215 messages - Inverser l'ordre
En réponse au message de Mira du 08/04/15
Vous brassez encore et encore. Vous comprenez toujours ce que vous voulez, vous déformez tout et toujours, votre interlocuteur est forcément débile et vous exigez qu'il vous présente ses excuses parce que vous êtes un honnête démago, ne comprenant rien de rien.
Laissez tomber, voulez-vous.
vous avez très justement compris sa façon de faire, exemplaire en mauvaise foi. il peut aussi extraire un mot de votre courrier et broder à l'infini. ah ces têtes d'oeufs qui n'arrivent même pas à profiter des cocotiers polynésiens... ce gars là, pourtant prof de philo, croit qu'en piétinant les autres, il se rehausse! je me souviens avoir eu quelques spécimens de ce genre en lycée, on prenait systématiquement l'inverse de ce qu'il disait pour parole d'évangile!
En réponse au message de Mira du 08/04/15
Cher ami préhistorique,
"les trucs emballés gentiment dans du papier bonbon se revelent de sombres histoires de fric au detriment d'un instrument de travail et des personnels..." ne font pas partie des règles économiques mais de la Justice.
Ne confondez pas, comme c'est régulièrement le cas, l'économie avec le fonctionnement des institutions, justice comprise. Ce sont deux mondes différents.
".les solutions certainement existent encore faut il avoir de la democratie et des politiques motivés par autre chose que leur petite personne et leur reelection pistonnees par machin et parce que truc chose..." Entièrement d'accord avec vous, mais encore une fois, je parle des règles économiques, de lois naturelles distinctes des dysfonctionnements de la société.
L'origine de la discussion est la contestation de l'intervention des pouvoirs publics dans l'usage des bénéfices des sociétés.
je vais essayer de repondre dans les bonnes cases cette foi .....la justice est ce qu'en fait le pouvoir , (etats unis ou poutine) et son fontionnement est tres selectif.....on les brise au petit pour un peu de retard sur un reglement mais qui de toute maniere va payer, et on laisse les gros endormir des sommes colossales ..... meme qu'ils restent eligibles...(france)
En réponse au message de Mira du 08/04/15
Vous brassez encore et encore. Vous comprenez toujours ce que vous voulez, vous déformez tout et toujours, votre interlocuteur est forcément débile et vous exigez qu'il vous présente ses excuses parce que vous êtes un honnête démago, ne comprenant rien de rien.
Laissez tomber, voulez-vous.
De quelles excuses exigées parlez-vous? Et vous exagérez, je ne vous ai jamais traitée de débile, l'argument oiseux et démago du "délire" vous étant directement emprunté, par simple renvoi de politesse rhétorique. Plutôt dommage que vous butiez donc aussi aisément sur ce genre d'agréments, dont vous abusez pourtant.
En réponse au message de 3wap du 07/04/15
Et pourtant, lorsque vous nous pondez pour seule argumentation naïve, que "l'action de la Fed est aux antipodes de la logique économique élémentaire.". En lui reprochant en passant d'avoir sauvé les banques...Pardon, mais on perçoit à quel point l'interventionnisme politique semble vous être idéologiquement insupportable. À croire en vous lisant, que le principe du "Too big to fail" et l'interventionnisme étatique qu'il sous-entend, serait une complète fiction politique dénuée de toute logique économique (si tant est que le principe même de préservation de l'économie puisse en être).
Mais alors, quelle autre logique élémentaire défendez-vous, en semblant occulter ainsi tout risque d'effondrement économique lié à l'effondrement bancaire? Quelle alternative autre que le renflouement étatique préconisez-vous donc? Ne me dites pas que vous prôneriez vous aussi la re-nationalisation du système bancaire en cas de faillites des banques privées... Ce serait plutôt inattendu. Ou alors vous faut-il plutôt des millions de citoyens ruinés (une fois leurs banques sur le carreau) pour pouvoir émettre le constat satisfait, que "la logique économique élémentaire" à bien été respectée, sans la moindre intervention étatique?
Bref, votre argument hors-sol quasi-religieux sur la "logique économique élémentaire" ne vaut toujours pas tripette, dans un monde où les logiques politiques entendent justement stabiliser et préserver l'économie. Parce qu'en dehors de cela, ne reste plus que le délire (si vous me permettez d'emprunter vos effets) de l'auto-régulation économique immanente, via la fameuse "main invisible du marché". Mais j'espère sincèrement que vous n'en êtes plus là...
Vous brassez encore et encore. Vous comprenez toujours ce que vous voulez, vous déformez tout et toujours, votre interlocuteur est forcément débile et vous exigez qu'il vous présente ses excuses parce que vous êtes un honnête démago, ne comprenant rien de rien.
Laissez tomber, voulez-vous.
En réponse au message de Mira du 04/04/15
Avec vos manières d'argumenter à côté vous ne devriez pas vous offusquer des « ornements ». Vous ornez abondamment les écrits des autres. L'invitation à l'abandon des propos sans contenance comme le « néo-libérale » n'est pas un « ornement », c'est une condition des échanges intelligibles.
Vous continuez à brasser le néant, vous citez des textes à votre convenance, vous déformez encore et encore. Vous allez sur un terrain trop lointain pour vous. Vous ne comprenez pas la différence entre gestion et imposition, vous ignorez la notion d'agents économiques et vous ne comprenez strictement rien à ce que je viens de vous écrire au sujet de la Fed et les banques.
Il est inutile de discuter avec vous sur le rôle de l'état et ses limites. Vous êtes un brave, un idéologue borné.
Et pourtant, lorsque vous nous pondez pour seule argumentation naïve, que "l'action de la Fed est aux antipodes de la logique économique élémentaire.". En lui reprochant en passant d'avoir sauvé les banques...Pardon, mais on perçoit à quel point l'interventionnisme politique semble vous être idéologiquement insupportable. À croire en vous
En réponse au message de 3wap du 03/04/15
Difficile de suivre le fil de votre augmentation avec autant d'ornements...quoique j'en sois moi-même très friand:
"Vous êtes dur de tête... "
"Restez honnête dans vos propos,"
"vous ne semblez pas être suffisamment abrouti pour vous décrocher :"
"Historiquement. Il n'y a pas que 3wap. Preuve en est la proposition alcoolémique sarkozyenne, vite expédiée sous la chasse d'eau."
"Oubliez les qualificatifs gauchisantes style "néo-libérale" et autres délires dépourvus de contenu."
Touchante attention donc. Merci beaucoup! Entre ce flot, je crois néanmoins avoir perçu que vous consentiez à concevoir, qu'un rapport de force politique (dont je vous laisse l'appréciation incantatoire: fausse, liberticide, anti-économique, anti-libérale) peut exister. Et il semblerait donc qu'en cas d'excès de la part de certains agents économiques privés, les instances "politiques" puissent bizarrement se décider à réguler (pardon pour ce gros-mot) en s'immisçant dans leur gestion interne. Indépendant de vos considérations morales et quasi excommuniantes sur le bien-fondé de cette intervention, nous partageons au moins l'idée de sa réalité. Ça ne va pas donc mieux, mais ce n'est déjà pas si mal...
Partant, je tente juste de vous suggérer que (pour un gauchiste lambda si vous voulez) la mise en œuvre à d'autres échelles, d'un même rapport de force est envisageable partout ailleurs qu'aux USA. En particulier lorsque l'Etat (sous un gouvernement socialiste...) octroie sans la moindre contrepartie tangible des avantages (fiscaux) qu'il lui suffirait simplement de conditionner. Sans comparer, l'exemple de la FED devant juste vous inciter à réaliser que l'exercice de ce rapport de force politico-économique n'est pas qu'une pure fantaisie de gauchistes...mais juste une potentialité millénaire.
