La récente grève à la Chambre de commerce et d'industrie de la région Guyane aura été révélatrice d'un « système », qui fabrique avec efficacité des sociétés paralytiques, où la notion même de développement économique se décline en termes d'intérêts particuliers. Jean-Paul Le Pelletier a « la mine des mauvais jours » écrivait France-Guyane au lendemain de la signature du protocope l'accord de fin de conflit (pdf). On le comprend. En termes pourtant mesurés, le document énumère une invraisemblable liste de dysfonctionnements, dont la signature a dû être bien douloureuse. Et la leçon aura été sévère pour le petit despote, élu faute de mieux à la tête de la CCIG. Mais pour combien de personnes laissées sur le carreau, meurtries et découragées ? Le conflit qui s'éternise entre Jean-Paul Le Pelletier et Maryse Zulémaro-Gauthier (directrice générale de la CCIG) semble refléter à lui seul toutes les pratiques les plus détestables de l'exercice du pouvoir, où le machisme ordinaire vient compléter un tableau déjà bien chargé. Lire le courrier, intéressant à plus d'un titre, adressé par Maryse Zulémaro-Gauthier à Jean-Paul Le Pelletier le 4 juillet 2011.
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