Dys Guyane et Atipa Autisme vous invitent mercredi 11/2 de 15h00 à 18h30
à L'Iguana café, bd Voltaire
Café des Parents : Dys-Autistes-Précoces
Le 11 février 2005, le Parlement adoptait la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Dix ans plus tard, les avancées sont réelles, les limites aussi…
Convivialité - Information – débat
Projections:
« C’est pas sorcier : les dys », « trailer : quelque chose en plus, le bonheur d’apprendre »
Tout enfant ou adolescent handicapé est inscrit dans l’école de son quartier. En formalisant ce droit, la loi de février 2005 a contribué à favoriser la scolarisation en milieu ordinaire. Certes, « lorsque ses besoins particuliers le justifient », l’élève peut être orienté vers un établissement médico-social. Mais l’école ordinaire, primaire ou secondaire, est devenue la norme.
Selon le ministère de l’Éducation nationale, le nombre d’élèves accueillis a augmenté de 80% depuis 2004 pour atteindre 240 000, en 2013. Une progression rendue possible grâce au développement de l’accompagnement individuel à l’école, avec les auxiliaires de vie scolaire (AVS). Le ministère a également augmenté le nombre de classes spécialisées, les Clis et les Ulis, au sein des établissements scolaires.
… qui doit s’accompagner d’un saut qualitatif
Un guichet unique : les personnes handicapées en rêvaient ; la loi de 2005 l’a fait. Chaque maison départementale des personnes handicapées (MDPH) a mis en place une équipe pluridisciplinaire chargée d’évaluer de façon personnalisée les besoins des demandeurs. Leurs commissions des droits décident de l’attribution de l’allocation adulte handicapé, de la prestation de compensation du handicap (PCH), des orientations vers tel ou telle structure, etc. Ce groupement d’intérêt public est administré par le Conseil général, les services de l’État, les organismes de protection sociale et les associations de personnes handicapées.
… dont les fondations vacillent
La loi de février 2005 a donné un véritable coup de fouet à l’emploi des personnes en situation deHomme au travail dans un ESAT-EAhandicap. Entre 2006 et 2012, leur nombre a augmenté de moitié, pour atteindre 362 000, dans les établissements privés de 20 salariés et plus, soumis à l’obligation d’employer 6% de travailleurs handicapés. Cette obligation existe depuis 1987 mais la loi de 2005 a alourdi la contribution financière que les contrevenants doivent verser à l’Agefiph. Elle a également étendu ce dispositif de quotas aux fonctions publiques. Le nombre de travailleurs handicapés y a augmenté, dans des proportions toutefois moindres que dans le privé (+11% entre 2008 et 2011, derniers chiffres connus).
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