Après les légionnaires, c'est au tour des dealers de péter un plomb à Kourou, et pour les mêmes raisons : les braquages. Selon un article de France-Guyane d'aujourd'hui, les dealers du village Saramaka seraient venus se plaindre auprès des chefs coutumiers : Plus moyen de dealer tranquille ! Et les habitants du village ne sont pas épargnés : « On a même construit un mur pour protéger nos enfants des fusillades », dit une dame qui se voit obligée de côtoyer la bande de malfaiteurs, une bande d'une vingtaine de jeunes de 14 à 25 ans, selon les chefs coutumiers qui ont appelé les pouvoirs publics à l'aide. Vaguement épargnés jusqu'à présent par les malfaiteurs qui passaient mieux inaperçus dans cet endroit où on n'aime pas trop l'uniforme, les habitants du village saramaka, même les plus pauvres, paient désormais au prix fort l'état de non-droit qui s'est installé. A coup sûr, des pansements seront proposés.
A lire dans France-Guyane aujourd'hui : Les habitants du village saramaka excédés par la délinquance (page 4). Voir aussi en page 2 : Opération coup de poing au village brésilien de Kourou.
A propos, Mam arrive le 28 pour tout remettre en ordre...
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