Vu dans les offres d'emploi "bonjour. Je recherche des hôtesses et hôtes pour des prestations ponctuelle .journée après midi et soirée Pour les filles 1m68 min et pour les garçons a partir 1m72. Mensurations entre 36 et 38 voir 34 pour les filles dynamique souriante et sérieuse disponibilité selon vos horaires urgent"
A t-on le droit d'exiger au salarié d'être grand et mince ? Ne s'agit-il pas d'une discrimination pour un job d’hôtesse de caisse..On se croirait sur le casting d'un mauvais film!

Sauf que le tribunal des prud'hommes ne siège plus depuis plusieurs mois... alors pour la rapidité...

Sauf que le tribunal des prud'hommes ne siège plus depuis plusieurs mois... alors pour la rapidité...

Tu peux te rendre aux prud'hom, situé rue Lalouette à coté de l'office des touristes. Pas besoin d'avocat, et c'est une mesure en référé donc rapide. Je connais bien la procédure et c'est apparemment une mode en Guyane de ne pas payer ses salariés...Mais il ne faut pas laisser passer et faire respecter vos droits !

Bonjour, je voudrais exprimer ma colère mais surtout ma déception envers un club sportif très connu pour lequel j'ai travaillé au mois d'août 2012 comme animatrice.
Après avoir travaillé nous n'avons toujours pas été payé!!!
Comment cela peut-il se faire? On critique beaucoup les jeunes mais quand on se donne à fond dans quelque chose en retour on se fait ARNAQUER!!
Avec des conventions qui ne valent rien pour la Direction du Travail et qui , de surcroît, ne sont signées par aucun responsable.
Juste le nom y est mentionné. De plus aucun montant n'est fixé sur ce document. Trouvez vous cela normal? Mais le pire c'est que le responsable de ce centre ne répond plus à ces appels!!
De plus la somme qu'il prétend nous donnez est abbérante imaginez 480 euros pour 1 mois de centre aéré. En faisant mes recherches j'ai découvert un autre centre bien connu payez ces animateurs 1200 euros pour le mois!!! Cherchez l'erreur?!!! Où va la Guyane ?!

Ta question n'est pas claire. Ce salaire de 1.700€ net pour un master 2 et 10 ans d'expérience, tu le trouves scandaleusement haut ou scandaleusement bas?

Ta question n'est pas claire. Ce salaire de 1.700€ net pour un master 2 et 10 ans d'expérience, tu le trouves scandaleusement haut ou scandaleusement bas?

Dans une offre d'emploi sur Blada " un conservateur en CDI 35h hebdomadaire salaire brut de 2.288€, expérience souhaitée 10 à 15 ans Niveau requis : MASTER 2 environnement spécialisation naturaliste en fôret tropicale humide, ". Un master 2, 10 ans d'expérience, avec un salaire de 1700€ net ? ça vaut le coup de faire des études longues. Après avoir lu ça, on comprend mieux pourquoi les jeunes se tournent vers la fonction publique. Il y a un truc qui ne tourne pas rond.

Dans une offre d'emploi sur Blada " un conservateur en CDI 35h hebdomadaire salaire brut de 2.288€, expérience souhaitée 10 à 15 ans Niveau requis : MASTER 2 environnement spécialisation naturaliste en fôret tropicale humide, ". Un master 2, 10 ans d'expérience, avec un salaire de 1700€ net ? ça vaut le coup de faire des études longues. Après avoir lu ça, on comprend mieux pourquoi les jeunes se tournent vers la fonction publique. Il y a un truc qui ne tourne pas rond.

Dans quelle branche cherchez vous ? Avez vous besoin d'être conseillé ou orienté ?

Comment un étranger arrivant recement trouve du travail, alors que toi tu trouves pas, je comprends cette jeunesse.

êtes vous sûr qu'on y recrute des rédacteurs à haute dose d'humour?

Entre votre absence de compétences professionnelles utiles, vos prétentions élevées, votre arrogance et votre rapport signal/bruit très inférieur à 1, je pense que vous êtes totalement prête à passer le concours pour entrer au conseil général de Guyane pour y sévir comme chef de service.

[La limitation de caractère ne me permettant pas de poster ce message en section "emploi/formation demandes", je me permets de l'envoyer ici, en espérant que blada dans sa grande mansuétude le transférera vers le lieu approprié.]
Réponse de blada : Conformément à la règle, vous devrez condenser ce message pour le passer dans les annonces, il n'y sera pas mis tel quel.

