A l’approche de l’hiver, les murs de nos villes et les pages de nos journaux, magazines et autres périodiques favoris fleurissent d’annonces alléchantes pour des voyages exotiques sous des latitudes tropicales, voire équatoriales. C’est la période choisie par le Comité du Tourisme de la Guyane pour réactiver sa campagne d’annonces vantant les mérites d’une nature sauvage, amazonienne, propice à des aventures originales, épiques et exaltantes. Les fleuves sont alors les voies d’accès à un dépaysement assuré, tant attendu par les écotouristes las des chemins classiques, jalonnés, d’autres destinations des Caraïbes, certes beaucoup plus aseptisées. La Guyane, c’est l’Amérique du Sud, et c’est là que le bât blesse. Les pirates de l’Amazonie sont à l’œuvre et ne sont pas ceux que l’on croit. Les affiches et encarts publicitaires titrent ainsi "J’ai réussi à remonter un fleuve à mains nues ", " Je n’ai séjourné que dans des hôtels couverts d’étoiles ". On pourrait même y ajouter " J’ai survécu aux orpailleurs clandestins " ou " Je n’ai pas été empoisonné par le mercure ". Mais qu’importe puisque, une fois rentré en Métropole, personne ne sera sensible à vos récits aventureux ! Et pourtant il y aurait de quoi.
Selon un rapport du comité Néerlandais de l’IUCN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) sur l’écotourisme dans le plateau des Guyanes (Guyana, Suriname et Guyane) une des contraintes au développement des activités touristiques dans ces régions reculées, souvent très difficiles d’accès, est le nombre d’heures de voyage pour rejoindre tout lieu de villégiature un tant soit peu sauvage. Les modes de déplacement sont en effet multiples et il faut souvent emprunter successivement une voiture tout-terrain 4 x 4, un avion ou une pirogue. Au total, trois heures de transport seraient la limite supportable par le touriste moyen fraîchement débarqué de Métropole. En Guyane, compte tenu de l’inexistence des routes vers l’intérieur, de la pauvreté et de l’irrégularité des moyens aéroportés, et finalement des distances à parcourir sur les fleuves pour retrouver une nature " sauvage ", le tout combiné avec un territoire extrêmement étendu et des coûts de transport qui défient toute concurrence, le nombre de destinations aventureuses reste limité en Guyane. Parmi celles-ci le fleuve Approuague. A moindre frais et en un temps record, c’est-à-dire entre 3 et 4 heures de transport au total, en voiture depuis Cayenne tout d’abord, puis en pirogue depuis Régina, le fleuve Approuague est un de ces sites uniques en Guyane offrant un accès facile à une flore et une faune exotiques, parmi les plus riches de la région, et du monde. Cette diversité biologique est en nombreux points identique à celle que l’on pourrait admirer en Amazonie brésilienne. Ce même fleuve était encore il y a peu de temps un havre de paix et un site privilégié pour tous les amoureux de nature, écotouristes amateurs ou éclairés, scientifiques, comme pour les amateurs de pêche au gros en eau saumâtre et en eau douce. Le site internet d’un «tour operator» le dénomme notamment comme « une douce aventure dans le purgatoire Amazonien».
Aujourd’hui, c’est dans des eaux plutôt troubles, au sens propre comme au figuré, qu’il faut naviguer pour pouvoir vivre en forêt, y pêcher, puis se reposer sous la voûte étoilée après avoir passé plusieurs heures de réelles aventures à tirer la pirogue ou la coque alu dans les nombreux rapides de ce long couloir de verdure. Avec ses 270 km qui s’étalent jusqu’au coeur de la Guyane, aux environs de Saül, l’Approuague était très réputé pour sa forêt «vierge», notion très relative vu son histoire récente. Contrairement à d’autres grands fleuves de Guyane comme le Maroni et l’Oyapock, respectivement aux frontières du Suriname et du Brésil, et d’autres plus accessibles par la route comme le Sinnamary et la Mana, l’Approuague a été pendant plusieurs siècles un fleuve non habité.
