Relancer la recherche sur tout le site
On nous a informé que des jeunes filles se font harceler au LYCÉE ELIE CASTOR DE KOUROU !!! D'ailleurs certaines ont du changer de lycée pour leur sécurité !
Le directeur du lycée professionnel ELIE CASTOR est-il au courant de la situation ? Il faut casser ce clivage d'insécurité dans ce lycée professionnel ELIE CASTOR.
Comment me direz vous ? Discipline, responsabilisation des parents dans u premier temps.
Ensuite, VALORISER tout ces jeunes par leur travail; et pour cela ouvrir des filières d'excellences: compagnonnage....
Dans le pays Guyane, il manque de tout...Donc pourquoi pas ne pas former de bon cuisiniste, d'ebeniste, de bon mécaniciens BTP et oriphère, de vrai maçon, constructeur de bâtiments et maison respectant l'énergie,l'environnement, la biodiversité . POURQUOI ne pas avoir des formation hydroelectrique, photo voltaique , aéronautique , pêche ,BOIS avec de vrai déboucher et des jeunes bien formés ????
En réponse au message de Boiskaka du 12/02/19
On m'informe que dans la ville de KOUROU, de nombreuses canalisations d'eau éclatent sans que l'on sache pourquoi!!!!
Apparemment la SGDE de KOUROU y serait pour quelque chose vue que son réseau d'eau n'est plus dimensionné par rapport à la population; elle augmenterait sa pression d'eau pour en fournir à tout ses administrés; ce qui feraient éclater nos canalisations!!!! Pourquoi personne n'en parle ???
Bonjour Boiskaka --- Il faut voir de quelles canalisations il s'agit .
Je n'ai pas eu l'occasion de voir de ruptures de canalisations principales autre que celle qui s'est passée sous la place des toucans en plastoc .
Par contre il y a eu il y a un bon moment de nombreuses ruptures d'installations domestiques dans les quartiers de maisons "offertes" , les normes utilisées venant d'Haïti avec les installateurs : Tubes de cuivre brasés bout à bout sans manchons ...... ( très économique ! Mais pas solide )
Il y a eu aussi une vague de ruptures il n'y a pas très longtemps dans les immeubles du quartier de l'Anse certainement pour les mèmes raisons et pour ce que j'en ai vu , le tuyau était noyé directement dans le béton ...... Les autres tuyaux ???
L'eau coulait à travers les murs et les planchers du haut en bas de immeuble , ce qui en dit long sur la qualité du béton utilisé et de sa mauvaise mise en œuvre .......
Y aurai-il une nouvelle vague de ruptures , les soudures ayant tenu plus longtemps ??
Merci de nous donner des précisions .
Salutations
En réponse au message de Weenana du 09/06/18
Bonsoir, Dans quels quartiers ? Sur la bande littorale, tu as des affaissements de terrain dû au sous sol marécageux (creuse à +70 cm, tu verras ce qui se passe) et à la poussée de l'océan....ça donne aussi des fractures de dalles et des fissures de maison...les regards dans les zones concernés s'enfoncent.
Je vous dirais au vieux bourg : les appartement en face du marché. Résidences avenue Bois chaudat... Et les canalisations dont je vous parle sont dans les sols des appartement...
Sans comptez tout un ta de maisons de particulier...
Informez vous auprès des agences immobilières elles vous indique rond d'autre lieux
Suicides, empoisonnement au mercure : le coup de colère des Amérindiens de Guyane française, « Abandonnés de la République »
par Yves Géry
Journaliste, co-auteur du livre "Les Abandonnés de la République",
éditions Albin Michel
Un taux de suicide 5 à 10 fois plus élevé qu'en métropole, des adolescents de 12 ans qui mettent fin à leurs jours, une contamination au mercure parmi les plus élevées au monde, des conditions de vie indignes avec, à titre d'exemple, des consultations gynécologiques qui se communautaire, simplement cachées des regards par un drap. Les Amérindiens en colère exigent dignité et conditions de vie décentes.
Les Amérindiens de Guyane française s’estiment toujours « Abandonnés par la République », comme ils l’ont martelé le 30 novembre 2016 lors du colloque organisé à Paris par la sénatrice Aline Archimbaud. En septembre 2014, nous avions publié l’ouvrage intitulé « Les Abandonnés de la République » (1). Nous y dressions le constat que les Amérindiens, en particulier ceux vivant à l’intérieur de la Guyane en forêt amazonienne le long des grands fleuves Maroni et Oyapock, vivaient dans des conditions déplorables, pas d’eau potable ni d’électricité, pas de services publics dans les villages, pas d’emplois, pas de perspectives.
Deux facteurs sont particulièrement inquiétants pour leur santé et leur avenir : 1) Un taux de suicide 5 à 10 fois plus élevé qu’en métropole, avec pour particularité des Amérindiens très jeunes – 12 à 15 ans pour certains d’entre eux – qui se suicident. 2) Ils sont l’un des peuples au monde les plus contaminés par le mercure utilisé par les orpailleurs clandestins via la chaîne alimentaire, car les Amérindiens se nourrissent largement des poissons des fleuves qui sont contaminés.
Face à ces deux périls, constat était dressé d’une action insuffisante – voire d’une inaction dans certains cas – de l’Etat français dont ils sont des citoyens à part entière.
"Le père cherche quatre planches...qu'il ne trouvera pas"
Las ! Deux ans plus tard, le colloque au sénat a confirmé que l’abandon de ces populations par la République est toujours une réalité. Face aux discours rassurants sur les prétendus progrès effectués, les Amérindiens ont opposé une réalité constatée sur le terrain. Tout d’abord un sentiment de non-reconnaissance formulé par l’anthropologue qui pilote la cellule régionale pour le mieux-être des populations de l’intérieur (CeRMEPI). Sans l’en informer, la préfecture a présenté le travail de cette cellule comme étant celui de la préfecture, a-t-elle expliqué en substance. Une anthropologue « payée au salaire d’une conseillère principale d’éducation, CPE » ce qu’elle était auparavant, et ne disposant pour l’épauler au sein de cette cellule que d’un volontaire de service civil. Elle a confié le dénuement des familles face aux suicides de leurs enfants, ces familles qui veillent le corps du mort « pendant que le père cherche quatre planches qu’ils ne trouvera pas ».
Dès 10 ans, séparés de leurs familles
Aikumale Alemin était à ce colloque le seul Amérindien présent vivant en permanence sur le Haut Maroni, dans un village qu’il a lui-même fondé et qui compte désormais plusieurs familles. Nous lui avions rendu visite lors de notre enquête et il nous avait fait part de sa colère et de sa détermination à « agir pour son peuple ». Cet agent de santé amérindien wayana, l’un des seuls autochtones à occuper ce type de poste, rare dans les villages, se bat depuis des années pour faire entendre la voix des Amérindiens. Aiku, l’un des seuls Amérindiens élus au niveau local, a notamment lancé courant 2016 une pétition auprès du président de la République française afin qu’un collège soit ouvert au cœur du Haut Maroni, dans le village de Taluen/Twenke et ainsi « d’éviter que nos enfants partent, se coupant de leur famille, culture et racines, parce que dans notre culture nos petits se nourrissent de l’histoire de leur peuple pour grandir ; on ne confie pas ses enfants à l’extérieur dans la culture amérindienne, comme cela se fait chez vous dans la culture occidentale». Ces jeunes quittent le cocon familial pour le collège et « se retrouvent en internat à Maripasoula, à plusieurs heures de pirogue de leur village », isolés et sans surveillance le week-end, ajoute-t-il. Un collège en pays amérindien réclamé depuis des années par ce peuple.
« Nous considère-t-on encore comme des sous-hommes ?
Même déracinement pour aller ensuite au lycée, comme l’a souligné Alain Mindjouk, un autre Amérindien kalina teleweyu : « Placés en famille d’accueil quand ils arrivent sur le littoral, certains enfants fugent, d’autres retournent au village ». Dans tous les cas, du fait de cette séparation, « Ils n’apprennent plus les savoirs ancestraux ». Alain Mindjouk a créé une association d’accueil des jeunes Amérindiens sur le littoral afin qu’ils ne soient pas en danger et livrés à eux-mêmes comme c’est très souvent le cas. Il a rappelé qu’en 2003 déjà, il faisait partie du groupe de Brigitte Wyngaarde, première amérindienne à alerter les pouvoirs publics sur l’épidémie de suicide qui sévissait déjà en pays amérindien à l’intérieur de la Guyane. Il a déploré que «l’Etat ait pris 12 ans, jusqu’en 2015, pour comprendre ce phénomène ». Pour lui, ces populations sont plus que jamais abandonnées : « Trop de constats, trop de chiffres, trop de rapports », mais pendant ce temps-là sur le terrain, « rien n’a changé ». L’internat présenté comme exemplaire qui accueille les enfants amérindiens à Maripasoula là où se trouve le collège ? « Les lits sont pourris, on attend toujours les travaux promis. Je me pose la question de savoir si nous sommes encore, nous autres Amérindiens, considérés comme des sous-hommes », lâche-t-il devant l’assistance. Les Amérindiens demandent que cet internat soit ouvert le week-end afin que les ados ne soient pas «lâchés dans la nature et pour éviter tout comportement à risque ».
"L'école fait que l'on perd son identité amérindienne"
Et l’école primaire française dans les villages amérindiens ? L’école est en langue française, déplore l'amérindienne teko Tiwan Couchili, qui dénonce le dispositif insuffisant d’intervenants en langue maternelle (ILM) amérindienne et craint que ce dispositif ne soit encore réduit. « L’école n’est pas du tout adaptée à notre façon de vivre, elle fait en sorte que l’on y perd son identité amérindienne », ajoute-t-elle. « Nous demandons une école bilingue français/amérindien ainsi que cela se fait dans d’autres pays proches d’Amérique latine comme au Brésil ou en Colombie, lesquels ont des professeurs indigènes. Comment se fait-il qu’en Guyane française, nous n’en sommes pas encore là ?". Après le collège et le lycée, les jeunes amérindiens « reviennent au village, mais ils sont agressifs car ils ne savent pas comment se positionner dans la communauté ». Souvent sans diplôme, et très souvent sans perspective d’emploi.
« Un furoncle sur le nez de la France »
L’orpaillage clandestin continue de faire des ravages et d’empoisonner au mercure les cours d’eau et poissons qui sont la première alimentation des Amérindiens de l’intérieur. « J’étais sur le Haut-Maroni le 29 novembre 2016 », témoigne la députée guyanaise Chantal Berthelot, « nous avons sur le fleuve 12 barges, à l’intérieur de la Guyane, en train de pratiquer de l’orpaillage illégal ! » s’émeut-elle. Sur la rivière Waki-Tampoc, « c’est visible, c’est un furoncle sur le nez de la France », dénonce la députée. Ces barges clandestines en bois sont assemblées sur place, elles siphonnent le lit de la rivière à la recherche d’or. Il y a six mois, deux étaient apparues, elles ont été détruites par les forces de l’ordre, les douze existantes ont été implantées récemment, explique le Parc amazonien de Guyane qui effectue une surveillance aérienne régulière des fleuves de l’intérieur. « Ma grand-mère a reçu une balle perdue » suite à un affrontement dû à la présence d’orpailleurs clandestins en pays wayana, rappelle Tiwan Couchili, qui s’interroge sur le suivi et les moyens mis en œuvre pour éradiquer l’orpaillage illégal.
Empoisonnés par le mercure
Alexandre Sommer, secrétaire général de l’Organisation des nations autochtones de Guyane (ONAG), précise que le recours de plein contentieux devant le tribunal administratif de Cayenne, déposé par l’ONAG et l’association Solidarité Guyane a été « débouté par la justice en première instance et fait l’objet d’un appel devant la cour de Bordeaux ». Ce recours porte sur la contamination par le mercure des Amérindiens. «C’est une honte que de laisser cette population empoisonnée par le mercure ! », s’insurge-t-il. Les deux associations avaient déposé ce recours en estimant qu’il y a carence des autorités à prendre des mesures propres à faire cesser les incidences sur la santé des populations, attribuables à l’orpaillage illégal sur le territoire de la Guyane. Le 19 novembre 2015 le tribunal administratif de Cayenne a rejeté ce recours, au motif notamment que les associations requérantes n’auraient pas démontré « l’existence du caractère direct et certain de ce préjudice résultant pour elles de la faute commise par l’Etat ». Les Amérindiens du Haut-Maroni, contaminés à des niveaux de mercure supérieurs au plafond de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), c’est-à-dire la majorité des habitants dans tous les villages, apprécieront. Les associations ont fait appel de cette décision devant la cour administrative de Bordeaux.
"L'Etat incapable de faire régner l'autorité"
Plus généralement, Jean-Philippe Chambrier, président de la Fédération des organisations autochtones de Guyane (FOAG), dénonce le peu de cas qui est fait de toutes ces questions : « Cela fait plus de 25 ans que nous interpellons l’Etat français, force est de constater qu’il n’y a pas grand-chose qui bouge ». Sur l’orpaillage clandestin, « l’Etat est incapable de faire régner l’autorité, quand la nuit arrive, les barges flottantes d’orpaillage illégal traversent la rivière pour s’installer côté français du fleuve », déplore-t-il.
Autre infrastructure réclamée à cors et à cris par Alain Mindjouk et l’ensemble des Amérindiens depuis des années : la construction d’une maison d’accueil des jeunes amérindiens sur le littoral : « Nous avons envoyé le dossier de demande il y a plusieurs mois, nous attendons toujours la réponse », explique Jean-Philippe Chambrier. « C’est un gros souci, les jeunes étudiants amérindiens arrivent sur le littoral et certains d’entre eux se retrouvent dans la rue », il est donc urgent de créer cette infrastructure, ajoute-t-il.
Un Conseil consultatif privé de moyens
L’une des mesures les plus fortes du rapport Archimbaud-Chapdelaine était de fournir des moyens au Conseil consultatif des populations amérindiennes et bushinengues (CCPAB). Jocelyn Thérèse, président de ce conseil, en dresse le bilan : « Le conseil a été créé en 2007. Nous nous sommes rendu compte que nous ne disposions pas des moyens nécessaires pour fonctionner correctement. Depuis, nous avons formulé des propositions, lesquelles, en grande majorité, n’ont pas été prises en compte ». Récemment, explique-t-il, la préfecture a refusé de prendre en charge les frais de fonctionnement et déplacement des membres du conseil pour une réunion importante à Camopi, finalement « c’est la commune qui a payé ». Officiellement, ce conseil va enfin être doté des moyens nécessaires, après des années de diète, une enveloppe de 50 000 euros est évoquée. C’est crucial pour Jocelyn Thérèse, parce que « l’on ne peut pas être soumis au chantage » concernant le financement du conseil, « il nous faut donc impérativement une autonomie financière ».
100 euros pour une artiste amérindienne locale, une misère
Jocelyn Thérèse s’interroge également à voix haute sur le manque de reconnaissance de la culture amérindienne, symbolisé par la somme plus que modique allouée à l’artiste amérindienne Tiwan Couchili, plasticienne, entre autres spécialiste des ciels de case qui font partie du patrimoine amérindien, Tiwan a en effet perçu… « 100 euros pour réaliser une œuvre d’art » qui trône devant un lycée de Guyane.
En 2015 Aline Archimbaud et Marie-Anne Chapdelaine s’étaient vues confier par le Premier ministre une mission pour prévenir les suicides chez les Amérindiens (2). Elles avaient préconisé 37 mesures. Un an après la publication de leur rapport, Aline Archimbaud observe que le compte n’y est pas. Exemple : « Je note que la question de l’internat de Maripasoula n’est pas réglée, c’était pourtant l’une de nos mesures-phare. Je sors de cette conférence en étant consciente de tout ce qui bloque », regrette-t-elle.
Consultations gynécologiques...derrière un drap sur la place du village
Le chantier reste immense pour que ces propositions ne restent pas lettre morte. Il faudra commencer par restaurer la dignité des Amérindiens. Ainsi par exemple dans les villages d’Elahé et de Kayodé sur le Haut-Maroni, les consultations gynécologiques des femmes amérindiennes se déroulent…derrière un drap sous le carbet communal ouvert à tous les regards. Il aura fallu attendre fin 2016 pour que les pouvoirs public s’engagent solennellement – cela a été fait lors de ce colloque – à construire un local fermé pour recevoir les femmes en consultation. Mais pourquoi donc aura-t-il fallu attendre jusqu’à fin 2016 ?
Yves Géry
Journaliste, co-auteur du livre "Les Abandonnés de la République", éditions Albin Michel
(1) « Les Abandonnés de la République, vie et mort des Amérindiens de Guyane française », Yves Géry, Alexandra Mathieu, Christophe Gruner, septembre 2014, Albin Michel.
(2) Rapport « Suicides des jeunes Amérindiens en Guyane française : 37 propositions pour enrayer ces drames et créer les conditions d’un mieux-être », issu de la mission parlementaire confiée en mai dernier à Aline Archimbaud, sénatrice de Seine-Saint-Denis, et Marie-Anne Chapdelaine, députée d’Ille-et-Villaine, par le Premier ministre, relatif à la situation des populations amérindiennes de Guyane, remis aux autorités le 15 décembre 2015.
Vidéo de septembre 2014 sur Youtube :
Les Amérindiens de Guyane sont à Paris pour porter plainte contre la France alors que
leur communauté est menacée de destruction comme ils en témoignent dans un livre :
orpaillage clandestin, pollution, épidémie de suicides...
Mr le maire de kourou
Après nous avoir augmenté nos impôts locaux et ta foncière! !!
Je souhaiterais savoir si vous avez reaggrandi l'assiette fiscale de kourou en faisant payer toutes les maisons dite sociale qui construit et augmentées leur superficie et se permettent de sous louer sans le déclarer! !!!! Je souhaite que vous nous donniez des chiffres à l'appui à votre prochain conseil municipal. .... Au faite votre ville reste toujours aussi sale! !!!!avec des odeurs d'égout côté canal Leroy. ...n'allez vous pas intervenir? ??,
En réponse au message de Fazer973 du 24/10/16
carbet
si tu peux m'indiqué le mode opératoire ou une entreprise qui le pratique en guyane pour la construction de maison avec des palplanches. Merci
Bonjour Fazer973
Désolé j'ai perdu de vue mon copain constructeur en latérite compactée , cela fait plus de 30 ans..... Par contre les maisons construite à Kourou ont bien résisté au temps et sont toujours là au dernières nouvelles . Une recherche rapide sur le web m'a montré surtout une utilisation sous forme de briques .......
Les palplanches (coffrages) me semblent plus judicieuses , et c'est ce que m'avait dit mon copain, car cela évite la fabrication de milliers de briques . Il y a juste les palplanches à fabriquer et de compacter le mélange dedans . Plus des bras avec de l'huile de coude et un peu de matos ......
http://www.permaculturedesign.fr/permaculture-construction-naturelle-la-terre-crue-de/
Ici en Guyane oublier le torchis et les ossatures bois . (Termites et putréfaction)
Les acheteurs de maisons SIMKO à ossature bois sont dans la merde .
La technique latérite /ciment est une possibilité d'auto construction simple et bon marché .
Taper : "construction terre crue" pour un début de recherche ......
Amicales salutations
Madame le Maire,
Connaissez-vous la LOI du SQUATTEUR, la loi qu'il nous impose, à vous, à moi, aux autres ?
Tout d'abord, il commence par mettre en avant sa force physique :
en s'appropriant un lieu, une maison, un terrain.
Puis une fois installé, il exerce sa force morale :
- en instituant la loi du plus fort
- en affichant ouvertement ses habitudes, ses coutumes, sa façon de vivre.
- en étant à l'affût de tout ce qu'il peut grappiller sous forme d'aides, de soins gratuits...Il profite du système avec en prime, la satisfaction de vous voir vous démener, suer, travailler pour vivre correctement.
La journée de mon voisin squatteur :
Le matin, comme il n'a ni eau, ni electricité, il ouvre sa fenêtre et flop ! Il déverse son seau d'urines dans la nature sans se soucier de l'hygiène et de l'odeur dégagée, surtout quand le tout a macéré sous la chaleur...
Dans la journée, avec le retour des beaux jours, mon voisin, en grand maître de cérémonie, invite ses connaissances pour partager innocemment quelques boissons alcoolisées, histoire de se détendre un peu. On boit, on parle fort, on rigole entre potes pendant que juste au-dessus de leur tête, il y a des gens qui travaillent (bureau d'architecte, syndicat.....).
