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Jodla 25/07/08
Le comble de l'orpailleur dans la Semaine Guyanaise

Ca pourrait figurer dans un recueil d'histoires (presque) drôles, mais c'est dans la Semaine guyanaise qu'on le trouve, sur les traces de Frédéric Farine qui a pisté dans la forêt les centaines de garimperos qui orpaillent clandestinement aux environs de Saül, dans ce qu'il est convenu d'appeler le Parc Amazonien de Guyane, haut lieu de protection de la biodiversité, comme chacun sait... Le comble de l'orpailleur donc : sur un site d'orpaillage, une clandestine questionne un entrepreneur qui a demandé deux AEX sur la zone : “Vous avez les papiers qui vous autorisent à venir exploiter ici ?”
A lire sans faute : « Voyage au royaume des orpailleurs clandestins », par Frédéric Farine.

La chronique d'André Paradis : Important la culture... et ce grand félin, en pleine forme, y va tantôt avec les griffes, tantôt avec les coussinets, explorant le territoire de la culture pour y trouver RFO à une extrémité et Krakémantò à l'autre. Le sang coule un peu, mais quand on est au front, c'est bien normal. La culture, dit Wikipédia, « se constitue en manières distinctes d'être, d'agir et de communiquer ». On y est !

Krakémantò justement, auquel André Paradis rend hommage à travers Franck Compper, tente de lancer à Kamalakuli (Saint-Laurent du Maroni pour les intimes) la formule du Bookcrossing ou Passe-livre, sous l'appellation « Waka liv » : Il s'agit de faire circuler des livres en les libérant dans la nature à divers endroits de la ville pour qu'ils puissent être retrouvés et lus par d'autres personnes, qui les relâcheront à leur tour. En savoir + sur le site de Krakémantò.