1513 messages - Inverser l'ordre
En réponse au message de Jcb du 16/05/14
Si je comprends bien, le Luxembourg consacre une part de son PIB supérieure à celle de la France à son éducation nationale ?
L'école est-elle aussi obligatoire jusqu'à 16 ans, laïque et gratuite ?
"L'école est-elle [au Luxembourg] obligatoire jusqu'à 16 ans, laïque et gratuite ?"
"Au Luxembourg, la scolarité est obligatoire, de 4 ans à 16 ans.
Tout enfant en âge de scolarité obligatoire doit être inscrit à l'école, quel que soit le statut des parents. Aucun enfant ne peut être refusé, indépendamment de sa race, de son sexe, de sa l
En réponse au message de Pierre33 du 14/05/14
Eh oui... Mais bien sûr, l"éducation reste une priorité (!!!) de notre gouvernement ! Ah... Langue de bois, quand tu nous tiens...
J'aime bien la réflexion citée dans l'article: "Franchement, je trouve certains seuils honteux ! Comment peut-on prendre aussi bas !" La raison est toute simple: ce sera ça ou rien ! Comme je l'ai déjà écrit, on s'arrangera pour que les élèves soient gardés... Pour le reste, il ne faudra quand même pas trop en demander !
Tiens, c'est bizarre, on est déjà à la mi-mai et je n'ai pas encore lu sur Blada les sempiternelles récriminations contre les vacances des enseignants... Ohé ! les bouffeurs de profs... Où êtes-vous ?
"Tiens, c'est bizarre, on est déjà à la mi-mai et je n'ai pas encore lu sur Blada les sempiternelles récriminations contre les vacances des enseignants... Ohé ! les bouffeurs de profs... Où êtes-vous ?"
J'arrive ! Ca y est, les enseignants ont sauvé leur dernier week-end du mois d'aout ...La rentrée scolaire des élèves aura lieu le 2 septembre... Motif invoqué par le ministre (c'est à se tordre de rire) : "La raison pour laquelle nous avons reporté du 1er au 2
En réponse au message de Ella du 14/05/14
En France, on peut devenir prof des écoles avec 4,17/20 de moyenne
http://rue89.nouvelobs.com//france-peut-devenir-prof-ecoles-41720-moyenne
Eh oui... Mais bien sûr, l"éducation reste une priorité (!!!) de notre gouvernement ! Ah... Langue de bois, quand tu nous tiens... J'aime bien la réflexion citée dans l'article: "Franchement, je trouve certains seuils honteux ! Comment peut-on prendre aussi bas !" La raison est toute simple: ce sera ça ou rien ! Comme je l'ai déjà écrit, on s'arrangera pour
En réponse au message de Laurent du 06/05/14
Et alors? C'est un honneur pour la Guyane? Ils ont fait du super boulot ici ou ce n'était qu'un tremplin? Quelle est votre opinion? En ce qui me concerne, j'ai tendance à penser que s'ils ont été parmi les moins nuls des recteurs de Guyane, au final leurs réalisations ici restent anecdotiques...
Blanquer, je ne me rappelle plus mais Robine, après celui auquel elle a suucédé, oui, je l'ai appréciée. Après, ces histoires de tremplin.... Il faut bien commencer quelque part.
De ce que je peux voir en métropole, ils ne restent pas longtemps en poste non plus.
En réponse au message de Tamandua du 06/05/14
Florence Robine pressentie comme DGESCO
http://www.liberation.fr/une-femme-pour-la-premiere-fois-a-la-tete-de-l-enseignement-scolaire
C'est le 2e recteur de Guyane (après Blanquer) qui devient DGESCO. Et on n'en nomme pas un tous les jours !
Et alors? C'est un honneur pour la Guyane? Ils ont fait du super boulot ici ou ce n'était qu'un tremplin? Quelle est votre opinion? En ce qui me concerne, j'ai tendance à penser que s'ils ont été parmi les moins nuls des recteurs de Guyane, au final leurs réalisations ici restent anecdotiques...
Florence Robine pressentie comme DGESCO
http://www.liberation.fr/une-femme-pour-la-premiere-fois-a-la-tete-de-l-enseignement-scolaire
C'est le 2e recteur de Guyane (après Blanquer) qui devient DGESCO. Et on n'en nomme pas un tous les jours !
En réponse au message de Chokapix du 02/05/14
Ce qu'il y a de bien avec vous, c'est que vous osez tout. Voyez plutôt les arguments de Clemenceau face à Jules Ferry... Je veux bien noter que la gauche, enfin, une partie de ce qu'elle était à cette époque, ait eu par la suite des arguments inversés... Mais je ne ferais pas comme vous de la gauche l'initiatrice ou même la force motrice ni de la pensée racialiste (même si la société de l'époque baignait dedans) qui a soutenu l'expansion coloniale, ni de l'expansion coloniale elle -même...
Quant à votre question, elle revient à demander ce que serait devenu De Gaulle s'il était né au Tonkin...
Ayant très bien saisi l'allusion à Audiard, je ne vois pas l'utilité de poursuivre ce dialogue de sourds
On ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif
En réponse au message de Didou973 du 01/05/14
"Et bien sûr, tous les gouvernements, de droite comme de gauche, jureront la main sur le cœur que l'éducation est leur priorité !" maintenant je ne crois plus que quelqu'un puisse croire les politiques et ce quelque soit le sujet...
Je ne sais pas ce que ce gouvernement veut faire de nos enfants ? dans un village prés de chez moi ils ferment une classe de maternelle, alors que le nombre d'éléves ne change pas, ce qui a des répercussions sur les autres classes, notamment sur la classe à double niveau qui devient classe à 3 niveaux, CE2, CM1 et CM2...et qui c'est qui trinque ????
Vous attendez donc que le gouvernement décide pour vous! C'est bien là le problème en France. C'est il me semble l'inverse de la démocratie. La France est devenue un pays d'assistés et attend que le gouvernement fasse! Vous allez attendre longtemps!
Dans une vraie démocratie, le peuple s'exprime d'abord et le gouvernement légifère et exécute ensuite non?. Je retourne à mes affaires.