Un jour, deux jours, trois jours, une semaine, un an, cinq ans, mon SEUIL de TOLERANCE est atteint.
Exaspérée, je leur demande de parler moins fort.
L'un d'entre eux me répond :
" Vous ne Nous supportez pas ?
Alors puisque c'est vous qui êtes incommodée, il ne vous reste plus qu'une chose à faire : foutre le camp d'ici ".
Inutile de rapporter en plus, les propos " tendance plutôt raciste....on se sent tellement fort quand on est en groupe !!! ".
Que faire dans ces conditions ?
Prendre les armes de la zen attitude ?
Subir, accepter, alors que ça fait des années que cela dure malgré les nombreux courriers adressés à la mairie ?
L'an passé, les policiers avaient donné quinze jours au squatteur pour déménager.
La situation a changé, il a bien pris ses aises depuis.
Aujourd'hui, ce grossier personnage se comporte en " pays conquis ".
C'est à moi, qui vit légalement sous mon toit, de partir et d'abandonner le travail de toute une vie.
Bien que modestement par rapport à l'effort national, avec mes impôts, mes cotisations sociales, je participe activement pour lui payer :
le ramassage de sa poubelle, l'ambulance qui vient le chercher jusqu'à sa porte, le médecin qui le soigne sans oublier toutes les aides qu'il perçoit sans bouger le petit doigt......
Déménager pour lui laisser la place, ça s'appelle de la bêtise.
Accepter, ouvrir sa porte au plus pauvre, au plus malheureux, OUI, mais il y a des limites. Ma famille passe avant tout. Voila pourquoi aujourd'hui, une fois de plus, je REAGIS.
Bonjour Bonpom et bonjour à tous
J'espère ne pas trop vous déranger en vous faisant sortir des burkinis et autres burkas.
Je dois vous l'avouer Bonpom , dans mon post du 25/08/2016 je vous ai manipulé au sujet des rapports publiés sur internet concernant les hydroliennes : Il n'y en a pas de rapports !
Les résultats sont tellement décevants que c'est gardé sous le manteau , bien au secret ! J'espérai que vous , un pro de l'info , feriez mieux que moi .
Dans notre monde " moderne " tout le monde ne jure que par Internet qui est l'α et l'ω de l'information ...... Oui , dans la mesure ou c'est public et publié !
Au moment de mon post , j'avais déjà utilisé une autre méthode qui a été bien plus productive , elle est si ancienne à l'heure du web roi que personne ou presque n'y pense : La demande de renseignements par téléphone aux entreprises concernées où on a souvent la chance de parler avec un technicien plus bavard que les brochures sur papier glacé qui racontent même des conneries .
Bien sur pour avoir des infos il faut un bagage technique ..... Si non pas compter !
Donc je vous redis que par les " bribes de discutions " que l'on trouvent de ci de là sur le web et par téléphone , les hydroliennes c'est une cata ....... A l'erreur près ..... Gros Rire !
J'espère que vous avez relu les posts sur Blada concernant l'hydrolienne de Camopi .
Synthèse :
-----Elle ne produit au mieux que 8kW au lieu des 10 kW prévus , ce qui ne fait pas très pro !
( A la saison des pluies ! A la saison sèche comptez entre bien moins et rien du tout )
-----A la puissance max elle peut théoriquement fournir de l'ordre de 40 W par foyer de Camopi (une lampe LED et la charge d'un ordi portable ) : Le Pérou en Guyane !
-----Elle est souvent en panne pour des raisons divers : Bois flotté , feuilles mortes ....... ?
-----Elle n'est pas raccordée au réseau de Camopi : Ce n'est pas prévu par EDF ..... pour le moins idiot ! ( et maintenant ? ) Il semblerait que seule la maison du maire en " profite " .
-----Elle pèse 19 tonnes - très remarquable pour si peu d'énergie ! ( un record il me semble )
Vous ne croyez pas que dans notre monde " communiquant " ( comme les vases ) , si un essai était une réussite , même petite , on ne le ferait pas savoir à coups de trompettes et de publications divers pour avoir des rallonges de crédits d'études et même des clients ???
Ne croyez pas tout ce qui est écrit sur le web et sur papier glacé .
Salutations
En réponse au message de Boiskaka du 18/06/16
Quelqu'un aurait une explication du pourquoi et comment cette année 2016 à kourou des centaines de maisons et appartements ont eu leur canalisations d'eau qui éclate ? ????
Surpression du réseau maintenu par sgde de kourou ? ??
Puis je aller en justice pour réparation ? ??ne devrions nous pas faire un recours en se regroupant contre la sgde? ???
Bonjour Boiskaka
Sans avoir plus d'information sur les lieux des ruptures : dans le sol à l'arrivée d'eau ou dans la maison, si c'est les tuyaux qui explosent ou les liaisons , je ne peux en parler , par contre ce dont je peux parler c'est du cas de la maison d'une connaissance du quartier Savane où j'ai constaté des brasures bout à bout de tuyaux ou des dérivations sans utiliser de manchons ......
Si cette technique de débile , non règlementaire mais pas couteuse , a été largement utilisée dans la constructions des résidences "moderne" vous êtes dans la merde !
Ce qui a été le cas d'une autre de mes connaissances du quartier de l'Anse où la rupture du raccord bout à bout de tuyaux c'est fait dans un mur .......
La pression n'est pas le principal danger pour les canalisations , le danger principal vient des coups de bélier dans le réseau .
Il y a bien sur le risque d'éclatement par le gel qui nous a été judicieusement été rappelé par Instant.noodle , mais sous l'équateur le risque peut être considéré comme négligeable .
Ne pas oublier la garantie décennale ......
Salutations
Quelqu'un aurait une explication du pourquoi et comment cette année 2016 à kourou des centaines de maisons et appartements ont eu leur canalisations d'eau qui éclate ? ????
Surpression du réseau maintenu par sgde de kourou ? ??
Puis je aller en justice pour réparation ? ??ne devrions nous pas faire un recours en se regroupant contre la sgde? ???
En réponse au message de Bonpom du 17/04/16
"Le problème des rapports de l'INSE c'est qu'ils tiennent compte du kilo de riz, du prix du pain, de celui du paquet de pâtes... Pas des voitures, des pièces automobiles, des carburants, des appareils électroniques (photo, ordi, télé...), etc... "
Pour dire ce que contient (ou pas) l'étude de l'INSEE, vous pouvez aussi la lire. Elle ne prend pas en compte uniquement le prix de l'alimentaire.
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=25
Bonjour Bonpom
J'ai suivi sur deux ans les prix de deux grandes surfaces de Kourou , ayant l'impression d'une augmentation des prix plus élevée que celle annoncée par l'INSEE j'ai voulu savoir en gardant mes tickets de caisse .
Pour la nourriture que j'achète régulièrement cela colle en gros avec les chiffres publiés .
Par contre calcul fait sur cinq ans avec comme base mes factures de matériaux de construction divers , filtres de distribution d'eau , tuyaux , câbles électriques , peintures , tôles , vernis , bois de construction , visserie ....... Je suis arrivé à une augmentation moyennée de 7,8% par an ce qui est très loin de l'inflation annoncée par l'INSEE !
En gros , l'inflation annoncée est plus ou moins valable pour la nourriture , les vêtements , l'électroménager blanc et brun.....mais par contre tout le reste des productions industrielles ont des prix qui s'envolent , ceci dans tous les domaines !
Si vous avez comme moi des catalogues datant de quelques années , renseignez vous sur les prix actuels et vous serez effarés de l'envolée des prix.
Un domaine où les prix atteignent particulièrement des sommets , c'est celui des pièces détachées automobiles mais pas seulement !
Donc l'INSEE ment ( par omission ) et pas que d'un peu !!!!
En métropole la plus grande partie des produits vient de Chine où ils sont achetés à vil prix et vendu en faisant au moins trois fois la culbute ...... En Guyane on arrive à des sommets : Un groupe électrogène qui m'intéressait coutait au départ de Chine 250 € ( le cout du transport en masse est très bas )
J'ai eu une proposition "intéressante" en France à 650 € et le même vendu ici sous une marque "prestigieuse " ( une histoire d'étiquette collée par le fabriquant chinois ) m'a été proposé à 1600 € .... ce qui fait une multiplication par 6 du prix d'origine . Après cela on peut comprendre la richesse des maisons d'import en Guyane !!!
Si vous ne me croyez pas regardez les prix sur Allibaba.com . Et ne tombez pas de votre chaise !
Salutations
En réponse au message de Siliphium du 01/03/16
Bonjour GyZ.
Qu'est-ce que ça veut dire que certains nouveaux agriculteurs de Wayabo sont illégitimes mais pas illégaux ? J'attends toujours votre histoire de foncier que vous avez promis à Patrice C et encore plus après la visite de Hollande au salon de l'agriculture ce matin.
Salutations
Bonjour Siliphium.
Cela veut dire que l'installation d'une personne sur un terrain où d'autres avaient déjà procédé à des investissements est une présence illégitime, car l s'agit de l'appropriation des efforts de l'autrui.
C'est une attitude de charognard. A Wayabo - ce qui semble vous intéresser - il en existe plusieurs cas : une personne déboise 6 hectares dès 2006 pour fonder un élevage avicole et stoppe ses efforts devant les retards de l'aménagement et devant l'interdiction de construire. Elle attend la possibilité de continuer. l'EPAG en profitera pour la déclarer "non-méritante" et lui refuser le titre de propriété...
Puis, le terrain est attribué à un autre en bail emphytéotique de 18 ans (= 18 ans pour "mettre en valeur", puis cession gratuite à la carte). Là, trois ans et demi plus tard, aucun investissement supplémentaire sur la parcelle mais selon les règles en vigueur ce nouveau venu peut d'ores et déjà demander la cession gratuite de ces premiers 6 hectares, considérés comme "mis en valeur".
Un autre couple a aussi été viré. Le nouveau venu a partiellement clôturé la parcelle joliment déboisée et plantée... par ses prédécesseurs lésés. Puis, mauvais comme le poisson hors du frigo, il me raconte spontanément (sans me connaître, bien entendu) que lui est un méritant tandis que les autres "n'ont rien fait". Vaguement gêné en son for intérieur on dirait, mais sans l'avouer. Et il me montre "ses" arbres. Sauf que ces arbres-là, je les ai vus plantés par les autres. Je le fixe dans les yeux et il baisse les siens...
Vous savez que les parcelles du fond de la piste Singes Rouges ont été attribuées lors du Plan vert, puis abandonnées par manque de route, pour être réattribuées par deux fois (!) durant les années '90 ? Toujours abandonnées par manque d'accès, pourtant promis chaque fois... Leur quatrième attribution par l'EPAG en 2005 était même contestée par ceux qui y ont construit des maisons et corails dans les '90. Contestations sans résultat, mais vous n'y voyez toujours aucune activité visible, malgré un accès assuré et même le réseau électrique.
Néanmoins, la présence des nouveaux venus n'est pas illégale, car ils ont été installés "légalement". Car tout ceci est "légal". Comme l'arnaque exemplaire des victimes de la Bordelaise, décriés comme des occupants illégaux.
Vous approchez au véritable pb du foncier en Guyane, ce qui n'est pas la "spéculation foncière" avancée par les faibles en QI.
Les soucis des paysans en France sont des rêves enviables à côté de ce que vit la Guyane. S'ils le savaient, ils auraient accuelli FH avec des louanges... Cela dit, le fond des pb est le même ici et là.
En réponse au message de Patrice C du 23/02/16
Bonsoir,
Cher Koro, s'il n'y avait personne autrefois en bord de mer, c'est bien pour les raisons que vous pointez, sans les nommer (érosion, déplacement naturel du trait de côte...) mais je dois avouer que je suis plus qu'étonné que personne ne se soit encore sérieusement penché sur la question....depuis toutes ces années !
Et pourtant, que de scientifiques, de techniciens, de politiciens de tous pays, qui passent par ici....il y a même des représentants de l'état français, par exemple des préfets, qui changent assez souvent pour que l'on en ait des nouveaux qui ont au moins dû entendre parler des problèmes qui ont été rencontrés lors de certaines tempêtes en France, il y a quelques années...
Mais non...pas une de toutes ces personnes intelligentes et formées qui ne se soit posée la question, ou ne l'ait au moins relayée à des services qui j'imagine existent....en effet, si l'on décide de laisser chaque maire seul décider de l'avenir de "sa" commune, seul dans son coin, le pays n'est plus rien d'autre qu'un ensemble de mini-états féodaux tenus ensemble par un élastique ;-)
Il doit certainement exister un mécanisme administratif quelconque chargé de la protection ou plutôt de la surveillance du trait de côte, avec les mesures d'accompagnement qui vont bien avec, suite aux tempêtes, suite à la cop21, suite au réchauffement climatique...
Depuis la fin des années 96, ce sont toujours les mêmes qui avec pelles et /ou la force des bras dégagés le "bouchon" de l'avenue Boudinot, des riverains qui savent que s'ils ne le font pas eux mêmes, personne ne mouillera les poils de ses jambes et leurs biens seront détruits.
Sauf que depuis l'année dernière et cette fameuse marée du siècle (celle qui a fait plouf comparée à celle du mois d'avant) c'est l'autre coté de la ville qui se prend les vagues en pleine face.
Tant qu'il n'y avait que les quelques propriétés accolées au village et le village amérindien la gestion de la crise se faisait à l'acte. Façon pansement sur jambe de bois et après ça le déluge.
Le déluge, on en est au début.
Là, l'océan s'en prend à tout le front, de propriétés jusqu'à présent épargnés.
Et certains devraient se poser des questions sur le prix au combien avantageux auquel ils ont acheté leur maison. Le dérèglement climatique et la montée des océans sont-ils considérés comme des vices cachés.
Quand la première fois le club hippique a failli partir à l'océan c'était déjà un coup de semonce plus sérieux . Des tonnes de roche ont été balancées au pied du promontoire et ça n'a pas servi, aujourd'hui, ça repart de plus belle.
Rien que d'entendre certains parlaient de mer, quand on se trouve devant un master océan version force pure, tu comprends qu'ils ne prennent pas la mesure du problème qui arrive.
Et sinon, un grand merci à la famille Maciel et aux potes qui font à chaque inondation de Boudinot, le boulot des services techniques de la ville.
En réponse au message de Carbet du 18/02/16
Bonjour Nikobellic
Sorti de France Guyane au sujet de Wayabo : "Contactée par nos soins, l'équipe municipale de François Ringuet se dit consciente du problème. « Il y a un suivi........" Donc c'est dans la bonne "voix" si il le dit !
C'est une méthode de gestion de la commune : on payent , la commune ne fait rien , et nous on fait le boulot à leur place........
Vous me direz que , encore un petit effort de leur part et ce sera le cas , vu que déjà ils ne font même pas la moitié du travail !
A 800 ils sont assez nombreux à la mairie pour avec seulement des sabres et des pelles faire une grande partie des travaux en souffrance .
Mais le travail c'est sacré , on n'y touche pas !
Salutations désabusées
C'est à ce moment qu'on parle de Guatemala ? Les Wayabois n'avaient qu'à occuper des terrains (nommés jardins ouvriers de plusieurs hectares) illégalement, construirent leurs maisons, monter une association "Les riverains de Wayabo" mais qu'avec des potes, la famille, les cousins et une fois obtenu la propriété de leur parcelle, réclamer l'électrification, les réseaux eaux, les voiries et les voies au frais de la communauté. Puis venir une, deux ou trois fois, en nombre à la mairie, ouvrir une page facebook, pleurer leurs mères sur la page facebook de la ville de Kourou et à Guyane 1ière .
Si Gyz et ses voisins font tout à l'envers, sont pas assez ambitieux avec leur pancarte et leurs 500 euros, qu'ils aillent prendre des conseils à 600 000 euros en traversant la RN
En réponse au message de Koro du 14/01/16
Un ami paysagiste, titulaire d'un marché d'aménagement d'un rond point, plantait toute la nuit avec vingt personnes la veille de la réception des travaux. Puis plaçait deux vigiles dans l'attente de cette réception, avec des citoyens qui s'arrêtaient et demandait d'en prendre quelques unes. "O ! ce n'est pas grave, il en restera assez !". La responsabilité de cet entrepreneur étant engagée jusqu'au dernier moment.
Le lendemain de cette réception, le rond point était pillé !
bonsoir,
ami Koro, que dire, que répondre ? Nous vivons malheureusement dans un partie du monde où la culture du "beau" ou simplement le vivre-ensemble sont des mots qui sonnent creux.
Votre ami entrepreneur a eu parfaitement raison d'agir comme il l'a fait, preuve en est ce qui c'est passé au lendemain de la réception de l'ouvrage...les demandes des concitoyens pour obtenir qques plantes (des boutures ! ) sont une preuve supplémentaire de cette mentalité qui ne participe pas à embellir le pays
quel dommage, sachant que je doute que cela aille en s'améliorant....
pour ce qui est de la responsabilité des entrepreneurs, celle-ci est pleinement engagée, en effet, et seuls ceux capables de sécuriser leurs biens s'en sortent : il y a deux ans, sur l'un de mes chantiers, on a démonté un escalier en bois....j'ai posé des questions au voisinage, et ai appris qu'un véhicule d'entreprise, une "camionnette blanche" est venue un dimanche et qu'ils ont vu un monsieur transporter des planches...
personne ne s'en est étonné, puisque dans le pays, on est habitué à voir des gens travailler n'importe quel jour, la WE, les jours de fête, parfois à des horaires un peu étonnants, dans des conditions étonnantes...alors, qu'un type travaille sur un chantier le dimanche, ma foi....personne ne pense qu'il vient voler un escalier en bois, tout de même !
toujours est-il que cet entrepreneur a du remplacer, à ses frais, cet escalier...et évidement, personne ne viendra lui dire "mon ami, il y a des assurances pour cela" car aucune effraction n'a eu lieu.
évidement, le type en question avait la clé de la maison en construction !
eh oui...trop souvent, par manque de discernement, on confie des clés de chantier à n'importe quel sous-traitant, à n'importe quel ouvrier que l'on chargera d'aller "vite fait" faire un truc, car on est mal organisé dans sa boite...
et si le chantier en question dure deux ans, il y en a es occasions de faire un double des clés !
enfin bref, tout ça pour dire qu'on a deux solutions :
- soit on arrive enfin à comprendre que l'éducation est un truc primordial, et que les citoyens que nous sommes doivent s'entendre pour arriver à vivre ensemble
- soit on achète tous un fusil, des balles, et ce sera "chacun pour soi" dans une Guyane à l'allure de décor de western où les plus méchants auront des AK47 dans leur véhicule
concernant les chantiers, la tendance actuelle est à la sécurisation maximum...on ferle tout, on mets des gardiens, le jour, la nuit, on contrôle les entrées et sorties, les gens ont des badges...
bientôt on commencera à imposer l'uniforme, le pantalon bleu avec le tee-shirt à l'effigie de la boîte, ou un truc dans le genre...
c'est malheureux, mais cela ne fera qu'augmenter le prix des chantiers, que seuls les plus gros pourront "avoir", et ceux-là dicteront leurs conditions aux plus petits...dans le même temps, les loyers augmenteront, puisque le coût de la construction augmente (ne pas oublier que les loyers sont indexés sur cet indice, dans le cas présent l'effet sera d'abord mécanique, puis il se fera naturellement, à un taux élevé artificiellement par l'obligation de maintenir un rendement financier égal malgré le renchérissement des coûts de production)....
l'augmentation du coût des loyers se retrouve à être le vecteur de l'augmentation du coup des aliments, de toutes ces choses que l'on trouve dans un magasin, qui paye soit un loyer, soit un impôt.
bref...l'effet boule de neige.
en gros, plus on a de voleurs et de voyous dans le pays, plus cela coûte à la collectivité.
voir les deux solutions proposées plus haut.
En réponse au message de Patrice C du 19/12/15
bonsoir,
mon cher Cush, mais comment ferait on donc cuire les saucisses et les pièces de viande saisies à Saint Georges le WE s'il n'y avait pas de charbon à vendre ?
sinon, cette question, il faudrait peut-être la poser à nos amis écologistes ?
je ne sais pas ce qu'il diraient...
sinon, on peut aussi demander à tous les intelligents qui passent tous les jours sur les routes, les ceuzes qui réfléchissent, mais qui ne se posent jamais les bonnes questions, tout en donnant de la voix qui dans les médias, qui sur la place des Palmistes, vociférant, hurlant, les doigts dégoulinants de graisse de la merguez prise en sandwich..