Pour vous aidez à avaler la pullule face à tant d'hérésie anti-libérale, dites moi donc si à un tout autre niveau et contexte (pour ventiler les odeurs de fromages) certaines politiques fort communes d'incitation de l'investissement privé (défiscalisation, contre revenus fonciers conventionnés) vous sont tout aussi insupportables? L'Etat, octroyant à un investisseur privé (monsieur tout-le-monde bénéficiant d'une Girardin, Scellier, ou autre...) certains avantages, sous réserve qu'ils se contraignent en contrepartie à cadrer ses profits ultérieurs (revenus) dans l'intérêt général. Si par miracle la chose ne vous empêchait pas de dormir, dites-moi donc pourquoi la logique: avantages fiscaux (et donc avantages économiques) contre bonnes pratiques de gestions des bénéfices, deviendrait subitement totalement insensée et liberticide en passant à l'échelon économique supérieur? Les agents économiques privés ayant toute la liberté de refuser le deal.
Sinon, pour tentez de vous faire entendre qu'il n'y pas une seule logique, et donc à fortiori pas de "logique économique élémentaire" (s'agissant de la FED il conviendrait d'ailleurs de parler de logique ou politique monétaire...) ce lien à propos du retour en grâce récent d'un démon, pourtant parfaitement libéral, que je ne suis certainement pas tout seul à apprécier:
http://www.alternatives-economiques.fr/keynes--toujours-actuel_fr_art_633_37727.html
Et surtout ceci, afin de mieux vous faire appréhender cette attitude démoniaque de la FED qui a donc eu l'impudence liberticide (fut-elle biaisée) de contraindre à serrer la vis au banquiers en matière de distribution de dividendes:
"Surtout, c'est la réhabilitation du rôle de l'Etat et de celui des banques centrales qui a conforté les idées keynésiennes. "Les libéraux et les monétaristes pensent que le comportement des Etats va à l'encontre du bon fonctionnement de l'économie", déplore Xavier Timbeau. Ce dogme anti-Etat aurait même guidé les fondateurs de la zone euro, qui ont coupé le cordon entre la Banque centrale européenne (BCE) et les Etats, et focalisé l'institution sur le seul objectif d'inflation. "La zone euro a institutionnalisé la doxa monétariste, en figeant ses institutions dans des règles inadaptées qui expliquent une grande partie de ses dysfonctionnements, regrette Daniel Cohen. A l'inverse, la Réserve fédérale a été beaucoup plus réactive, car elle n'avait pas ce corset idéologique." En clair, elle s'est montrée plus keynésienne…"
http://www.challenges.fr/economie/20130912.CHA4225/keynes-le-retour.html
Il faut donc reconnaître cette qualité aux ricains, un certain pragmatisme échappant à tout carcan idéologique. Y compris lorsqu'il s'agit d'afficher la volonté de suivre des "règles" de bon sens dans la distribution des dividendes, des agents économiques jugés fautifs. Des règles de bon sens induites dans le cadre de stresstests pratiqués dans l'intérêt général, au sortir d'une lourde crise financière puis économique. Est-ce dont cela que vous trouvez si insensé et liberticide?
Avec vos manières d'argumenter à côté vous ne devriez pas vous offusquer des « ornements ». Vous ornez abondamment les écrits des autres. L'invitation à l'abandon des propos sans contenance comme le « néo-libérale » n'est pas un « ornement », c'est une condition des échanges intelligibles. Vous continuez à brasser le néant, vous citez des textes à
En réponse au message de Mira du 03/04/15
Ce n'est pas une thèse mais la réalité. Non pas franco-française mais universelle. Un état en faillite prend là où il peut, notamment dans les épargnes existantes comme à venir, celle des générations futures.
D'où l'intérêt de mettre ses économies à l'abri de tous les prédateurs, état compris.
En réponse au message de Mira du 03/04/15
Vous êtes dur de tête... Vous voulez absolument rester sur un élément de la construction, sortir voire isoler une phrase, la tordre dans tous les sens et lui faire dire le tout et le contraire.
Restez honnête dans vos propos, vous ne semblez pas être suffisamment abrouti pour vous décrocher :
Non, je n'ai pas affirmé que les dirigeants des banques ou de n'importe quelles entreprise puissent renoncer à disposer librement de leur bénéfices. Je tente de vous faire comprendre que la règle dictée par la Fed aux seules banques est une mesure politique, étatique, de type bolchévik si vous voulez, exceptionnelle et fausse.
Mesure inouïe justifiée par le sauvetage des ces banques par les pouvoirs publics. mesure fausse car en échange la rémunération des dirigeants s'est envolée et surtout parce que l'émission exagérée de la monnaie (due à leur sauvetage..) et les bénéfices bancaires qui en résultent compenseront largement la petite baisse relative (en pourcentage) des dividendes, qui se trouveront encore supérieures (en absolu) aux bénéfices d'avant-crise...
La mesure de la Fed est donc une mesure anti-économique et liberticide en soi, anti-libérale à souhait, mais acceptée avec le sourire par les banquiers intéressés largement récompensés sous les yeux de ceux qui n'en déduisent que le bien-fondé de l'intrusion étatique dans la gestion des entreprises....
.
Ce genre de "politique", ou plutôt arrangement n'est possible qu'aux US, pour cause monétaire. Pour revenir à nos oignons qui puent le fromage, toute comparaison est insensée. Sans aller jusqu'au constat de l'impuissance monétaire, les capacités de négociation et de réflexion font déjà défaut, car le milieu est démagogique. Historiquement. Il n'y a pas que 3wap. Preuve en est la proposition alcoolémique sarkozyenne, vite expédiée sous la chasse d'eau.
Oubliez les qualificatifs gauchisantes style "néo-libérale" et autres délires dépourvus de contenu.
Ca va mieux ?
Difficile de suivre le fil de votre augmentation avec autant d'ornements...quoique j'en sois moi-même très friand:
"Vous êtes dur de tête... "
"Restez honnête dans vos propos,"
"vous ne semblez pas être suffisamment abrouti pour vous décrocher :"
"Historiquement. Il n'y a pas que 3wap. Preuve en est la proposition alcoolémique
En réponse au message de Jcb du 03/04/15
Et ceci à l'intention de 3wap qui me prend pour un débile quand je défends cette thèse:
http://www.info-contre-info.fr/video lorsquhollande-emprunte-france-donne-garantievos-economies
Ce n'est pas une thèse mais la réalité. Non pas franco-française mais universelle. Un état en faillite prend là où il peut, notamment dans les épargnes existantes comme à venir, celle des générations futures.
En réponse au message de Mira du 02/04/15
Cette femtométrique loi Macron leur est déjà insupportable... Désespérant.
Et ceci à l'intention de 3wap qui me prend pour un débile quand je défends cette thèse:
http://www.info-contre-info.fr/video lorsquhollande-emprunte-france-donne-garantievos-economies
En réponse au message de 3wap du 02/04/15
Allons-y progressivement. Je n'ai pas bien saisi votre position...
"qui est le fou qui investirait dans un pays où il ne peut disposer librement de ses bénéfices espérés ?"
Admettez-vous oui ou non, cette simple réalité qui veut que sous la pression politiques, des banques privées dont les dirigeants sont à priori en possession de toutes leurs facultés, puissent contrairement à ce que vous affirmiez, renoncer à disposer librement de leur bénéfices?
Vous êtes dur de tête... Vous voulez absolument rester sur un élément de la construction, sortir voire isoler une phrase, la tordre dans tous les sens et lui faire dire le tout et le contraire. Restez honnête dans vos propos, vous ne semblez pas être suffisamment abrouti pour vous décrocher : Non, je n'ai pas affirmé que les dirigeants des banques ou de
En réponse au message de Mira du 02/04/15
Vos prises de position habituelles me font dire que toute discussion portant sur l'économie paraît inutile avec vous, mais vos erreurs sont tellement caricaturales que je me laisse tenter.
