Des petits salopards de Kourou, trop convaincus de leur impunité, agressent régulièrement les femmes. C'est presque l'ordinaire dans cette ville à l'abandon. Mais cette fois, le crime est si monstreux que nous ne le laisserons pas passer sans rien dire. Ils étaient deux, dans la nuit de samedi à dimanche dernier à attendre une femme qui rentrait chez elle à une heure du matin, raconte France-Guyane aujourd'hui. Armés d'un "coupe-coupe", ils ont cambriolé et violé cette femme qui aurait pu être leur mère ou même leur grand-mère. Et ça c'est un crime ! Doit-on, encore, fermer sa gueule ? Doit-on, encore, faire semblant de croire que tout est mis en oeuvre dans cette ville pour empêcher la jeunesse de déraper jusqu'à ne même plus respecter la personne humaine ? Nous savons tous qu'aucune volonté politique n'a jamais porté le moindre projet cohérent de la prévention de la délinquance à Kourou, que tout ce qui se fait bringuebale de partout, à la va comme je te pousse, sans souci du résultat, rien que pour faire semblant d'avoir l'air de... Alors, si par ces mots nous avons offensé les quelques personnes qui oeuvrent sans relâche pour le bien commun, ils comprendront simplement qu'ils ne sont pas seuls à dire : Assez !
Voir aussi, dans le courrier des lecteurs, le courrier d'un commerçant de Kourou, victime de cambriolages à répétition (sans parler des écoles, constamment saccagées) : Glam et Glamour.
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