Je n'ai rien contre le fait d'utiliser le bois "abattu légalement" pour le transformer en ce qu'on veut: charbon, sièges, meubles, maisons ( vu dans un reportage hier soir, 98% de la forêt haïtienne a été abattu). Ce qui fait le plus mal, c'est de voir des grumes pourrir sur le bord des pistes ou des routes. Il paraitrait même que les orpailleurs légaux ont obligations de laisser ce bois pourrir, enfouis sur place à la fin de leur chantier. Pour faire de l'engrais ?
En réponse au message de Koro du 17/12/15
Nos élus lokos ou lokaux ont tout compris avant eux, puisque Patient a déjà évoqué la prise de gestion de la forêt par les communes, à la place de l'ONF.
Ce qui serait une catastrophe pour l'environnement avec les centrales de biomasse qui vont tout détruire.
Les centrales de biomasse seraient encore le point le moins négatif de cette gestion.
Les "centrales de biomasse" seraient plutôt les types simples qui massacreront tout avec une tronçonneuse... Une quinzaine d'années de cela, un bruit de tronçonneuse m'a irrité aux abords d'une grande commune de l'Ouest. J'y suis allé voir.
J'ai découvert un bonhomme qui coupait - et un village clandestin juste à côté. Le tout à 300 m de la RN1, avec une entrée indécelable à travers le jardin d'une maison sise au bord de la route nationale.
Que l'ONF soit honoré, un de ses agents est venu voir. Le coupeur de bois exhibait un papier signé par le maire de la commune. Il y était écrit qu'il autorisait ce type à couper un hectare de forêt pour en faire son abattis, sur la parcelle de forêt n° Z 53, si je me souviens bien.
Ce qui était rigolo, c'est que cette zone n'appartenait pas à la commune mais à l'ONF... De plus, il n'y avait aucune parcelle dénommée Z 53 dans cette partie de la Guyane. L'ONF en avait une, mais à Sinnamary, à 140 km de là.
Au moment de notre arrivée, le très performant coupeur (un sans-papier originaire d'une île des Caraïbes...) venait d'entamer, à vue d'oeil, le cinquième hectare de forêt.
En réponse au message de Carbet du 29/09/15
Bonjour Patrice C
On est sur le point d'être d'accord , les énergies alternatives ( qui ne sont en général pas nouvelles ) ont contre elles leur faible rendement en kW/h en comparaison avec les "énergie classiques " . Elles ont aussi contre elles leur intermittence pour certaines .
Pardon je détourne votre phrase ........ Rire
Vous parlez à juste raison de rendement financier bas , en vérité très haut pour les entreprises productrices d'équipements ainsi que pour les installateurs/vendeurs , ceci grâce aux aides des États , par contre les résultats d'exploitation mirifiques pour les acheteurs ne sont pas assurés , malgré le prix d'achat du kW/h très élevé .
Vous comparez hydroliennes et moulins à eau : ce n'est pas du tout la même chose .
L'hydrolienne utilise la force dynamique de l'eau courante avec un rendement de conversion faible alors que le moulin à eau utilise toute la puissance d'une chute d'eau de plusieurs mètres . ( au rendement près )
La roue à aubes n'est pas une référence de rendement , la turbine lui est bien supérieure .
Le problème est que nous avons très peu de chutes d'eau en Guyane . La majorité des sauts n'est pas exploitables car submergés une partie de l'année.
Un rare cas exploitable et exploité est le saut Maripa à St Georges .
Les moulins et les turbines ont l'avantage d'être protégés des bois flottants et des feuilles mortes par une grille dans leur bief ce qui est impossible pour une hydrolienne qui ramasse de plein fouet des arbres de plusieurs tonnes avançant à bonne vitesse : aucune ferraille de protection ne peu en sortir indemne !
Pour ce qui est des feuilles elles se plaquent sur les pales et dégradent fortement les faibles performances .
Rappelez vous le nombre de fois où en navigation en rivière il faut relever le moteur pour enlever les feuilles mortes plaquées sur sa queue et le font caviter.
Il y a d'autres sources d'énergie alternative qui ne sont pratiquement pas citées: le " vieux " gazogène qui utilise un moteur quatre temps standard , il y a une application dans une centrale à Kourou .
l y a aussi le moteur à air chaud Stirling qui peu être chauffé avec tout ce qui brule ..... et a un bon rendement .
Comme vous le dites il faut se limiter dans l'utilisation de l'énergie et arrêter d'utiliser un marteau pilon pour écraser une mouche et accepter de dépenser " un peu " de force musculaire .
Les pousse pousses à petits moteurs " de Frautosaure " en est une illustration pertinente , certes pas glamour pour un Zélu de la république mais assurément rentables pour celui qui se lancerait dans une petite flotte qui remplacerait les dispendieux bus toujours vides de Kourou .
A l'heure d'internet sur smart phones largement distribué dans la population il est incompréhensible qu'un application " pousse pousse de Kourou " n'est pas été développée avec le soutient de la mairie , ceci coutant moins du millième du prix du service de bus . Et si il y avait plantage les pertes étaient faibles .
Vous me direz que des petites sommes d'investissement ne sont pas intéressantes de par les faibles " récupérations " possibles .
Meilleures salutations
bonsoir,
Carbet, pourquoi dites-vous des trucs comme "on est sur le point d'être d'accord" ?
il n'y a jamais eu de dés-accord, il n'y a eu qu'une discussion.
c'est terrible ça.
concernant les moulins à eau, les pales, les hydroliennes, les hélices de bateau et autres machins du même acabit, perso je me fiche pas mal de savoir si tel ou tel objet a telle ou telle spécificité.
le fond de mon discours n'est pas dans la réalité des choses : j'ai une approche globale de ce que pourrait être un "machin technologique" dont une extrémité trempe dans un cours d'eau, le tout produisant de l'énergie.
donc, que ce soit une hydrolienne ou un moulin à eau, le but est le même, le principe de fonctionnement est certes différent, mais ce que l'on veut en finalité, c'est en tirer de l'énergie.
hors, si l'on parcours les lignes que j'ai écrites, on s'apercevra que le discours que je tiens concerne la "quantité" d'énergie fournie par unité "d'investissement"....lu avec les lunettes qu'il faut avoir à notre époque, on comprend que cet investissement c'est fait au détriment du bien commun, avec pour corollaire une sacré perte de savoir, et d'autonomie : on est devenu dépendant de la formidable quantité d'énergie que l'on peut tirer d'une prise de courant comme tout le monde en a à la maison.
puisqu'on ne se rend plus compte du niveau d'énergie que l'on dépense, ou plutôt niveau du potentiel de Travail que pourrais fournir cette énergie, on ne peut pas avoir un regard réaliste et éclairé sur la notion de génération de cette énergie : en gros, comme on est plus obligé d'aller couper du bois dans la forêt pour nous chauffer ou cuire nos aliments, nous ne savons plus les efforts qu'il faut faire (la quantité de Travail que l'on doit fournir) pour obtenir satisfaction.
en effet, pour allumer la lumière, il suffit d'appuyer sur un bouton...du coup comme c'est facile d'appuyer sur un bouton, l'électricité est un truc facile à produire, dans l'esprit des gens.
hors, ceci est faux.
voila le fond de mon discours.
il faut donc de toute urgence prendre conscience de cette absence de solution de rechange, car pour le moment, à par ceux qui ont des moyens financiers importants, il sera extrêmement difficile au moins bien lotis de se chauffer et de cuire leurs aliments à l'avenir.
il en sera de même des déplacements, qui seront de plus en plus limités ; internet est une grande aide de ce côté-là, mais attention à la forme de société qui sera créée, car plus on est connecté, plus on est isolé.
la transition énergétique doit avoir lieu "maintenant", moment privilégié où nous avons encore de l'énergie à foison, des matières premières à foison, et les idées claires, et non-pas encombrées par des problèmes de gestion de la survie lorsque le moment fatidique du manque d'énergies fossiles aura été dépassé.
ps : lorsque je dis "à foison", il faut entendre "à foison pour faire ce que nous voulons faire"
En parlant de la forte probabilité d'augmenter les taxes sur KOUROU!!!!!
La MAIRIE de KOUROU a t-elle déjà diligenter des personnes de contrôles pour toutes les maisons qui ont réalisées des extensions sans permis de construire :exemple nombreuses maisons sociale (à l'époque) quartier SAVANE ont doubler leur superficie avec des extensions en durs!!!!IDEM côté quartier lycée professionnel ou à l'époque les gens achetaient des maisons dites sociales pour une boucher de pain et qui par la suite en faisait un villa en y rajoutant 2 ou 3 chambres.
Quartier il y a une grande maison construite tout de blanc vêtu et qui se dit culte religieux alors que cela sert à de nombreuses familles à y habiter.....
Avant de nous faire tous payer!!! A chacun de prendre ses responsabilités et à la mairie de KOUROU de faire le ménage sur les constructions individuelles qui ne payent pas leur du par rapport à leur superficie réelle!!!!!
En réponse au message de Carbet du 17/09/15
Bonjour Patrice C
Quand je parlai de règles de construction climatiques je faisait référence aux règles de bon sens qui étaient utilisées " autrefois " en orientant les constructions , en limitant les entrées de soleil dans les pays chauds , en favorisant les ventilations naturelles ....... ( comme vous en parlez )
Ce qui faisait que dans les constructions modernes d'Afrique du nord où j'ai vécu dans les années 60 , on ne crevait pas de chaud malgré les températures élevées de l'été .
Ce qui n'est pas le cas dans de la plupart de nos belles réalisations ici pour les raisons que vous indiquez et que je subodorai .
Pour ce qui est des règlements climatiques je croyais qu'ils étaient appliqués depuis plusieurs années ..... Oups !
Salutations
bonsoir,
la réglementation, quelle qu'elle soit, s'applique toujours pleinement "un jour".
avant, elle s'appliquait "un peu", puis "un peu plus", puis "encore un peu plus".
un jour, toutes les entités concernées par la nouvelle règle l'ont intégrée.
nous en sommes à ce stade, quoique nous soyons encore dans la phase préliminaire de prise de conscience : les entités en question (entreprises, clients, deal, région, contrôleurs techniques...) savent qu'il existe une réglementation, mais selon leur degré d'implication concernant l'application de cette nouvelle contrainte, poussent ou au contraire freinent la mise en place de la nouvelle règle.
aujourd'hui, nous en sommes au stade où "tout le monde est convaincu", et enfin nous démarrons des chantiers où les entreprises appliquent la règle sans trop rechigner, et les donneurs d'ordres savent qu'il va falloir provisionner des sous en plus parce que les chantiers vont coûter plus chers...
concernant cette nouvelle réglementation, il sera rigolo de confronter les obligations quand à l'exigence de diminution du bruit, avec nos habitudes locales à avoir des jalousies, ou des claustras, par exemple, puis de confronter l'obligation de diminuer le bruit, avec l'obligation d'avoir des ouvertures qui laissent passer l'air...m'enfin....
à propos de l'architecture utilisant des techniques de masquage par des artifices de construction, je pense que leur temps est révolu.
il n'y a plus d'argent, et les gens ont compris la nécessité de construire comme il le faut.
les tendances lourdes de l'architecture vont vers un détachement de l'homme du matériel : l'homme occupe les espaces, mais ne les habite plus. il utilise l'espace à sa convenance, et sa vie sociale est dans la société, plus que dans sa cellule familiale, la cellule familiale étant la base de départ à laquelle pense quelqu'un qui dessine une maison qui sera habitée par des humains.
nous allons malheureusement vers l'hyper-fonctionnel, très restreint, quasi industriel, et seules les personnes les mieux nanties pourront accéder à des espaces personnels, à leur mesure, tant financière que spirituelle : en gros, nous continuons à renforcer la société médiévale pressés par les circonstances, et la pression de l'augmentation (hyperbolique) de la population
concernant la typologie des habitats des êtres humains :
- ceux-ci ont d'abord été des lieux de protection : la grotte ancestrale...
- puis des lieux de rassemblement : le village, le petit groupe de maisons au fond de la vallée...
- puis des lieux de pouvoir : le château, la villa, le logement de fonction...
en Guyane, la "génétique" de l'habitat est constituée par l'habitat fonctionnel des institutions de l'état, il suffit de regarder la ville de Saint Laurent du Maroni pour comprendre, et par ce qu'on appelle pudiquement l'habitat informel, càd un habitat qui n'a pas de forme "définie", au sens de "toutes les maisons de tous ces gens ne se ressemblent pas".
dans la partie "habitat formel", nous retrouvons les maisons présentatrices du pouvoir, par exemple à Saint Laurent, le quartier de la préfecture et ses maisons datant du temps de l'administration pénitentiaire.
la formation d'une "génétique" se fait de façon progressive : ici, les exemples ont été le bagne, les maisons des fonctionnaires blancs, et les cases des guyanais, dont le rôle social se bornait à la survie.
cette gestation primale c'est exprimée par l'adoption d'un style copiant les maisons représentatives du pouvoir, dont les ancêtres premiers peuvent être trouvées parmi les habitations des premiers colons blancs.
d'autre-part, fort de la technologie du "plus puissant", nous avons adopté les procédés franco-français.....dans les années 1990 encore, on construisait à Cayenne des maisons à toit plat, en béton, et des immeubles à l'identique de ce qui se faisait en métropopol, tandis que nos ancêtres constructeurs en dur guyanais ne faisaient pas mieux : la maison du fonctionnaire colonial ne dispose pas de ventilation naturelle, les pièces sont basses, mal orientées, mal conçues, faites pour le confinement dans un pays froid. bref....on est donc allé chercher des idées en Louisiane et dans les autres régions colonisées, pour construire ce qui sera la case créole aboutie, avec toitures débordantes, claustras, s'inspirant tout autant du carbet des amérindiens que des cases en planches des premiers colons.
des architectes m'ont raconté que quelques maisons de Cayenne de type maison créole ont été importées de Louisiane, en kit, par-contre je ne pourrais pas les désigner, ni citer de source pour en retrouver l'adresse.
l'histoire de l'architecture guyanaise n'est donc pas très vieille, et les tours à vent ou les ombrières berbères ne sont pas connues, de même que les vertus de la terre crue (ou cuite) soit n'existent pas, soit ont une image extrêmement négative, due à l'histoire...
tout cela pour dire que la "génétique" de la maison amazonienne aboutie guyanaise est encore en gestation...mais nous commençons à voir apparaître un certain style, fait d'un mélange de parois en bois, et en maçonnerie, avec des zones d'habitat assez centralisées et isolées les unes des autres, même dans les immeubles collectifs, et des zones d'ombre ouvertes sur l'extérieur...
cette tendance est intéressante.
reste à apprendre à créer de l'ombre avec des arbres, habitude ancienne qui a plutôt tendance à s'amenuiser, avec l'appauvrissement des terres (en termes de capacité à produire du végétal) et la surenchère des terrains (au point de vue financier)
un bout d'étude intéressant :
http://www.ecologie-humaine.eu/DOCUMENTS/SEH_Cabane/Cabane_25_Cherubini.pdf
et on a importé des maisons "en kit", faites à partir d'arbres pas de chez-nous ; on en retrouve dans la ville de Cayenne, on appelle cela des "maisons créoles"
En réponse au message de Robespierre du 09/09/15
Dans notre quotidien régional page 7 le journaliste rapporte les conclusions de l'audit de la Chambre Régionale de la Cour des Comptes ; HORREUR ! les impôts devraient encore augmenter : 33% pour la T H, et 50% pour la T F et tout cela parce que notre nouveau MAIRE a creusé le déficit en 18 mois de mandat ; la CRC lui attribue, selon le journaliste, les deux tiers du déficit de 24 millions soit 18 M € ;
Question : de combien sera le déficit en fin de mandat en 2020 ? (càd dans 50 mois)
Où sont passés ces sous ? la voirie est de pire en pire, l'éclairage égale à néant, un petit progrès sur les herbes ; les gros travaux ont été payés partiellement par la Région ou le C G
A suivre de très près et s'en souvenir en décembre 2015.
Moi je commencerai à faire payer les marchant de sommeil qui font des sous location et agrandisse leur maison!!!ensuite tous ceux qui ont une piscine. ....
En réponse au message de Boiskaka du 27/08/15
Je ne sais pour qui vous travailler et surtout je vous joint un démanti qui vous prouvera le contraire et dénoncera les penchant de nos politik sur le sujet....
Oui il est vrai que cela ne marche pas en FRANCE, mais partout ailleurs cela fonctionne!!!!
lisez plutôt et vous comprendrez....
http://fr.myeurop.info/2015/05/05/eoliennes-dans-le-vent-europe-sauf-france-14353
ceci serait possible à réaliser en Guyane et en AMÉRIQUE du SUD!!!
Idem pour des centrales hydro électrique pour nos villages lointains de Guyane qui vivent aux abord de fleuve!!! tout est question de décision politik, de gabegie que l'on veut nous faire croire pour enrichir certain privilégier qui n'ont que faire de notre bien être en Guyane!!!!
Imaginez ont pourrait même créer des emplois locaux à TUENKE ou PAPAICHTON en formant sur place des amérindiens ou autre villageois du fleuve à la maintenance des ces systèmes....FINIT le transport de groupe électrogène et gazoil par hélico qui coute un bras!!!
Vous me direz donc à qui cela profite t-il???? et je laisse cela à votre bon sens....
Bonjour Boiskaka
Je travail pour moi , seulement pour moi !
Quand je vois des informations qui ne tiennent pas la route dans mon domaine de compétence je le fait remarquer . Pas plus !
Comme je l'ai écris , et bien d'autres aussi ,qui sont bien plus compétents que moi , l'éolien ne tient pas la route car c'est une énergie INTERMITTENTE qui n'est disponible qu'un quart du temps en Allemagne et un cinquième du temps en France .
Comme on ne sait pas stocker l'électricité en grande quantité , que fait-on pendant les 3/4 du temps sans production ??? 4/5 du temps en France ???
Et bien il faut avoir des centrales électriques fonctionnant au gaz et des turbines à gasoil , ce qui fait un double investissement et donc le prix du kilowatt en prend un grand coup à la hausse .
D'autre part les calculs qui vantent les éoliennes donnent un prix du kWh en prenant en compte la puissance nominale de l'engin et un temps de production moyen bien supérieur aux 25% réels en Allemagne , pour ce qui est de nos 21% d'activité .....!!
Il est soigneusement oublié les aides d'état et le prix du kWh surtaxé vendu aux consommateurs d'électricité .
L'éolien n'est pas à dédaigner mais ce n'est qu'une énergie de complément .
Pour ce qui est des villages isolés en Guyane le solaire et quand cela est possible surtout le petit hydraulique sont en effet LES solutions . C'est le rôle de l'administration départementale de penser à cela .
Encore faut-il le vouloir et surtout le pouvoir .
Encore faut-il avoir la compétence pour assurer la maintenance ...... ce qui n'est pas joué !!!
Si j'en juge par les quelques installations solaires qui ont étés installées et toutes laissées à l'abandon de manière honteuse .
Dans les Andes j'ai vu un certain nombre de moulins hydrauliques "bricolés" avec génie pour alimenter une maison . Cela existe aussi en Asie .
Autres peuples ......
Pour nous il n'y a pas de problème d'énergie fossiles ni de réchauffement climatique , par contre pour nos enfants et surtout nos petits enfants , ils ont du souci à se faire !!!
Gardez le moral
Salutations
En réponse au message de Remiremontjoly du 13/08/15
Bien que revenus dans l’Hérault depuis quelques années après 10 ans de Guyane, nous avons participé au vote pour « l’arbre de l’année ». Nous avons même convaincu les 69 contacts amicaux de notre boite mail de voter et de faire voter… Le fromager de Saul représente un symbole très important de la richesse de la forêt amazonienne guyanaise, plus représentatif de la biodiversité qu’un bosquet maintenu en décoration à un carrefour urbain ! Malheureusement le piratage que nous avions constaté début aout où la Guyane est passée de 8763 le 26 juillet à 18640 le 7 aout, de 7908 à 19540 pour la Réunion aux mêmes dates. L’écart à ce moment-là était de 855 en faveur de la Guyane. Les organisateurs ont donc rectifié le 12 aout les scores au détriment de la Guyane qui se retrouve au 13 aout avec un score de 11654 et La réunion de 14970 !!! Ce correctif nous parait particulièrement injuste avec un tel écart alors que le « piratage » lui-même avait largement favorisé La Réunion.
