« Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur », disait Churchill, « vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre ».
En septembre de l'année dernière, Line Monlouis-Deva assignait La Semaine Guyanaise et Blada devant la justice, estimant avoir été diffamée par un article de Frédéric Farine paru en juillet 2011, et par les articles à répétition de blada la mettant en demeure de quitter sa fonction de déléguée aux droits des femmes et à l'égalité. (L'affaire suit son cours, mais ceux qui voudraient revenir sur les détails de cette sordide histoire pourront utilement faire appel au moteur de recherche de blada, riche en résultats.) Et dans son assignation, Line Monlouis-Deva commentait: « Il est acquis que ce préjudice a causé des victimes par ricochet, en l'occurrence Monsieur Michel Monlouis-Deva, Franck, Michèle et Marck Monlouis-Deva, leurs enfants communs ».
Hier, France-Guyane révélait que l'une des « victimes par ricochet », Franck Monlouis-Deva (avec une faute sur son nom malgré l'image de sa plaque juste au-dessus de l'article), podologue à Cayenne, avait passé quelques heures en garde à vue, et précisait : « Il aurait reconnu avoir réalisé de fausses ordonnances pour se faire payer des consultations fictives ».
Si ce qu'a écrit France-Guyane se vérifie, il sera démontré une fois de plus qu'il n'est nul besoin de s'acharner sur les enquêtes de Frédéric Farine parues dans la Semaine Guyanaise, et sur les commentaires de Blada, accusés de tous les maux : le « préjudice », on peut très bien se le faire tout seul (mais aussi le balayer sous le tapis si les médias ne s'en font pas le relais). CQFD.
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