Bien sûr, la barbichette naissante de notre présentateur-journaliste préféré, Sidibé Pallud, n'est pas pour rien dans ce regain d'intérêt pour un journal télévisé de RFO. Mais celui du 20 mai comporte aussi quelques autres sujets remarquables.
Harpie, c'est reparti, et notre préfet Daniel Ferey himself arpente les chantiers d'orpaillage clandestin, casquette "Guyane" vissée sur la tête (quelques euros chez le chinois du coin) : « J'essaie de faire passer le message », déclare-t-il, « que Harpie ne peut pas s'arrêter, ne doit pas s'arrêter... ». Mais à qui donc voulait-il faire passer ce message ?
Après un bref passage sur les taxidermistes du MNHN qui dépiautent nos bestioles pour les mettre sous les vitrines des musées, nous voilà arrivés à Kourou. Un petit reportage où Gérard-Louis Bonnet, enseignant au collège Agarande, raconte son agression et son extrême lassitude du climat de violence qui l'entoure. Et le journaliste qui l'interviewe s'étonne : « Un climat d'insécurité gagnerait-il le quartier ? ».
Plus loin, un épisode du "marathon pédagogique" des élus devant une salle presque vide. La commission ad hoc du congrès tente de convaincre les étudiants du bien-fondé de l'évolution institutionnelle. Pour expliquer le manque d'intérêt des jeunes pour ce discours politique, une enseignante (?) suggère d'utiliser des méthodes plus "attractives", plus "festives".
Alain Tien-Liong et Antoine Karam vont-il devoir apprendre à danser et à chanter l'évolution institutionnelle pour faire passer le message ?
On y arrive, on y arrive... Christiane prépare le terrain... (dès demain).
Du calme, du calme ! Couché ! Là !
A revoir sur RFO Guyane, JT du 20 mai.
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Vol 259 Ariane 5