Je suis une jeune femme pragmatique, en possession d’un diplôme à bac +3 en sciences humaines qui me procure une culture générale étendue, une verve élitiste ainsi que des connaissances précises sur la société franque sous la dynastie mérovingienne –utile pour tous vos besoins en conversations pédantes et autres banquets payés par le contribuable.
Je recherche un emploi quelconque pour une durée de quelques mois à un engagement de 41 ans et demi soit la durée de cotisation me manquant avant d’avoir le privilège de soigner mes rhumatismes devant un écran 3D.
J’ai les qualités de mes défauts, je suis dynamique jusqu’à l’épuisement, ma capacité de concentration dépasse de loin celle d’un poulpe sous anxiolytique, je suis polyvalente et souple sur tous les sujets –le salaire, les horaires, j’ai aussi gagné un championnat de gym quand j’avais 9 ans, preuve suprême de ma souplesse-.
J’ai des expériences multiples et variés, un parcours que les gens timorés et mornes pourraient qualifier de chaotique -je préfère le terme de cosmopolite. J’ai contribué à l’œuvre du grand Capital en travaillant pour un fast-food durant bien trop longtemps, j’ai apporté ma pierre à la politique culturelle française en triant des archives poussiéreuses de façon bénévole dans le cadre de mon cursus inutile. Mais, étant farouchement internationaliste, j’ai aussi exporté mes compétences en étant femme de ménage à Kuala-Lumpur en Malaisie, serveuse d’un bar louche au milieu du désert australien ou vendeuse de poulet à Sydney sur le même pays-continent. Plus récemment je me suis essayé à la dure tâche d’éduquer la jeunesse de mon département, mission vite abandonnée devant l’ampleur insurmontable de ce supplice de Sisyphe revisité.
Je m’adapte donc à toutes les situations possibles et imaginables sans sourciller, j’ai une capacité d’apprentissage éblouissante et un zèle sur-développé. Je suis très ponctuelle, ayant une peur des retards confinant à la phobie, je suis étonnement sociale compte tenu de ce qu’on pourrait penser en me lisant et ma rigueur n’a d’égal que mon ramage.

Je parle le français, le créole, l’ancien français, un peu de latin, je maitrise de façon courante l’anglais, j’ai appris l'espéranto mais n’ai jamais trouvé personne de suffisamment hautain pour le parler, j’ai aussi des notions d’espagnol et de portugais suffisantes pour survivre en cas de besoin.
Quelques bonus qui vous sont fournis si vous m’embauchez :
-je connais par cœur : les 15 premières décimales du chiffre pi, les dix premiers quatrains du poème Le bateau ivre de Rimbaud, les cadres de classement des archives départementales, et beaucoup d’autres choses révélatrices de mon amour des choses inutiles.
-je sais amarrer une pirogue, monter un bivouac, faire un feu sous la pluie, ouvrir une bouteille de vin au sabre, et pleins d’autres choses vraiment utiles cette fois.

J’espère que ma motivation transpire de chaque caractère de ce message auto-promotionnel, car elle est réel, non pas qu’un emploi au smic dans une entreprise soit le but de ma vie et l’aboutissement de mes rêves les plus fous, j’ai simplement un besoin urgent de remplir mon compte en banque avant de continuer à mener une existence de voyage à la limite de la clochardisation.
Je suis donc ouverte à toutes propositions me permettant de poursuivre ce but, je tiens mon curriculum vitae à votre entière disposition sur simple demande, en attendant je vous adresse mes salutations les plus sincères.

Aucun conseiller pôle-emploi n’a approuvé ce message, en même temps, ils n’ont pas non plus la technique pour trouver un emploi.

Vous êtes une femme formidable ! Dommage que votre pamphlet sur vos capacités professionnelles et humaines ressemble un peu trop à un copié collé venant de je ne sais où sur internet !
Alors, deux solutions.Ou vous êtes réellement ce que vous prétendez et je me permet de vous conseiller beaucoup de modestie. Ou vous êtes dans votre fantasme et y restez, et tout le monde va vous fuire. En tant que patron, si je vous reçois, je pense que vous pouvez prendre ma place, et je ne comprends pas pourquoi vous n'avez pas créé votre propre entreprise. Aussi, je ne peux que vous conseiller de trouver à nouveau un emploi de femme de ménage, ce qui semble correspondre le mieux à vos capacités réelles d'instable , et si vous êtes ce que vous dites, dans 6 mois vous serez la patrone, ou dans 41 ans, toujours femme de ménage, oh pardon, technicienne de surface !

ET MOI JE VOUS CONSEILLE D'ALLER FAIRE UN TOUR SUR "Rue 89",vous y constatrez que dans ce genre parodique,Marine 973 s'est révélée ,dans ce message, beaucoup plus drôle qu'une certaine SARA FISTOLE.Ca vous évitera à l'avenir ,d'y tomber à pieds joints..
Pour cette fois donc,bravo Marine !