Jusque vers la fin des années 1970, l’Approuague était encore sauvage et était resté peu visité par les chasseurs et les touristes ; seuls quelques habitants de Régina y trouvaient, alors à profusion, poissons et gibiers. Avant l’ouverture de la Route Nationale 2, l’Approuague était donc relativement ignoré des écotouristes car beaucoup trop enclavé et, hormis une liaison aérienne épisodique d’Air Guyane entre Cayenne et Régina, restait peu accessible depuis Cayenne, le tourisme lambda se limitant à la frange du littoral. Il faut remonter à quelque deux siècles auparavant pour y trouver les villages permanents des Amérindiens Noraks qui avaient colonisé toute la région entre l’Oyapock et la haute Comté. Ils s’étaient notamment installés sur le site de l’actuelle station de recherche du CNRS au cœur de la Réserve naturelle des Nouragues (décret n°95-1299 du 18 décembre 1995). La présence passée des Amérindiens Norak est encore attestée par de nombreux polissoirs sur les roches granitiques des criques vers l’intérieur, dans des zones très éloignées du fleuve. Entre la présence des Amérindiens du XVIIème siècle et celles des scientifiques de la fin du XXème siècle, l’Arataye et l’Approuague connaîtront une période de forte activité industrielle avec le développement de l’orpaillage sur le fleuve. Une véritable ruée vers l’or, comparable à celle qu’a connue la Californie, va fortement transformer la forêt pendant plus d’un siècle. C’est en juillet 1855 qu’un Amérindien d’origine brésilienne, Paoline, découvrit une quantité importante d’or dans la région de l’Approuague, et sur l’Arataye en particulier. Dans la foulée, Félix Couy, commissaire commandant le Quartier de l’Approuague depuis 1837, obtint immédiatement un permis d’exploration sur le Placer «Impératrice Eugénie». La fièvre de l’or, les jalousies et les conflits armés causeront sa mort par assassinat le 19 décembre 1871. Pendant près de 80 ans, l’Approuague et l’Arataye seront l’objet de nombreuses convoitises, l’orpaillage intensif dans toute la région étant à l’origine du développement de l’Est de la Guyane qui verra la création des villages de Guisanbourg à proximité du Marais de Kaw, une autre Réserve Naturelle, puis de Régina plus à l’intérieur des terres le long du fleuve Approuague. Ces deux villages seront les points de ravitaillement obligés des aventuriers orpailleurs arrivant par la mer ; c’est toujours vrai aujourd’hui.
Avec la crise de 1930 puis la seconde guerre mondiale, cette activité aurifère déclinera jusqu’aux années 1950, et seulement quelques aventuriers modernes tenteront leur chance au début des années 1980 en orpaillant depuis des barges et en explorant le fond du fleuve au niveau du placer Pierrette et de l’embouchure de l’Arataye. C’est à ce moment que l’accès au fleuve est rendu plus facile depuis l’ouverture de la RN2 mettant Régina à moins de 3-4 heures de Cayenne, le trajet d’une centaine de kilomètres s’effectuant, pour l’essentiel, sur une piste latéritique. C’est encore une aventure que de se rendre en commune, à Régina, puis de remonter le fleuve pendant une à deux journées pour rejoindre la station du Muséum au Saut Pararé. De toute cette période dorée, il nous reste quelques témoignages comme les noms évocateurs des innombrables placers sur les cartes IGN. Impératrice, Bita, Pierrette, Arataï, Gravier, des plantations de citronniers perdues en forêt, des habitations en décrépitude comme à Pierrette, des zones à bambous sur les rives des fleuves, sont les témoins des anciennes parcelles déforestées. On y trouve des bouteilles de rhum et des vieux manguiers rabougris, toujours vivants mais recouverts par la végétation comme à «Degrad bouteille» site du COPAS et de la nouvelle station de recherche du CNRS sur l’Arataye. La forêt garde aussi en mémoire les stigmates de cette activité aurifère passée. Un grand figuier étrangleur, témoin d’un déboisement à ciel ouvert, pousse ainsi sur un ancien chemin à mules qui permettait de franchir par voie de terre le dédale du Saut Pararé, et d’aller prospecter la crique Ballenfois, une autre zone d’orpaillage actuellement au cœur de la Réserve naturelle des Nouragues également sujette à de grandes convoitises de la part des orpailleurs clandestins du XXIème siècle. La végétation a aujourd’hui