« Durant toute l'instruction du projet, les services de l'Etat en Guyane ont émis des avis défavorables : d'abord en 2005, sur la demande du permis de recherche ; puis en 2009, pour le permis d'exploitation. A chaque fois, Paris a passé outre », écrit Laurent Marot aujourd'hui dans Le Monde. (Et Paris a passé outre aussi l'avis des élus et de la population de Saül...) Selon le journaliste guyanais, « Le permis a aussi du mal à passer au ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie. "On a été mis devant le fait accompli, on l'a découvert au Journal officiel", indique au Monde l'entourage de Delphine Batho. [...] Le ministère du redressement productif n'a pas répondu aux sollicitations du Monde.»
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