J'aime tout particulièrement " je sais déboucher le champagne au sabre " et si en plus elle sait taper à la machine , je l'embauche !

[La limitation de caractère ne me permettant pas de poster ce message en section "emploi/formation demandes", je me permets de l'envoyer ici, en espérant que blada dans sa grande mansuétude le transférera vers le lieu approprié.]
Réponse de blada : Conformément à la règle, vous devrez condenser ce message pour le passer dans les annonces, il n'y sera pas mis tel quel.

Je suis une jeune femme pragmatique, en possession d’un diplôme à bac +3 en sciences humaines qui me procure une culture générale étendue, une verve élitiste ainsi que des connaissances précises sur la société franque sous la dynastie mérovingienne –utile pour tous vos besoins en conversations pédantes et autres banquets payés par le contribuable.
Je recherche un emploi quelconque pour une durée de quelques mois à un engagement de 41 ans et demi soit la durée de cotisation me manquant avant d’avoir le privilège de soigner mes rhumatismes devant un écran 3D.
J’ai les qualités de mes défauts, je suis dynamique jusqu’à l’épuisement, ma capacité de concentration dépasse de loin celle d’un poulpe sous anxiolytique, je suis polyvalente et souple sur tous les sujets –le salaire, les horaires, j’ai aussi gagné un championnat de gym quand j’avais 9 ans, preuve suprême de ma souplesse-.
J’ai des expériences multiples et variés, un parcours que les gens timorés et mornes pourraient qualifier de chaotique -je préfère le terme de cosmopolite. J’ai contribué à l’œuvre du grand Capital en travaillant pour un fast-food durant bien trop longtemps, j’ai apporté ma pierre à la politique culturelle française en triant des archives poussiéreuses de façon bénévole dans le cadre de mon cursus inutile. Mais, étant farouchement internationaliste, j’ai aussi exporté mes compétences en étant femme de ménage à Kuala-Lumpur en Malaisie, serveuse d’un bar louche au milieu du désert australien ou vendeuse de poulet à Sydney sur le même pays-continent. Plus récemment je me suis essayé à la dure tâche d’éduquer la jeunesse de mon département, mission vite abandonnée devant l’ampleur insurmontable de ce supplice de Sisyphe revisité.
Je m’adapte donc à toutes les situations possibles et imaginables sans sourciller, j’ai une capacité d’apprentissage éblouissante et un zèle sur-développé. Je suis très ponctuelle, ayant une peur des retards confinant à la phobie, je suis étonnement sociale compte tenu de ce qu’on pourrait penser en me lisant et ma rigueur n’a d’égal que mon ramage.

Je parle le français, le créole, l’ancien français, un peu de latin, je maitrise de façon courante l’anglais, j’ai appris l'espéranto mais n’ai jamais trouvé personne de suffisamment hautain pour le parler, j’ai aussi des notions d’espagnol et de portugais suffisantes pour survivre en cas de besoin.
Quelques bonus qui vous sont fournis si vous m’embauchez :
-je connais par cœur : les 15 premières décimales du chiffre pi, les dix premiers quatrains du poème Le bateau ivre de Rimbaud, les cadres de classement des archives départementales, et beaucoup d’autres choses révélatrices de mon amour des choses inutiles.
-je sais amarrer une pirogue, monter un bivouac, faire un feu sous la pluie, ouvrir une bouteille de vin au sabre, et pleins d’autres choses vraiment utiles cette fois.

J’espère que ma motivation transpire de chaque caractère de ce message auto-promotionnel, car elle est réel, non pas qu’un emploi au smic dans une entreprise soit le but de ma vie et l’aboutissement de mes rêves les plus fous, j’ai simplement un besoin urgent de remplir mon compte en banque avant de continuer à mener une existence de voyage à la limite de la clochardisation.
Je suis donc ouverte à toutes propositions me permettant de poursuivre ce but, je tiens mon curriculum vitae à votre entière disposition sur simple demande, en attendant je vous adresse mes salutations les plus sincères.

Aucun conseiller pôle-emploi n’a approuvé ce message, en même temps, ils n’ont pas non plus la technique pour trouver un emploi.

Je vous conseille de faire des coupes franches dans votre présentation...Aucun employeur ne lira votre diatribe jusqu'à son terme, surtout si il en lit plusieurs par jour. De la concision avant tout et les compétences clés qui intéressent le poste doivent être mise en avant. Un petit mot sur vos expériences antérieures (professionnelles pas les vies ...) et si il accroche, il vous recontactera pour entretien où là vous pourrez exposer votre personnalité dynamique !