Je ne sais pas depuis combien de temps tu suis l’opération, à un moment c’est la Corse qui caracolait seul devant les autres arbres, jusqu’au jour où le compteur de la Réunion a commencé à avancer par à coup.
Je suis très curieuse de nature, en congés de surcroit, du fond de mon hamac, en consultant les pages Fb et les commentaires que certains se lâchaient et annonçaient le nombre de fois où ils votaient par jour. C’était fin juillet. Déjà là, les organisateurs du concours auraient dû mettre leur sentinelle informatique en alerte, j’ai observé plusieurs jours et rien.
Le 22 j’ai balancé la méthode utilisée par d’autres.
Et c’est quand les compteurs Guyane-Réunion avançaient de concert que les responsables de l’opération ont vu le loup. Si la Réunion avait continué son avancée tranquille, auraient-ils relevé le « piratage » ?
La faille existe dans leur système et ce n’est visiblement pas la première année, qu’attendent-ils pour supprimer ?
C’est bien pour cela qu’ils laissent filer soit en bloquant les deux « leaders » ou en supprimant 10 000 votes à chaque - en prétendant que c’est le nombre de votes pirates (8)) pour tenter de calmer le jeu.
Encore hier, durant la nuit réunionnaise, ces pavés apparaissaient régulièrement sur la page concours. Alors que quand la Guyane dort....seuls s’ajoutent les votes des fans continentaux
De mon hamac, j’ai eu le temps d’observer une autre curiosité : Mme Elizeon, originaire de la Réunion en charge de la délégation interministérielle pour l’égalité des chances des français de l'outremer, cultive sa profession de foi sur l’égalité des outremers, en faisant figurer sur la page gouvernementale un appel au vote……. pour la Réunion.
Rien à redire si Mme Taubira fait de même pour le Fromager Guyanais sur le site du ministère de la justice et Mme Langevin à l’Outremer pour celui de la Martinique (sa région d’origine n’ayant pas d’arbre en lice) http://ultramarins.gouv.fr/facebook/votez-pour-le-banian-du-port-avec-10-300-votes-le-banian-du-port-se-classe-pour-le-moment-2e-sur-25-arbres-remarquables-selectionnes-par-lonf-pour-le-concours-arbre-de-lann/
J’en entends déjà « Tout ça pour un arbre ». Un débat a lieu sur les réseaux sociaux, « tant de bruits pour un arbre alors qu’il y a des choses plus importantes qui se déroulent » A ceux-là, je dis « STOP, de temps en temps pour quelques jours, ou semaines, on peut débrancher des sujets « majeurs » ou pas ? Pour la détente de nos synapses.
Même si …… le Fromager est-il un arbre mineur ?
J’aime les arbres et tout ce qu’il y a autour,; Déjà, par leur fonction de filtre, les arbres me permettent juste ……….de vivre, à vous aussi. Mais également à des millions d’espèces vivantes différentes et je ne me lasserai jamais de découvrir le sous-bois guyanais, et même de caresser ce géant empli de tant de pouvoirs mystiques qui devraient être rassembleur.
C'est le refuge des âmes, le gardien des placentas, l'habitat des Maskililis et le royaume de Mèt Bwa, c'est le mat de la maison Guyane
Alors votez pour lui. http://www.arbredelannee.com/view_laureat?uid=4fd778b482fd45ce52d59987903628aa
FROMAGER Elie Stephenson
Un arbre
De multiples feuilles
Des milliers de racines
Mais un seul tronc
Une terre
De multiples fleuves
Mille populations
De multiples cultures
Mais un seul peuple
Un pays
Des millions de fleurs
De multiples couleurs de peau
De cheveux,
De regards
Mais un même destin
Une terre
Un peuple
Un destin
Pour un pays qui se cherche une identité commune, quel symbole.
En réponse au message de Robespierre du 25/05/15
INSECURITE
L'absence d'éclairage public dans le secteur de l'anse favorise les vols : ainsi outre ma clôture endommagée, j'ai pu constater le vol de linge qui séchait sur ma terrasse ainsi que le vol de nourritures dans mon congélateur extérieur ; bien sûr ce n'est pas la faute du maire mais le laisser aller au niveau de l'entretien de la ville le concerne directement ; je regrette déjà mon bulletin de mars 2014
Détrompe toi Robespierre, l’éclairage public actif n’empêche en aucun cas la visite des véhicules garés devant les habitations.
J’ai dormi dimanche soir au square camopi au 205, quand j’écris dormir c’est un mensonge, puisque cette action s’est résumée à 2h de sommeil sur le canapé de ma copine, façon comatage aidée par quelques mojitos - à utiliser avec modération ou rester dormir là où tu consommes étant ma devise – devise que je vais changer en : à consommer avec modération ou rester dormir là où tu consommes, SAUF SI PAR MALHEUR TU TE TROUVES AU SQUARE CAMOPI
Les posts de Square Camopi 205 et Saxl ne sont que l'esquisse d’une de ces nuits de boxon (alcool, courtisanes - j’ai dormi lundi dans mon hamac à Matiti sinon j’aurai écrit putes (ah, tiens je l’écris)- jeux clandestins, chataigne et drogue à volonté) qui est devenue habituelle pour les résidents du square.
Le maire le sait, la police municipale le sait, la gendarmerie le sait, l’agence régionale pour la santé le sait et comment vous dire : personne ne bouge. Même pas l’élue à la vie sociale et à la santé. Pourquoi ? Si quelqu’un a la réponse qu’ils le disent aux habitants du square.
Et c’est pas fini !
Pour cette nuit de dimanche, une fois que l’exploitant a replié son auvent, jeté les cadavres des nombreuses boissons alcoolisées – après 23h tu ne vends plus de repas chaud, son fond de commerce est ouvertement l’alcool - a commencé sous les carbets de la plage, une party de 2 h du matin jusqu’au l’aube et d’après mon hôtesse, l’exacte réplique de celle donnée un samedi 15 jours auparavant. Pourquoi se gêneraient-ils ?
Une « party » façon 205 c’est quoi : des jeunes mineurs réquisitionnent (ou se les font prêter par la mairie, nous ne sommes plus à une aberration prés) les carbets du front de mer, font une barbecue en nocturne - jusqu’ici y’a pas malaise – puis y’a l’after vers 02h00 commence un boucan de tous les diables avec l’hystérique de console qui passe son temps à appeler sa fiat et comme dit plus haut à 02h du matin, tu ne manges plus de poulet rôti, tu bois de l’alcool en geignant sur cette chienne de vie . Imagine l’ambiance pour les riverains coincés entre le carbet hurleur et le boxon répétitif du square camopi.
On a connu, on était jeunes mais on faisait ça dans le garage ou la cave des parents, avec interdiction de faire chier les voisins.
Des jeunes mineurs, de l’alcool c’est une composante de nombreuses villes en hexapole, mais sûrement pas de 02h00 du mat à l’aube, sans qu’une armée de bleus viennent faire rentrer tout ce petit monde chez soi. Sauf que pas.
J’en viens aux visiteurs de nuit « qui n’opèrent que dans l’obscurité ».
Nous, à 3h et demi comme beaucoup d’habitants du quartier, on ne dormait pas, trop occupés à fabriquer des murs anti-bruits avec des matelas (là est l’avantage d’avoir des jeunes qui étudient en hexapole) collés sur toutes les ouvertures en façade « carbet boite de nuit » .
La lumière pas la peine puisque l’éclairage façon « terrain de foot » traverse la maison.
Les matelas antibruits et la porte de chambre fermé aidant, nous permettent de percevoir le son de vélos se « poser » sur le macadam -coté parking sous spot - derrière les rideaux on compte 7 à 8 jeunes (qui reviennent de la fête ?) ils chuchotent derrière le camion du voisin, nous les experts en visiteurs du soir, on s’apprête à lâcher les chiens - les miens et les siens, ça fait 6 bestiaux qui adorent courir quand on leur demande – le propriétaire du camion nous a pris de court en les faisant fuir en sortant sur sa loggia. Avant d’enfourcher leurs vélos, lui ont lancé qu’ils attendaient les « courtisanes ».
Je souhaite à Square Camopi 205 - Saxl à ma potesse Greenpeace ainsi qu’à tous leurs voisins épuisés par ce bordel à ciel ouvert de nombreuses nuits d’orage et d'averses en continu, les seules armes contre les empêcheurs de dormir tranquille.
A 4h30 juste avant d’enfoncer des boules quiès dans mes oreilles, j’entendais la fataliste Greenpeace prédire « qu’ils vont bien finir par arrêter de se jeter des cannettes de bière et sortir leurs armes et là « ils » vont tous rappliquer ventre-à-terre au quartier, je t’enverrai les photos de leurs grands yeux étonnés »
En réponse au message de Weenana du 02/04/15
Je te rejoins dans l'analyse. Au départ du projet de brique locale, le producteur se targuait sur toutes les ondes que le coût de la construction en brique en latérite serait bien plus avantageuse qu'avec l' agglo lambda.
Si tu trouves la matière première prête à l'emploi à la carrière sur la route de Roura reste le séchage . si tu n'as pas de four est-ce que tu peux les laisser sécher sous hangar couvert ? J'avoue, j'ai pas suivi toute les phases de production
Bonjour,
j'ai une doc quelque part sur le mode fabrication. Je vais essayer de la retrouver et la mettrais en ligne. Il y a possibilité de sécher les briques 20 jours sous hangar.
J'ai vu aussi une maison ossature bois avec murs en latérite. Ils avaient fait un coffrage dans lequel avait été coulé de la latérite mélangée à de la paille. Au final, c'était dur comme du béton, et nettement plus isolant.
En réponse au message de Source du 06/03/15
Je viens de lire votre message et bien des points sont édifiants
Car pour commencer par le squelette est certes important mais pas obligatoire d'utiliser de l'aluminium ( avantage léger ) mais il y a des qualités dans l'alu .....
Pour le régulateur j'ai bien rigoler car si vous utiliser les modèles qui sont sur le marché bonjour le système propriétaire et le SAV ( total ) car il manque bien des options a ces modèles
Pour les batteries j'ai lut vos propos et j'ai encore bien rigoler ,car le type de batterie est pas conforme a une installation solaire ( batterie sans anti-moine )
J'ai depuis 40 ans des batteries et j'ai aussi installer quelques parcs en Guyane qui fonctionnent encore ( zone interdite )
Mais le vrai Sujet est la pose dans les règles de l'art qui est absente dans 90 % des cas dans le solaire partout ( le fric c'est un secteur porteur )
Pour faire court l'entretien est souvent absent
le suivie de l'azimut inexistant sur 3 axes ( 99 %) des cas
le flotting inconnu des batteries
le contrôle régulier du parc de batterie
Les erreurs souvent faite des sections des câbles c'est terrifiant
les ampoules économies d'énergies installer
le groupe électrogène oublier dans l'étude
Le système qui permet de réduire de 80 % les micro organisme ( algues etc..) inconnu dans bien des bureaux d'étude ( il est biologique et d'un coût de 1 € )
la facilité d'accès aux panneaux est souvent une échelle basique
la ligne de survie est oublier dans bien des cas
le contrôle des connections et la tropicalisation inconnu de beaucoup
les liaisons équipotentiels bâcler
les piquets de terre poser au petit bonheur .....
J’arrête cas la liste est assez longue des éléments a prendre en compte
je vous souhaite la Bonne journée
bonjour,
Source, serait-il possible d'avoir un véritable dialogue sur ce sujet, plutôt que ce qui ressemble à un concours ?
je sais bien que l'écrit ne permet pas de dire tout ce qu'il est besoin de dire, aussi vais-je compléter :
- batterie au plomb : oui j'ai écrit "pur plomb"...mais bon, évidement c'est du plomb + d'autres trucs, ou moins d'autres trucs, mais est-ce là l'important ? nous avons des parcs de batteries dites "au plomb" en Guyane, et lorsqu'il faut les changer, c'est bien ce plomb qui pose problème.
image des batteries dont je parle :
http://www.soltech-nrj.com/batterie-tubulaire-opzs-solar-1520-
(on remarque d'ailleurs que le fabricant annonce une durée de vie supérieure à 10 ans "seulement" à 30°C, ce qui est le cas ici)
- regulateur : il s'agissait de modèles de la marque suisse Studer, puisque je travaillais pour BP-Solar.
en effet, ce sont des systèmes "propriétaires", dans la mesure où toute la partie régulation était assurée par des softs "maison" avec un système d'interfaçage absolument inutile reliant tous les divers organes.
ici une image : http://www.tyboat.com/achat/P-1924-studer-convertisseur-studer-inverteur
- concernant la réalisation : je suis totalement d'accord avec vous. toutes les installations ont été conçues sans, en finale, tenir compte des orientations ou des pentes que devaient avoir les panneaux solaires puisque finalement, la plupart des panneaux se sont retrouvés sur les toits des maisons, de peur qu'ils ne soient volés.
l'aluminium des structures aurait pu être remplacé par du bois...ils ont essayé, sans succès, car les bois employés ont repus les termites (par ex : une instal. à Cacao, dans le virage du château)
on pourrait prendre du fer zingué, mais les matériels pour travailler ce type de métal est plus conséquent....
pour ce qui est des erreurs de section de câble, je n'en ai pas constaté sur les instal. BP-Solar : le kit d'installation était réalisé en Europe, et c'est le matériel dédié à "ce" site qui a été installé sur "ce" site.
pour le reste, entièrement d'accord avec vous. dès lors que le technicien installateur devait se fatiguer un peu, la finition a été bâclée, surtout concernant les étanchéités (goulottes, passages de câble etc) ce qui est vraiment dommage.
- maintenance : je suis arrivé pour prendre en charge la maintenance d'un parc qui n'avait que 6 à 7 ans à l'époque, et j'ai été effaré de voir à quel point les machines étaient peu entretenues. les techniciens de la boite de maintenance ont été formés en 2007/2008 seulement, et des astuces techniques connues uniquement des techniciens maison antillais nous ont été indiquées lors de cette semaine de formation....
ex : les prises de terre, les barrettes des batteries doivent être serrée avec une clé dynamométrique, à couple...j'ai acheté l'une des deux seules clés disponibles en france, chez Facom, modèle isolé 1000V, puisque nous étions sous tension, en 2008...
bref, tout ça pour dire qu'en une année, on a repris très sérieusement le parc en mains, et de 1.5 pannes/jour on est passé à 0.5 pannes/jour, soit une panne par semaine : comme je le disais dans mon message précédent, une installation solaire c'est quelque chose de très robuste si c'est bien entretenu, et bien utilisé.
En réponse au message de Carbet du 05/03/15
Bonjour Philippe2
Il n'est pas question de retourner à la bougie !
Il était seulement question dans mon post , si on désire passer à l'électricité solaire indépendante du réseau EDF , de réduire fortement sa consommation d'électricité , à moins d'avoir un compte en banque bien alimenté .
De plus , contrairement à ce qui nous est dit dans la pub pour nous faire acheter , écologiquement c'est une catastrophe !
Le "petit problème" du solaire , principalement pour l'éclairage , est qu'il ne produit rien la nuit .... Et seulement 4 heures par jour ( moyenne sur un an ) .
Une installation solaire indépendante du réseau EDF n'est pas "durable" car l'énergie mise dans sa fabrication , surtout dans la fabrication des batteries, ne sera jamais "remboursée" par l'énergie électrique produite par les panneaux .
Pour une "ferme solaire" l'énergie produite par les panneaux solaires pendant leur durée de vie ne sera que de l'ordre de quatre fois l'énergie nécessaire à la construction de la ferme ...... Ce qui est très peu !
Dans un futur proche , dans les quelque dizaines d'années à venir , avec l'épuisement des énergies fossiles , il faudra bien , bon gré mal gré , réduire fortement la consommation d'énergie sous toutes ses formes .
Les énergies dites renouvelables ne sont pas capables de couvrir les besoins mondiaux actuels , a plus forte raison , quand la population mondiale sera passée de 7 à 9 milliards d'individus .
A ce jour toutes les énergies renouvelables ne représentent que 20% de la consommation d'énergie mondiale . Une bonne part est d'origine hydraulique les "nouvelles" ne représentant que de l'ordre de 5 % ....... Bigre !
Il y a loin de la coupe aux lèvres !
Salutations
bonjour,
je lis vos messages depuis quelques jours et suis tout à fait ok avec vous, ayant bossé en Guyane sur les installation solaires en sites isolés.
dans votre analyse des coûts de production de ces matériaux constitutifs d'une installation solaire, vous avez omis de parler de l'aluminium dont sont constitué les cadres des panneaux solaires et leurs structures porteuses.
l'aluminium est fabriqué par un très long processus, qui consomme des masses d'électricité, tant et tant que les plus grandes usines d'alu sont situées à côté de barrages....
http://ledialoguesurlaluminium.com/sa-fabrication/laluminium-de-premi%C3%A8re-fusion
également, le solaire c'est bien, mais comme vous le dites, c'est cher :
la société pour laquelle je travaillais était chargée de la maintenance d'environ 200 installations solaires en site isolé sur toute la Guyane.
nous avions un taux de pannes d'environ 1.5 / jour, soit environ 3 pannes en 2 jours à gérer.
chaque intervention était facturée à l'entreprise qui nous faisait vivre, cette facture comprenant le travail, le déplacement, et les petites fournitures.
donc, chaque jour, le concessionnaire d'installations solaires devait payer pour la maintenance.
ensuite, il y avait les pièces.
la majeure partie des cas de remplacement de pièces portait sur du matériel dont la valeur était de 150 euro au max (valeur estimée), mais si il fallait changer une carte électronique sur un convertisseur, ou changer le convertisseur, le prix de la facture grimpait en flèche pour le concessionnaire...la carte : 800/900 euro premier prix, le convertisseur 3500 euro premier prix...
je laisse réfléchir les gens à ces chiffres impressionnants : les utilisateurs payaient entre 80 et 150 euro par mois pour avoir entre 1600 et 3500 watts de puissance disponible à tout instant. le coût de la maintenance était intégré dans le prix de leur abonnement, ce qui fait que les gens pensaient payer cher la location de leur installation, pour le peu qu'ils en tiraient, mais n'avaient aucune connaissance du prix des réparations...
un onduleur (convertisseur) en panne grave voyait sa carte électronique remplacée. cette carte était envoyée en Europe pour réparation, puis elle nous revenait...
les batteries : le plomb, y'a que ça. tout le reste ne fonctionne pas bien à l'heure qu'il est pour ce qui est des petites installations. le plomb, c'est une batterie de 50 Kg de pur plomb, remplie d'un mélange à base d'acide sulfurique dilué par l'eau.
pas très écolo, et du poids.
ces batteries tiennent 10 à 12 ans si on ménage son installation, si elle est bien entretenue.
on peut monter à 15 ans avec une perte de 20% de capacité de charge seulement toujours en entretenant >>soigneusement<<
reste que au bout du processus, il faut éliminer 50 Kg de plomb, et 20 litres d'acide...
fiabilité : une installation solaire bien conçue est extrêmement robuste si on l'utilise jusqu'à 80% de sa capacité max en termes de consommation instantanée. en gros, vous avez une installation de 3500 watts, alors n'utilisez que 3000 watts au max instantanément.
ne pas brancher de matériel électronique sur les prises, pas de micro-ondes, tout ça génère des fréquences parasites qui détruisent les onduleurs.
bref, tout ça pour dire que le solaire c'est bien, les dépenses en énergie pour produire ces matériels sont énormissimes, mais c'est l'avenir !
l'électricité de production étant d'origine douce, pas de soucis de ce côté là. pour le reste, faudra accepter d'encaisser ce coût en termes d'impact, sinon ce seront nous qui nous prendrons l'impact dans la figure.
l'idéal aujourd'hui ?
- un terrain en Guyane
- une maison conçue intelligemment : grandes ouvertures traversantes, isolation de la tôle en sous-face, leds, électroménager classe A++ etc
- une crique, ou un forage
- un réservoir, qui envoie de l'eau se réchauffer sur le toit dans un tuyau pvc noir qui serpente sur la tôle
- une installation solaire, 3500 watts suffisent
- un groupe électrogène DIESEL de 12 Kw minimum pour recharger les batteries si il le faut, ou pour faire tourner la rizeuse, la machine à laver le linge, ou la perceuse, bref tout outils électroportatifs, la pompe à eau...ou en cas de panne grave se l'instal solaire.
