« Il est plus facile de s'attaquer aux pauvres qu'à la pauvreté », disait Annie Pourre de l'association Droit Au Logement lors d'un entretien avec le préfet Ange Mancini en décembre 2005. Car s'il est une chose vraiment insupportable dans ce dossier des démolitions, où personne n'est totalement net ni totalement naïf, où les interférences politiques et administratives vont bon train, c'est qu'on puisse au final traiter les gens, disons-le tout net, comme des chiens, et les mettre à la rue sans plus s'en préoccuper. C'est strictement inacceptable ! Et même inconcevable sur le territoire français ! Et pourtant...
Dans le numéro 1164 de La Semaine Guyanaise qui sort jodla, Frédéric Farine fait le point sur plusieurs dossiers douloureux qu'il a étudiés de près : « Démolitions illégales à la pelle ».Sur le même sujet, sur
L'Investigateur :
Corse et Guyane : à chacun son préfet et sa justice