Tout d'abord, vous minez toute discussion possible, car vous assimilez la liberté au concept fumeux du "néo-libérale" qui n'a rien de "néo" et trop peu de "libérale".
Ensuite, vous ne comprenez rien à l'action de la Fed. L'intervention de cet organisme est due au sauvetage des banques américaines (à peu près toutes) qui auraient dû faire faillite en 2008. Il s'agit d'une revendication de la société civile qui a payé indirectement les dégâts, via la planche à billet pompeusement rebaptisée 'quantitative easing". C'est un choix politique, pour calmer le peuple. Remarquez que les salaires du secteur ont largement dépassé le niveau d'avant...
Puis, la Fed n'est absolument pas le truc ultra-super-libéral que vous imaginez : si le Fed était libérale, elle n'aurait pas sauvé les banques.
En droit, ce sont les actionnaires et les dirigeants qui auraient dû payer les pots cassés...mais les banques ne sont pas traitées comme des entreprises normales, l'imbrication avec le monde politique étant trop forte. C'est tout le problème.
Cette mesure de limitation des dividendes est aberrante dans l'absolu et dans le relatif.... En quelque sorte, la Fed prend cette mesure pour parer aux risques économiques (la faillite) des choix souverains des actionnaires (bouffer le pognon), parce qu'elle (la Fed) n'est pas prêt à traiter les banques "en libéral", en leur laissant assumer les conséquences de leurs choix.
A vrai dire, l'action de la Fed est aux antipodes de la logique économique élémentaire.
Vous comprenez peut-être que les banques ne fuiront absolument pas ce " nouveau territoire bolchevik, régi d'une main de fer par cette banque centrale US, qui met désormais son nez dans la redistribution des ...." là, remplacer votre blabla et poursuivez : "de la richesse des citoyens US et ceux du monde entier, en la captant par l'inflation provoquée et la versant" aux puissantes entreprises du monde de la finance.
Pourquoi fuiraient-elles ce paradis où elles peuvent faire n'importe quoi et seront toujours sauvées par le pognon public ?
Vous avez compris quelque chose ?
Allons-y progressivement. Je n'ai pas bien saisi votre position...
"qui est le fou qui investirait dans un pays où il ne peut disposer librement de ses bénéfices espérés ?"
Admettez-vous oui ou non, cette simple réalité qui veut que sous la pression politiques, des banques privées dont les dirigeants sont à priori en possession de toutes leurs facultés, puissent contrairement à ce que vous affirmiez, renoncer à disposer librement de leur bénéfices?
En réponse au message de 3wap du 02/04/15
Et comment un gardien du temple de l'idéologie néolibérale, parvient-il donc à nous expliquer ce genre de folle hérésie régulatrice, dans le saint des saints ultralibéral:
http://www.lemonde.fr/la-fed-oblige-certaines-banques-a-limiter-les-dividendes_
"Les contraintes imposées par la Fed aux grandes banques commencent à produire des effets spectaculaires en termes de distribution de dividendes. Selon Reality Share, une firme d’investissement citée par le Wall Street Journal, les 23 banques de l’indice S&P 500 avaient distribué en 2007 plus de 45 milliards de dollars à leurs actionnaires. Le chiffre est tombé à 26,4 milliards cette année."
À vous lire, il faut donc s'attendre à une désertion imminente des grandes banques d'affaires, qui selon votre argument:
"qui est le fou qui investirait dans un pays où il ne peut disposer librement de ses bénéfices espérés ?"
...ne manqueront pas de fuir rapidement ce nouveau territoire bolchevik, régi d'une main de fer par cette banque centrale US, qui met désormais son nez dans la redistribution des bénéfices de ces puissantes entreprises du monde de la finance. Le contraire signifierait par contre que vos théorèmes, sanctifiant l'impuissance politique face au pouvoir de l'argent, peuvent parfois avoir un peu de plomb dans l'aile...
Vos prises de position habituelles me font dire que toute discussion portant sur l'économie paraît inutile avec vous, mais vos erreurs sont tellement caricaturales que je me laisse tenter. Tout d'abord, vous minez toute discussion possible, car vous assimilez la liberté au concept fumeux du "néo-libérale" qui n'a rien de "néo" et trop peu de "libérale". Ensuite,
En réponse au message de Jcb du 02/04/15
"Rien, absolument rien n'empêche un salarié de devenir actionnaire d'une entreprise cotée en bourse. " Il y a même plus: certaines entreprises proposent une participation sous forme d'actions avec un abondement patronal (actions à prix réduit)
Vous avez déjà vu les syndicats en faire la publicité et y inciter leurs adhérents ?
Mais non, c'est tellement plus facile de dénoncer ces salauds de capitalistes et réclamer toujours plus d'avantages pour consommer plus sans prendre le moindre risque
Quant à l'Etat qui ne sait même pas combien il a d'employés, il peut facilement leur accorder des avantages qui seront payés non pas par les hommes politiques qui gouvernent, mais par les contribuables (patrons et salariés) dont 46% de ce que rapporte leur travail est dépensé sans contrôle du peuple, ou si peu: voir ce qu'on fait des rapports de la Cour des Comptes
Oui, il reste encore beaucoup de réformes à faire dans notre beau pays
Cette femtométrique loi Macron leur est déjà insupportable... Désespérant.
En réponse au message de Mira du 01/04/15
Tu as raison sur toute la surface. Seulement, l'eau est profonde...
Pour prendre ton exemple de Sanofi, si la conséquence de la décision des actionnaires sera la mort de l'entreprise, alors cette entreprise sera morte. D'autres prendront sa place et il n'y a pas à lamenter dessus. Cela a toujours été et sera toujours le cas. La théorie de la destruction créatrice n'est pas une découverte économique, c'est juste une évidence physique.
Ce qu'il faut comprendre, c'est que les actionnaires sont les propriétaires de l'entreprise. Comme tu es le propriétaire de tes chaussettes, de ta voiture, de ta maison etc (cf 3wap)
Non, une entreprise n'est pas une association de personnes égales, comme tu le sous-entends. Non, les employés n'en sont pas propriétaires. Non, ils n'ont pas de mot à dire dans la gestion. NON.
Ceux qui disent le contraire confondent le droit et le capitalisme. Ils échouent dans le droit et ils se vengent sur le capitalisme. Erreur fatale. D'où ton 1 %, entre autres...
C'est là qu'il faut comprendre l'importance de la propriété privée. Tu peux sombrer dans le collectivisme débridé, mais tu échoueras toujours : la Nature gagne à tous les coups, comme contre Marx qui est complètement passé à côté de l'Homme.
Si tu interviens dans la répartition des bénéfices, l'entreprise sera morte encore plus vite et rien ne la remplacera : qui est le fou qui investirait dans un pays où il ne peut disposer librement de ses bénéfices espérés ?
J'arrête parce que je me ferai insulter...
Et comment un gardien du temple de l'idéologie néolibérale, parvient-il donc à nous expliquer ce genre de folle hérésie régulatrice, dans le saint des saints ultralibéral:
http://www.lemonde.fr/la-fed-oblige-certaines-banques-a-limiter-les-dividendes_
"Les contraintes imposées par la Fed aux grandes banques commencent à produire des effets spectaculaires en termes de distribution de dividendes. Selon Reality Share, une firme
En réponse au message de Mira du 02/04/15
Rien, absolument rien n'empêche un salarié de devenir actionnaire d'une entreprise cotée en bourse. La démocratisation des investissements opérée par l'internet est passée par là. Yaka prendre des risques et y mettre ses économies...
Mais comme par hasard, les employés préfèrent d'exiger des droits qu'ils ne doivent pas avoir, au lieu de se regrouper en association des salariés petits porteurs et se faire représenter ainsi.
