Traitement, stockage et revalorisation des déchets :
L’Etat et l’ADEME signent un plan d’urgence pour la vallée du Maroni
Par un arrêt du 29 mars 2007, la Cour de justice des Communautés européennes (CJCE) a condamné la France en raison de l’existence, sur son territoire, de nombreuses décharges non autorisées. Dans une telle situation, la France serait tenue de payer une lourde amende à la Commission européenne assortie d'astreintes journalières jusqu'à la date de fermeture définitive des derniers sites non autorisés situés en Guadeloupe et Guyane.
Dans notre département, il reste 6 décharges non autorisées en service, dont 4 le long du fleuve Maroni. Étant donné que la mise en conformité selon l’arrêté ministériel du 09 septembre 1997 modifié ne peut pas se faire dans les temps impartis par la Commission, le MEEDDEM a apporté des solutions alternatives de mise en œuvre rapide.
Le préfet de la région Guyane a par conséquent demandé que soit élaboré un PLAN D’URGENCE sur la vallée du Maroni dont les besoins financiers ont été estimés entre 11,4 et 12,2M€. Ce montant passe à environ 12,2 M€ si une 5ème déchèterie (avec compostage) s'avère nécessaire.
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