as des belles parcelles cultivées que leur utilisateur appellent abattis (abattis étant une parcelle de terre prélevées gracieusement sur une partie de la commune qui est travaillée pour une récolte à utilisation personnelle voir familiale) et dont la récolte est régulièrement vendue en marge du marché en concurrence déloyale avec les agriculteurs qui eux paient ou peuvent pas payer toutes les charges fiscales et sociales.
Ne va pas t'échauffer en vain, que ce soit à Wayabo ou ailleurs, tu remarqueras les mêmes dérives que les précédentes. Quand le noyau est pourri, il y a fort à penser que c'est en réalité l'arbre qui est malade.
j'ai été très déçus de mon hospitalisation au sein de la clinique hibiscus. En effet, les lieux sont vétustes (dysfonctionnement de la climatisation des chambres),mauvaise entente entre le personnel du bloc opératoire, incompétence de certains, redondance des repas. tout est à améliorer car on y sort plus malade qu'on y est entré.
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