A défaut de cotation en bourse, les salariés pourront aussi se regrouper, non pas pour des piquets de grève ou d'autres séquestrations syndicalistes, mais pour proposer leurs économies réunies comme participation à une éventuelle augmentation du capital...
Avant de réclamer des droits de propriétaires, il faut déjà y mettre sa mise, chers revendicateurs.
Main non, en France nous avons les Saint Dicats, avec leurs Paons et pires.
En Allemagne, les syndicats ont acceptés des réductions de salaires pour le redressement de leurs entreprises, ex. VW.
Tel employé, tel patron. Et vice versa.
Au passage, il faudrait peut-être re-pénaliser la délinquance à col blanc, violemment dépénalisée par Sarkozy.
"Rien, absolument rien n'empêche un salarié de devenir actionnaire d'une entreprise cotée en bourse. " Il y a même plus: certaines entreprises proposent une participation sous forme d'actions avec un abondement patronal (actions à prix réduit)
Vous avez déjà vu les syndicats en faire la publicité et y inciter leurs adhérents ?
Mais non, c'est tellement plus facile de dénoncer ces salauds de capitalistes et réclamer
En réponse au message de Jcb du 01/04/15
Encore une fois: la solution c'est De Gaulle qui l'a proposée: l'actionnariat dans l'entreprise, l'association Capital-Travail
Dans les entreprises nationalisées, c'est les représentants de l'Etat qui étaient censés défendre "l'intérêt général"
L'expérience a montré qu'il n'en était rien, et que l'Etat était un très mauvais patron
Par contre lorsque les salariés sont actionnaires et représentent suffisamment de capital pour avoir droit à la parole au Conseil d'Administration, on les respecte et eux prennent soin de leur entreprise, en particulier dans le choix des investissements puisque c'est leur propre patrimoine qui est en jeu
Alors que les syndicats "représentants du personnel" qui y siègent peuvent dire n'importe quoi: ils ne prennent aucun risque sur leurs biens propres
Rien, absolument rien n'empêche un salarié de devenir actionnaire d'une entreprise cotée en bourse. La démocratisation des investissements opérée par l'internet est passée par là. Yaka prendre des risques et y mettre ses économies...
Mais comme par hasard, les employés préfèrent d'exiger des droits qu'ils ne doivent pas
Bonjour à tous
Lé 19/3/15 j'avais écrit un post en rep à Jcb qui lui disait que les USA ce n'est pas le Pérou . Je ne m'étais pas aventuré sur le terrain économique mais j'avais comme tout un chacun des infos disant que l'économie des USA n'est pas très bonne et est en trompe l'œil .
Je viens de trouver ce lien qui a tendance à noircir le tableau , mais comme ce sont des courbes officielles il est difficile de les contester . http://www.economiematin.fr/news-situation
Dire que nous avions en ce moment l'occasion unique de prendre appui sur les demandes grecques pour infléchir cette politique suicidaire de l'austérité.
Eh bien non, même pas.... Notre président qui s'est faire élire comme socialiste, s'aligne sur Mme Merkel.... C'est affligeant. Aujourd'hui clash entre l'Eurogroupe et la Grèce.....
Nous sommes dans le même cas que la Grèce. Avec une dette non remboursable. Mais combien de temps va-t-il falloir pour le faire admettre et que l'on puisse enfin changer de politique et arrêter de faire souffrir des générations entières !!!!!
En réponse au message de Francois97351 du 07/02/15
Bêtise... J'ai personnellement créé plusieurs entreprises en Guyane.. Tout peut se faire en ligne et très rapidement. La dernière en 48 heures ! Connectez vous sur www.statutsonline.com, tout y est expliqué et très clair et surtout, on remplis les documents en ligne. Il y a même possibilité de se domicilier partout dans le monde... Ah, le Delaware !!!... Je n'ai jamais fait confiance à qui que ce soit pour faire les démarches. Méfiez vous des escrocs et des conseilleurs en tout genre. Au fait, la personne qui a créé une entreprise au Suriname a été obligée de prendre un associé originaire de ce pays, comme au Brésil d'ailleurs ?
Désolé, jcb, ma réponse ne t'était pas adressée mais plutôt à Philippe2. CLDT
En réponse au message de Jcb du 06/02/15
"je lis entre les lignes que vous n'envisager une Guyane indépendante qu'agricole!"
Mais non, je l'envisage très industrielle: quand vous serez indépendants vous allez nous installer des usines d'automobile, d'aviation, d'électroménager et vous allez innonder l'Amérique du Sud de produits "made in Guyane Décolonisée"
Bêtise... J'ai personnellement créé plusieurs entreprises en Guyane.. Tout peut se faire en ligne et très rapidement. La dernière en 48 heures ! Connectez vous sur www.statutsonline.com, tout y est expliqué et très clair et surtout, on remplis les documents en ligne. Il y a même possibilité de se domicilier partout dans le monde... Ah, le Delaware !!!... Je
En réponse au message de Philippe2 du 06/02/15
vous avez entièrement raison: retraité, je n'accepterai jamais d'aller cueillir du café (sauf chez moi) d'ailleurs les caféiers poussent très difficilement ici!
je lis entre les lignes que vous n'envisager une Guyane indépendante qu'agricole! espérons donc que des terres, aujourd'hui propriété de l'état, seront mises à la dispositions d'éventuels agriculteurs; discutez avec les profs et jeunes du lycée agricole pour apprendre leurs difficultés, on dirait que les batons dans les roues soient la règle.
essayez aussi de créer une entreprise, ça n'est plus des batons mais des poutres . même si vous êtes d'une famille reconnue (Bernard Lama a mis dix ans avant d'être autorisé à commercialiser de l'eau guyanaise.) et personnellement, un de mes beaux frères a tenté l'expérience, une pile de dossiers à remplir, l'urssaf, des cotisations de ci de là devaient être payées avant même que l'entreprise ne fasse un quelconque bénéfice. résultat, il l'a créé à Paramaribo en une semaine, a embauché et fait travailler des Surinamiens; je vous laisse méditer.
et n'oubliez surtout pas que le csg sera toujours là, à moins qu'il y ait des départs massifs vers Baïkonour !
Vous voulez créer une entreprise ? Allez à la chambre des métiers, ce sera fait dans la demie heure. Certes, vous recevrez dans la semaine un acompte à payer pour le RSI.
Mais, vous pouvez commencer à travailler et embaucher immédiatement.
Par contre si vous voulez des terres gratuites, si vous voulez des aides afin de monter votre
En réponse au message de Philippe2 du 06/02/15
vous avez entièrement raison: retraité, je n'accepterai jamais d'aller cueillir du café (sauf chez moi) d'ailleurs les caféiers poussent très difficilement ici!
je lis entre les lignes que vous n'envisager une Guyane indépendante qu'agricole! espérons donc que des terres, aujourd'hui propriété de l'état, seront mises à la dispositions d'éventuels agriculteurs; discutez avec les profs et jeunes du lycée agricole pour apprendre leurs difficultés, on dirait que les batons dans les roues soient la règle.
essayez aussi de créer une entreprise, ça n'est plus des batons mais des poutres . même si vous êtes d'une famille reconnue (Bernard Lama a mis dix ans avant d'être autorisé à commercialiser de l'eau guyanaise.) et personnellement, un de mes beaux frères a tenté l'expérience, une pile de dossiers à remplir, l'urssaf, des cotisations de ci de là devaient être payées avant même que l'entreprise ne fasse un quelconque bénéfice. résultat, il l'a créé à Paramaribo en une semaine, a embauché et fait travailler des Surinamiens; je vous laisse méditer.
et n'oubliez surtout pas que le csg sera toujours là, à moins qu'il y ait des départs massifs vers Baïkonour !
"je lis entre les lignes que vous n'envisager une Guyane indépendante qu'agricole!"
