Notre mouvement contre la profitation à nous, initié par l'UTG, a donc pris le nom de Mayouri kont leksplwatasyon pour déposer en préfecture une liste de revendications en 131 points, assortie d'un ultimatum pour le 17 mars. Rien moins qu'un ultimatum ! Nous savons trop la tournure que prennent systématiquement les actions de l'UTG pour ne pas nous montrer très très circonspects, pour ne pas dire carrément méfiants. Et puisque l'heure est aux ultimatums, en voici un qui en vaut bien un autre :
- que tous les fonctionnaires, agents des collectivités locales et territoriales, salariés majorés de 40 ou 50 % (selon la façon de compter), employés protégés à vie*, se retirent définitivement de toutes les tables de négociations. Après, on pourra discuter ! Et ça nous évitera de tomber dans la confusion des genres en cours dans les autres Dom. Il ne restera vraisemblablement plus grand monde dans les équipes, mais avec ceux-là au moins, on abordera en toute sincérité l'avenir de la Guyane...
* Ils auront quand même leur place, mais comme simples conseillers techniques, dans leur vrai rôle de service public. Parce que c'est comme ça qu'on les aime !
Mouvement contre la vie chère : La FSU ne souscrit pas.
« Mayouri Kont Leksplwatasyon. Une plate-forme discutable.
A l’initiative de 5 organisations syndicales (FO, UTG, CFDT, UNSA et SUD) le collectif MKL s’est constitué en Guyane. Allant très au-delà des questions de pouvoir d’achat et de salaire, ce collectif s’est fixé un véritable programme politique auquel la FSU ne peut pas souscrire.» Lire la suite.
Sur le site d'Interentreprises, une expression de lassitude : France-Lise Bassette, Secrétaire général, directeur des services, Chambre de Métiers et de l'Artisanat de la Guadeloupe.
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