En réponse au message de Jcb du 01/05/14
Je vous rappelle que les colonisations françaises les plus récentes, bien après l'abolition de l'esclavage, l'ont été par des gouvernements de gauche avec des motivations très humanitaires
Quant à votre comparaison entre Paramaribo et Cayenne, elle ne fait que refléter la situation générale de la France, pays en régression face à quelques pays qui grâce à leur travail sont réellement en voie de développement
Mais je constate que vous refusez de répondre à ma question sur quel aurait été l'avenir politique de Christiane Taubira si elle était née ailleurs qu'à Cayenne, ville coloniale ?
Je peux aussi vous poser la même question sur Léon Bertrand...
Ce qu'il y a de bien avec vous, c'est que vous osez tout. Voyez plutôt les arguments de Clemenceau face à Jules Ferry... Je veux bien noter que la gauche, enfin, une partie de ce qu'elle était à cette époque, ait eu par la suite des arguments inversés... Mais je ne ferais pas comme vous de la gauche l'initiatrice ou même la force motrice ni de la pensée
En réponse au message de Chokapix du 30/04/14
Soyons clairs, il ne peut me venir une seconde à l'idée qu'on puisse comparer la colonisation française et l'entreprise de la IIIème république, sauf bien évidemment métaphoriquement.
De la traite négrière jusqu'à l'expansion impérialiste, rien ne saurait être comparable, soyons sérieux...
Je me demande qui fait l'âne quand vous dites qu'en parlant du village Saramaca, vous faisiez allusion aux écoles du Haut-Maroni ! De plus, si vous comparez deux villes comme Cayenne et Paramaribo, laquelle décririez-vous comme "capitale régionale moribonde" ?
Vos propos sont plus absurdes que choquants.
Je vous rappelle que les colonisations françaises les plus récentes, bien après l'abolition de l'esclavage, l'ont été par des gouvernements de gauche avec des motivations très humanitaires. Quant à votre comparaison entre Paramaribo et Cayenne, elle ne fait que refléter la situation générale de la France, pays en régression face à quelques pays qui grâce à leur
En réponse au message de Pierre33 du 30/04/14
Jusqu'à présent la pénurie ne concernait que les collèges et les lycées, maintenant les écoles primaires sont concernées... Et ça, ça ne s'était encore jamais produit...
On demande de plus en plus aux enseignants, on veut diminuer les quelques avantages qu'ils ont encore, leurs conditions de travail sont de plus en plus difficiles, on exige Bac + 5, tout cela pour débuter à moins de 1600 euros par mois, mais qu'espère-t-on... ? Même en cette période de crise, il existe des professions bien plus valorisantes, et les jeunes l'ont bien compris...
Parents, rassurez-vous, on trouvera toujours quelqu'un à mettre devant vos enfants: des enseignants qui feront ce métier faute d'avoir trouvé autre chose, des vacataires qui partiront en milieu d'année scolaire dès qu'ils auront d'autres opportunités... On va continuer à camoufler la vérité par des réformes incohérentes. Les taux de réussite au bac vont continuer à augmenter, pour cela on continuera à tripatouiller les notes (les fameuses commissions "d'harmonisation")...
Et bien sûr, tous les gouvernements, de droite comme de gauche, jureront la main sur le cœur que l'éducation est leur priorité !
"Et bien sûr, tous les gouvernements, de droite comme de gauche, jureront la main sur le cœur que l'éducation est leur priorité !" maintenant je ne crois plus que quelqu'un puisse croire les politiques et ce quelque soit le sujet... Je ne sais pas ce que ce gouvernement veut faire de nos enfants ? dans un village prés de chez moi ils ferment une classe de maternelle,
En réponse au message de Pierre33 du 30/04/14
Jusqu'à présent la pénurie ne concernait que les collèges et les lycées, maintenant les écoles primaires sont concernées... Et ça, ça ne s'était encore jamais produit...
On demande de plus en plus aux enseignants, on veut diminuer les quelques avantages qu'ils ont encore, leurs conditions de travail sont de plus en plus difficiles, on exige Bac + 5, tout cela pour débuter à moins de 1600 euros par mois, mais qu'espère-t-on... ? Même en cette période de crise, il existe des professions bien plus valorisantes, et les jeunes l'ont bien compris...
Parents, rassurez-vous, on trouvera toujours quelqu'un à mettre devant vos enfants: des enseignants qui feront ce métier faute d'avoir trouvé autre chose, des vacataires qui partiront en milieu d'année scolaire dès qu'ils auront d'autres opportunités... On va continuer à camoufler la vérité par des réformes incohérentes. Les taux de réussite au bac vont continuer à augmenter, pour cela on continuera à tripatouiller les notes (les fameuses commissions "d'harmonisation")...
Et bien sûr, tous les gouvernements, de droite comme de gauche, jureront la main sur le cœur que l'éducation est leur priorité !
Je ne sais si les 1600 € de départ des enseignants est encore de mise?
Après, j'ai les dépeche AFP... il s'agit d'un décalage entre les admis et les postes offerts... Mais, y compris, en math il y avait plus de candidats que de postes offerts... et ceux dans les concours... Il ne faut pas tromper les gens. Je rappelle par exemple que vers le début des
En réponse au message de Magaling du 30/04/14
Pénurie d’admis aux concours de professeurs et d’instits :
http://www.acteurspublics.com/2014/04/30/penurie-d-admis-aux-concours-de-professeurs
Jusqu'à présent la pénurie ne concernait que les collèges et les lycées, maintenant les écoles primaires sont concernées... Et ça, ça ne s'était encore jamais produit...
On demande de plus en plus aux enseignants, on veut diminuer les quelques avantages qu'ils ont encore, leurs conditions de travail sont de plus en plus difficiles, on exige Bac + 5, tout
Pénurie d’admis aux concours de professeurs et d’instits :
http://www.acteurspublics.com/2014/04/30/penurie-d-admis-aux-concours-de-professeurs
Ca vaut quelquefois la peine de s'attarder sur les statistiques : Sans discrimination positive, les minorités s’effacent des universités américaines
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/04/28/en-chiffres-sans-discrimination-positive-
En réponse au message de Chokapix du 25/04/14
Je ne pense pas qu'on puisse mettre sur le même plan :
- des tactiques politiciennes (des postures comme vous dites), qui font partie du "jeu" politique
- des opinions (que le sujet soit complexe ou non)
- des convictions, arrimées sur des dispositions pérennes (je me situe moi-même à gauche, au centre, à droite)
Ce dont je parle, c'est de cette dernière catégorie, Excusez-moi, mais sans ces dispositions durables, nous ne serions pas des animaux politiques... En caricaturant, il ne s'agit pas d'être mis dans des cases, mais de choisir son camp. Ça peut aider, ne serait-ce que pour "voter utile", comme on dit...