recolonisé tous ces terrains défrichés, grâce en particulier à l’activité des animaux frugivores disséminateurs de graines. Mise en jachère depuis plusieurs décennies après la fin de l’orpaillage dans la région, la forêt et sa faune ne semblent pas avoir souffert de cette présence humaine quasi-permanente pendant plusieurs siècles. C’est là une des raisons principales qui avait conduit une équipe de zoologistes du Muséum national d’Histoire naturelle à y implanter vers la fin des années 1970 une station de recherche au lieu dit du Saut Pararé, sur l’Arataye, dans une zone très reculée, et donc normalement protégée de toute perturbation anthropique car située, à l’époque, à plus de deux jours de voyage de Cayenne. Un de nos collègues, le Professeur Jean-Pierre Gasc, quelques années auparavant, avait redécouvert l’inselberg aujourd’hui nommé " Nouragues " en l’honneur des habitants de cette région d’il y a deux siècles.
En mars 1986, une nouvelle expédition de chercheurs conduite par J.-P. Gasc retournera sur les traces des Amérindiens Norak. Et de fil en aiguille, après la construction des carbets fin 1986, le début des recherches sur l’écosystème guyanais en février 1987, le classement de la zone en réserve naturelle, et l’internationalisation du site dans les années 1990 ( www.cnrs.fr/nouragues ), cette forêt est devenue au fil du temps une station de renom pour la connaissance du fonctionnement de la forêt tropicale amazonienne (Bongers et al., 2001). En quelque sorte, paradoxalement, l’histoire de ce site de recherche rappelle étrangement celle de la Station de Saint Eugène du Muséum située en amont du barrage de Petit Saut sur la rivière Courcibo (Forget, 2002a in Forget, 2002b). La station du Muséum et plus tard celle du CNRS, et la réserve naturelle des Nouragues dans son ensemble, ont en effet pris place à l’endroit précis du lieu de découverte de l’or en Guyane, et des anciennes zones d’orpaillage, donc des sites d’autant plus propices à de nouvelles prospections aurifères. En cette fin d’année 2003, les hurlements des singes alouattes et des singes araignées sont progressivement supplantés par le bruit des pompes des orpailleurs clandestins, brésiliens pour la plupart, qui encerclent aujourd’hui la réserve naturelle, d’Ouest en Est et au Sud, voire même y pénètrent au vu et au su de tous, et polluent allègrement les criques et les rivières. La forêt se vide aussi de sa faune car orpaillage rime souvent avec chasse. Toutes les alluvions remises en solution finissent leur parcours dans le fleuve Approuague, pour le grand malheur des poissons et des plantes d’eau, et, en bout de chaîne alimentaire, des Hommes qui peuplent aujourd’hui la rivière et se nourrissent de ces poissons. Depuis 2001, nombre de témoins oculaires rapportent la présence de ces orpailleurs dans et à proximité de la réserve naturelle, et les dangers qu’ils font courir à l’environnement notamment par l’usage du mercure sans retorte. En dépit de quelques expéditions commandos de gendarmes restées bredouilles, faute de pouvoir intervenir en temps et en lieu, le dilemme persiste, voire empire de jour en jour. C’est d’autant plus dommageable que cette réserve est gérée par l’Association Arataye et abrite un camp d’écotourisme situé à l’emplacement de l’ancien village d’orpailleurs Arataye, à quelques minutes de l’embouchure de la rivière. L’eau de la rivière qui alimente le camp n’est plus du tout au-dessus de tout soupçon. Il suffit de franchir l’embouchure de l’Arataye au niveau de l’Approuague pour constater « l’incroyable mais vrai » ; les eaux ont perdu leur couleur d’antan. Il faudrait être bien imprudent pour continuer à consommer des aïmaras sortis de cette eau de couleur devenue ocre, notamment au sortir de la crique Ipoussing juste en amont des sauts - à quelques minutes de canoë des camps touristiques du Saut Athanase - vraisemblablement fortement chargée en mercure comme la plupart des rivières et des fleuves de Guyane aujourd’hui. Si l’orpaillage est certes une activité traditionnelle, cet orpaillage là s’effectue à coup de pelleteuse et de bulldozer pour décaper les berges des fleuves et des rivières, et n’a plus rien à voir avec l’orpaillage à la batée comme le pratiquaient les orpailleurs traditionnels du temps de Félix Couy, il y cent ans.