Mais non, je l'envisage très industrielle: quand vous serez indépendants vous allez nous installer des usines d'automobile, d'aviation, d'électroménager et vous allez innonder l'Amérique du Sud de produits "made in Guyane Décolonisée"
En réponse au message de Patrice C du 05/02/15
bonjour,
on pourrait aussi faire travailler les enfants, pourquoi pas ?
http://www.beurk.com/dossiers/les-enfants-esclaves-du-cacao-en-afrique-occidentale
dans certains pays, ça se pratique, et personne ne dit rien (c'est tellement bon le chocolat....ou le café ! ) http://www.iuf.org/wdacl/bitterharvest-f.pdf
raison de plus pour rester en France et pas en Guyane Libre...!
En réponse au message de Jcb du 05/02/15
Je ne suis pas sûr que Philippe 2 se contentera d'un emploi de simple cueilleur de café dans cette nouvelle république Guyanaise
Il doit surement viser beaucoup plus haut...
vous avez entièrement raison: retraité, je n'accepterai jamais d'aller cueillir du café (sauf chez moi) d'ailleurs les caféiers poussent très difficilement ici!
je lis entre les lignes que vous n'envisager une Guyane indépendante qu'agricole! espérons donc que des terres, aujourd'hui propriété de l'état, seront mises à la dispositions d'éventuels
En réponse au message de Cacahouette du 04/02/15
Du café en Guyane ,les études ont commencées il y a plus de 25 ans sur le site de Paracou a Sinnamary ,par contre les plants d' acacias et eucalyptus de Paracou le rendements est excellent pour le charbon de bois ,merci le cirad pour vos poubelles
cacahouete tu fais suer .....fais en sorte que tes lecteurs te comprennent et prends le temps d'expliquer.....tu sautes du coq a l'ane et resultat personne entrave que dalle......on part du café y'a 25 ans et on atterit sur du charbon de bois et moi j'ai rien compris .....alors secoue ta flemme et explique comme y faut les tenants et les aboutissants parce ce que sinon c'est
En réponse au message de Koro du 05/02/15
Un collègue Martiniquais, indépendandiste, m'aurait répondu "oui, mais, ce n'est pas moi qui vais cueillir le café" ! Ce sera le travail du "peuple"
bonjour,
on pourrait aussi faire travailler les enfants, pourquoi pas ?
http://www.beurk.com/dossiers/les-enfants-esclaves-du-cacao-en-afrique-occidentale
dans certains pays, ça se pratique, et personne ne dit rien (c'est tellement bon le chocolat....ou le café ! ) http://www.iuf.org/wdacl/bitterharvest-f.pdf
En réponse au message de Robespierre du 05/02/15
On peut remplacer "martiniquais" par d'autres qualificatifs régionaux.
Ce n'était pas dirigé, il se trouve simplement que j'habitais là avant et pendant longtemps.
En réponse au message de Koro du 05/02/15
Un collègue Martiniquais, indépendandiste, m'aurait répondu "oui, mais, ce n'est pas moi qui vais cueillir le café" ! Ce sera le travail du "peuple"
On peut remplacer "martiniquais" par d'autres qualificatifs régionaux.
En réponse au message de Jcb du 05/02/15
Je ne suis pas sûr que Philippe 2 se contentera d'un emploi de simple cueilleur de café dans cette nouvelle république Guyanaise
Il doit surement viser beaucoup plus haut...
Un collègue Martiniquais, indépendandiste, m'aurait répondu "oui, mais, ce n'est pas moi qui vais cueillir le café" ! Ce sera le travail du "peuple"
En réponse au message de Pierre33 du 04/02/15
Et puis, le problème du café, c'est qu'il nécessite beaucoup de main-d’œuvre, surtout pour la cueillette... Or, avec des salaires français, les charges sociales françaises, pour être rentable, ce café devrait être vendu à prix d'or... Là encore, une solution, qui ne devrait pas déplaire à Philippe2: l'indépendance... En appliquant des salaires et des charges sociales similaires à ceux que l'on trouve au Pérou ou au Cameroun, il n'y aura plus de problème, on pourra vendre le café guyanais.
Je ne suis pas sûr que Philippe 2 se contentera d'un emploi de simple cueilleur de café dans cette nouvelle république Guyanaise
Il doit surement viser beaucoup plus haut...
En réponse au message de Koro du 04/02/15
Renseignez vous avant de parler. Il y a plusieurs hectares de café qui sont à l'étude par l'INRA, mélange de robusta et arabica, à Régina. Mais, ce café sera-t-il équitable et pour qui ? Posons nous la question de la signification du mot "équitable" qui ne l'est pas forcément pour ceux que l'on croit !
bonjour,
je vous rejoins complètement sur la notion d'équitabilité.
ce qui est équitable est toujours plutôt équitable dans un seul sens.
on appelle ce phénomène le greenwashing. avec des angles plus arrondis
En réponse au message de Koro du 04/02/15
Renseignez vous avant de parler. Il y a plusieurs hectares de café qui sont à l'étude par l'INRA, mélange de robusta et arabica, à Régina. Mais, ce café sera-t-il équitable et pour qui ? Posons nous la question de la signification du mot "équitable" qui ne l'est pas forcément pour ceux que l'on croit !
Du café en Guyane ,les études ont commencées il y a plus de 25 ans sur le site de Paracou a Sinnamary ,par contre les plants d' acacias et eucalyptus de Paracou le rendements est excellent pour le charbon de bois ,merci le cirad pour vos poubelles
En réponse au message de Koro du 04/02/15
Renseignez vous avant de parler. Il y a plusieurs hectares de café qui sont à l'étude par l'INRA, mélange de robusta et arabica, à Régina. Mais, ce café sera-t-il équitable et pour qui ? Posons nous la question de la signification du mot "équitable" qui ne l'est pas forcément pour ceux que l'on croit !
Et puis, le problème du café, c'est qu'il nécessite beaucoup de main-d’œuvre, surtout pour la cueillette... Or, avec des salaires français, les charges sociales françaises, pour être rentable, ce café devrait être vendu à prix d'or... Là encore, une solution, qui ne devrait pas déplaire à Philippe2: l'indépendance... En appliquant des salaires et des charges sociales similaires à ceux que l'on trouve au Pérou ou au Cameroun, il n'y aura plus de problème, on pourra vendre le café guyanais.
En réponse au message de Prince Kindou du 04/02/15
Pourquoi de grands projets sur le commerce équitable ne sont pas lancés en Guyane ?
C'est le territoire rêvé pour s'y lancer, par exemple les cultures de café ou coton ou autres, sachant que c'est un secteur en pleine croissance où il ne faut pas louper le fil et SURTOUT où son éthique est primordiale.
Le domaine est encore très peu exploité, il y a un marché, surtout dans cette mondialisation. Les précurseurs auront vraiment bien jouer leur jeu et si la Guyane est encore une fois la petite dernière c'est bien dommage.
Je mets ici en avant l'argument économique car sinon ça ne passera jamais au delà de ce post.
Renseignez vous avant de parler. Il y a plusieurs hectares de café qui sont à l'étude par l'INRA, mélange de robusta et arabica, à Régina. Mais, ce café sera-t-il équitable et pour qui ? Posons nous la question de la signification du mot "équitable" qui ne l'est pas forcément pour ceux que l'on croit !
Pourquoi de grands projets sur le commerce équitable ne sont pas lancés en Guyane ?
C'est le territoire rêvé pour s'y lancer, par exemple les cultures de café ou coton ou autres, sachant que c'est un secteur en pleine croissance où il ne faut pas louper le fil et SURTOUT où son éthique est primordiale.
Le domaine est encore très peu exploité, il y a un marché, surtout dans cette mondialisation.