Je n'ai pas de camp à choisir. Je trouve la Gauche bien sympathique mais irréaliste. Je trouve la Droite rigide et sclérosée, mais face au réel moins ankylosée que la Gauche.
Je considère que leurs valeurs à chacun sont louables et respectables, mais je doute fort qu'il y ait dans chacun de ces clans une quelconque conviction, celle qui animait des Jaurès,
En réponse au message de Ti Mano du 25/04/14
Les choses évoluent comme pour la culture, certes, mais avouer que certaines évolutions ont une échelle de temps si courte que cela s'apparente plus à de l'opportunisme plus qu'à autre chose. Et il est vrai que notre culture est plutôt adepte des changements radicaux et brutaux, plutôt que du consensus au delà des clivage fussent ils futiles.
Quand vous dites : "Les idéologies sont une partie importante de "la" culture.........C'est même tellement vrai qu'il nous faut à peine une poignée de minutes pour deviner si quelqu'un est de droite ou de gauche dans une discussion effleurant les sujets de société". C'est cela qui me gène. Pourquoi vouloir "classifier" les opinion, mettre les idées dans des "cases"?
On peut avoir des valeurs de Droite et avoir eu en son temps été favorable à l'avortement ou à l'abolition de la peine de mort. Et ce encore plus sur des sujets de société, que sur des sujets économiques, bien que la mondialisation restreigne fortement les possibilités et les délires. Cela ne correspond pas aux "cases" prédéfinies et aLors?
Pour moi en France, ce clivage tel qu'il est "pratiqué", est une posture. On est contre par principe parce que cela ne vient pas de notre clan. On ne réfléchit plus, on ne pense plus, on synthétise, on simplifie à la caricature des complexités immenses et on est anesthésié par ce clivage qui détermine tout. Sauf que dans la "vraie vie", les problématiques complexes ne se simplifient pas, elle s'imposent à nous, et que donc l'écart entre les postures, les promesses et les propositions issues et générées que par ce clivage devient donc insupportable.
Actuellement, depuis 15 ans on entend dire que le 1000 feuille territorial est un handicap. Tous le disaient à Droite comme à Gauche. Et bien le sujet est mis sur la table par un gouvernement de Gauche. On pourrait donc s'attendre à qu'à Droite l'on dise "chiche", on y va. Eh bien, non. La première analyse sera politique. Que vais je gagner politiquement à un mois des Européennes à soutenir un gouvernement de Gauche sur ce projet? Alors que fondamentalement, on l'a réclamé depuis des lustres.
Idem pour le réduction des dépenses publiques. On pourrait se dire, c'est pas assez. Mais on y va puisque depuis 40 ans personne ne l'a fait alors que l'on savait tous qu'il fallait y venir. Eh bien, non. On préfère tergiverser, l'essentiel étant de caractériser le clivage, la FRANCE attendra bien un peu!
Je ne pense pas qu'on puisse mettre sur le même plan :
- des tactiques politiciennes (des postures comme vous dites), qui font partie du "jeu" politique
- des opinions (que le sujet soit complexe ou non)
- des convictions, arrimées sur des dispositions pérennes (je me situe moi-même à
En réponse au message de Chokapix du 24/04/14
Ce que vous dites n'est pas faux, encore qu'on puisse appliquer à vos propos votre grille de lecture sur la "culture" : les choses évoluent, se déplacent, selon les époques... Les idéologies sont une partie importante de "la" culture, du moins chez les gens qui n'ont pas complètement basculé de l'autre côté du miroir, au pays d'Alice et ses merveilles. C'est même tellement vrai qu'il nous faut à peine une poignée de minutes pour deviner si quelqu'un est de droite ou de gauche dans une discussion effleurant les sujets de société. Le clivage n'est donc pas fictif... Ceci étant, je suis tout à fait d'accord avec vous sur votre conclusion, à une réserve près. Les idéologies font partie de notre arsenal d'analyse des idées ou propositions politiques.
Les choses évoluent comme pour la culture, certes, mais avouer que certaines évolutions ont une échelle de temps si courte que cela s'apparente plus à de l'opportunisme plus qu'à autre chose. Et il est vrai que notre culture est plutôt adepte des changements radicaux et brutaux, plutôt que du consensus au delà des clivage fussent ils
En réponse au message de Ti Mano du 24/04/14
Encore une phrase sortie de son contexte. Mais bon passons.
HEGEL, là vous êtes en plein dans le domaine de mon incompétence. Alors je ne répondrai donc pas directement à votre question.
Le clivage dans le sens politique du terme (fracture, séparation, division au sein d'un groupe humain, d'une organisation) Droite/Gauche est selon moi une illusion. Selon les latitudes où l'on se place ce clivage est loin d'être identique. Qu'il y a t il de commun entre le PS et e New Labour de nos voisins d'outre manche?
Mais plus concrètement dans notre Pays, nous n'en sommes plus à la l'élaboration d'un système sans propriété privée et la conception d'un modèle de société égalitaire destiné à améliorer le sort des travailleurs n'est plus l'apanage que de la Gauche. Depuis des lustres la Gauche s'est convertie au mariage du progressisme social et des conceptions économiques libérales dénuées de tout égalitarisme et la Droite admet assez largement que la production de richesse doit en partie servir à la solidarité nationale.
Sur les valeurs, après la révolution c'est la Gauche qui défend les libertés individuelles face à une droite qui défend l'autorité et la famille et l'importance d'un État impartial.
Qu'en est il de nos jours? Qui défend le "plus d’État" ?
La colonisation était au début soutenue essentiellement par la Gauche, et lors de ce que l'on a appelé la "décolonisation", c'est la Gauche qui a soutenu l'indépendance des colonies quand la Droite a tout fait pour les conserver.
C'est la Gauche d'hier qui défendait l'unité de la nation et le refus de tous particularisme. Aujourd'hui ils on t fait voté la décentralisation, font la promotion à outrance de la diversité et s'apprête à adopter des textes sur les langues Régionales qui scandaliseraient la Gauche d'antan.