Je vous conseille de faire des coupes franches dans votre présentation...Aucun employeur ne lira votre diatribe jusqu'à son terme, surtout si il en lit plusieurs par jour. De la concision avant tout et les compétences clés qui intéressent le poste doivent être mise en avant. Un petit mot sur vos expériences antérieures (professionnelles pas les vies ...) et si il accroche, il vous recontactera pour entretien où là vous pourrez exposer votre personnalité dynamique !

[La limitation de caractère ne me permettant pas de poster ce message en section "emploi/formation demandes", je me permets de l'envoyer ici, en espérant que blada dans sa grande mansuétude le transférera vers le lieu approprié.]
Réponse de blada : Conformément à la règle, vous devrez condenser ce message pour le passer dans les annonces, il n'y sera pas mis tel quel.

Je suis une jeune femme pragmatique, en possession d’un diplôme à bac +3 en sciences humaines qui me procure une culture générale étendue, une verve élitiste ainsi que des connaissances précises sur la société franque sous la dynastie mérovingienne –utile pour tous vos besoins en conversations pédantes et autres banquets payés par le contribuable.
Je recherche un emploi quelconque pour une durée de quelques mois à un engagement de 41 ans et demi soit la durée de cotisation me manquant avant d’avoir le privilège de soigner mes rhumatismes devant un écran 3D.
J’ai les qualités de mes défauts, je suis dynamique jusqu’à l’épuisement, ma capacité de concentration dépasse de loin celle d’un poulpe sous anxiolytique, je suis polyvalente et souple sur tous les sujets –le salaire, les horaires, j’ai aussi gagné un championnat de gym quand j’avais 9 ans, preuve suprême de ma souplesse-.
J’ai des expériences multiples et variés, un parcours que les gens timorés et mornes pourraient qualifier de chaotique -je préfère le terme de cosmopolite. J’ai contribué à l’œuvre du grand Capital en travaillant pour un fast-food durant bien trop longtemps, j’ai apporté ma pierre à la politique culturelle française en triant des archives poussiéreuses de façon bénévole dans le cadre de mon cursus inutile. Mais, étant farouchement internationaliste, j’ai aussi exporté mes compétences en étant femme de ménage à Kuala-Lumpur en Malaisie, serveuse d’un bar louche au milieu du désert australien ou vendeuse de poulet à Sydney sur le même pays-continent. Plus récemment je me suis essayé à la dure tâche d’éduquer la jeunesse de mon département, mission vite abandonnée devant l’ampleur insurmontable de ce supplice de Sisyphe revisité.
Je m’adapte donc à toutes les situations possibles et imaginables sans sourciller, j’ai une capacité d’apprentissage éblouissante et un zèle sur-développé. Je suis très ponctuelle, ayant une peur des retards confinant à la phobie, je suis étonnement sociale compte tenu de ce qu’on pourrait penser en me lisant et ma rigueur n’a d’égal que mon ramage.

Je parle le français, le créole, l’ancien français, un peu de latin, je maitrise de façon courante l’anglais, j’ai appris l'espéranto mais n’ai jamais trouvé personne de suffisamment hautain pour le parler, j’ai aussi des notions d’espagnol et de portugais suffisantes pour survivre en cas de besoin.
Quelques bonus qui vous sont fournis si vous m’embauchez :
-je connais par cœur : les 15 premières décimales du chiffre pi, les dix premiers quatrains du poème Le bateau ivre de Rimbaud, les cadres de classement des archives départementales, et beaucoup d’autres choses révélatrices de mon amour des choses inutiles.
-je sais amarrer une pirogue, monter un bivouac, faire un feu sous la pluie, ouvrir une bouteille de vin au sabre, et pleins d’autres choses vraiment utiles cette fois.

J’espère que ma motivation transpire de chaque caractère de ce message auto-promotionnel, car elle est réel, non pas qu’un emploi au smic dans une entreprise soit le but de ma vie et l’aboutissement de mes rêves les plus fous, j’ai simplement un besoin urgent de remplir mon compte en banque avant de continuer à mener une existence de voyage à la limite de la clochardisation.
Je suis donc ouverte à toutes propositions me permettant de poursuivre ce but, je tiens mon curriculum vitae à votre entière disposition sur simple demande, en attendant je vous adresse mes salutations les plus sincères.

Aucun conseiller pôle-emploi n’a approuvé ce message, en même temps, ils n’ont pas non plus la technique pour trouver un emploi.

