Spectacle : La dernière bande
Vendredi 9 Février
Camp de la Transportation
St-Laurent-du-Maroni
Un homme, visage blanc, nez violacé, cheveux gris en désordre, mal rasé, en pantalon trop court face à une peau de banane : Ainsi commence La dernière bande.
Il se nomme Krapp et chaque année à son anniversaire, il fait le point sur sa vie et s’enregistre sur un magnétophone. A l’aide de ces enregistrements, il revisite sa vie d’hier à aujourd’hui, à la recherche de l’instant T, du moment fondateur : « Sois de nouveau… »
Dirigé par Jacques Osinski, Denis Lavant et son corps caoutchouc, son visage buriné, emplit de sa force et de sa grâce singulières ce solitaire déjà en équilibre entre vie et mort - Fabienne Pascaud, Télérama
Ce que réalise Denis Lavant en vieux clown fatigué est proprement stupéfiant - J-P Han, Frictions
Son sourire est aussi tendre que son regard est noir - Laurent Carpentier, Le Monde
Show: The Last Band
Friday February 9
Transportation Camp
St-Laurent-du-Maroni
A man, white face, purplish nose, gray hair in disarray, unshaven, in pants that are too short facing a banana peel: Thus begins The Last Strip.
His name is Krapp and every year on his birthday, he takes stock of his life and records himself on a tape recorder. With the help of these recordings, he revisits his life from yesterday to today, in search of the T moment, the founding moment: “Be again…”
Directed by Jacques Osinski, Denis Lavant and his rubber body, his weathered face, fills this solitary man already in balance between life and death with his singular strength and grace. - Fabienne Pascaud, Télérama
What Denis Lavant achieves as a tired old clown is truly astonishing - J-P Han, Frictions
His smile is as tender as his gaze is black - Laurent Carpentier, Le Monde
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