Collusion des banques et de l'état ? ;-))) Si c'est le Nouvelobs qui le dit, il sait de quoi il parle. Personne ne vous croira...
http://tempsreel.nouvelobs.com/fiorentino-les-francais-se-laissent-plumer-par-leurs-banques
Extrait: La docilité avec laquelle les Français se laissent plumer me rend hystérique. Ils sont comme anesthésiés et restent fidèles à leur banquier, quoi qu’il fasse. C’est très français et quasi psychanalytique ce rapport à l’institution, à l’autorité. J’aimerais qu’ils se rendent compte que les banques sont sans pitié. Elles essaient de récupérer sur les particuliers ce qu’elles n’arrivent plus à prendre sur les marchés.
Ce que les banques font à l'Argentine, elles le font partout dans le monde, notamment aux classes moyennes. Qui contrôle cette merde ? DSK ?
http://www.marianne.net/La-dette-argentine-un-instrument-de-domination-exterieure
Lordon disserte sur l'acceptabilité des pertes et leur géométrie variable...
http://blog.mondediplo.net/2014-07-08-BNP-Paribas-une-affaire-de-geometries-variables
Petit extrait...
"Et puis imaginer ceci : un gouvernement de gauche est élu et dit : « la responsabilité des banques privées dans la crise de 2007-2008, dans la récession et les déficits publics qui s’en sont suivis, étant manifeste et incontestable, elles s’acquitteront de la dette qu’elles ont
En réponse au message de Tazz973 du 23/07/14
La Cour des Comptes, la BNP et les USA... Bonjour Carbet ! J'ai un détail croustillant à rajouter à cette dernière ligne de votre courrier : en lisant com-plè-tement mon contrat de CB, j'ai découvert ceci : "le souscripteur certifie être en conformité avec la réglementation fiscale américaine FATCA et atteste de l'exactitude des informations communiquées".
J'avais des doutes sur la soumission de l'UE aux oukases américaines, là j'ai compris que l'UE c'est de la compromission. Heureusement que la divulgation de nos comptes bancaires ne concerne(rait) que les Américains et résidents américains vivant en Europe !
Je savais que les compagnies aériennes fournissaient les listes des passagers aux autorités US avant le départ, je savais qu'ils avaient bombardé mon patelin "par erreur" pour détruire la raffinerie le 3 août 44, mais là, "On" nous vendrait aux américains qu'on ne s'y prendrait pas autrement, car derrière notre dos, jusqu'où sont exploités ces "accords" ?
On pourrait penser que l'IBAN "international bank account number) nous aura été AUSSI imposé par l’hégémonie américaine du fric !
La FATCA, TEXTE ? "Le système prévoit des pénalités pour les institutions financières ou les individus qui ne s'y conformeraient pas ("récalcitrants"), qui peuvent aller jusqu'à la clôture forcée du compte d'un particulier ou un prélèvement d'un impôt sur 30% de la valeur d'un investissement aux États-Unis. »
Le 5 février 2012, les pays du G5 (France, Allemagne, Italie, Espagne et Royaume-Uni) ont signé un protocole avec les États-Unis où ils s'engagent à faire appliquer ce dispositif à leurs propres banques : SAUF QUE ça ne devrait s'appliquer qu'aux Américains expatriés...
On est fliqué ! On le sait mais on y croit pas...
"La FATCA, suites fatales : Une banque suisse s'est fait taxer en 2013 pour avoir "dissimulé des comptes procurant des revenus taxables aux USA (Cf lien Wegelin Bank)
La banque, après avoir payé les 57.8 millions de dollars aux américains, a cessé son activité.
En signant cet accord le 5 février 2012, les pays du G5 nous ont donc "vendus" aux USA
En réponse au message de Carbet du 30/05/14
Bonjour
Tout va très bien madame la marquise .
La cours des comptes , pour info présidée par un socialiste , s'interroge sur la sincérité des comptes , il manque 15 Milliards de recettes sur le budget prévisionnel de 2013 .
Nous voila au niveau de la Grèce qui avant de s'écrouler voyait son gouvernement falsifier les comptes publics avec l'aide de Mario Draghi , à l'époque vice président pour l'Europe de Goldman Sachs ( vous savez : un des acteurs principaux de la " crise des subprimes " qui a débouchée sur " la crise " ) et qui est l'actuel président de la Banque Centrale Européenne ( BCE ) . Là il y a une erreur de casting !!! ( ?)
Notre gouvernement peut lui demander des conseils ......
Notre président n'a pas besoin de se saborder : on coule !
http://www.lemonde.fr//l-alerte-de-la-cour-des-comptes-sur-les-deficits
Salutations
PS : la BNP risque une amende record de 7 milliards pour fraude aux USA .
A votre avis qui va payer in fine ?
La Cour des Comptes, la BNP et les USA... Bonjour Carbet ! J'ai un détail croustillant à rajouter à cette dernière ligne de votre courrier : en lisant com-plè-tement mon contrat de CB, j'ai découvert ceci : "le souscripteur certifie être en conformité avec la réglementation fiscale américaine FATCA et atteste de l'exactitude des informations communiquées".
J'avais des doutes sur la soumission de l'UE aux oukases américaines, là j'ai compris que
En réponse au message de Patrice C du 19/06/14
bonjour,
l'astuce est simple :
- première barrière aux contrôles : une entreprise signe un marché en tous corps d'état ( un marché en tous corps d'état - marché TCE - est un contrat entre le client et une entreprise qui s'occupe de "tout" : de l'électricité, du béton, du toit, des demandes edf, ptt etc) ; de cette façon, c'est elle qui pilote le chantier, le client n'a pas besoin d'y mettre le nez, et les Architectes sont contents car ils n'ont qu'un seul interlocuteur sur le chantier
- deuxième barrière : la possibilité de désigner un sous-traitant à tout moment du chantier. dans le cas qui nous concerne, il suffit de désigner le sous-traitant quelques jours avant le début de ses travaux : de cette façon, on présente un dossier d'acceptation du sous-traitant au client, qui accepte, pressé par le planning.
- troisième barrière aux contrôles : l'argent. les intérêts à avoir des maisons posées, la demande des Citoyens à se loger, la volonté des politiques, l'importance de travailler et d'avoir une activité économique dans un département qui est dépourvu de croissance économique annuelle naturelle etc etc etc font qu'il peut être parfois difficile de contrôler là où il faut.
pas la peine d'en rajouter je pense.
le temps que le type voit son dossier examiné, avec tous les problèmes quotidiens qu'ont à gérer les clients, il s'en passe du temps...et bien souvent, le dossier du type est refusé, mais lui a disparu depuis longtemps du chantier, puisque son boulot est terminé....l'entreprise en TCE a payé le type, elle fait une lettre au client, disant qu'elle lui a soumis un dossier d'acceptation du sous-traitant à telle date, et qu'il a répondu après la fin des travaux...que répondre à ça ? rien...)
pour arriver à tenir ce type de cadences sur un chantier, afin de respecter le planning et pouvoir en quelque sortes "noyer le poisson" (j'ai un jour dit que la marge de manoeuvre est très très serrée) , j'ai vu des types faire tenir des charpentes entières, avec les tôles, sur des bâtiments dont le dernier niveau est à moitié fini seulement....juste pour la photo
les murs extérieurs étaient là, mais à l'intérieur, tout tenait avec des étais (j'exagère à peine) , sur les terrasses, sur les coursives les débords de toiture étaient soutenus par des étais, puisque le chantier était au stade du gros-oeuvre : les dalles existaient, mais pas les cloisons, ni les garde-corps des terrasses et des coursives, sur lesquelles se posent normalement les poteaux qui tiennent le toit :
là, pas de garde corps, donc pas de poteaux, donc faut faire tenir le toit avec des étais pour que quant le monsieur (en général un huissier) viendra faire des photos pour le client le client ait l'impression qu'il y a un toit sur la baraque (enfin, sur le bâtiment à 3 étages...)
vous savez, nous sommes tous responsables de ces choses...on en parle même sur des forums, la preuve, et rien ne change.
c'est pour cela que je le répète ad noseum ;-) :
si nous voulons développer le pays, faut se retrousser les manches, et faire autre-chose que les erreurs qui ont été commises autrefois
Patrice C, merci pour tout.