- un entretien rigoureux du parc batteries, comprenant graissage complet des contacts, dépose des contacts (surtout pas de sulfatation) s'il le faut (par personnel qualifié), mettre de l'eau déminéralisée pour compléter les niveaux et pas autre chose (obtenue par osmose inverse par exemple), ne pas brancher n'importe quoi en plus sur le système pour en tirer le maximum (j'ai vu une personne alimenter 3 maisons avec 1 installation en location : elle était en panne tous les 15 jours...)
bref, le solaire, c'est un style de vie, il faut apprendre à vivre "humblement", càd en respectant scrupuleusement des principes rigoureux, car si dans nos vies modernes nous avons appris enfin à commencer à réfléchir sur notre devenir, et sur celui de nos enfants, nous sommes toujours aussi vulnérables en termes d'énergie, d'où qu'elle vienne.
nous avons beau être écolo, gaspiller le moins possible, vivre dans les bois, cultiver bananes et fruits au jardin, nous sommes hyper dépendant de la fée électricité, et cas d'absence dde cellle-ci, surtout loin de tout, cela devient un vrai problème.
lorsque je dépannais une dame Saramaca qui vivait du côté de crique Marguerite, à pied, le mari chasseur et forestier, dont le frigo et le congélo étaient à l'arrêt depuis 24h, pleins de gibier ou un couple de vielles personnes du côté de Beauséjour, dont la dame avait besoin d'un respirateur artificiel pour ne pas mourir, je me disais en partant qu'ils avaient bien du courage de vivre dans ces conditions.
reste que la plupart de nos client étaient des gens qui prenaient soin de leur installation. les meilleures tombaient en panne une fois tous les 3 ans seulement.
La Route
J’aime ma Guyane comme j’en rêve. Souvent.
J’ai fait un rêve qui est devenu certitude. Celui de la "Transversale sud" (ne vous impatientez pas, vous allez comprendre plus bas).
Dans une (petite) partie de mon rêve, je suis devenu le Président de la future Collectivité unique. Comme je souhaite conserver ses lettres de noblesse à la Politique, je resterais fidèle à mes engagements. Je prends donc comme première décision la réalisation d’une route entre Bélizon et Maripasoula via Saül. Je fais de ce rêve un projet commun.
Kennedy avait pour ambition « la nouvelle conquête de l’Ouest ».
Amri aura pour ambition « la conquête du Centre et des Fleuves » (certes, dans un registre et une échelle plus modestes).
J’inviterai la population entière à assister à mon premier meeting post électoral (je prévois en effet des meetings réguliers pour entretenir la flamme, communier avec la population, fanatiser mes sympathisants –et mes sympathisantes -, afficher mon portrait dans des lieux stratégiques…).
Oups, il m’arrive parfois de vivre un rêve éveillé. Je disais donc que lors de ce premier meeting (auquel se grefferont combats de boxes, lutte féminine dans la boue, sketchs comiques et concerts de hard rock, … toujours ce satané rêve), je déclarerai, des trémolos dans la voix, les yeux ruisselants d’émotion :
« Mes chers compatriotes, mes amis [mes obligés], nous allons ensemble bâtir une nouvelle Guyane où les principaux lieux d’habitation seront accessibles par voie terrestre. Nous allons ensemble participer au désenclavement du territoire. Par là, nous allons ensemble en découvrir les nouvelles frontières. Par là, nous allons ensemble participer au développement de communes que nous ne surnommerons plus avec une méprisante inconscience d’Isolées ou de l’Intérieur.
Finis les coûts de construction prohibitifs liés à l’acheminement par voie fluviale des matériaux. Finis les coûts de consommation supérieurs à deux fois ceux du Littoral. Fini le sentiment d’appartenir à une autre Guyane, délaissée, abandonnée, pour nos compatriotes du Fleuve. Fini les déserts médicaux et la désertion des enseignants. Fini l’arrêt des études post secondaires pour les jeunes de Maripasoula, Papaïchton, Grand Santi ou 3 Sauts.
Oui à un lien physique, terrestre, avec nos frères bushinengues et amérindiens. Oui à l’implantation de zones touristiques le long de ces 300 kms de route pour favoriser le développement du territoire. Oui au recul de l’orpaillage clandestin par la réappropriation du centre du territoire par les Guyanais. Oui à l’expulsion terrestre des pilleurs illégaux, inenvisageable en l’absence de route et du coût prohibitif de l’aérien. Oui au développement économique de la Guyane sur ses ressources endogènes, le secteur minier et la filière bois. Oui à l’emploi vert sur ses secteurs stratégiques.
Non, Mesdames et Messieurs les bobos écolos des bureaux et maisons climatisées, l’écologie et le développement durable ne vous appartiennent pas. Tout au contraire, l’écologie nous appartient puisque nous ne voulons plus voir l’agglutination aveugle de la population sur le Littoral ou sur l’Ouest guyanais, cette agglutination qui, elle, représente un véritable désastre tant écologique que social. Nous pouvons veiller à la préservation de notre environnement tout en donnant un nouvel élan à notre Territoire plus grand que le Portugal.
Oui à un développement à l’échelle du territoire pour des Guyanais, gardiens intemporels de la forêt. Oui à un campus universitaire d’une trentaine d’hectares à Saül où le développement de nos enfants par le savoir et le sport serait rois. Nos jeunes ont soif d’espace. Qu’ils s’abreuvent à l’ombre de cette route. Déconcentrons-nous pour mieux nous rassembler. Merci pour votre écoute."
(Ah oui, je ferai des discours très brefs car l’essentiel peut être dit en peu de mots).
Je vous demande maintenant de chanter avec moi, après la Marseillaise, l’hymne territorial Guyanais : LAGWIYANN BEL du compositeur et chanteur Lova Jah.
(à retrouver ici http://goo.gl/tMtl3s )
En réponse au message de Philippe2 du 31/01/15
vous dites (ça n'est pas moi, n'est-ce pas) que la France s'est "débarrassée" de ses Hmongs... tous les gens savent que ces gens ont été abandonnés à leur triste sort après Dien Bien Phu. et utilisés comme "harkis" (j'utilise le terme algérien qui rappellera des souvenirs aux Français) par les Américains au cours de la guerre du VietNam. les communistes laotiens ayant été très sanguinaires (ils le sont toujours aujourd'hui envers les quelques Hmongs qui y restent ) les occidentaux ont aidé ces "boat people" etc; la suite est connue. il n'en reste pas moins vrai que le gouvernement français d'alors a usé de la fameuse "démocratie avancée" de Giscard, dont les anciens se souviennent . comme pour l'aménagement de la base spatiale de Kourou le gouvernement Français a été très subtilement "démocrate" .
Voila l'histoire de 1975
Ce petit résumé est le fruit d’un travail effectué avec les élèves du collège Paule Berthelot sur la compilation de témoignages de leurs parents, de reportages notamment ceux diffusés sur Radio France Internationale et sur France 2 (Guerre secrète au Laos, juin 2005, Envoyé spécial), de sites Internet, de la consultation des archives départementales à Cayenne, de l’entrevue avec M. Ho-a-Chuck et de livres comme "L’opération Hmong en Guyane Française en 1977" par Pierre Dupont-Gonin. Préface de René Rémond, in Péninsule-Collection.
1- HISTOIRE DES HMONG AU 20e SIÈCLE
Les Hmong constituent une ethnie répartie tout au long des siècles passés sur plusieurs pays : sud de la Chine, Thaïlande, Vietnam, Laos. Au 20e siècle, beaucoup d’entre eux se retrouvent dans les zones montagneuses du Laos, dans la région de Phu Bia et Luang Prabang au nord de la capitale Vientiane à l’écart des influences des autres ethnies dominantes.
Lors des conflits liés à la montée du communisme et aux mouvements anti-colonialistes du siècle dernier, les Hmong se placent d’abord du côté des Français. Ainsi lors de la guerre d’Indochine, 2000 Hmong sont recrutés par le Colonel Sassi pour secourir le Corps Expéditionnaire Français assiégé par les VietMinh à Diên-Biên-Phu au Vietnam en 1954, mais ils arriveront trop tard. Puis, pendant la guerre du Vietnam (1964-1975), ils sont aux côtés des Américains. Après le départ de ces derniers, la guerre civile éclate au Laos et beaucoup sont obligés de fuir vers la Thaïlande voisine et franchissent le fleuve frontière, le Mékong. Aidés par des religieux catholiques comme le père Yves Bertrais, et par des fonctionnaires comme Pierre Dupont-Gonin, certains s’installent en Guyane où ils obtiennent l’autorisation de créer en septembre 1977 le village de Cacao, puis en 1979 celui de Javouhey près du site de l’ancienne léproserie fondée par la religieuse Anne-Marie Javouhey.
D’autres s’installent aux États-Unis (300 000), en Australie, au Canada ou en France métropolitaine (4 000), notamment dans la région de la Vistrenque près de Nîmes où comme ceux de Guyane, ils sont exploitants agricoles. Aujourd’hui les Hmong produisent encore l’essentiel de l’agriculture guyanaise après des années d’efforts gigantesques pour arracher des cultures à cette terre ingrate. Ils perpétuent leurs traditions, ont conservé leur langue orale que les travaux du pasteur Barney et du linguiste Smalley ont dotée d’une écriture romane.
Certains de leurs compatriotes restés dans la jungle au Laos sont persécutés par les différents gouvernements de la région et sont obligés de se réfugier dans des camps en Thaïlande comme celui de Huai Nan Khao ou bien sont encerclés dans la zone interdite de Xaïsomboun. Des leaders ou des chefs spirituels parfois controversés les ont souvent guidés comme Paj -Cai, Touby Ly Foung ou le général Vang Pao.
2- EXIL ET ARRIVÉE EN GUYANE
C’était en 1975. L’arrivée des communistes au pouvoir au Laos après la fin de la guerre du Vietnam provoca la fuite d’une partie des Hmong qui avaient aidé les Américains en servant dans l’armée secrète de la CIA (espionnage) ou en leur fournissant des bases pour le ravitaillement de leur armée et de leurs avions. Les Hmong durent traverser le Mékong pour passer en Thaïlande, les parents firent avaler une boulette d’opium à leurs enfants pour les endormir et éviter ainsi qu’ils crient. Ils furent regroupés dans des camps de réfugiés thaïlandais comme ceux de Ban-Vinai (6000 personnes) et de Nongkhay (8500 personnes) où les conditions de vie étaient très rudes. Émus par la détresse de ces gens, des fonctionnaires, des missionnaires, des politiques ont étudié à partir de 1976 des solutions pour accueillir les Hmong car ils ne pouvaient pas rester en Thaïlande. Pierre Dupont-Gonin fut l’un d’entre eux, il avait été inspecteur des douanes en Guyane française et avait travaillé au Laos à côté du gouverneur quand le Laos était encore protectorat français. Mais il lui fallait trouver des appuis en Guyane pour que le projet aboutisse.
Mais pourquoi la Guyane ? Car elle était sous-peuplée, avait besoin de développer son agriculture (les fruits et légumes étaient achetés aux Surinamiens ou aux Brésiliens ou importés), son climat et sa flore étaient proches de ceux du Laos. 1975, c’était aussi le drame des boat people dont les médias parlaient beaucoup. Valéry Giscard d’Estaing était président de la République française, Raymond Barre premier ministre et Olivier Stirn était secrétaire d’état à l’outre-mer. En Guyane, c’était le début des premiers gros avions porteurs (avril 1972), du téléphone automatique (73), de la télévision couleur (75). Il n’y avait pas encore la route pour aller de Cayenne à Kourou, il fallait faire le tour par Montsinéry. Pour aller à Roura, il fallait prendre le bac. En Guyane, au début, peu de personnes étaient favorables au projet.
Lorsque le projet a été divulgué par la presse en mai 1977, il y avait beaucoup de confusion dans les esprits : on parlait de 40 000 réfugiés ! alors que la population de la Guyane atteignait à peine les 45 000 habitants. Les Hmong étaient désignés sous les noms de Cambodgiens, Vietnamiens, Méos. M. Ho-a-Chuck, maire de Roura et président du Conseil Général, était l’un des rares élus à prendre le risque de les accueillir. D’origine asiatique par son grand-père chinois, ce chirurgien ORL savait que les Hmong pouvaient apporter beaucoup à la Guyane. Mais il fallait encore trouver un endroit pour les installer. Après plusieurs propositions, le site de Cacao fut choisi car il appartenait à un seul propriétaire (le Ministère de la Justice), offrait un relief en hauteur et se trouvait assez éloigné des villes et villages pour que personne ne réclame les terres et pour que les Hmong ne soient pas tentés d’aller en ville.
Le samedi 3 septembre 1977, arrivèrent sur le sol guyanais, en provenance de Bangkok avec une escale à Paris, 10 familles hmong (45 personnes) qui furent accueillies par le préfet. Puis le 7 septembre, M. Ho-a-Chuck les accueillait à Cacao. Une nouvelle vie commencait alors pour eux et les 462 autres qui les suivirent.
3- INSTALLATION EN GUYANE
Le site de Cacao était un terrain de 600 m de long et 200 m de large situé au bord de la forêt primaire et le long de la rivière Comté à l’emplacement d’une ancienne scierie. L’installation des Hmong à Cacao a été facilitée par la création d’un comité de soutien aux réfugiés (COGERH) créé par Mme Ho-a-Chuck, qui est devenu l’Association pour le Développement du Site de Cacao (ADSCA). Elle assurait des actions d’intégration sociale et professionnelle, et était formée de plusieurs commissions : l’artisanat, la formation professionnelle, le sport, l’alphabétisation, etc, afin de mettre en place les conditions du développement économique avant de passer la main aux structures communales. Il y avait aussi un centre d’hébergement avec du personnel des différents services de l’État. Les pères Jacques Brix (menuisier de son état) et René Charrier qui accompagnaient les premiers Hmong y ont travaillé ainsi que l’ingénieur agronome Ly Chao et un médecin hmong qui est arrivé en juillet 1978. Le déboisement s’est fait progressivement avec l’aide de machines.
La route de l’Est en construction par la Légion Étrangère a atteint la bifurcation vers Cacao en 1979, un groupe électrogène est arrivé en juillet 1978, une cooperative a été créée au début 1979 de nom "Jean Sainteny", président du Comité National d’Entraide. En tout, 1000 ha ont été défrichés, dont 450 ha pour les actions communautaires, 50 ha pour le pâturage, 20 ha pour les fermes de la coopérative, 10 ha pour les familles, etc. En avril 1979, 570 personnes vivaient à Cacao. Le village avait atteint l’auto-subsistance, les maisons étaient construites pour les 60 familles. Le financement était en partie assuré par le prix de journée de 40FF attribué à chaque famille. Le centre d’hébergement a pu alors fermer fin février 1980. L’intégration des Hmong dans la société française a posé quelques problèmes avec notamment le mariage hmong dès l’âge de 12-13 ans et la polygamie, les deux formellement interdits en France. Au début, si un homme hmong avait plusieurs femmes, l’une était déclarée "femme titulaire" et l’autre "aide familiale", ainsi le terrain était vendu aux 3 personnes mais en indivis.
Progressivement, les coutumes non conformes à la loi française ont été abandonnées, mais les traditions qui ne posaient pas de problèmes ou celles du domaine privé sont restées comme l’organisation du village avec un chef, 5 responsables de quartier et un conseil des anciens ou encore la pratique du culte animiste. Puis le 16 novembre 1979, une soixantaine de réfugiés, surtout des chefs de famille, sont arrivés dans la plus grande discrétion pour s’installer dans le nouveau village de Javouhey. En avril 1980, ils etaient 389. Avec l’expérience de Cacao, les choses sont allées plus vite. Le centre d’hébergement était tenu par les pères Yves Bertrais et René Charrier. 100 ha ont été déforestés, puis 400 ha jusqu’en 1982, 60 maisons ont été construites. Une coopérative a été gérée par des appelés du contingent, mais elle n’a pas tenu.
Aujourd’hui tout le monde apprécie la présence des Hmong en Guyane. Ils ont pu fournir un surplus agricole qui représente 70% de l’agriculture produite en Guyane, ce qui a augmenté la richesse du pays. Certains de leurs enfants font des études supérieures. Mais la seconde phase, celle de l’industrialisation et de la transformation des produits, se fait encore attendre car elle nécessite la participation de tous.
SOURCE
http://webtice.ac-guyane.fr/paule_berthelot/spip.php?article133
bonjour,
ce WE je me suis fait des gâteaux.
marre de ce climat morose à la TV, moi j'ai envie de cerises
https://www.youtube.com/watch?v=U_W0B6aUt3E
j'ai malaxé ma pâte, en écoutant quelques vieilles chansons, puis j'y ai disposé la garniture (hum, des framboises ;-) et j'ai enfourné le tout.
je me suis mis sur la terrasse, profitant de la journée pour écouter les insectes, les oiseaux....une petite tasse de café, et l'odeur de la pâte qui cuit qui vient depuis la cuisine....hum, j'en ai l'eau à la bouche....de temps en temps, j'allais au four, dont j'ouvrais la porte, pour observer la pâte monter, lever, bronzer...puis j'ai sorti le gâteau, tout chaud, généreux de ses saveurs qu'il dispensait si généreusement dans l'air de la maison.
là, il refroidit sur sa grille, et j'attends....
KOUROU LA VILLE LA PLUS SALE DE FRANCE????
- Des encombrants partout, à tout les coins de rue et c'est un bas mots!!!!
- Des détritus et immondices partout!!!!
prenons l'exemple de la rue quartier savane :
- tout les 2 mètres des encombrants 7j/7 !!!!
- des détritus qui volent à ne plus finir aux abords de son écoles SAVANE!!!!
- AUCUN employés municipaux ne nettoient plus cette rue depuis 1 mois ou plus!!!!
- pas de poubelle dans les rues de la ville SPATIALE de KOUROU!!!
- A croire que la mairie de KOUROU éduquent les gens à être sale et non respectueux de l'environnement!!!!
- C'est ça d'avoir voté RINGUET???? Quelle honte de donner au monde entier cette image d'un bidonville sur lequel on lance des Fusées!!!!!!
- La mairie devrait faire des campagnes de propreté et sondé les foyers sur leur habitude en mettant des médiateurs en place qui passeraient dans chaque maison pour rappeler les règles sur l'environnement.
Il faudrait aussi que la police municipale verbalise (en fait qu'elle se mette à travailler pour une fois!!!).
Je ferai aussi travailler nos chérubins de la PJJ à nettoyer nos rues de KOUROU.
Je ne parle pas aussi des canaux qui sont curés une fois que des odeurs de merde remontent!!!A quand le prochain curage du canal LEROY????Car là sa empeste fort la merde!!!!
A cause du vrai faux tout à l'égout qui se déverse dans chacun des 3 lacs de KOUROU (Œuvre Antoinnette!!!!)????? Mr P. avez vous quelque chose à dire????
En réponse au message de Gilles Slm du 28/05/14
Sur les chantiers, si tu vires les haïtiens, les brésiliens, les surinamais,... et tu te retrouve vite seul !
Et si te mets au niveau loKal, tu vires en plus les antillais et les français de métropole (j'allais écrire : les blancs...), là pour le coup, y a pu de chantiers !
vous avez oublié les Hmongs; sans eux on n'aurait ni légumes ni fruits, n'est-ce pas; comme avant leur arrivée.... les guyanais ne mangeaient que des feuilles d'arbres (et des bananes)? idem avec les brésiliens, sans eux il n'y aurait pas de maisons en bois .... quant aux haïtiens, on peut imaginer la jungle dans les jardins et aux bords des routes! et sans vous, qu'adviendrait il?
