A en croire les propos récemment tenus par le président Luis Inacio Lula da Silva, nul doute que c'est le Brésil ! On se souviendra que le président Chirac, rendant visite à Lula en mai 2006, au lendemain même de l'assassinat de Capi et Domingo, n'avait pas eu un mot pour la forêt guyanaise envahie par les orpailleurs clandestins (jodla du 14/06/06). Une situation qui pourrait encore se reproduire, et bien au-delà, à l'occasion de la rencontre Lula-Sarkozy à Saint-Georges de l'Oyapock annoncée pour les 11 et 12 février.
Spécialiste du Brésil, et attentif à ce qui se passe chez notre grand voisin, Gérard Police nous rappelle que la Guyane aurait bien tort de se prendre pour David devant le géant Brésil : Anti-discours sur la coopération régionale Brésil-Guyane.
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