Même si le public guyanais semble fort bien se satisfaire d'un ersatz d'information, la situation de la presse dans notre département est loin d'être digne d'une démocratie*, et les journalistes qui n'ont pas encore baissé les bras y sont de plus en plus malmenés.
Le Club de la presse de Guyane donne l'alerte sur « De graves atteintes aux droits des journalistes », et s'inquiète de « la précarisation du métier et de la marchandisation de l’information » : « Un constat alarmant en Guyane ! »
*A lire Médias et démocratie, sur Vie publique.
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