Il ne peut y avoir de développement durable, encore moins d’écotourisme durable dans de telles conditions environnementales. Les touristes qui visitent le camp de Jungle Lodge à Saut Athanase - dont on peut admirer un des carbets d’accueil sur les publicités de nos journaux, à moins de deux heures de pirogue de Régina - ne se doutent pas de ce qui se déroule en amont, à une ou deux heures de là. La couleur de l’eau qui passe devant leur carbet devrait pourtant les alerter. Mais, on s’habitue à tout, et il faut être un ancien utilisateur du fleuve pour voir les changements qui se sont opérés sur le fleuve depuis deux décennies. Je suis de ceux-là, et je témoigne aujourd’hui.
Depuis juillet 1984, j’ai vu la rivière changer et évoluer. Pendant les années 1980, le fleuve était un lieu d’orpaillage alluvial, tout à fait officiel, où l’or était récolté à l’aide de barges et de pompes suceuses dans le lit des fleuves et des rivières. Dans les années 1990, c’est devenu un lieu de tourisme grâce à la route goudronnée qui a favorisé le développement d’un écotourisme d’aventure à moins de 3-4 heures de Cayenne. Enfin, au cours des trois dernières années, s’y est ajouté une nouvelle activité d’orpaillage alluviale des berges des fleuves et des criques proches, fortement polluante, et dans la plus parfaite illégalité cette fois-ci. Difficile de consommer des poissons en aval dans ces conditions. Et pourtant, nombre de tour opérator continuent de vanter la nature sauvage, les excursions en pirogue, les baignades, la pêche, et comble de l’écotourisme guyanais, des expéditions sur les traces des orpailleurs, voire même une initiation à l’orpaillage traditionnel à la batée ! Quelques écotouristes amateurs et chevronnés, friands de pêche à l’aïmara et de sensations fortes pourront pousser leur excursion plus haut vers le fleuve, au-delà de Saut Athanase et de l’embouchure de la rivière Arataye, et puis franchir les nombreux rapides périlleux comme les sauts grand Machicou et grand Canori avec ses 19 mètres de dénivellé. Ils ne seront pas déçus du voyage. Ils devront alors s’accommoder des innombrables orpailleurs clandestins et des barges qui s’étalent le long du fleuve. S’ils ne sont pas directement rackettés, et s’ils en réchappent, ils pourront dignement s’exclamer à leur retour, comme il était indiqué sur les t-shirts auparavant vendus dans les supermarchés de Cayenne il y a quelques années : «J’ai survécu à l’enfer vert». Rares sont en effet ceux qui s’aventurent si haut sur les fleuves, à plus d’une journée de pirogue. La SEPANGUY titre sur son site internet «L’Or-Pillage en Guyane» et s’inquiète d’une économie touristique fort compromise en Guyane. Diverses associations s’alarment en ces termes «Guyane : de l’or …ou en avenir ?». Le comité régional de Guyane de Canoë Kayak et de la pirogue informe le Premier Ministre de la dégradation des conditions sanitaires de l’environnement et de la pollution des fleuves de Guyane française, et du fleuve Approuague en particulier. Mais qui les croira outre-atlantique ?