En réponse au message de Boiskaka du 07/05/14
et si on proliférait déjà des poubelles à tri sélectif dans les bars , les LS ,les restos puis à la populasse. cela en ferai des tonnes supplémentaire de verre pilé. et pour cela il faut aussi en bout de chaine une déchetterie qui pratique déjà le tri sélectif!!!!!
on pourrait aussi le faire pour les cartons et papier qui serait revendu à FG ou autre (centre commerciaux pour leur tract de pub)
et évidemment toute cette chaine écologique apporterait des emplois divers et variés . ouvrier-mécano-gestion comptable-commercial,etc....
bonsoir,
effectivement, le tri sélectif serait l'objectif final.
toutefois, attention à cette méthode, qui doit être pensée et réfléchie de façon approfondie.
j'ai vécu en france, près de la frontière allemande durant une 20aine d'années, et ai vu émerger cette idée de tri sélectif, ainsi que son application.
il y a eu de nombreux déboires, il y a eu des erreurs....par exemple, les allemands avaient jusqu'à 6 poubelles différentes à la maison à un certain moment ! ils ont même eu des problèmes sanitaires avec leur tri hyper-sélectif : les déchets alimentaires, collectés une fois par semaine car produit en petite quantité, avaient tendance à pourrir, entrainant maladies respiratoires et champgnonites dès qu'on ouvrait la poubelle !
mais des excès perdurent...ils trient le verre brun du verre vert et du verre blanc...bref, il y a de quoi apprendre de la part des "anciens" qui ont utilisé ces méthodes en premier.
idem pour le recyclage industriel...en france, on s'est retrouvé avec des stocks de catalyseurs de voiture sans savoir qu"en faire pendant des années, jusqu'à ce que la solution fût trouvée...
bref, recycler, oui, mais recycler intelligemment, càd "adapté au pays" : le verre pilé pour les routes, le bois pour la centrale de kourou (ou autre, je ne sais pas si adapté ou, mais bref) , les déchets alimentaires au compostage, et la ferraille en recyclage direct.
"inventer" cette filière ce ne serait pas seulement un axe de création d'emplois, mais également un puissant moteur pour le nettoyage de la Guyane !
car tout ce qui est recyclable étant vendable, il pourra se créer un système de récupération des déchets si ceux-ci sont valorisés financièrement.
en effet, à ce jour, il est possible de recycler ses métaux (je pense aux automobiles, ou à tout autre métal tel que le plomb de batterie) en les apportant au centre de tri.
sauf que ces métaux finissent dans les pattes de recycleurs privés, qui revendent en masse ce qu'ils reçoivent de façon continue, en petite quantité, et qu'ils vous prennent gratuitement, généreusement presque...il y a toute une filière à créer, qui injecterait les bénéfices, même modestes de ce processus de tri dans l'économie locale.
l'idéal étant que l'on fasse du recyclage en local, avec une ré-injection du récoltat dans un processus industriel....on pourrait pas exemple recycler localement l'aluminium, qui fond au alentours de 660°, càd relativement une température relativement faible, pour en faire des marmites en fonte d'aluminium...les fours seraient actionnés à l'électricité, qui serait produite par un champ solaire dédié à cette production. évidement, là, je rêve.
En fait; méfie toi si on te propose de "Sortir de ta savane et de venir le 1ier mai "avec moi", on ira localiser les nids de tortues afin de surveiller les éclosions quand il sera le moment" ok chiche.
Passer de "nuits bercées par le chant des crapauds appelant l'eau" à la convivialité de Kourou, j'avais oublié avant, sans doute à cause des crapauds charmants.
Rappel d'entrée : Nuit blanche, mercredi soir, un de ses voisins ayant décidé d'organiser un "tout au bout de la nuit"
et plus le nuit abandonnait le terrain, plus les participants hurlaient à la heinekken, normal !
Fataliste et résidente par intérim, je me programmais secrètement une sieste au retour de notre comptage de nids.
Mon hôte au réveil de me dire que ces "voisins là " en étaient à la deuxième soirée "jusqu'au bout de la nuit" cette semaine et furtivement dans notre conversation la question " où sont passées les rondes de nuit dans cette ville"
Nous n'avons pas eu besoin de réveil, une voiture sono garait devant un commerçant de proximité ne vendant aucun alcool réfrigéré (non, non) sonnait déjà le rassemblement pour un apéro .....toujours sans alcool off course
Et c'est là en fin de matinée du 1ier mai, que je date le début de la guerre du son
Envahissant la pelouse, une, deux grosses caisses baffles à fond (mauvais son par mauvaise balance) transformant les maisons en caisse de résonance, pour faire comprendre à coup de bacchata que l'amérique du sud était dans la place et sur la place en l’occurrence..........le tout arrosée au jus de fruit et de l'eau minéral.
Nous, on a abandonné le dance floor pour aller repérer les nids jusqu'à pointe charlotte, avec les alizés et le ressac comme seuls fonds sonores et ben, mes amis,un bien fou, après ma nuit blanche surpris
Au retour, plus personne, le dealer de jus divers étant fermé. (M'expliquer pourquoi, les commerçants de proximité n'ont pas l'obligation de fermer un 1ier mai,non ? au moins ce jour là)
Apéro, et boudin créole time !
Sieste !
Enfin courte sieste, parce que les amateurs de kompa, présentant le retour des amoureux de bacchata les ont pris de vitesse et sont montés à l'assaut de la pelouse en avance sur l'horaire habituel (18h d'après ma source) avec leurs chars encore moins bien équipés niveau son.
C'est au moment où les seconds ont tenté une mutinerie en libérant leurs propres décibels à 10 mètres des premiers, son contre son. que nous avons décidé de refaire un comptage. D'ici qu'on revienne, c'était certain, ils ne resteraient que le vainqueur.
Que nenni, si le kompatistes occupaient toujours le terrain (stratégique juste devant le pourvoyeur de jus de fruit) les bacchatistes s'étaient repliés de l'autre coté de la maison, sur le parking d'une résidence. La situation de la maison de mon amie, prise en sandwich entre les deux sons, nous a permis de vivre une expérience musicale inoubliable.
Le commerçant sous la pression de tous ces amateurs de soda, jus de fruit et eau minérale a pu fermer à plus de 22 h30, et moi, je me suis dit "quelle chance que ces joyeux bruiteurs en tout genre, n'aient bu que des boissons non alcoolisés durant cette longue après midi-soirée-début de nuit - fortement musicale, car une partie d'entre eux, conduisaient des voitures
Ah oui, la question était où sont les rondes ? De médiation ou de sanction ? D'affirmation de respect de règles de société ?
Expression de convivialité typique ? Et l'exemplarité ? Quelle image offerte aux gamins de voir ces adultes "excessifs" ?
A quel moment est-on passé de l'apéro chez les uns et les autres à ces raves de beuveries citadines ? Quand les commerçants de proximité ont pris une licence 4 ?
"Rejoins nous dans la savane, on comptera le chant des crapauds"
Si l'état français voulais vraiment faire des économies il suffirait de faire des taux dégressifs aux politiciens cumulard et cela dès le début 2015.
Ensuite je fera de la coupe dans les administrations CG, CR, et mairies!
Beaucoup trop de services improductifs qui ne donne pas de bons service à la population française.
Je taxerai la BOURSE à la base sur 1% par rapport au profit journalier qu'elle fait.
Car il n'est pas normal de voir le pouvoir d'achat des français baisser alors que la bourse s'enrichit toujours plus et encore grace au renflouement du marc hé grâce aux petit épargnants!!!!
Mr le maire de KOUROU comment allez vous assainir les compte de la ville spatiale de 26000 HABITANTS,dont nombreux jouent avec les aides sociales, le travail au noir et ne paient pas d’Impôts t!!!
Il serait bien en tant que maire que vous fassiez travailler des contrôleurs fiscaux qui pourraient vérifier les constructions sans permis, les maisons sociales qui deviennent de vrai villa (voir le quartier Gaston monnerville et le quartier des roches ou nombreux n'auraient pas du avoir de maison vu leur richesse (lié au piston local de la simko pour les BOBO guyanais).
voici des pistes fiscales concrètes à retenir pour renflouer la ville de Kourou.
En réponse au message de Bonpom du 17/04/14
Et donc venue l'heure pour les non-racistes, accusés avant même que leur clavier ne soit froid par des fumistes hypocrites "victimistes", de compter le nombre de "ressortissant de France Hexagonale" et de trouver anormal qu'ils osent se présenter à la délégation à la culture de Kourou.
Bonjour ,
C’est incroyable comme on mélange tout chez nous…
Jusqu’à présent, la culture à la Médiathèque de Kourou par exemple, c’était : les bals du carnaval, les soirées du 31 décembre offertes par le Maire, les expositions artisanales et quelques trop rares auteurs caribéens invités (même pas Marie-Célie Agnant qui est pourtant restée un mois à Kourou en maison d’écrivain…).
« Niveau ou n'importe quel autre ressortissant de France Hexagonale aurait-il osé se positionner en tant qu'élu à la culture dans n'importe quelle collectivité Corse ? ». En admettant que votre raisonnement vaille un peu plus que des clous, admettons qu’un élu nationaliste corse soit responsable de la Culture d’Ajaccio. Lorsque ce dernier aura interdit (ou diminué, relativisons, c'est pas le FN…) la diffusion des films américains pour promouvoir la culture cinématographique corse ( ?), vous croyez que les salles seront pleines et que les cinémas resteront ouverts ?
Demandez à la sortie d’un collège de Kourou, à tous les gamins sans exception, de vous citer un auteur guyanais. La plupart sécheront ; les moins lecteurs vous répondront, à côté mais quand même : « JK Rowling !!! » ; ceux qui confondent tout mais se rapprochent : « Ti Zouk !!! »(inventé par une petite nénette pâle qui ne vit même plus en Guyane ! mais qui l’a adorée parce que ça arrive aussi aux « étrangers » d’aimer la Guyane et les gens qui y vivent…) ; et enfin, vous en aurez quelques-uns qui voudront faire les malins et crieront : « Dragon Ball !!! ». Par ce que le manga fait partie de la culture de tous les jeunes guyanais aujourd’hui, tout comme beaucoup d’autres choses qui arrivent du reste du monde… le monde... tout autour de la Guyane...
D’ailleurs, s’il existe "une" culture guyanaise, il serait bon de la définir une bonne fois pour toute. Est-elle créole ? Ou amérindienne + brésilienne + chinoise + occidentale + cimarrone ?
Si vous voulez voir de la culture bien gérée par un élu, procurez-vous le programme des manifestations culturelles de la ville de Mana… Je ne crois pas que les habitants se plaignent de ces nombreuses festivités qui ne sont pas toutes correctement-culturellement-guyanaises…
Je ne sais pas ce que fera Madame Niveau. Par contre, je me moque bien de savoir si sa culture est guyanaise (ben, oui, la culture c’est l’acquisition de connaissances, donc ça s’apprend aussi !!!) ou aveyronnaise ! Tout ce que je lui demande, c’est, sans discrimination ou pire, prosélytisme, de procurer les outils nécessaires aux acteurs de la culture (dont vous pourriez tout à fait faire partie en créant par exemple une association de promotion de votre propre culture, en ouvrant un cinéma d'art et essais spécialisé dans la diffusion de films de votre culture, en créant une librairie spécialisée dans votre rayon culturel, que je serai ravie de découvrir afin de m’enrichir encore...).
Jusqu’alors, cela n’a pas été fait… Si Isabelle Niveau n’accomplit pas cette tâche capitale pour tous les kourouciens, je lui taperai sur la tête (textuellement sur Blada bien sûr !), mais certainement pas par ce qu’elle est bretonne, mange des crêpes, tisse des coiffes en dentelle le soir au fond des bois, et ne lit que les œuvres de Guillaume Berthou Kerverziou (poète militant nationaliste du XXe) !
Kenavo!
En réponse au message de Mo Pays du 23/02/14
En effet, impossible de virer ce Sénateur-Maire. La majorité des inscrits lui doivent quelque chose. Une bonne place à la mairie, un logement, la réfection d'une case et tout ça aux frais du contribuable. Un pistonné par Jean-Etienne draine derrière lui des dizaines de frères, cousins, cousines, copains, copines et coquins divers.
il y a pas que cela cher monsieur quartier savane prendre une maison de quartier la transformé en église évangélique trouvé vous cela normal.IL faux que les riverains porte plainte pour nuisance impossible d'écouté les nouvelles a la télé suite au chant culte que pratique ces gents,trouvé vous normale que le maire prend le biens publique pour céder a des sectes .D'autre part le maire fait sortir des arrêtés interdisant la vente de boisson frais au commerçant et dans ce même quartier existe des restaurants illégaux qui vend des boissons alcoolisé, des jeux non autorisé sur la voie publique.
En réponse au message de Laurent du 20/02/14
Hier soir, j'ai commencé à regarder le débat sur ATG entre les différents candidats à la mairie de Kourou. J'ai tenu jusqu'à la fin de la première partie qui portait sur l'éducation. Je ne suis pas allé au-delà. Entre un maire sortant se gargarisant de ses actions et les grandissant et des adversaires dont les connaissances frisaient le néant, ce fut pour moi une grande désolation. Le pompon fut le moment où JEA associa le terme "langues maternelles" et la construction de la future école internationale. Quel rapport? La question ne lui a pas été posée par ses adversaires puisqu'ils ne maîtrisent pas le sujet. Bref, après ce débat qui a dû faire rire les professionnels de l'éducation de la ville, j'ai arrêté ma télé. Au final, je retiens une chose: je ne vois malheureusement pas un candidat crédible capable de ravir la mairie à JEA, et les kourouciens vont devoir subir encore 6 ans de plus. Alors au maire actuel et futur, juste une petite question tout à fait pratique: quand les écoles auront-elles de l'encre pour les photocopieurs (rien que cela... je ne parle même pas d'ordinateurs ou d'internet)?
Et pourtant notre camarade grand manitou de l'AGFPA et du CFPK avec le feu TR il en connait un rayon sur l'éducation pour avoir été Directeur il y 30 ans
Et oui tu avait les clés de la maison regarde la maison ton bureau un squat route de baduel
Kourou a l'abandon et l'autre dirlo la rue porte son nom TG qui s'en souvient le rotary
Et la photo on dirait la pub pour le cirque PINDER
Et l'autre qui se pavane dans la neige sur son compte FB alors que les femmes du village transportent depuis 40 ans le bois sur leurs dos
JEA tu pourrai faire une petite place pour former les jeunes
Juliana prend le vélo de ton père
Et puis le petit dernier par l'age te laisse pas bouffer tout cru pas tes colistiers
Toujours aucun place pour les jeunes
Avec mes 60 ans n'en faite pas trop surtout les jeunes les vidéos KNK super les artistes
En réponse au message de Patrice C du 03/01/14
bonjour,
effectivement, un système oppressif pourrait fonctionner.
sauf qu'en quelques années, nous arriverions à une dictature digne de la Terreur !
donc évitons, et cherchons une autre solution. celle-ci ne se trouvera pas sous le sabot d'un tatou, et ne pourra pas agir en 15 jours.
regardons les villes, la façon dont elles sont construites. à kourou, on a réalisé exactement ce qui ne fonctionne dans aucun pays au monde. changeons la ville. et si on nous dit que cela coûte, eh bien faisons l'effort de payer, et ne restons pas assis la bouche ouverte en disant <<c'est à l'état de payer et/ou de gérer ça>>
il faut accepter d'avoir plaisir à habiter quelque-part, le tenir propre, l'entretenir, respecter les gens, bref tous ces sempiternels conseils de bons sens tellement simples à appliquer mais dont les gens se fichent comme de l'an 40....c'est désespérant de constater que quelques mesures simples, au bon moment, auraient fait toute la différence.
bref, on ne refera pas le monde aussi facilement que ça
Bonjour Patrice C
Mes meilleurs vœux à vous et aux Bladas .
Souhaitons que cette année , faisant partie d'une fin de cycle , se passe le mieux possible . ( "vieux pieux "...... Rire )
La terreur pas pour tout le monde ! La terreur changerait de coté pour un certain nombre de citoyens opprimés par la racaille .
En effet les villes ont étés conçues en dépit du bon sens , et on a stocké dans des quartiers , propres à l'origine , toute une population sans éducation qui se comporte comme dans leurs bidonvilles d'origine .
Une grande partie des logements neufs ou rénovés qui leur sont octroyés sont rapidement dans un état repoussant et dégradé car ils ne sont pas prévus pour le stockage de demi sauvages qui semblent passer leur temps à casser les équipements , même les portes intérieures à coup de machettes .
Ils ne comprennent pas que quand on renverse de la peinture ou de l'huile de vidange dans l'escalier on le nettoie et que ce même escalier n'est pas fait pour y pousser la poussière quand on donne le coup de balai mensuel ......
Ils ne comprennent pas non plus que les paliers ou les halles d'immeubles ne sont pas des ateliers .......
Ils ne comprennent pas plus que les sacs poubelles pleins ne se jettent pas en bas des escaliers ...... ou à coté des bacs à ordures , ce qui est un peu mieux mais pas suffisant .......
Ce n'est pas mieux pour les murs fraichement repeints qui sont ( presque ) aussitôt " redécorés " , inclus les mains façon Cro-Magnon . ( Ils sont artistes )
Ils ne comprennent pas que quand une association réalise avec les enfants du quartier des sapins de Noël en petites planches ce n'est pas pour les détruire dans la journée pour récupérer le bois .......
Ils ne comprennent pas plus , que les encombrants et autres déchets ne se stockent pas sur les trottoirs et qu'il y a des jours de ramassage !
Mais ça c'est une sale tradition locale .
Que dire des nombreuses maisons en auto finitions et finies , livrées dans les années 90 à leurs heureux nouveaux propriétaires immigrés , résidant avant dans des " habitations insalubres "( que cela est dit pudiquement ) , pour une somme modique remboursables en 15 ans avec le coup de pouce de la CAF , l’état payant le complément et fournissant le terrain , au titre de la résorption de l'habitat insalubre .
LA PLUPART SONT AUJOURD'HUI DES QUASI RUINES PAR DÉFAUT D'ENTRETIEN .
Et je ne parle pas des bidonvilles reconstitués derrière pour faire des " logements " rémunérateurs .
La quasi totalité des logements " 205 " de Kourou étaient dans ce cas , vus d'avion : un bidonville !
Bon il est vrai que cela est fait dans de nombreux logements de Kourou aidés par
la CAF , transformés en boxons , les locataires " en titre " gardant une chambre et louant le reste , y compris le salon divisé en box ........
Pour le fun : bien souvent le locataire n'est pas " en titre " mais sous loue à un prix élevé au détenteur du bail et sous loue lui même pour " rentrer dans ses frais " avec une bonne marge .
Partie amusante de l'histoire de temps à autres les détenteurs de baux ne paient pas le loyer et garde tout ....... Cela dure en général un an ou plus avant que le bailleur ne se réveille ...... Perte sèche , car le locataire en titre est rentré " au pays " .
Donc tout cela pour dire que si les lois et règlements qui existent étaient "simplement " appliqués on ne seraient pas dans ce bordel qui semble s'aggraver de jours en jours sans aucune réaction des divers administrations concernées , si ce n'est des mots creux en se regardant le nombril .
QU'ILS FASSENT LE BOULOT POUR LEQUEL ILS SONT PAYES ET/OU ÉLUS !
Salutations
PS : J'ai essayé de faire court , ce n'est pas facile avec ce sujet ! Il manque donc beaucoup de " points merdiques " mais je vous fais confiance pour rajouter beaucoup de lignes et faire cent pages pour le moins !
En réponse au message de Autrement Dit du 20/12/13
"Autrement dit, la campagne pour les prochaines élections est ouverte et la colonne de communicants en ordre de marche" A vous lire on dirait bien que oui! "communicants en ordre de marche, campagne, élections, programme, vote' vous êtes à fond,dites!
Buvez un grand verre d'eau, enlevez votre casquette de clone n°1 et relisez mon message .Je vous parle de la manière de s'attaquer à l'insécurité.
"les mérites de la video au centre et des élus qui prônent des actions sociales " je parlais de cayenne en citant fguyane. Je n'ai jamais dit quoi que ce soit sur la liberté d'action ou de parole des kourouciens, dont je fais partie, (liberté que je revendique moi-même) et pas plus que vous j'ai envie de subir l'insécurité . A titre informatif, je ne suis pas payée par qui que ce soit pour penser ce que je pense ou le dire mais en revanche, je sais pourquoi vous tournez en boucle par ici.
On prête aux gens des propos qu'ils n'ont pas tenu, on digresse pour mieux argumenter sur un sujet au final qui n'a rien à voir avec les propos initiaux. C'est d'un gonflant!
Mais, vous me donnez raison. L'insécurité est bien politisée à Kourou!
Qu'est ce ça peut me faire pour qui vous votez! Et pourquoi vous occupez-vous de pour qui je vote! Le but c'est quoi? De trouver un moyen pour faire baisser l'insécurité.