Voilà, donc, clairement expliqué, à vous, futur locataire, ou pire, à vous, futur acheteur, l'avenir de ces logements : comme les travaux sont faits à la "va comme je te pousse", il faut vous attendre à des malfaçons récurrentes. Sachant que les logements construits en financement défiscalisé sont encore moins bien traités !
En réponse au message de Gilles Slm du 19/06/14
Auto-entrepreneur avec des employés, sur un chantier régional... C'est dire le niveau de contrôle et de vérification de la conformité des documents remis lors de l'appel d'offre. Mais celui qui a signé ce marché a peut être un intérêt dans l'affaire...
bonjour,
l'astuce est simple : - première barrière aux contrôles : une entreprise signe un marché en tous corps d'état ( un marché en tous corps d'état - marché TCE - est un contrat entre le client et une entreprise qui s'occupe de "tout" : de l'électricité, du béton, du toit, des demandes edf, ptt etc) ; de cette façon, c'est elle qui pilote le chantier, le client n'a pas besoin
En réponse au message de Patrice C du 18/06/14
bonjour,
votre conclusion est exactement la mienne dans un message précédent.
les 3 protagonistes de cette discussion sont donc, apparemment, tous les 3 d'accord : les grosses boites piquent le boulot et le redonnent aux petites, qui payent mal leurs ouvriers, par ricochet financier, en quelque sorte.
ok
quid de ces patrons de petites structures, qui vivent sur le dos de leurs employés ?
je parle de ceux qui roulent avec de grosses automobiles, qui remplissent leur caddies au supermarché alors que leurs employés ne sont plus payés depuis des mois ?
ce cas s'est présenté en 2014, dans une structure du bâtiment comptant une cinquantaine d'ouvriers : à la noel 2012 je croise le boss de cette boite au supermarché carrefour, le caddie plein à ras bord, au bras d'une jeune princesse, tandis que ses ouvriers étaient en grève, n'étant plus payés depuis des mois....quelques mois plus tard, la société périclite, et licencie ses employés début 2014.
et ce type, bossant en tant qu'auto-entrepreneur sous-traitant, avec une simple carte de séjour, qui paye ses gars de la main à la main, notant sur un carnet ce qui est payé ?
le tout sur un gros chantier régional ?
beaucoup de choses semblent très tolérables, dès lors que cela touche quelques misérables ouvriers....surtout s'ils viennent de pays limitrophes...
et c'est quoi ces contrôles à la mord moi le noeud sur des chantiers bien tenus, où les ouvriers portent casque, chaussures et gants à longueur d'année et où la sécurité est la meilleure du btp ? avec 50 gendarmes qui entourent un chantier parfaitement clos à l'aide de tôles ? rouges ?
pendant que sur le chantier à côté, les mecs se grillent des saucisses, torse nu, au milieu du béton ?
il y a beaucoup à redire du côté du btp, du monde des ouvriers mal payés, de la sous-traitance, mais je dois avouer que tous les secteurs de l'économie sont "gérés" de cette façon...honneurs aux riches et aux puissants, comme dit le dicton
Auto-entrepreneur avec des employés, sur un chantier régional... C'est dire le niveau de contrôle et de vérification de la conformité des documents remis lors de l'appel d'offre. Mais celui qui a signé ce marché a peut être un intérêt dans l'affaire...
En réponse au message de Weenana du 18/06/14
Très juste analyse. Et ça fonctionne si bien que des grosses structures qui étaient pourtant plus industrie que bâtiment, flairant la bonne soupe, se découvrent des tempéraments de bâtisseurs. Avec 0 professionnel salarié dans la spécialité qu'ils ont vendu, la sous traitance en cascade laisse présager que le gars qui tient l'outil travaille lui pour des clopinettes. Et sur certaines opérations, les chantiers sont désossés, démontés bien avant la livraison, parce qu'à un moment, les plus "malins" se paieront sur la bête. En jobant le WE, avec les matériaux et matériels détournés pour un particulier pas trop regardant. Debrouya pa Péché !
bonjour,
votre conclusion est exactement la mienne dans un message précédent.
les 3 protagonistes de cette discussion sont donc, apparemment, tous les 3 d'accord : les grosses boites piquent le boulot et le redonnent aux petites, qui payent mal leurs ouvriers, par ricochet financier, en quelque sorte. ok
quid de ces patrons de petites structures, qui vivent sur le dos de leurs employés ?
En réponse au message de Gilles Slm du 17/06/14
Là, je vous suivrais mieux, sur les gros groupes de BTP qui n'ont ici qu'une antenne, et qui délègue à des sous traitants, qui eux mêmes sous-délèguent leurs contrats,...
Mais les gros groupes ont la capacité financière nécessaire, et quand les donneurs d'ordre ne respectent pas les délais de paiements, ceux sont eux qui mettent la main à la poche, pour payer les situations.
Bien sûr, ç'a fait toujours bien sur un panneau d'écrire : "Ici, construction de 480 logements sociaux". Sans se préoccuper de savoir si les budgets sont là, et sans verser un fifrelin à la signature du marché. Surtout, sans se préoccuper de savoir comment va être mener ce marché.
Alors, les gros groupes ramassent le marché, et les petites fourmis de chantier trinquent.
bonsoir,
nous disons exactement la même chose, nous sommes donc d'accord.
et maintenant ?
En réponse au message de Patrice C du 17/06/14
bonsoir,
vous citez un exemple précis, nous allons donc l'utiliser : "ici, construction de 480 logements sociaux".
vous êtes de St Laurent, je suppose que ce chantier est à St Lô. bon, ok.
vous dites : les donneurs d'ordres, parfois, ne payent pas les situations des entreprises à ,temps.(dans le BTP, une "situation" est une facture intermédiaire qu'une entreprise présente, afin de se faire payer le travail qu'elle vient de réaliser (un chantier dure 1 à 2 ans, une entreprise n'attendra pas 2 ans pour se faire payer)
vous dites également que parfois, des chantiers sont entamés sans que les crédits ne soient alloués.
ok
dans le principe, vous avez raison, car ça semble effectivement se passer comme ça.
et puis, il y a tout ce qui se passe en "coulisses", dans les bureaux des décideurs, et cela, parfois, ça requiert un sacré travail. en général, ce travail est même préparatoire : on lance une opération si on a la certitude d'avoir l'argent. sinon, on ne fera rien.
pourquoi ? parce que les bailleurs sociaux (les donneurs d'ordres qui vont construire les 480 logements) n'ont pas d'argent en propre, ils dépendent de la générosité des Citoyens pour fonctionner : en effet, "à la base", un bailleurs social emprunte de l'argent à la Caisse des Dépôts et Consignations (alimentée par les Citoyens) pour réaliser ses opérations de constructionns.
ça, c'est le principe.
évidement, les ressources financières des B.S. sont multiples, puisque la demande excède l'offre...donc, ils vont se servir des autres possibilités légales : montages de dossiers de prêt auprès d'autres organismes financeurs (ne serait ce que lorsque la Région Guyane garantit un prêt à tel BS...) , montage de dossiers de défiscalisation etc etc etc....
une fois qu'ils ont la certitude que l'argent rentrera à telle et telle date, selon tel et tel calendrier, elles lancent leur opération.
je le répète : elles ne disposent pas de fric à elles, elles dépendent complètement des autres.
pas de pognon, pas de maisons.
et arrivent les impondérables :
- c'est la crise, il y a moins de pognon disponible alors que les besoins augmentent encore plus vite que normalement
- les investisseurs en défisc. ne viennent plus, ils ont décidé de faire autre-chose de leur pognon (vous savez, les mecs dont je parlais, qui préfèrent investir dans d'autres horizons)
- le chantier a du retard, et les mecs de la défisc. ont besoin que le chantier soit arrivé à tel ou tel stade pour débloquer les fonds...
on va parler juste de ces 3 impondérables, ça suffira.