Cet Eldorado de verdure, un des écosystèmes les plus riches de la planète, abrite des faunes aquatiques et terrestres, et des flores uniques, sujets de nombreuses recherches scientifiques du Museum, du CNRS, de l’INRA, de l’IRD, et d’autres institutions internationales comme le New York Botanical Garden. Le fleuve Approuague et son affluent l’Arataye sont de véritables joyaux pour les yeux et pour la recherche française et internationale en Amazonie ; ils sont aujourd’hui mis en danger par un développement anarchique et incontrôlé de l’orpaillage, non durable, non traditionnel, à quelques brasses de Saül, aux portes du futur Parc National de Guyane. Oui, il va falloir faire un choix rapide entre l’or vert et l’or jaune, comme avait déjà titré un journal (1) il y a quelque temps. En octobre 2002, j’ai remonté l’Approuague et notre pirogue avait été contrôlée par l’armée française à hauteur du Saut Mappaou. Peut-être était-ce là une réponse à mes propres allégations de pollution du fleuve par une activité clandestine d’orpaillage en amont de l’embouchure de l’Arataye, annoncées sur internet à l’époque mais peu relayées par la presse, et démenties alors par les autorités militaires faute d’avoir enquêté au bon endroit, et au bon moment.
En septembre 2003, une ènième opération Anaconda n’a visiblement pas changé grand chose. Moins d’une semaine plus tard, début octobre, j’ai pu constater que le ballet incessant d’une armada de pirogues, lourdement chargées de personnes, dont femmes et enfants, d’essence et de matériel, et de coques alu entre les placers le long du fleuve Approuague, entre Régina et l’Arataye, avait repris de plus belle. Cela laisse un goût amer et on ne peut qu’être très perplexe quant à la réelle efficacité de ces opérations fortement médiatiques, et onéreuses pour le contribuable. La Guyane aurait mieux à faire de ces sommes colossales dans les écoles, les transports, les hôpitaux, le retraitement des ordures et des eaux usées, par exemple. Pauvres Gendarmes et Garde Forestiers de la Brigade Nature, véritables sisyphes de la lutte contre l’orpaillage clandestin en Guyane sur le fleuve Approuague, comme ailleurs. C’est sans compter sans les vols innombrables des pirogues et des moteurs sur les fleuves, et du stock de carburants de l’EDF à Régina, et les multiples autres exactions physiques dont personne n’entend parler mais qui sont bien réelles. Aujourd’hui, tout le monde se plaint de ces nuisances et de cette activité illégale d’orpaillage aux conséquences désastreuses pour la nature et les Hommes, et qui ne semble pas être contrôlable même si tout le monde est au courant.
Mais le problème en Guyane est que, quoi que vous disiez, personne ne vous croira !
© Pierre-Michel Forget, MNHN, décembre 2003
Littérature citée :
Bongers, F., Charles-Dominique, P., Forget, P.-M. and Théry, M. (2001). Nouragues: dynamics and plant-animal interactions in a neotropical rainforest. In Biological Monographs Series, Werger, P.D.M. (ed). Kluwer Academic Publisher: Dordrecht, The Netherlands.
Forget, P.M. (2002a) Explorations scientifique et aurifère : le paradoxe de Saint-Eugène, Guyane française. Revue d’Ecologie (La Terre et la Vie), 13-20.
Forget, P.-M. (2002b). Fragmentation de la forêt tropicale humide: le barrage de Petit-Saut, rivière Sinnamary, Guyane française. Revue d’Ecologie (La Terre et la Vie). pp. 199.
Note de l’éditeur :
1. Le Monde diplomatique, février 2001 : Or « sang » contre or vert en Guyane française
Voir aussi en ligne :
- Lettre de Hubert Reeves à Roseline Bachelot, en date du 3 décembre 2003.
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