[La limitation de caractère ne me permettant pas de poster ce message en section "emploi/formation demandes", je me permets de l'envoyer ici, en espérant que blada dans sa grande mansuétude le transférera vers le lieu approprié.]
Réponse de blada : Conformément à la règle, vous devrez condenser ce message pour le passer dans les annonces, il n'y sera pas mis tel quel.

Je suis une jeune femme pragmatique, en possession d’un diplôme à bac +3 en sciences humaines qui me procure une culture générale étendue, une verve élitiste ainsi que des connaissances précises sur la société franque sous la dynastie mérovingienne –utile pour tous vos besoins en conversations pédantes et autres banquets payés par le contribuable.
Je recherche un emploi quelconque pour une durée de quelques mois à un engagement de 41 ans et demi soit la durée de cotisation me manquant avant d’avoir le privilège de soigner mes rhumatismes devant un écran 3D.
J’ai les qualités de mes défauts, je suis dynamique jusqu’à l’épuisement, ma capacité de concentration dépasse de loin celle d’un poulpe sous anxiolytique, je suis polyvalente et souple sur tous les sujets –le salaire, les horaires, j’ai aussi gagné un championnat de gym quand j’avais 9 ans, preuve suprême de ma souplesse-.
J’ai des expériences multiples et variés, un parcours que les gens timorés et mornes pourraient qualifier de chaotique -je préfère le terme de cosmopolite. J’ai contribué à l’œuvre du grand Capital en travaillant pour un fast-food durant bien trop longtemps, j’ai apporté ma pierre à la politique culturelle française en triant des archives poussiéreuses de façon bénévole dans le cadre de mon cursus inutile. Mais, étant farouchement internationaliste, j’ai aussi exporté mes compétences en étant femme de ménage à Kuala-Lumpur en Malaisie, serveuse d’un bar louche au milieu du désert australien ou vendeuse de poulet à Sydney sur le même pays-continent. Plus récemment je me suis essayé à la dure tâche d’éduquer la jeunesse de mon département, mission vite abandonnée devant l’ampleur insurmontable de ce supplice de Sisyphe revisité.
Je m’adapte donc à toutes les situations possibles et imaginables sans sourciller, j’ai une capacité d’apprentissage éblouissante et un zèle sur-développé. Je suis très ponctuelle, ayant une peur des retards confinant à la phobie, je suis étonnement sociale compte tenu de ce qu’on pourrait penser en me lisant et ma rigueur n’a d’égal que mon ramage.

Je parle le français, le créole, l’ancien français, un peu de latin, je maitrise de façon courante l’anglais, j’ai appris l'espéranto mais n’ai jamais trouvé personne de suffisamment hautain pour le parler, j’ai aussi des notions d’espagnol et de portugais suffisantes pour survivre en cas de besoin.
Quelques bonus qui vous sont fournis si vous m’embauchez :
-je connais par cœur : les 15 premières décimales du chiffre pi, les dix premiers quatrains du poème Le bateau ivre de Rimbaud, les cadres de classement des archives départementales, et beaucoup d’autres choses révélatrices de mon amour des choses inutiles.
-je sais amarrer une pirogue, monter un bivouac, faire un feu sous la pluie, ouvrir une bouteille de vin au sabre, et pleins d’autres choses vraiment utiles cette fois.

J’espère que ma motivation transpire de chaque caractère de ce message auto-promotionnel, car elle est réel, non pas qu’un emploi au smic dans une entreprise soit le but de ma vie et l’aboutissement de mes rêves les plus fous, j’ai simplement un besoin urgent de remplir mon compte en banque avant de continuer à mener une existence de voyage à la limite de la clochardisation.
Je suis donc ouverte à toutes propositions me permettant de poursuivre ce but, je tiens mon curriculum vitae à votre entière disposition sur simple demande, en attendant je vous adresse mes salutations les plus sincères.

Aucun conseiller pôle-emploi n’a approuvé ce message, en même temps, ils n’ont pas non plus la technique pour trouver un emploi.

carton rouge aux entreprises qui postent des offres d'emplois mais qui ne prennent même pas la peine de répondre aux courriers qu'on leur adresse, carton rouge aux patrons qui exigent d'avoir une certaine expérience dans certains domaines alors qu'eux mêmes ont eu la chance de commencer un jour et donc d'acquérir de l'expérience... il serait bon de ne pas oublier d'où on vient ! quand un jeune tente de s'en sortir on lui ferme les portes au nez comme s'il ne valait rien !!! je trouve ça lamentable! prenez au moins la peine de répondre aux courriers qui vous sont envoyés, ce sera un bon début!!! bonne journée!

