« La déléguée régionale aux droits des femmes poussée vers la sortie », titre DomHebdo, en confirmant le prochain départ à la retraite de Line Monlouis-Déva, déjà annoncé par la dépêche AFP relayée sur Guyane première le 7 juillet. Du côté de la préfecture de Guyane, silence radio, puisque notre demande de confirmation du départ de Line Monlouis-Déva est restée sans suite jusqu'ici. Et pour cause, le bottin administratif de la préfecture de Guyane, récemment paru, mentionne encore son nom. Une injustice de plus ! Le ministère de la solidarité, dirigé par Roselyne Bachelot et sollicité pour prendre la décision finale, a dégagé en touche. Gageons même que LMD aura droit à un pot de départ vantant ses mérites et son action en faveur des femmes et de l'égalité. Le ridicule n'a jamais tué personne. Mais au nom infréquentable de Line Monlouis-Deva restera attaché le déshonneur, comme un poux accroché à la société, en attendant le résultat des procès en cours... Et le ministère de la solidarité qui couvre cette mascarade n'inspire que répugnance.
Et pour confirmer la vacuité des discours, les statistiques 2010 de l'INSEE qui viennent de paraître confirment en filigrane ces situations d'inégalité confiées à des irresponsables.
...Pendant que d'autres se battent sur des terrains fertiles, comme ces dix femmes issues de l'immigration qui racontent leur parcours dans un documentaire « Nos ancêtres les Gauloises » (RFI), et ce site internet entièrement dédié à la condition des femmes dans le monde, à découvrir sans faute : Terriennes.
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