On le voit donc les lignes de ce pseudo clivage sont très mobiles. J'assimile tout cela à de la posture. On supprime la TVA sociale mise en place par la Droite et on instaure le C.I.C.E, qui est sur le principe la même chose. On s'affronte sur la réduction des déficits, alors que le principe est le même, celui du rabot, que dis je de la lime à ongles. Et que cet objectif n'est plus discutable.
On s'oppose sur la nationalisation censée être de Gauche et la privatisation censée être de Droite. Qui a effectuée la dernière nationalisation en FRANCE SARKOZY, qui a le plus privatisé en valeur Lionel JOSPIN.
On pourrait multiplier à l'envie les exemples. Ce qui compte selon moi c'est de se défaire des idéologies et de s'affranchir de ces carcans et d'analyser une idée ou proposition en fonction de son contenu et non en fonction de celui qui la porte.
Ce que vous dites n'est pas faux, encore qu'on puisse appliquer à vos propos votre grille de lecture sur la "culture" : les choses évoluent, se déplacent, selon les époques... Les idéologies sont une partie importante de "la" culture, du moins chez les gens qui n'ont pas complètement basculé de l'autre côté du miroir, au pays d'Alice et ses merveilles. C'est
En réponse au message de Chokapix du 23/04/14
'le concept Gauche/Droite est un clivage fictif' Ah bon, vous avez réussi un dépassement hégélien ?
Encore une phrase sortie de son contexte. Mais bon passons.
HEGEL, là vous êtes en plein dans le domaine de mon incompétence. Alors je ne répondrai donc pas directement à votre question. Le clivage dans le sens politique du terme (fracture, séparation, division au sein d'un groupe humain, d'une organisation) Droite/Gauche est selon moi une illusion. Selon les latitudes où l'on se place ce clivage est loin d'être
En réponse au message de Ti Mano du 23/04/14
Moi gauchos bobos. C'est la meilleure de l'année. Je vous laisse persister dans votre délire de vouloir absolument "caser" les individus votre grille de lecture.
Je vous le répète encore une nouvelle fois, le concept Gauche/Droite est un clivage fictif, une imposture que seul votre indéfectible archaïsme pense qu'il est alpha et l’oméga de toute pensée, de toute idée. Réveillez vous et regardez autour de vous, votre monde n'est plus.
'le concept Gauche/Droite est un clivage fictif' Ah bon, vous avez réussi un dépassement hégélien ?
En réponse au message de Didou973 du 22/04/14
Avec une réponse de ce genre j'espére que Darius ne prendra pas la peine de vous répondre...les gauchos bobos qui garde la tête dans le sable, les gens en ont un peu marre..
Moi gauchos bobos. C'est la meilleure de l'année. Je vous laisse persister dans votre délire de vouloir absolument "caser" les individus votre grille de lecture.
Je vous le répète encore une nouvelle fois, le concept Gauche/Droite est un clivage fictif, une imposture que seul votre indéfectible archaïsme pense qu'il est alpha et l’oméga de toute pensée, de toute idée. Réveillez vous et regardez autour de vous, votre monde n'est plus.
En réponse au message de Pierre33 du 22/04/14
Eh oui... La singularité française, la complaisance pour la classe politique... Il suffit pour cela de comparer le nombre d'affaires et le nombre de condamnations... Notre justice est très lente de façon générale, encore plus quand il s'agit d'hommes politiques et elle fait souvent preuve d'une grande mansuétude à leur égard... Le pire, c'est que même pris la main dans le sac, certains persistent dans la vie politique, et ils auraient bien tort de s'en priver, puisqu'ils sont généralement réélus... Les Français ont la mémoire courte ou alors ils ne sont vraiment pas rancuniers !
Les français sont des veaux ou des moutons, c'est selon. La "complaisance" va assez loin. Ainsi pour être écarté de l'ordre de la légion d'honneur, il faut avoir été condamné à + d'un an de prison...
En réponse au message de Chokapix du 22/04/14
Je suis bien d'accord pour dire que notre classe politique actuelle n'aide pas, mais le "tous pourris" fait le jeu du FN...
Mon propos viserait aussi à souligner en quoi "nous", simples citoyens (jamais encarté pour ma part), sommes responsables d'une telle situation, à gauche comme à droite. La singularité française se paie très cher aujourd'hui.
L'hypothèse soutenue est qu'aux lendemains de la guerre, puis face aux décolonisations douloureuses, nous avons cautionné des fictions dangereuses : la néo-grandeur gaullienne, Sartre et ses salauds...
Une deuxième hypothèse tient alors dans la complaisance que nous avons eu, sur la période, pour la classe politique en général. Bref, tout cela ne fait pas très "adulte", si l'on se compare un instant avec les démocraties d'Europe du nord.
Je préférerai que nous débattions des contre-poisons qui vont nous aider à grandir plutôt que de ménager la couche de Mme Le Pen.
Eh oui... La singularité française, la complaisance pour la classe politique... Il suffit pour cela de comparer le nombre d'affaires et le nombre de condamnations... Notre justice est très lente de façon générale, encore plus quand il s'agit d'hommes politiques et elle fait souvent preuve d'une grande mansuétude à leur égard... Le pire, c'est que même pris la main
En réponse au message de Ti Mano du 22/04/14
A nous y voilà La grande théorie du grand remplacement :
"il nous est interdit de parler de la NOËL ET DE PÂQUES ET PENTECÔTE dans certaines écoles.............et je ne vous parle pas... du pain au chocolat....... et figurez vous qu'ils veulent même une mosquée..... ne cherchez pas plus loin les causes du Trou de la Sécu...."
Et oui, cher monsieur les "racines chrétiennes" du "corps français traditionnel" se perdent, non pas des maux que vous sous entendez. Mais de son éternel repli nostalgique, de son refus absolu de voir ce monde qui change et de raccrocher à cette FRANCE éternelle qui n'est plus.
Alors, oui, la Fraude sociale est immonde. Mais rapport de la cour des compte à l'appui,la fraude sociale en 2009 était estimée à 20 milliards d'euros, dont 3 milliards aux assurés. Et sur les 3 milliards de Fraudes, le plus gros poste était celui des congés maladie.
Alors voyez vous les basanés peuvent être parasites au chômage et gruger la C.A.F. Mais ils ne peuvent être en même temps salariés en congé maladie perpétuel.
Le basané, il veut bien être le bouc émissaire de toutes les maux Français, mais faudra choisir.
