Dernier bilan connu du naufrage d'un boat-poeple venant du Brésil dans la nuit du 27 au 28 avril : 8 survivants et 5 corps retrouvés, alors que des témoignages de survivants (interrogés par Laurent Marot sur Radio Guyane) font état de 20 à 35 passagers, en majorité haïtiens, sur une embarcation surchargée. Ca ne vaut pas lourd la vie d'un pauvre type pour un passeur, mais l'honneur d'un pays civilisé consiste à rechercher les survivants pour les secourir. Et c'est ce que l'on fait en Guyane, pendant que d'autres cultivent sans complexe un panel inattendu de tribalisme à vocation parasitaire, bloquant les liaisons aériennes intérieures et perturbant les autres, et transformant l'automobiliste triomphant en porteur de bidon quémandant son obole dans les stations service désertées. Sauf de 9h à 16h. Au Medef, on arrive encore à s'étonner de cet état de fait, en lorgnant vers la préfecture. Et la puissance publique, ébranlée par l'interpellation de la fédération GNE, redécouvre en urgence les joies de la communication à l'issue de la 6ème réunion de concertation sur le pétrole en Guyane.
Discrètement, la petite deuxième de Vega s'éclipsera dans la nuit avec ses trois charges bien utiles, à mettre en place sur des orbites et des inclinaisons différentes, après que Ricky Tribord, de retour au pays, ait semé le trouble dans les coeurs et les commissariats.
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