A votre avis, tout mettre sur le dos du maire est-il plus ou moins intelligent que de prendre les choses de manière globale? Toute la Guyane est touchée par l'insécurité mais à ici on court après le prix du kouroucien d'or en décernant le titre de grand coupable au maire. Et après? l'insécurité va disparaître de kourou? Chouette alors!
Comparer égale minimiser? Faudra le dire aux scientifiques vous allez leur apprendre des choses. A kourou c'est la faute à JEA? Qui le dit? des opposants politiques ou des "déficients mentaux"? Ou alors virons tous les maires de guyane !
Si vous prenez votre retraite et d'ailleurs bon vent, il y en a vont rester un moment encore et qui ont envie que les choses s'arrangent. Il faut un véritable plan d'action à l'échelle de la guyane. Sinon le problème se déplacera et reviendra trois mois plus tard.
Le gens le savent et c'est pour ça qu'il y a déperdition.
Pas de campagne ou d'élections dont on se fout! Justement le problème est là!
On peut choisir de se réunir pour une lutte, on a le droit de ne pas vouloir qu'elle soit politique, ni l'envie de s'amuser à clampiner pour rien!
Mais ça a l'air de beaucoup moins vous intéresser que votre petite campagne du net et vos messages de madame je sais tout qui veulent tout et rien dire à la fois . Si ma sympathie pour JEA vous irrite, j'en suis désolée pour vous. Mais je n'ai pas du tout l'intention de changer d'avis. Encore moins quand je lis blada et ces relents racistes contre l'étranger bouffeur de social ou ses théories de donneurs de leçons venu du froid.
Autrement dit, il n'y a pas besoin d'être un communicant pour voir qu'ici, c'est flot de charge contre JEA pour tout. La preuve un message qui lui est à peine positif ne peut provenir que de quelqu'un payé pour le faire! Faut savoir! C'est une erreur de casting JEA ou bien il truque les élections?!
Autrement dit, je pense ce que je veux, je dis ce que je veux. Ne pas vouloir se rendre compte que certaines actions et méthodes ne sont pas pertinentes, c'est votre droit et celui d'autres. J'ai choisi le contraire en ce qui me concerne et ne suis apparemment pas la seule.
Blada même en s'appliquant comme le fait, n'arrivera pas à me convaincre du fait que le sitting ait été mis à mal par des tractations souterraines, ni étouffé par qui que ce soit!
Par contre il est certainement mis à mal à cause de gens comme vous! Vous ne vous en rendez même pas compte! Sauf si...
Autrement dit le droit de penser et exprimer ce que l'on pense est un droit réservé ? Réserver à ceux qui sont adoubés peut être ? C'est bien là que la bât blesse dans cette charmante petite commune.
Mais vous vouliez parler de la stratégie de la ville de Cayenne ! La ville de Cayenne a ,à mon avis (si vous permettez que j'exprime mon avis) pris la bonne méthode dans sa façon de se pencher sur le problème sans à aucun moment, sembler vouloir minimiser celui-ci , ni entonner l'air du "c'est pareil ailleurs" et sûrement pas débouler sur tous les plateaux télé pour dénoncer une forme d'hystérie collective touchant ses habitants, et à ce sujet, elle n'a à aucun moment envoyer du bois comme la commune de Kourou vers ses habitants trop critiques.
Est-ce que vous avez assez de neurones disponibles pour saisir la nuance entre les deux traitements (vu que vous êtes sans doute trop occupé à avoir le seul droit de penser et de s'exprimer) ?
Vous semblez très à l'aise à mettre tout le monde dans le même sac, mais si vous relisez les posts de com de la commune, vous remarquerez que c'est aussi une constante.
Que vous dire alors, sans vouloir vous faire changer, (je me tape de votre apparition minute dans le courrier) dans ce tripot de la pensée différente une bonne partie des débatteurs en ont l'habitude et copie le maire et ses addics : haussement d'épaule et un balayage de la main. Je vous l'avoue pour pas vous fatiguez plus.
Vous semblez effrayé par les "débats xénophobes" qui défilent dans les lignes du courrier alors (comme vos comparses en mode critique envers Blada) allez -y, mesurez-vous aux "xénophobes" du site, montrez leur qu'ils ont tort; Argumentez, attaquez les contres vérités, avancez les pions pour leur briser leur mensonge. Pardon ! ça ne vous intéresse pas. Voilà, comme d'hab, tous des planqués, planqués derrière les autres qui y vont. Gardez votre posture de lémuriens , tous au trou dés le premier sifflement.
Vous devez avoir un dent coriace genre dent de sagesse à racine imbriquée contre moi, je pensais mettre fait rare dans le courrier, très occupée à m'installer dans ma nouvelle maison (en Guyane - loupé) je garde un oeil et un pied à Kourou, via de forts contacts notamment quelqu'une qui m'est très chère qui ne manque pas de me relater l'esprit conviviale et chaleureux dans laquelle la majorité des habitants baignent. A défaut de se baigner dans leur piscine municipale.
Pour vous occuper sainement l'esprit et pour lui éviter de vous réjouir de faits qui n'existent pas - oui, j'aimerai être à l'âge de la retraite "soupir" - vous pourriez consulter ou reconsulter ( plus sérieusement), le rapport rédigé par Laurent Mucchieli "Matériaux pour une étude de la délinquance en Guyane" (STEPLE Blada, mets-y pas le lien, faut que leur apprendre à y mettre du leur) l'analyse est faite et les trames de solution posée.
Alors what else ?
Un an de passé depuis les assises et le mot d'ordre est toujours "tout baigne" .......sauf pour la maire de Cayenne qui comme dirait Mme Taubira "a pris le problème à bras le corps" sans le cirque médiatique que l'on a connu à septembre 2012 orchestré par Kourou sur l'air de "tous des paranos" remarquez c'est fidèle à la ligne directrice où l'on retrouve également le "tous des xénophobes" .
Mais comme dit : haussement d'épaules, et balayage de la main.Je plussoie.
.
En réponse au message de Puma du 16/12/13
La lettre de Noel973 a été écrite sous forme de vers et pour attirer l'attention sur la situation des habitants de la savane bordelaise, des explications approfondies n'étaient donc pas nécessaires d'autant que j'ai moi même expliqué à plusieurs reprises sur ce site pourquoi nous en sommes arrivés là. Il est évident que tu interprètes la lettre comme tu as envie de l’interpréter, car l'un de ces vers dit, " respectant la loi et démarchant l’état" mais ça, ça ne t'a pas sauté aux yeux puisque de toute évidence tu sembles ne retenir que les éléments qui te semblent à charge...
et bien-sur nullement tu ne t'ai moqué! ton post était méprisant et accusateur, identique a celui que tu lui as adressé le 15/12.
Comme cyril2013, tu ne retiens de cette affaire, que les aspects péjoratifs, alors je vais te dire pour la dernière fois, puisque tu ne retient pas les réponses que l'on t’adresse, Les habitants de la savane Bordelaise ont été placés par une association que tout le monde connais, et je répète, puisque tu ne lis pas correctement les réponses que l'on t'adresse, avec la complicité du maire de l'époque, Mr Serge Adelson. ils ont fait confiance a cette association comme il en existe des centaine en Guyane, des associations qui mettent en valeurs des terres vierges et qui placent des familles modestes tout en démarchant l'état afin de régulariser chaque cas dans le respect de la loi!
mais si pour X raison que se soit, ces terres sont convoitées par un politicard ayant toute autorité sur le foncier, évidement le petit peuple n'a qu'a courber le dos!
Alors si ça t'amuse de penser que les victimes de la savane bordelaise sont des gens misérables, des tricheurs, des profiteurs et squatteurs, libre a toi, mais je te dirais juste, t'a rien compris!!!
wouas comment j'admire ton écriture...mais bon juste une petite question, lorsque l'on construit ne serait ce qu'une maison en bois ne faut il pas un permis de construire si elle dépasse une certaine surface ?, ne faut il pas passer chez le notaire ? avec le risque de se retrouver à la rue si un profiteur passe par là...Faut être un peu couillon quand même pour croire à la bonté des gens..
Quand à ta derniére phrase "Alors si ça t'amuse de penser que les victimes de la savane bordelaise sont des gens misérables, des tricheurs, des profiteurs et squatteurs, libre a toi, mais je te dirais juste, t'a rien compris!!!"
Ben comment tu veux que je te dise, je les connais pas ces gens moi, su tu dis qu'ils sont comme tu dis je veux bien te croire sur parole, mais bon j'ai des doutes qu'ils soient tous ainsi ...
Joyeux NOEL
Les adhérents de l’association « Notre terre de Guyane »
Lettre ouverte au Président de la république Monsieur François Hollande.
Monsieur le président je vous fais une bafouille que vous lirez sûrement car vous avez des couilles vous avez envoyé au Bangui les hommes de notre patrie vous allez alors, peut-être aussi venir jeter un œil par ici monsieur le président il existe en Guyane aussi des corrompus et des pourris et sans beaucoup d’état d’âme je vous décrit notre drame installés sur les terres de l’état cinquante familles modestes mirent en valeur des parcelles plantant avec grande passion fruits, légumes, plantes et fleurs élevant leurs tendres enfants dans de jolies cases en bois respectant la loi et démarchant l’état afin qu’un jour nos jolis abris en bois soient l’héritage et le fruit de nos labeurs Monsieur le président nous n’avons point l’aumône demandé mais juste à être prioritaires pour l’achat de nos terres puis voilà qu’au vu et au su de tous un triste et ignoble individu évoluant dans les hautes sphères utilisant force et abus politicien s’empara sans vergogne de nos terres puis tenta de nous déloger sans point se soucier de nos droits une horde de journalistes charognards envahirent nos maisons et avec l’aide de policiers un huissier, derrière ses lunettes embuées avec l’appui d’une dizaine de déménageurs emporta tout jusqu’au moindre bibelot Monsieur le président des reportages télévisuels nous furent consacrés nous décrivant comme des gens misérables de squatteurs et d’étrangers nous humiliant par leur mensonges devant une Guyane indifférente devant nos familles et amis restés en France Monsieur le président avec nous le préfet a été clément et un délai nous a été accordé nous ne contestons pas la loi mais dénonçons les ruses et les magouilles des malandrins haut placés qui nous ont conduit à cette situation nous avons foi en la loi comme d’autres ont foi pour la croix Monsieur le président pourriez vous vous pencher sur notre dossier afin de nous enlever cette épine du pied ???
Les expulsés de la savane Bordelaise.
En réponse au message de Philippe2 du 11/12/13
ma belle mère, 87 ans, était du lot, elle n'a suivi que trois années d'école car trop loin du bourg, les enfants de la famille devaient être logé chez un oncle, qui ne pouvait pas accueillir tout le monde et elle a cédé la place à son petit frère. cependant elle sait toujours écrire, sans fautes d'orthographe ! (il est vrai qu'elle n'sait pas écrire moderne, ni utiliser d'onomatopées, ah, les instit de l'époque ...)
Là, je vous rejoins entièrement ; j'ai 45 ans et j'ai franchement le sentiment que nos profs de primaire à l'époque nous apprenait mieux et approfondissait jusqu'à ce que l'on connaisse nos tables de multiplication, division, soustraction, verbe sujet, COD etc... et maintenant j'ai l'impression que l'on fait qu'un survolage sans vraiment se soucier si c'est technique des fondamentaux sont bien acquise???
Voir pour mon fils qui à 9 ans je suis obliger de refaire des exercices de français à la maison et lui réexpliquer les règles avec mon bon vieux BLED de GRAMMAIRE!!!!Est ce normal???
Moi je dit oui et prône les exercices à la maison; regarder l'EN à bien un vrai problème si les gens ouvrent des écoles comme l'école 42! ou bien même que certain préfère faire leur éducation par correspondance!!! Je dis oui à une réforme profonde de l4EN pour revenir aux fondamentaux et le respect de l’éducation civique.
En réponse au message de Laurent du 29/11/13
Ben oui, au conseil régional, on avait préféré aider une dentiste alors que le nombre de dentistes est plutôt satisfaisant... Mais des généralistes, des ophtalmos, des orthophonistes (2 ans d'attente pour un rdv à Kourou, ça parle?)... Mais où vont les aides publiques hein Koro? Tout ça coûte trop cher qu'on va encore nous dire...
Remerciez LOUPEC et sa clic de médico, qui refusent de faire venir des médecins ou spécialistes d'autres pays. Cela serait de la coopération inter région d’Amérique du SUD.
Cette loi existe bien en FRANCE ou fait bien venir des infirmiers, médecin du Maghreb.....
Il y a de très bon spécialiste au brésil, à CUBA et Venezuela, au Surinam, au brésil....Cela pourrait ce faire sous forme de coopération ou INTER CAMBIO.
Pourquoi ne pas s'ouvrir à l'extérieur et proposer des contrats à ses spécialistes; on accepte bien les clandestins à venir accoucher et se faire soigner chez nous; regarder à ST LAURENT nombreuses femme vivant à PARAMARIBO prennent le taxi, traversent le fleuve MARONI et viennent à l’hôpital pour accoucher et puis s'en vont en n'oubliant pas de bien faire les papiers de la CAF !!!!!
Non l'idée de LOUPEC c'est que ces petits fassent leur études et qu'ils reviennent à la maison de Guyane!!! Superbe idée !!! C'est ça les responsables considérés comme des élites et qui gouvernent notre PAYS!!!!
Je suis à la recherche de société en Guyane/Brésil ou Surinam qui vendent des carbets / maison en bois; merci d'avance...tph ou bien site web.
Une question, les contribuables kourouciens qui publient actuellement au sujet de l'explosion des bases d'imposition servant au calcul de leurs impôts par les taux communaux et départementaux (si quelqu'un vous dit c'est la faute au département, vous êtes autorisé à le pendre par les pieds au tomtem) sont-ils les mêmes déjà « redressés » dans la vague de 2011 ?
Car à part, le CDHK et M. Careno, je n'ai pas souvenir d'avoir vu ces personnes lever le bouclier en 2011. C'est juste une question.
Qu'est-ce qu'on sait ? : 33 % (arrondi) des 25700 habitants (dernier chiffre publié 2012) paient TF et/ou H, les moyennes "réelles" par habitant sont donc à réviser à la hausse pour comprendre la colère de ceux à qui on demande de plus en plus d'efforts.
Mais savez-vous que chaque exercice depuis 2009 (peut être avant, les chiffres sont publiés depuis 2009) la commune concède 5'000 k€ d’allègements de TH à des membres de la communauté ne rentrant pas dans les critères des « allégés par le code des impôts » ? Qui sont ces gens, quels sont leur réseau ?
A partir de 2009 (suite au référencement) la population kouroucienne dont le compteur était resté figé à 19191 habitants, passe à 24 035 (2009) 25918 (2010) 26143 (2011) et chute en 2012 ou elle passe à 25700. 443 foyers fiscaux (potentiels) qui disparaissent, ça vous inspire ? Contribuables dégoûtés qui vont voir ailleurs si l'herbe est mieux coupée ?
Quelques éléments de réponse à la question deYakataka « Et que devient la laine une fois récupérée? »
Elle alimente les charges , le plus gros poste étant toujours les charges en personnel et encore une fois, paye-t-on le service rendu ?
Donc, les premiers chiffres à suivre dans la commune de « celui qui dit, le lendemain de chaque élection » qu'il « remettra de l'ordre dans la maison » les charges de personnels : par ce temps de crise et d'effort financier demandé à tous (essayez de ne pas rire) la courbe des charges de personnels auraient du à défaut de s'inverser au mieux se stabiliser. Ou pas, pour les gestionnaires ?
Pour les 10 années passées, les 33 % de foyers fiscaux qui paient, payent aussi pour les employés, agents de maitrise, cadre et assimilés chargés de faire « tourner la commune » : :
En chiffre, sur le budget de la commune, ça donne ça :
2002 :54,21 %
2003 : 55,07 %
2004 : 55,88 %
2005 : 65,84 %
2006 : 59,64 %
2007 : 62,62 %
2008 : 54,96 %
2009 : 65,45 %
2010 : 63,37 %
2011 : 63,50 %
2012 : 64,37 %
Celui qui relève que le taux diminue les années d'élection est un vilain, vilain c'est une pure coïncidence.
(Ces chiffres (nbre habitants – charges de personnels) viennent du site du ministère de l'économie (le programme alizé))
D'autres chiffres relevaient cette fois sur les CR de délibération de la commune (seuls sont publiés l'année 2011 et le premier trimestre de 2012)indiquent le nombre d'agents, adjoints, cadres et assimilés qui sont venus grossir le budget de ces deux années par nomination ( passage de concours ou par la parallèle du fou) ou via recrutement :
33 adjoint technique territorial 2 classe
3 adjoint administratif territorial 2 classe
1 chef de service PM cadre sup
1 adjoint administratif de 1 classe
6 adjoints techniques territoriaux 1 classe
4 agents de maîtrise territoriaux
Directeur général culture
4 adjoints direction culture
1 rédacteur principal cat B
1 animateur principal cat B
Adjoint technique principal 2 classe catC
6 ATSEM 2 classe CatC
7 Adjoint administratif principal 2 C
1 Agent de maitrise territorial CatC
2 Adjoints administratifs territoriaux 2 C
2 emplois supplémentaires CatB au service techniques
Tous ces postes qu'importent le moyen augmentent la masse salariale et la charge des personnels....
La spécialisation de certaines de ces nominations-création etc se double du jeu de la carotte mais pas du bâton, avec comme résultats (amélioration des services sur 2011 et 2012, toujours ). Je ne sais pas pour vous, mais pour moi un chef de service dans le privé, une fois, la fiche de poste établie a naturellement des objectifs et son responsable hiérarchique attend des résultats sans incitation pécuniaire à part que les primes à objectif dépassé. (genre prime de tir) Mais soit, l'ordre a un coût semble-t-il.
Pour encourager tout ce beau monde, la commune a également voté la prise en charge des tickets restaurant à hauteur de 50 %, je rappelle que nous sommes toujours en temps de crise et que la grande majorité des des foyers fiscaux de la commune n'a pas un gentil employeur qui lui paie la moitié de ses repas, alors lui faire supporter financièrement le repas de ceux qui ont plusieurs niveaux de sécurité financière, par les temps qui courent : fallait oser.
Anecdote : un retraité de la commune, se voit financer 3 années de labeur supplémentaire au cœur d'une association -45000 euros de subventions pour l'asso « son cahier de charges – communiquer son savoir faire à des jeunes » ne pouvait-il pas le faire durant ses nombreuses années de pratiques ? Curieux ou pas
Autre poste alimenté par la laine des moutons : les investissements.
Toujours pour ces deux années publiées, deux tendances s'affichent la propension des entreprises travaillant pour la mairie à sans doute augmenter la marge courante au nom de la « gestion du risque sur sa trésorerie ? » qui module les prix à la hausse par effet mécanique, mais ça c'est de l'ordre du normal.
Sur les deux affaires chiffrées et détaillées, publiées – des avenants pour les travaux complémentaires du marché couvert et la remise aux normes de la décharge – je vous invite à les consulter dans le détail.
Vous en livre deux ou trois qui me sont restés, les grilles installées au rez-de-chaussée du marché (à cause de ces satanés chiens que les gestionnaires de la commune n'avaient pas vu venir) et comme ces grilles prévues initialement avec une manivelle, non, non c'est pas possible, vite installons des automatisations d'ouverture. Plus des prises pour les terminaux de paiement, parce oopps ça aussi personne n'y avait pensé.
Jetez si ça vous intéresse un œil sur le chiffrage par les deux intervenants sur le site de remise aux normes de la décharge de Kourou, moi, j'ai noté que pour écraser d'un coup de pelleteuse une cabane en bois faite de bric et de broc, ça coûte 1650 euros.
D'autres chantiers sont également listés, chiffrés et le phénomène récurent : des travaux que l'on attendait pas après la signature des marchés. (!!!!)
Vous encourage vivement à consulter les CR des conseils, vous éclairerons sur l'endroit où est stocké votre laine.
En réponse au message de 3wap du 01/10/13
Tiens, un second volontaire pour le test... Alors, et vous, êtes vous prêt à dénoncer la non application de la loi Besson relative à la création de aires d'accueil? Non? Vous cautionnez donc tout comme Tagada la transgression de cette loi?
Ben comme vous vous transgressez la loi sur le maintien des Roms en France...