Mais ne vous méprenez pas sur mon propos, je veux que la lutte contre la fraude sociale soit effective, en croisant les fichiers de sorte que les causes racines soient identifiées et les textes de lois modifiés pour la réduire. Mais je me refuse à faire un portrait typé du Fraudeur qui débouchent sur les propos que vous tenez!
Avec une réponse de ce genre j'espére que Darius ne prendra pas la peine de vous répondre...les gauchos bobos qui garde la tête dans le sable, les gens en ont un peu marre..
En réponse au message de Ti Mano du 22/04/14
A nous y voilà La grande théorie du grand remplacement :
"il nous est interdit de parler de la NOËL ET DE PÂQUES ET PENTECÔTE dans certaines écoles.............et je ne vous parle pas... du pain au chocolat....... et figurez vous qu'ils veulent même une mosquée..... ne cherchez pas plus loin les causes du Trou de la Sécu...."
Et oui, cher monsieur les "racines chrétiennes" du "corps français traditionnel" se perdent, non pas des maux que vous sous entendez. Mais de son éternel repli nostalgique, de son refus absolu de voir ce monde qui change et de raccrocher à cette FRANCE éternelle qui n'est plus.
Alors, oui, la Fraude sociale est immonde. Mais rapport de la cour des compte à l'appui,la fraude sociale en 2009 était estimée à 20 milliards d'euros, dont 3 milliards aux assurés. Et sur les 3 milliards de Fraudes, le plus gros poste était celui des congés maladie.
Alors voyez vous les basanés peuvent être parasites au chômage et gruger la C.A.F. Mais ils ne peuvent être en même temps salariés en congé maladie perpétuel.
Le basané, il veut bien être le bouc émissaire de toutes les maux Français, mais faudra choisir.
Mais ne vous méprenez pas sur mon propos, je veux que la lutte contre la fraude sociale soit effective, en croisant les fichiers de sorte que les causes racines soient identifiées et les textes de lois modifiés pour la réduire. Mais je me refuse à faire un portrait typé du Fraudeur qui débouchent sur les propos que vous tenez!
Tu n'as toujours pas répondu à ma question du 18/04: Ah oui ? et en quoi le "génocide par substitution" de Césaire est-il différent du "grand remplacement" de Zemmour ?
En réponse au message de Darius du 21/04/14
malheureusement, il n'y a pas qu'en Guyane.............il faudrait regarder le pourquoi du comment du "trou" de la SECU. , entre autre, et réfléchir à l'avenir de tous ces jeunes qui arriveront un jour sur le "marché du travail", sans boulot, sans avenir certain, et toutes ces "belles valeurs" qui disparaissent peu à peu, alors que nos grands parents, parents, ancêtres, ont mis des années à se battre et à faire accepter leur combat pour nous laisser quelque chose !
des amis, venus de métropole, m'ont dit :
il nous est interdit de parler de la NOEL ET DE PAQUES ET PENTECOTE dans certaines écoles.............
oui, nous perdons peu à peu nos "racines", nos valeurs et si cela continue....c'est grave et triste à la fois !
A nous y voilà La grande théorie du grand remplacement :
"il nous est interdit de parler de la NOËL ET DE PÂQUES ET PENTECÔTE dans certaines écoles.............et je ne vous parle pas... du pain au chocolat....... et figurez vous qu'ils veulent même une mosquée..... ne cherchez pas plus loin les causes du Trou de la Sécu...."
Et oui, cher monsieur les "racines chrétiennes" du "corps français traditionnel" se perdent,
En réponse au message de Pierre33 du 21/04/14
Euh... Je ne sais pas où vous avez lu que les élus de droite prônaient la ségrégation sociale... En tout cas, pas dans mon message... Je dis simplement que les élus de gauche ne mettent pas en application leurs grands principes, et malheureusement pas seulement dans le domaine de la mixité sociale. Mais visiblement, mon message vous a agacé... Ce n'est pas grave, vous vous en remettrez ! Quant aux sites Internet que je fréquente, d'abord vous n'en savez rien... Mais vous avez effectivement l'air d'en connaître bien plus que moi sur le sujet !!!
Que je développe actuellement une phobie de la gauche, ce n'est pas faux, mais ce serait plutôt une phobie de la classe politique en général. Que voulez-vous... Ce n'est pas ma faute si chaque jour apporte une nouvelle affaire: entre l'affaire Morelle, Madame Valls qui fait sauter les PV de ses amies et ne supporte plus les SDF dans son quartier, le parachute doré de Madame Voynet, M. Peillon qui va se retrouver élu député européen alors qu'il n'a jamais été capable de se faire élire député national, M. Placé qui pique sa crise quand on lui rappelle qu'il n'a pas payé ses PV, Harlem Désir nommé secrétaire d'état aux affaires européennes alors qu'il a battu des records d'absentéisme au Parlement européen, sans compter les autres casseroles qu'il se promène... etc. etc. etc. Et tout ça en moins d'une semaine...
Je vous fais grâce des liens, vous les trouverez bien sans mon aide !
Vous écrivez: "la gauche donneuse de leçons? La droite ne passe-t-elle pas son temps à en donner ?" Alors là, nous sommes bien d'accord, il n'y en a pas un pour relever l'autre ! Mais que voulez-vous, le "moi Président"" de M. Hollande me reste un peu en travers de la gorge, peut-être parce que j'ai été assez naïf pour y croire (enfin, très brièvement, je vous rassure !).
Je suis bien d'accord pour dire que notre classe politique actuelle n'aide pas, mais le "tous pourris" fait le jeu du FN... Mon propos viserait aussi à souligner en quoi "nous", simples citoyens (jamais encarté pour ma part), sommes responsables d'une telle situation, à gauche comme à droite. La singularité française se paie très cher aujourd'hui. L'hypothèse
En réponse au message de Ella du 22/04/14
Tu parles de CPGE: l'écrémage le plus important a déjà été fait et les élèves ont déjà un projet.
Je l'avais pourtant dis avant ta question. Ceci dit je ne vois pas ce que "l'écrémage" peut impacter dans l'application d'une méthode? Je prends un simple exemple. Au Lycée Monnerville, les classes de Terminale ont un devoir sur table tous les samedis. J'avais proposé en son temps que cette méthode soit reprise au collège, ce qui permettait aux enseignants
En réponse au message de Ti Mano du 22/04/14
Mon expérience du privé se limite à la CPGE où tous les élèves étaient internes. Cela limite donc la portée de ce qui suit, d'autant qu'à l'issue de ces deux années, il y a un concours et non un examen.