Tu es en plein dans le vif du sujet, cette vérole qui paralyse la Guyane et l'innonde de pustules incompétentes sous le seul prétexte qu'ils ou elles sont "fils ou filles de"... Humainement on va dire que c'est humain de chercher à protéger ses petits dès qu'on en a la possibilité, mais la logique voudrait qu'en face, les frustrés aux dents longues ruent dans les brancards.. et il ne faut pas trop attendre pour ça, sinon on va droit à une action de masse , une révolution génère toujours des changements mais dans le même excès que les faits qu'elle a combattu.
En observant bien Plume, tu remarqueras que ce sont les postes administratifs qui sont envahis, cherchez l'erreur, on se demande bien pourquoi ceux là...Je pourrai te dire :"crée ta propre entreprise" mais si tu n'as pas tes propres arrières , oublie, là aussi, les aides sont vérolés , je dirai même plus , ton projet sera piraté , donné à un "fils de" qui n'aura pas ton imagination, et hop...emballer c'est pesé. Mais tu as dans le privé un tas de PME qui donnent leur chance à des fils de personne. Dans quel secteur es - tu ?

Je comprends tout à fait ce que tu exposes et j'adhère. Merci de ta réponse pleine d'intérêt.
Peut-être en effet que le fait de ne pas souvent être confrontée à ce genre de recrutement me fait penser de la sorte =)

"Foutage de gueule du groupe CARREFOUR"

Carrefour, l'ouverture, c'est pour bientôt!

On entend d'abord une polémique sur les femmes de gendarmes évidemment niée par les intéressés. On le sait tous, ce n'était pas du tout une polémique.

Il y a deux mois, je pose ma candidature, entendant qu'on recherche des personnes diplômées.
Je suis convoquée malgré ma Licence pour un poste de "caissière" alors bien sûr, avec toute la bonne volonté du monde, j'y vais. Là on nous regarde avec de gros yeux, prétendant qu'on recherche beaucoup de monde et qu'on ne veut pas n'importe qui. Les candidats sont reçus par groupe de 8, soit-disant entretien de groupe. Et là, on a comme l'impression d'être jugé à la tête. Pire, on nous dit que réussir à cet entretien ne garantit rien, il faut encore passer devant le DRH, puis devant le "chasseur de tête".

Wahou, là je demande quand même: "A t-il des critères prédéfinis pour trancher?" Et la réponse de la responsable : -NON, C'EST VRAIMENT LUI QUI DÉCIDE, ET ON NE LUI POSERA PAS DE QUESTION QUANT A SA SÉLECTION"

Et oui camarades guyanais, on est du bétail, et même après avoir justifié de qualification et/ou diplôme, on passe comme du bétail devant le chasseur de tête. J'ignore si ces méthodes sont orthodoxes mais bon.

Euh, évidemment, je ne suis pas une catin, je n'ai pas d'origine exotique (si vous voyez ce que je veux dire) et je n'ai pas épousé de gendarme donc du coup, je n'ai pas été retenue.

Mais en sortant de là, je me suis demandée: "Dans quoi je viens de fourrer les pieds?"

Et les pubs sur certaines radios qui assurent que CARREFOUR recherche encore du monde alors qu'il rejette des diplômés.

BIENVENUE CHEZ NOUS GROUPE CARREFOUR !

Tu décris là un mécanisme plutôt classique de sélection pour un poste où il y a beaucoup de demandes. Tu n'es peut-être pas habituée à ce genre de sélection. Envoi de CV et lettres de motivation, peu de retour (même négatif). 1er entretien à plusieurs. 2è entretien seul ... et ce n'est que le 1er tour de la sélection ! J'ai connu ce genre de recrutement. Quant à savoir les critères de sélection, on peut crier au loup quand on est pas choisi mais on ne sait jamais la raison pour laquelle on n'a pas été retenu (ou alors une "lettre type"). Bien sur que l'on va prendre en compte ton attitude générale, tes motivations, et dans ce cas précis, si tu es corvéable à souhaits sans trop rechigner à la tâche. Une licence a bien peu d'intérêts pour ce genre de poste (au contraire, même!).
Il est inutile de mettre du racisme partout pour justifier ses échecs. Si à l'ouverture du Carrefour, une majorité des caissières est effectivement "d'origine exotique" ou non, on en reparlera ...

Les diplomés sont dangereux, car ils pourraient réfléchir ! Ma voisine Guyanaise vient de se faire embaucher, elle est diplomée, alors, a-t-elle couché ? Et son mari n'est pas gendarme !