Les gens du voyage ont déjà beaucoup de droits et lorsque des aires d'accueil sont à leur disposition ils critiques et dégrades. Ce n'est pas à eux de fixer des régles de vie mais à l'état de faire en sorte que ces gens soit sédentarisés, travaillent et paient des impôts.
En Corréze on leur fait de belles petites maison en bois avec grandes cours avec enrobés pour garer la caravane et ceux qui bossent se retrouvent dans des cages à lapin, car pour eux on ne fait rien.
Moi j'en ai un peu marre de cette société ou les gens qui bossent ou qui veulent bosser passent aprés ceux qui ne veulent vivre qu'à la charge des autres...
Pensez un peu aux Français qui vivent dans la misére, au lieu de penser aux étrangers qui ne viennent que pour profiter des aides sociales...
En réponse au message de 3wap du 26/09/13
Eux (plusieurs critiques de cinéma de la presse spécialisée) parlent tous du film avec un extrême d'enthousiasme, et ils ont l'air de dire que c'est tout de même intellectuellement un peu plus bandant qu'une production à la Dorcel.
http://www.canalplus.fr/c-cinema/c-emissions-cinema-sur-canal/
(extrait de l'émission Le Cercle à propos du film)
Perso, je regarde Le Cercle assez régulièrement, et en général je trouve que les interventions des critiques, qu'elles soient pour ou contre, sont plutôt de qualité et toujours argumentées... Là sûr ce film ils sont unanimes. Perso je ne vois donc aucune raison de ne pas me fier à leur conseil, au moins pour juger sur pièce par moi-même... Ton sentiment après ces avis et extraits sur le film?
me demander mon avis sur le sujet c'est comme me demander de boire un verre de vodka cul sec un matin de gueule de bois..mais comme j'ai le souci de l'objectivité mais aussi de la sincérité, j'ai fait fi de ma nausée pour suivre non seulement ton lien mais le teaser sur you tube. Je ne te garantis rien dans l'état de ras le bol où je suis. Je n'ai pas pour habitude de me fier aux avis des critiques, je me suis trop fait avoir à perdre mon temps devant des films sordides et portés aux nues (la jeune fille assassinée, les nuits fauves etc..). Faut croire que je n'ai pas le QI nécessaire à la masturbation intellectuelle ou que je ne prends pas les bonnes substances. sur la bande annonce de ton film, les images sont belles, rien à dire sur le plan esthétique mais ça ne suffit pas. Je persiste à penser que ce film est un film de culs sous couvert d'une intrigue policière, d'un nouveau genre , certes puisqu'il expose l'homosexualité, mais là aussi ça ne suffit pas à crier au génie. Un principe repris dans bon nombre de film de cul hétéro mis en situation. Ce qui m'étonne le plus, c'est que lorsqu'on veut parler de l'homosexualité on passe forcément par des pratiques échangistes, partouzeuses et autre. Excuse, là , j'ai un relent de la scène culte dite érotique des nuits fauves où l'un trouve bon de pisser sur l'autre..et que j'étais sensée porter aux nues du génie, ou ce film italien dont j'ai perdu le nom où tout le monde encule tout le monde dans une maison luxueuse, même le chien y passe, monsieur tout le monde a des gouts plus simples, désolée du peu.Je me réjouissais de l'officialisation de l'homosexualité par le mariage sous une forme autre que ce que les homosexuels avaient laissé transparaitre jusqu'ici, à savoir, du sexe débridé et violent . C'était une grande avancée, l'occasion de dire aux hétéros , nous sommes comme vous, romantiques, tendres avec l'envie de créer un foyer chaleureux. et paf ! au lieu de ça, on est reparti pour un film de partouze, et donc pour en revenir à nos moutons, ce film et son affiche s'adresse à un public averti et consentant.
Je viens de voir le débat avec Antoinette...Et encore une fois, il n'apporte rien de concret pour la ville de KOUROU que pour dire qu'il va se représenter avec son équipe de bras cassés :
alors moi je lui ferai un petit bilan rapide sur les énormité qu'il a construit!!!
-Mon premier est ce mastodonte de marché à 2 étages ou les kiosque au Rez de chaussé sont vide et à l'étage 4 box ouvert de temps en temps....Pour ce qui est des revendeurs de légumes 60 % est aux alentour du marché et 40% dedans!!!Aucune ventilation dans ce hall !!pourquoi aussi haut???? sans respect écologique....
- mon second le soi disant lycée international !!!! qui ne voit que des CAP/BEP de l'ancien CFA...
Très dommage de ne pas utiliser ce belle outil pour faire monter le niveau éducatif des jeunes kourouciens qui en ont grand besoins....
- Ensuite de n'être pas capable de gérer la sécurité de ses habitants à cause de quelques bandes de voyous connu par tous...
- un état déplorable des routes de KOUROU; des canaux non curé; des quartier entretenus comme bon le lui semble (pas celui de la savane car on y retrouve évidemment nombreux agents de la mairie y vivre!!!).
- aucune politique d'accès à la propriété appartement ou maison sous forme de loyer!!!
- Plus de piscine depuis un an....
- des équipements sportifs et administratif mal ou pas entretenu !!!
- une équipe de bras cassés CT mairie et agents de mairie peu ou pas compétent et qui profitent d'avantage en nature que nous payons (voiture de service,essence ,etc...).
- aucun projet de ville,pas de trottoir pour ce déplacer à pied (demander aux handicapé et personne avec enfants ou même gangan de kourou qui connaissent bien le problème : Ils sont obligé de marcher sur la route!!!).
- peu de nouveaux commerçants ; d'ailleurs nombreux ferme boutik...Peu de restaurants il ne reste que des restos chinois!!!
- Je suis pourtant allé plusieurs fois vous voir surtout vous écouter sur les projets (carrefour avec zone commerciale + cinéma + salle de spectacle+ restaurants)....qui devaient apporter du travail pour kourou ...que neni...rien de rien!!!!
Je pense donc que je ne voterai pas pour vous et votre équipes, car comme vous le dite Mr ANTOINETTE il y a tant de chose à faire, et vous ne faite rien ou peu pour améliorer la vie de vos administrés.
La VILLE de CAYENNE vous informe de la réouverture du Point Informations Touristiques (PIT), à la Maison créole « Clet », située au 12 rue Louis Blanc (en face de la bijouterie Buirette et à côté de la Mairie), à Cayenne, du lundi au vendredi de 08h30 à 12h et de 14h à 17h et le samedi de 08h30 à 13h.
Notre équipe se fait un plaisir de vous conseiller et de vous faire découvrir Cayenne notre ville capitale et la Guyane, ainsi que les évènements qui seront mis en place cette année sur la ville de Cayenne.
Le PIT c’est aussi :
*Une banque d’informations sur les sites touristiques guyanais,
*Un guichet d’informations sur les événements organisés sur Cayenne et dans les autres communes de Guyane,
*Un lien direct avec les professionnels du tourisme, des loisirs et des commerces,
*Un espace d’exposition pour la valorisation du savoir-faire local et de notre patrimoine.
Actualité :
Les créations originales d’AB Artisanat (bois et matériaux guyanais) sont à découvrir dans notre espace exposition, jusqu’au 30 avril 2013.
A bientôt !
Charlotte CAFFIER,
Responsable du Point Informations Touristiques
et son équipe:
CHRETIEN Jean-Pierre, Coordinateur d'acceuil et chargé de projet
WAKAPOU Isaïe, Hôte d'acceuil
PRUDENT Nathalie, Chargée de projet et de développement touristique
GUYE Déborah, Chargée de projet et de développement touristique
PINEL Stelly, Chargée de projet et d'animation touristique
Accueil du public
12 rue Louis Blanc (face à l’Hôtel de Ville) - Cayenne
05 94 39 68 83 - tourisme@ville-cayenne.fr
du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 14h à 17h
le samedi de 8h30 à 13h
Et j'hallucine . Non, mais allo , mais allo quoi ?!! Je suis en Guyane depuis 1999 ; Pensais pas rester aussi longtemps, mais ... Bref. Depuis 2 ans je cherche une maison, en achat , histoire d'arrêter de payer bêtement mon loyer. J'ai visité avec doudou quelques maisons , puis quelques autres , etc ... Tout ce qui m'a été proposé est soit carrément dégueu , soit avec des travaux à n'en plus finir , et en tout cas HORS DE PRIX . Nous sommes à Kourou. Les prix de l'immobilier sont exorbitants et nous ne sommes pas tous avec un salaire de 4000 € par mois, en tout cas les amis que je fréquente. Rien que cette après-midi , une calypso (maison en bois !!) certes agréable mais EN BOIS donc avec toutes les contraintes (miam miam termites) à 300 000 € ...
J'ai trouvé mon petit Mas de mes rêves en Provence , en pierre de taille , non loin d'Aix à .... 425 000 € . Cherchez l'erreur. Juste, entre Kourou et Aix , devinez quel sera mon choix ... Et tant que les prix de l'immobilier ici seront aussi prohibitifs , je ne donne pas longtemps avant que tout se casse la gu... , d'autant que les services de la Mairie commencent à passer pour revoir les prix du Foncier. Je vous le dit , on va se marrer.
En réponse au message de Morpho du 10/03/13
Merci à Mr Lurel de s'être montré sous son vrai jour, aux obsèques de H. Chavez:
Un vulgaire indépendantiste déguisé profitant très agréablement du système!
Qu'il laisse donc le plus vite possible son ministère à des gens plus vrais!
Hugo Lurel: démission!
Sur ce sujet, je rejoins M. Lurel et apporte mon soutien à Boiskaka :
En connaissez-vous beaucoup des "dictateurs" qui nationalisent des sociétés étrangères sur son sol, et, qui en lieu et place des bénéfices reversés aux actionnaires, se servent de ces bénéfs pour construire des milliers (voire des centaines de milliers) de maisons toutes équipées (jusqu'au micro-ondes) à destination du peuple démuni ?
En connaissez-vous beaucoup des "dictateurs" qui, à leurs décés, rassemblent des dizaines voire des centaines de milliers de gens en pleurs ?
Les dirigeants des pays dits "civilisés" ne tolèrent pas le partage et les médias de ces pays préfèrent salir Hugo Chavez tout comme les Etats-Unis pour le Président Salvador Allende par l'entremise d'un prix Nobel : Henry Kissiger !
Alors OUI définitivement OUI j'aimerais qu'il y ait davantage de "dictateurs" comme Hugo Chavez de part notre monde pourri. Et j'espère que Nicolas MADURO sera confortablement élu.
Je suis désolé Morpho mais vous n'avez rien compris je vous soupçonne d'être égoïste.
Allez sans rancune...
En réponse au message de Courette du 01/02/13
voici le texte de votre post :
Quel rapport entre le gaz et l'électricité ?
j'ai considéré qu'il s'agissait de la vie quotidienne, merci d'être précis si vous ne voulez pas prêter à confusion.....
Je ne connaîs pas le vrai départ de vos échanges... Quel rapport entre le gaz et lélectricité? A priori, tu n'en vois pas... Fût un temps où l'on avait EDF-GDF sous une même société d'Etat l'on avait les deux... Sweppes, je crois ou Coca, peu importe ont bien racheté, je crois Orangina à Pernod-Ricard... un produit différent d'un point de vue économique les deux sont sur les boissons sucrées... alors que Pernod-Ricard c'est recentré sur les spiritueux... boissons parfois sucrées mais aussi alcollisée à plus de 16 °... Bref, nos français sont bons dans ce qui compte alors?! Laissant le 0 alcool aux américains!
Revenons à la dialectique ou au clivage indépassable Electricité/gaz!
C'est exactement l'arbitrage proposé à chaque ménage pour son énergie à tous les stades... Je ne développe pas... Vous me direz oui mais Sweppes, Coca et Orangina sont des boisssons gazeuses... et Pernod-Ricard fait dans le "convivial" terminololgie officielle du marketing maison... eh, bien réfléchissais au Whisky-Coca par exemple et j'en passe... allez, je le concède l'électricité est moins mal car parfois y-a de l'eau dans le gaz...
Je réponds à plusieurs : car je suis plutôt OK à parler de restos que de devoir à se bouffer le nez sur Blada !. Donc Minon, Jack 54, Philippe2, Boiskaka ( en france il y a le bois puant ) et cela veut dire pareil, et pour d'autres personnes voici pour des restos. En tout cas vous avez tout à fait raison Boiskaka au Surinam quasiment tous les restos sont très très bons et très abordables et c'est fameux de votre part d'en avoir indiqué quelques adresses : BRAVO !. Bon bien sûr je n'ai pas tout mangé à La Goélette à Saint-Laurent Du Maroni mais très sincèrement le JAMAIS GOUTE qui est un poisson est nettement supérieur à Mana au resto Le Buffalo parce que cuisiné totalement différemment qu'à La Goélette. Au Buffalo de Mana : il faut téléphoner avant pour savoir si dans la pêche y a du poisson s'appelant : du jamais gouté mais dans ce resto on peut y manger tout autre chose de très bon également. Il y a une salle climatisée à l'étage pour ceux qui le désirent.quelques adresses pour qui veut :
La Petite Maison 23 rue Félix Eboué à Cayenne. Le Patriarche 12 rue Samuel Lubin à Cayenne. Les Mille Pâtes en ville à Cayenne, à Rémire-Montjoly et à Kourou : je ne fus jamais déçu. Un très bon resto AMERIDIEN à Awala Yalimapo : Le Yalimalé : carbet suberpe et manger excellent. CACAO : y aller les dimanches matins en même temps que le marché Hmong et leurs divers resto proposant plusieurs bonnes soupes et menus mais il y a aussi les restos qui ne sont pas que sur le marché. Le Grand Pavois à Monsinnéry. Au Palais de My qui est un resto vietnamien dont tout est cuisiné par My et son compagnon Bruno nous reçoit. Dans le resto vietnamien y a Le Faledam chemin Grant à Cayenne : ici les soupes et le reste c'est très bon. L'Entracte n'est pas mal non plus est en ville à Cayenne. La Villa à Rémire-Montjoly : ne pas hésiter de consommer les menus dégustations. Le Petit Larivot à Matoury également. ET PUIS C'EST A VOUS DE VOIR POUR LES PRIX CAR UNE FOIS UN RESTO C'EST VRAI QUI COUTE UN PEU PLUS QU'UN AUTRE MAIS QUI EST TRES BON : JE CROIS QU'ON NE REGRETTE PAS. ET PUIS JE NE PEUX TOUT MENTIONNER NON PLUS tous les restos où je suis allé et puis quand j'aime bien j'y retourne. MAIS Y A TELLEMENT DE PETITS RESTOS A DENICHER QUE..... OUI C'EST VRAI L'OASIS C'EST PLUTOT A LA BONNE FRANQUETTE MAIS ON A ENVIE D'Y RETOURNER PARCE C'EST ABORDABLE MAIS BON. J'arrête parce que je dois aller bosser. Et comme j'ai écrit dans l'un de mes messages : je ne suis pas en Guyane pour le moment mais je reviens très bientôt et j'en suis bien heureux, bien heureuse itou !. Guyane : je t'embrasse.
En réponse au message de Weenana du 04/11/12
Suis comme Saint Thomas, je crois ce que je vois et j'ai la mémoire de Kourou à mon arrivée, j'habitais dans la barre des Eldo, les immeubles étaient occupées par une population qui n'y plus rien à voir avec celle d'aujourd'hui. Et pourtant, c'étaient les mêmes barres d'immeubles.
De 1997 à 2003, j'ai fréquenté, nouvelles relations aidantes le village et sa vie de la nuit, y compris boite de nuit clandestine où le meilleur était la musique importée et l'alcool pas cher, je n'y ai jamais craint pour ma sécurité et les seuls gars louches qu'on me faisait remarquer étaient les gars des RG qui relevaient les plaques tout ça pour te dire que dans ces années là, j'ai pas vu de barbelés barrant l'entrée du village, ça ne veut pas dire qu'ils n'y en avaient pas, avant.
Ce qui me permet de redire que je n'ai jamais vu autant de barbelés que ces trois dernières années.
Un mélange quand tu parles de pâtisserie, de chimie ou d'urbanisme doit se faire intelligemment, si tu calcules mal les ingrédients ou si tu te trompes d'ingrédients et même que tu les imposes par la force de leur cohabitation, fort est à parier que les différences vont s'échopper. Un chimiste ne va pas mêler des substances qui risquent de provoquer l'explosion. Un pâtissier ne mélangera pas des ingrédients qui se repoussent. Si tu n’intègres pas cet élément dans ton plan de développement des quartiers, fort est à parier que tu arrives où nous en sommes aujourd'hui
Et ça ne veut pas dire que la société ne doit pas se mélanger, mais comme pour tout le reste cela doit être fait avec concertation et réflexion, et non, l'imposer comme une règle de vie obligée.
Se faire se rencontrer 'deux" mondes, ne correspond pas à l'idéal d'une ville structurée.
Un ville structurée s'articule autour de trois axes : le travail, le repos et le loisir.
Si tu lis le courrier, ça se résume en : les gens qui travaillent ne peuvent pas se reposer, vu qu'ils sont dérangés par les loisirs de ceux qui ne travaillent pas.
Alors parler de réussite pour Kourou, c'est peut être un peu s'avancer
Et cerise sur le gâteau, le fruit de leur travail leur est dérobé sans que ça ne fasse sourciller plus que ça, le grand timonier de la cité qui en rajoute en augurant du pire pour l'avenir.
Weenana comment vous expliquez que vous avez répondu à un cadre de la commune qui défend son ancien beau frère de Maire.
Tout ce qu'il pourra vous écrire ce "Cazeau" ou "Bernard pond","Bernard P" ou autre pseudo qu'il a utilisé ne sera que dans la justification excellente de son employeur.
On vous fait croire Kourou comme la ville la plus structurée de Guyane que dire de Montjoly, mais bref stop à la comparaison, j'aurai tort
Bernard si tu n'as rien à écrire retourne te coucher dans ton bureau c'est trop visible.
L'avantage c'est que nous sommes certains qu'au moins un cadre A de la Mairie de Kourou lit nos commentaires sur Blada et les transmet surement à JEA.
Pour finir en effet il y avait du barbelés qui séparait le village Saramaca des Calypsos (maison en bois sur petit pilotis) de l'avenue des roches depuis les années 70 mais il y avait aussi un large canal. De nos jours le barbelés il est chez nous et ça n’empêche pas ou peu les voleurs de pénétrer chez nous.
Cazeau on t'a démasqué
Je me demande ce qu'on fera à 13.... parce que : à 10,11,12 certains bons penseurs veulent faire une réunion sur l'insécurité.
N'oubliez pas messieurs qu'une réunion ne suffit pas et que nous attendons des actes supplémentaires et nécessaires autre que de contrôler les voitures et le papiers des honnêtes gens (comme hier soir à coté de la mairie)....
Nous attendons toujours une réaction de votre part pour contrôler les scooters sans casques, les mineurs dans les rues la nuit, les personnes qui roulent avec 2 vélos, les incivilités (bruits, injures aux gendarmes, etc...), les voitures avec les basses à fond, les gens qui agressent dans la rue, les braqueurs, les voleurs, les terrains de foot illégaux, les boites de nuits qui s'improvisent dans certains quartiers, les casseurs de vitres et pare-brises des voitures, les taggeurs, et surtout les parents qui laissent leurs rejetons sans éducation civique.
C'est ce discours que nous attendons à votre réunion, et la confirmation que ces solutions seront mises en place pour arrêter ces incivilités.
Le reste, maison de quartiers, aides spéciales, logements sociaux, on a déjà donné ( nous, on paye nos impôts) et cela n'a rien apporté. On appelle ça la fraternité.
Les personnes qui en ont bien profité et qui ne nous respectent pas doivent être mises à l'amende, et non remises en liberté. C'est ce discours que nous attendons pour que l'ordre civique reviennent.
L'égalité pour tous dans le paiement des impôts, l'égalité pour tous dans le calme et la tranquillité, l'égalité pour tous devant la justice.
La liberté pour tous, c'est à dire se promener sans peur, la liberté d'aller où l'on veut sans risques de se faire agresser, la liberté de ne pas avoir des barreaux à nos fenêtres, etc, etc...
Je pense que vous avez reconnu les 3 Valeurs de notre république....
passer une petite annonce
passer une annonce de covoiturage
passer une annonce d’emploi
associations, postez vos actualités
participez au courrier des lecteurs
Lancements 2022
Vol 259 Ariane 5