Ville frontière où la population a triplé en vingt ans, Oyapoque est devenue la base arrière de tous les trafics. Les comptoirs d'or brésiliens y déclarent des tonnes d'or qui sont en réalité produites en Guyane, de l'avis même des douaniers français. : Un reportage de Laurent Marot sur le site du Monde : Oiapoque, base arrière de l'orpaillage illégal en Guyane.
(Et si dans cet article un gérant de magasin déplore la baisse d'activité d'orpaillage à Oyapoque, c'est plus vraisemblablement parce que la principale voie d'approvisionnement des sites d'orpaillage clandestin en Guyane s'est désormais déplacée via le Surinam - qui fournit déjà tout le Haut-Maroni - selon l'Association Solidarité Guyane.)
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