Premièrement l'esprit de corps. On représente, même à l'extérieur un Lycée, on se doit d'en donner la meilleure image sur tous les plans.
Ensuite, l'entraide et la solidarité des élèves qui est inculquée dès le début de la scolarité. Les élèves travaillaient par Trinôme, de trois niveaux différents. Le meilleur se faisait un point d'honneur à ce que son trinôme soit parmi les meilleurs.
La disponibilité des enseignants, après un cours d'un professeur pour débloquer un exercice.
Dès le début des deux années, des cours très importants sont donnés aux élèves pour qu'ils apprennent à apprendre.
Le rabâchage, faire des exercices sans fin, des D.S sur table tous les samedis P.M et des kholles toutes les semaines.
Des regroupements entre élèves à Pâques, avec programme de révision dans un lieu calme où groupe ne s'occupe de rien pour l'intendance.
Et enfin, savoir décrocher par le sport, le théâtre et pleins d'activité caritative ou autres.
De toute mon expérience dans le publique, j'ai rarement retrouvé ces méthodes et je trouve qu'elle ne serait pas d'une inutilité totale.
Tu parles de CPGE: l'écrémage le plus important a déjà été fait et les élèves ont déjà un projet.
En réponse au message de Ella du 16/04/14
"Je suis même pour que les méthodes qui marchent dans le privé puissent être appliquées dans le publique.": lesquelles ?
Mon expérience du privé se limite à la CPGE où tous les élèves étaient internes. Cela limite donc la portée de ce qui suit, d'autant qu'à l'issue de ces deux années, il y a un concours et non un examen. Premièrement l'esprit de corps. On représente, même à l'extérieur un Lycée, on se doit d'en donner la meilleure image sur tous les plans. Ensuite,
En réponse au message de Ella du 16/04/14
"Je suis même pour que les méthodes qui marchent dans le privé puissent être appliquées dans le publique.": lesquelles ?
Mon expérience du privé se limite à la CPGE où tous les élèves étaient internes. Cela limite donc la portée de ce qui suit, d'autant qu'à l'issue de ces deux années, il y a un concours et non un examen. Premièrement l'esprit de corps. On représente, même à l'extérieur un Lycée, on se doit d'en donner la meilleure image sur tous les plans. Ensuite, l'entraide et
L'un de mes enfants a fait toute sa scolarité à Kourou: CRESSON / SCHOELCHER / MONNERVILLE. Tout son parcours scolaire a donc été dans le publique.
De ce parcours, en le comparant à des élèves qui sur Cayenne ont fait tout le leur dans privé, Il n'y a aucune différence. Je dirai même que sur cette promotion qui aujourd'hui a bien entamé les études supérieures, ceux qui ont fait une scolarité dans le public, ont tenu le choc des prépas ou de la fac, car mentalement bien plus mature et préparé à cette séparation
En réponse au message de Chokapix du 21/04/14
Je ne savais pas que les élus de droite prônaient la ségrégation sociale... Je veux bien que vous développiez une phobie contre la gauche, que vous entreteniez votre colère en fréquentant des sites internet que vous n'oseriez jamais aller voir si c"étaient de vrais lieux dans la vraie vie... Après tout, une part de l'anti-sarkozysme trouve ici son pendant. Mais de là à écrire n'importe quoi... La plupart des élus de droite prônent aussi la mixité sociale et ses vertus républicaines, et leurs comportement sont sans doute encore plus inciviques, de ce point de vue. Vous savez peut-être que la progression de l'entre-soi, en France, a été plus marquée chez les "classes supérieures" que chez les "classes inférieures". Il vous reste quoi comme argument, "la gauche donneuse de leçons" ? La droite ne passe-t-elle pas son temps à en donner ? Cela ne vous frappe pas vous, cette façon de surfer sur le retour à l'ordre moral tout en prônant le maximum de dérégulations par ailleurs ? En 2007, si on additionnait les voix de Royal, avec son côté chevènementiste fille de militaires, et celles de Bayrou, le gentleman farmer chrétien donneur de gifle, on pouvait voir lç un socle relativement humaniste en la matière... On en est où en 2014 ? Le FN a littéralement dévalisé ce fonds de commerce, tandis que l'UMP louche de plus en plus (pas du côté du centre, semble-t-il...). Franchement, ce serait la gauche anti-sarozyste qui nous aurait précipité vers l'abîme, ou serait-ce le sarkozysme et son Buisson ardent ? Le pire, c'est que pour la première fois où la gauche commence à sortir de son mensonge fondateur (nous sommes les seuls héritiers de la Résistance), la droite sombre dans la nostalgie de l'époque gaulliste, et ce ressentiment l'attire de plus en plus vers un néo-pétainisme soft. Vous vous rappelez de la petite bourde de Sarkozy pendant sa campagne, avec sa volonté de fêter le "vrai travail" ? Vous me direz, Hollande aussi est pas mal avec son 'je n'aime pas les riches", surtout maintenant où nous voyons que "les pauvres" lui préfèrent nos deux frontistes...
Euh... Je ne sais pas où vous avez lu que les élus de droite prônaient la ségrégation sociale... En tout cas, pas dans mon message... Je dis simplement que les élus de gauche ne mettent pas en application leurs grands principes, et malheureusement pas seulement dans le domaine de la mixité sociale. Mais visiblement, mon message vous a agacé... Ce
En réponse au message de Pierre33 du 20/04/14
Sans compter tous nos élus de gauche qui préconisent la mixité sociale mais s'arrangent pour inscrire leurs enfants dans les établissements scolaires des beaux quartiers...