Tu décris là un mécanisme plutôt classique de sélection pour un poste où il y a beaucoup de demandes. Tu n'es peut-être pas habituée à ce genre de sélection. Envoi de CV et lettres de motivation, peu de retour (même négatif). 1er entretien à plusieurs. 2è entretien seul ... et ce n'est que le 1er tour de la sélection ! J'ai connu ce genre de recrutement. Quant à savoir les critères de sélection, on peut crier au loup quand on est pas choisi mais on ne sait jamais la raison pour laquelle on n'a pas été retenu (ou alors une "lettre type"). Bien sur que l'on va prendre en compte ton attitude générale, tes motivations, et dans ce cas précis, si tu es corvéable à souhaits sans trop rechigner à la tâche. Une licence a bien peu d'intérêts pour ce genre de poste (au contraire, même!).
Il est inutile de mettre du racisme partout pour justifier ses échecs. Si à l'ouverture du Carrefour, une majorité des caissières est effectivement "d'origine exotique" ou non, on en reparlera ...

"Foutage de gueule du groupe CARREFOUR"

Carrefour, l'ouverture, c'est pour bientôt!

On entend d'abord une polémique sur les femmes de gendarmes évidemment niée par les intéressés. On le sait tous, ce n'était pas du tout une polémique.

Il y a deux mois, je pose ma candidature, entendant qu'on recherche des personnes diplômées.
Je suis convoquée malgré ma Licence pour un poste de "caissière" alors bien sûr, avec toute la bonne volonté du monde, j'y vais. Là on nous regarde avec de gros yeux, prétendant qu'on recherche beaucoup de monde et qu'on ne veut pas n'importe qui. Les candidats sont reçus par groupe de 8, soit-disant entretien de groupe. Et là, on a comme l'impression d'être jugé à la tête. Pire, on nous dit que réussir à cet entretien ne garantit rien, il faut encore passer devant le DRH, puis devant le "chasseur de tête".

Wahou, là je demande quand même: "A t-il des critères prédéfinis pour trancher?" Et la réponse de la responsable : -NON, C'EST VRAIMENT LUI QUI DÉCIDE, ET ON NE LUI POSERA PAS DE QUESTION QUANT A SA SÉLECTION"

Et oui camarades guyanais, on est du bétail, et même après avoir justifié de qualification et/ou diplôme, on passe comme du bétail devant le chasseur de tête. J'ignore si ces méthodes sont orthodoxes mais bon.

Euh, évidemment, je ne suis pas une catin, je n'ai pas d'origine exotique (si vous voyez ce que je veux dire) et je n'ai pas épousé de gendarme donc du coup, je n'ai pas été retenue.

Mais en sortant de là, je me suis demandée: "Dans quoi je viens de fourrer les pieds?"

Et les pubs sur certaines radios qui assurent que CARREFOUR recherche encore du monde alors qu'il rejette des diplômés.

BIENVENUE CHEZ NOUS GROUPE CARREFOUR !

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Carrefour, l'ouverture, c'est pour bientôt!

On entend d'abord une polémique sur les femmes de gendarmes évidemment niée par les intéressés. On le sait tous, ce n'était pas du tout une polémique.

Il y a deux mois, je pose ma candidature, entendant qu'on recherche des personnes diplômées.
Je suis convoquée malgré ma Licence pour un poste de "caissière" alors bien sûr, avec toute la bonne volonté du monde, j'y vais. Là on nous regarde avec de gros yeux, prétendant qu'on recherche beaucoup de monde et qu'on ne veut pas n'importe qui. Les candidats sont reçus par groupe de 8, soit-disant entretien de groupe. Et là, on a comme l'impression d'être jugé à la tête. Pire, on nous dit que réussir à cet entretien ne garantit rien, il faut encore passer devant le DRH, puis devant le "chasseur de tête".

Wahou, là je demande quand même: "A t-il des critères prédéfinis pour trancher?" Et la réponse de la responsable : -NON, C'EST VRAIMENT LUI QUI DÉCIDE, ET ON NE LUI POSERA PAS DE QUESTION QUANT A SA SÉLECTION"

Et oui camarades guyanais, on est du bétail, et même après avoir justifié de qualification et/ou diplôme, on passe comme du bétail devant le chasseur de tête. J'ignore si ces méthodes sont orthodoxes mais bon.

Euh, évidemment, je ne suis pas une catin, je n'ai pas d'origine exotique (si vous voyez ce que je veux dire) et je n'ai pas épousé de gendarme donc du coup, je n'ai pas été retenue.

Mais en sortant de là, je me suis demandée: "Dans quoi je viens de fourrer les pieds?"

Et les pubs sur certaines radios qui assurent que CARREFOUR recherche encore du monde alors qu'il rejette des diplômés.