1) la crise : les gens s'appauvrissent, ils ont plus besoins de logements. comme ils s'appauvrissent, ils ne peuvent plus investir -dans l'avenir du pays- (càd alimenter la caisse de consignation et de dépôts) : le sujet, on l'esquive, contre la crise, y'a rien à faire. si le BS ne paye plus, faut serrer les dents, et attendre que ça passe, en espérant ne pas en crever.
c'est comme ça, personne, absolument personne ne peut rien contre ça.
2) les investisseurs qui se défilent : ben oui, le client décide de ce qu'il veut acheter...si le défisqueur décide que dans un autre bled, son argent fera plus de petits, on ne pourra pas l'en empêcher. on lui dira même qu'il a raison, espérant garder le contact avec ses bureaux.
mais un investisseur qui se défile peut, aussi, être par exemple l'Etat qui ne fait pas son boulot de verser les dotations en temps et en heures (aux régions, aux BS, aux départements etc etc etc) mais bon, en général il a des excuses, dans la mesure où ce pognon non-affecté và servir à alimenter le budget exceptionnel d'une quelconque catastrophe qui nous tombe sur la gueule, et comme on a pas de pognon de côté en france, mais plutôt de la dette, la moindre annicroche au "plan" initial fait qu'on a pas de plan B, et donc tout s'arrête.
ça aussi, c'est un impondérable contre lequel on ne pourra rien faire, strictement rien.
comme l'autre en haut.
3) le chantier prend du retard : ben oui ça arrive un chantier en retard....je ne connais que ça d'ailleurs, malheureusement. parfois même 1 an 1/2 de retard, c'est affolant.
il y a plein de raisons à ça...les entreprises sans réelles compétences dont je parles dans un autre message (économie) en sont une raison, parfois il s'agit d'impondérables climatiques mais bon, là on des raisons valables, mais en général c'est surtout dû à un manque de savoir-vivre-sur-un-chantier-avec-les-autres-entreprises. il faut revoir dans ce cas précis : la coordination entre corps d'état, éliminer les entreprise défaillantes, ne plus les faire travailler, ni travailler avec elles, adopter des techniques de planification de chantiers, et surtout, mettre les moyens pour suivre le planning.
mais je dois avouer qu'avant que tout ça ne soit arrivé, les défiscaliseurs qui ont besoin, par exemple, que vos 480 logements soient clos (donc qu'ils aient portes et fenêtres) et couverts (qu'ils y ait le toit complet) ce seront enfuis en courant, car pour eux aussi le temps est important :
il faut que l'opération soit à tel stade de finition à telle date, afin qu'ils puissent verser leur argent, afin de satisfaire les gens qui leur donnent les moyens de réaliser leurs opérations de défiscalisation. en économie, pafois, il faut que des budgets soient débloqués pour que d'autres soient alloués !
imaginez un client qui veut investir, qui vous donne du pognon, et il revient pour prendre les bénéfices, et vous redonner du pognon pour refaire des bénéfices, et vous lui dites "monsieur, je n'ai même pas encore faire le moindre bénef', ni accordé le moindre prêt"....le type devient fou, et s'en và.
fini.
donc, au vu de ces quelques exemples, on voit que malheureusement tout repose sur le respect du plan....pour tout le monde.
et que les intervalles de jeu sont très très serrés, il faut donc être hyper vigilant sur tout quant on mène un chantier dans ces conditions.
si je savais tout ça, si j'étais un entreprise, je me méfierais avant de prétendre y arriver à 4
parce que les mecs d'en haut, ils sont en haut, et que eux ont absolument toutes les excuses pour expliquer à tout le monde que ce n'est pas de leur faute.
ça a toujours été comme ça, ça ne changera pas, à moins qu'on adopte le mode de vie communautaire, où chacun et chacune auraient les mêmes droits. on y est pas.
Ah oui, le manque de coordination, c''est ce qui caractérise principalement les chantiers ici, quel qu'en soit la taille. Mais pas seulement. Pas d'installation électrique sécurisée, pas de point d'eau, pas de toilettes, pas de poubelles,... Du coup, trainent sur les chantiers tous les détritus de tous les intervenants, mais aussi des bouteilles pleine de pisse, voire des plus
En réponse au message de Weenana du 18/06/14
Très juste analyse. Et ça fonctionne si bien que des grosses structures qui étaient pourtant plus industrie que bâtiment, flairant la bonne soupe, se découvrent des tempéraments de bâtisseurs. Avec 0 professionnel salarié dans la spécialité qu'ils ont vendu, la sous traitance en cascade laisse présager que le gars qui tient l'outil travaille lui pour des clopinettes. Et sur certaines opérations, les chantiers sont désossés, démontés bien avant la livraison, parce qu'à un moment, les plus "malins" se paieront sur la bête. En jobant le WE, avec les matériaux et matériels détournés pour un particulier pas trop regardant. Debrouya pa Péché !
C'est assez troublant que sur ce coup là on n'entende pas notre entrepreneur 3toi. Lui qui aime s'étendre sur tous les sujets, il pourrait nous apprendre de bien belles histoires...
En réponse au message de Gilles Slm du 17/06/14
Là, je vous suivrais mieux, sur les gros groupes de BTP qui n'ont ici qu'une antenne, et qui délègue à des sous traitants, qui eux mêmes sous-délèguent leurs contrats,...
Mais les gros groupes ont la capacité financière nécessaire, et quand les donneurs d'ordre ne respectent pas les délais de paiements, ceux sont eux qui mettent la main à la poche, pour payer les situations.
Bien sûr, ç'a fait toujours bien sur un panneau d'écrire : "Ici, construction de 480 logements sociaux". Sans se préoccuper de savoir si les budgets sont là, et sans verser un fifrelin à la signature du marché. Surtout, sans se préoccuper de savoir comment va être mener ce marché.
Alors, les gros groupes ramassent le marché, et les petites fourmis de chantier trinquent.
Très juste analyse. Et ça fonctionne si bien que des grosses structures qui étaient pourtant plus industrie que bâtiment, flairant la bonne soupe, se découvrent des tempéraments de bâtisseurs. Avec 0 professionnel salarié dans la spécialité qu'ils ont vendu, la sous traitance en cascade laisse présager que le gars qui tient l'outil travaille lui pour des
En réponse au message de Gilles Slm du 17/06/14
Là, je vous suivrais mieux, sur les gros groupes de BTP qui n'ont ici qu'une antenne, et qui délègue à des sous traitants, qui eux mêmes sous-délèguent leurs contrats,...
Mais les gros groupes ont la capacité financière nécessaire, et quand les donneurs d'ordre ne respectent pas les délais de paiements, ceux sont eux qui mettent la main à la poche, pour payer les situations.
Bien sûr, ç'a fait toujours bien sur un panneau d'écrire : "Ici, construction de 480 logements sociaux". Sans se préoccuper de savoir si les budgets sont là, et sans verser un fifrelin à la signature du marché. Surtout, sans se préoccuper de savoir comment va être mener ce marché.
Alors, les gros groupes ramassent le marché, et les petites fourmis de chantier trinquent.
bonsoir,
vous citez un exemple précis, nous allons donc l'utiliser : "ici, construction de 480 logements sociaux". vous êtes de St Laurent, je suppose que ce chantier est à St Lô. bon, ok. vous dites : les donneurs d'ordres, parfois, ne payent pas les situations des entreprises à ,temps.(dans le BTP, une "situation" est une facture intermédiaire qu'une entreprise présente,
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