Je ne savais pas que les élus de droite prônaient la ségrégation sociale... Je veux bien que vous développiez une phobie contre la gauche, que vous entreteniez votre colère en fréquentant des sites internet que vous n'oseriez jamais aller voir si c"étaient de vrais lieux dans la vraie vie... Après tout, une part de l'anti-sarkozysme trouve ici son pendant. Mais de
En réponse au message de Darius du 21/04/14
malheureusement, il n'y a pas qu'en Guyane.............il faudrait regarder le pourquoi du comment du "trou" de la SECU. , entre autre, et réfléchir à l'avenir de tous ces jeunes qui arriveront un jour sur le "marché du travail", sans boulot, sans avenir certain, et toutes ces "belles valeurs" qui disparaissent peu à peu, alors que nos grands parents, parents, ancêtres, ont mis des années à se battre et à faire accepter leur combat pour nous laisser quelque chose !
des amis, venus de métropole, m'ont dit :
il nous est interdit de parler de la NOEL ET DE PAQUES ET PENTECOTE dans certaines écoles.............
oui, nous perdons peu à peu nos "racines", nos valeurs et si cela continue....c'est grave et triste à la fois !
Ce "malheureusement il n'y a pas qu'en Guyane", que l'on nous sort pour tout et pour n'importe quoi est quand même une excuse facile ! Et justement, pourquoi, puisqu'on est en Guyane, population ridicule d'à peine 300 000 habitants étalée sur 400 kms de rive atlantique, ne serait-il pas le lieu pour mettre en place les éléments afin d'éradiquer les dérives de ce genre ? Nous avons bien su faire des lois d'exception, avec deux lignes de démarcation entre St Laurent et St Georges.
En réponse au message de Cush du 20/04/14
Et celles qui font des enfants, perçoivent les allocs, laissent les petits à la garde des plus grands et ne vivent même pas là. Sous prétexte de non stigmatisation, elles ne sont pas poursuivies pour abandon d'enfants. La vie est belle en Guyane...
malheureusement, il n'y a pas qu'en Guyane.............il faudrait regarder le pourquoi du comment du "trou" de la SECU. , entre autre, et réfléchir à l'avenir de tous ces jeunes qui arriveront un jour sur le "marché du travail", sans boulot, sans avenir certain, et toutes ces "belles valeurs" qui disparaissent peu à peu, alors que nos grands parents, parents,
En réponse au message de Philippe2 du 20/04/14
même un ministre de l'éducation nationale de F.Mitterrand envoyait ses enfants dans le privé ! (Chevènemment à l'école alsacienne de Paris)
Sans compter tous nos élus de gauche qui préconisent la mixité sociale mais s'arrangent pour inscrire leurs enfants dans les établissements scolaires des beaux quartiers...
En réponse au message de Bonpom du 20/04/14
"les vrais raisons sont plutôt là : [dans le public] "les instits et les profs ont beaucoup de mal à assurer dans une année scolaire au-delà de 75 %"
Dans certains cas , les cours auront même du mal à être assuré tout court :
aux concours du Capes externe, près de 15% des postes restent à pourvoir.
Quelques disciplines déficitaires : maths, anglais ou lettres modernes.
http://www.huffingtonpost.fr/2012/07/11/penurie-profs-rentree_n_1664207.html
Pour la comparaison public-privé au sujet de l'absentéisme, le taux de remplacement des congés maladie et maternité dans l’enseignement privé s’est élevé à 99.5% en 2009, et à seulement 92% dans l’enseignement public.
Le privé est plus efficace (peut-être moins de rigidité dans le système de remplacement).
http://www.ifrap.org/10-idees-fausses-sur-l-enseignement-public-prive,11932.html
"Dans certains cas , les cours auront même du mal à être assurés tout court..." Oui, et il va falloir s'y habituer car cela va devenir de plus en plus fréquent... Au mieux, les chefs d'établissements se débrouilleront pour trouver des vacataires afin que les élèves ne soient pas à la rue, mais il ne faudra pas être trop regardant sur leurs qualifications...
En réponse au message de Gilles Slm du 19/04/14
Oui, les vrais raisons sont plutôt là : les instits et les profs ont beaucoup de mal à assurer dans une année scolaire au-delà de 75 % de leur temps de présence en classe devant leurs élèves, pour les raisons les plus diverses et les plus variées, allant de l'excès de pluie au manque d'eau... Ce n'est pas l'école publique qui est en cause, c'est l'école publique en Guyane qui est à revoir de fond en combles, et nous pondre un "lycée d'excellence" ou autre connerie du genre n'y changera rien. Le privé ne ramasse pas les meilleurs élèves. Le privé ramasse les élèves des parents qui s'intéressent à l'avenir de leurs enfants.
"les vrais raisons sont plutôt là : [dans le public] "les instits et les profs ont beaucoup de mal à assurer dans une année scolaire au-delà de 75 %"
Dans certains cas , les cours auront même du mal à être assuré tout court :
aux concours du Capes externe, près de 15% des postes restent à pourvoir.
Quelques disciplines déficitaires : maths, anglais ou lettres modernes.
En réponse au message de Siegfried du 20/04/14
J'ai fréquenté certains établissements privés de Guyane, j'y ai fait tout mon secondaire. Et quand on y est, on comprend vite comment ils obtiennent leurs bons résultats, surtout dans le secondaire. En 6eme on était à peu près une vingtaine d'amis venant des quartiers cayennais de médan césaire mirza,cité anatole etc arrivé en terminal nous n'étions plus que deux .
Ce que les collèges privées peuvent se permettre, éjecter les élèves en difficultés Le public ne le peut pas ou difficilement. Mise .à part quelques rares exceptions vous ne trouverez pas dans le privée des enfants de 15 ans en 5eme par exemple, ou des mères avec deux enfants dans leur lycée.
La sélection est pour moi le facteur majeur dans la réussite du privée en Guyane.Car L'encadrement pour sa grande partie est assuré par fonctionnaires issues de l’Éducation Nationale (Prof, CPE,Surveillant ) , la vrai différence vient essentiellement du public encadré.
Au final quand on apprécie la valeur des établissements du privée en Guyane, surtout dans le secondaire il ne faut pas se tromper de perspectives.Ce que vous payez c'est surtout un environnement sain ( ce n'est pas Paul Kapel, Michotte ou Melkior) , mais si votre enfant a des problèmes il sera simplement éjecté..
D'ailleurs si l'encadrement de ces établissements privées est aussi excellent pourquoi tant de leurs élèves prennent-ils des cours particuliers?
"[dans l'enseignement privé] L'encadrement pour sa grande partie est assuré par fonctionnaires issues de l’Éducation Nationale (Prof, CPE,Surveillant )"
Les enseignants du privé n’ont pas le statut de fonctionnaire, même s’ils sont rémunérés par l’Etat. Le concours de l’enseignement privé, le CAFEP (identique au CAPES) donne accès à une liste d’aptitude : libre ensuite à l’établissement de le recruter ou pas.