BIENVENUE CHEZ NOUS GROUPE CARREFOUR !

"Foutage de gueule du groupe CARREFOUR"

Carrefour, l'ouverture, c'est pour bientôt!

On entend d'abord une polémique sur les femmes de gendarmes évidemment niée par les intéressés. On le sait tous, ce n'était pas du tout une polémique.

Il y a deux mois, je pose ma candidature, entendant qu'on recherche des personnes diplômées.
Je suis convoquée malgré ma Licence pour un poste de "caissière" alors bien sûr, avec toute la bonne volonté du monde, j'y vais. Là on nous regarde avec de gros yeux, prétendant qu'on recherche beaucoup de monde et qu'on ne veut pas n'importe qui. Les candidats sont reçus par groupe de 8, soit-disant entretien de groupe. Et là, on a comme l'impression d'être jugé à la tête. Pire, on nous dit que réussir à cet entretien ne garantit rien, il faut encore passer devant le DRH, puis devant le "chasseur de tête".

Wahou, là je demande quand même: "A t-il des critères prédéfinis pour trancher?" Et la réponse de la responsable : -NON, C'EST VRAIMENT LUI QUI DÉCIDE, ET ON NE LUI POSERA PAS DE QUESTION QUANT A SA SÉLECTION"

Et oui camarades guyanais, on est du bétail, et même après avoir justifié de qualification et/ou diplôme, on passe comme du bétail devant le chasseur de tête. J'ignore si ces méthodes sont orthodoxes mais bon.

Euh, évidemment, je ne suis pas une catin, je n'ai pas d'origine exotique (si vous voyez ce que je veux dire) et je n'ai pas épousé de gendarme donc du coup, je n'ai pas été retenue.

Mais en sortant de là, je me suis demandée: "Dans quoi je viens de fourrer les pieds?"

Et les pubs sur certaines radios qui assurent que CARREFOUR recherche encore du monde alors qu'il rejette des diplômés.

BIENVENUE CHEZ NOUS GROUPE CARREFOUR !

Je lis le courrier des lecteurs assez régulièrement et pour une fois je ressens le besoin de répondre à un post tellement ceci ressemble à mon vécu ! Tout ce que vous dénoncez est vrai et ensuite on s'étonne qu'en Guyane rien n'avance... Mon plus grand regret : être rentrée au pays en pensant naïvement que mon Bac + 3 et une réelle volonté de servir le pays suffiraient. Grave erreur !

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!

De qui se fichent les collectivités de Guyane?
Bien entendu, du petit guyanais couillon qui va croire que s'il obtient des diplômes, on va lui donner du travail.
Bon, encore ça irait si on se fichait de lui sans laisser de signe pour alerter sa personne. Mais non, évidemment. On sort de chez soi, on se rend par-ci, par là pour diverses démarches, et face a qui on se retrouve?
-Les "djol maré" (filles et fils) de lassées de leur travail d'accueil ou autre, tâche trop difficile et usante;
-Les catins au jolis minois mais qui hélas n'ont pas de connaissance et qui, chance pour elles, sont douées en gymnastique;
-Encore d'autres personnes douteuses qui ne sont pas capables de ne serait-ce que s'exprimer dans un français correct.
Dans tous les cas on n'est pas spécialement voire pas du tout satisfaits.

En attendant, il y a les guyanais fidèles au poste, diplômes post-bac qui à chaque demandent reçoivent toujours les mêmes refus sans entretien ou pas de réponse du tout.
Je n'envie personne, et je crois que comme moi tous les guyanais diplômés n'ont rien à envier à ces gens-là. Parce qu’on ne porte pas un de ces noms connus qu'on retrouvent dans les municipalités, rectorat, postes à la région, conseil général, radio/télé, toujours les mêmes, c'est à ceux-là qu'on donne du travail, ceux qui connaissent untel ou unetelle qui a un poste haut placé.

On a mis Bertrand en prison pour ça, mais si il fallait tous les mettre en taule, nos collectivités seraient vides. Quoique c'est pas gênant, au moins on aurait eu du travail!

Ce message s'adresse a vous Mesdames et Messieurs les Maires, les cadres et dirigeants des collectivités, et ceux de la région.

Vive les filon, vives les noms de, les fils et les filles de qui ont leur place assurée sans effort et vive le petit guyanais fils de personne qui continuera à rester là, bouche close, avec ses diplômes qui commencent à jaunir. Les miens sont jaunes, Tous les diplômes qui ont ma mère avoir des sueurs froides pour m'élever, qui a prié quand je passais mes examens, mais qui hélas, n'était pas fille de pour me donner un emploi aujourd’hui.

A bon entendeur, salut!