Le personnel non-enseignant est, il me semble, financé entre autres par la contribution des familles.
En réponse au message de Ignorant97315 du 19/04/14
Thierry, vous vous voilez la face. La seule et unique raison en est la discrimination financière. Les classes populaires n'ont pas le choix et leurs enfants sont dans le public ! Les autres, ceux qui ont les moyens de ne pas se mélanger, peuvent payer pour rester entre soi. Cela porte un nom : la discrimination voulue et organisée. les résultats globaux n'en sont que la malheureuse conséquence !
même un ministre de l'éducation nationale de F.Mitterrand envoyait ses enfants dans le privé ! (Chevènemment à l'école alsacienne de Paris)
En réponse au message de Thierry97369 du 18/04/14
Bonjour,
Tout simplement les résultats, et un meilleur encadrement, meilleur suivi, car les bonnes écoles publique sont rare, Peut-être pas assez de moyen financier et humain, ou voire la volonté de maintenir l'éducation scolaire dans une espèce de bricolage qui dur depuis plusieurs années.
il ne faut pas se voiler la face.
Mais il est vrai qu'il n'a y pas forcément de la place pour tout le monde dans le privé.
Allez une pierre est jeté dans la marre scolaire.
J'ai fréquenté certains établissements privés de Guyane, j'y ai fait tout mon secondaire. Et quand on y est, on comprend vite comment ils obtiennent leurs bons résultats, surtout dans le secondaire. En 6eme on était à peu près une vingtaine d'amis venant des quartiers cayennais de médan césaire mirza,cité anatole etc arrivé en terminal nous n'étions plus
En réponse au message de Robespierre du 19/04/14
J'ai calculé qu'au 2ème trimestre de janvier à mars, mon enfant a raté une centaine d'heures de cours : un professeur malade (5 H de cours par semaine) et non remplacé deux mois ; le carnaval , la grève des stations service : les professeurs n'habitant pas KOUROU ne venaient, ensuite il y a eu des stages de formation ou remise à niveau pour les professeurs, et là on prépare déjà les examens de fin d'année Ce n'est pas une critique c 'est juste un constat.
Oui, les vrais raisons sont plutôt là : les instits et les profs ont beaucoup de mal à assurer dans une année scolaire au-delà de 75 % de leur temps de présence en classe devant leurs élèves, pour les raisons les plus diverses et les plus variées, allant de l'excès de pluie au manque d'eau... Ce n'est pas l'école publique qui est en cause, c'est l'école
En réponse au message de Ricky du 19/04/14
Mais c'est tout à fait çà ! Dans le public on aurait "tendance" à tirer vers le bas les résultats scolaires alors ceux qui peuvent (je n'en fait pas partie) mettent leurs enfants là où on les tire vers le "haut"… Quoi de plus naturel… …et de plus injuste…
J'ai calculé qu'au 2ème trimestre de janvier à mars, mon enfant a raté une centaine d'heures de cours : un professeur malade (5 H de cours par semaine) et non remplacé deux mois ; le carnaval , la grève des stations service : les professeurs n'habitant pas KOUROU ne venaient, ensuite il y a eu des stages de formation ou remise à niveau pour les professeurs, et là on prépare déjà les examens de fin d'année Ce n'est pas une critique c 'est juste un constat.
En réponse au message de Bonpom du 18/04/14
Une des explications sur les meilleurs résultats* des établissements privés sur les établissements publics :
(...) le milieu socio-économique des parents est un des facteurs les plus importants pour expliquer les performances des élèves (...) les établissements privés en attirant des élèves favorisés sont également plus susceptibles d’attirer des élèves plus performants et d’avoir de meilleurs résultats.
http://educationdechiffree.blog.lemonde.fr/2013/05/30/la-qualite-de-lenseignement-
* un des indicateurs : dans le palmares des 50 meilleurs lycées de France, les 2/3 sont privés.
Mais c'est tout à fait çà ! Dans le public on aurait "tendance" à tirer vers le bas les résultats scolaires alors ceux qui peuvent (je n'en fait pas partie) mettent leurs enfants là où on les tire vers le "haut"… Quoi de plus naturel… …et de plus injuste…
En réponse au message de Thierry97369 du 18/04/14
Bonjour,
Tout simplement les résultats, et un meilleur encadrement, meilleur suivi, car les bonnes écoles publique sont rare, Peut-être pas assez de moyen financier et humain, ou voire la volonté de maintenir l'éducation scolaire dans une espèce de bricolage qui dur depuis plusieurs années.
il ne faut pas se voiler la face.
Mais il est vrai qu'il n'a y pas forcément de la place pour tout le monde dans le privé.
Allez une pierre est jeté dans la marre scolaire.
Thierry, vous vous voilez la face. La seule et unique raison en est la discrimination financière. Les classes populaires n'ont pas le choix et leurs enfants sont dans le public ! Les autres, ceux qui ont les moyens de ne pas se mélanger, peuvent payer pour rester entre soi. Cela porte un nom : la discrimination voulue et organisée. les résultats globaux n'en sont que la malheureuse conséquence !
En réponse au message de Ella du 19/04/14
"Mais il est vrai qu'il n'a y pas forcément de la place pour tout le monde dans le privé.":
c'est le moins que l'on puisse dire...
L'enseignement privé scolarisant moins de 10 % des élèves en Guyane alors, forcément, il n'y a pas de place pour tout le monde !
Et la demande (malgré les critiques émises parfois sur ces établissements) reste supérieure à l'offre.
Contrairement (peut-être) à certaines idées reçues, l'enseignement privé ferait faire des économies à l'état : En comparant les crédits alloués à l’enseignement public et privé dans les lois de finances, on voit qu’un élève du privé a coûté 3426 € en moyenne en 2009, et 4607 € dans le public, un coût qui augmente dans le public. Ces crédits permettent de financer les « dépenses de personnel », les « dépenses de fonctionnement » et les « dépenses
En réponse au message de Ricky du 18/04/14
Peut-être les résultats scolaires ?
Une des explications sur les meilleurs résultats* des établissements privés sur les établissements publics : (...) le milieu socio-économique des parents est un des facteurs les plus importants pour expliquer les performances des élèves (...) les établissements privés en attirant des élèves favorisés sont également plus susceptibles d’attirer des élèves plus
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