bonjour,
une petite image d'une rencontre sur le mahury pour changer de la morosité ambiante
c'est un mirmidon, ou fourmilier nain ou lèche-main
taille 30cm tout compris
c'est un animal difficile a rencontrer car nocturne
adessias galinettes

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

La Guyane, personne ne vous croira !
Grenouille photographiée dans un nid d'oiseau dans mon jardin ! 

Excellent!
Question subsidiare: y-a-t-il des oeufs? :-))

Oui ! J'y ai mis des oeufs de Pâques, et j'espère avoir des cloches prochainement !

Et maintenant on viendra me dire que la nature n'a pas subi un profond changement depuis quelques temps !!!!!

Réponse à Koro
Langue au chat pour l'orchidée, je l'ai déjà vue c'est sur !
Je vous envoi un petit coin magnifique , connaissez vous cet endroit ?
Et pour ce nid , il est très demandé , il y a cinq jours les derniers locataires sont partie .
Deux jours après j'avais une nouvelle locataire ! normal Montjoly est très demandé !

jolie Phalaenopsis sans doute hybride, origine Asie.

Réponse à Koro
Langue au chat pour l'orchidée, je l'ai déjà vue c'est sur !
Je vous envoi un petit coin magnifique , connaissez vous cet endroit ?
Et pour ce nid , il est très demandé , il y a cinq jours les derniers locataires sont partie .
Deux jours après j'avais une nouvelle locataire ! normal Montjoly est très demandé !

Et la petite rouge a côté quel est son nom ?

"Je vous envoi un petit coin magnifique , connaissez vous cet endroit ?"
ça ne serait pas le jardin-pépinière au bout de la piste Quesnel en direction de Montsinnery après le zoo ?

Et la petite rouge a côté quel est son nom ?

Moi, aussi, je veux jouer à : "Bataille d'orchidées". Tu connais déjà la "garce" celle qui a mis 5 ans à fleurir, une fois qu'elle a été exilée au milieu du jardin. Je la snobe ouvertement même si depuis son installation comme star du jardin, elle me fait des hampes de plus touffues. Ma préférence va toujours pour celles qui rivalisent en merveilles de gracilité et dans le soin de chaque détail . Je me transforme alors en chatte curieuse, en dehors des soins que je leur prodigue, je reste à les observer de longues minutes en les caressant des yeux, les remerciant de m'offrir leur si belle compagnie et celle de tout le petit monde animal qui vit autour d'elles.
Attention, d'autres stars se sont glissées dans ce post

Moi, aussi, je veux jouer à : "Bataille d'orchidées". Tu connais déjà la "garce" celle qui a mis 5 ans à fleurir, une fois qu'elle a été exilée au milieu du jardin. Je la snobe ouvertement même si depuis son installation comme star du jardin, elle me fait des hampes de plus touffues. Ma préférence va toujours pour celles qui rivalisent en merveilles de gracilité et dans le soin de chaque détail . Je me transforme alors en chatte curieuse, en dehors des soins que je leur prodigue, je reste à les observer de longues minutes en les caressant des yeux, les remerciant de m'offrir leur si belle compagnie et celle de tout le petit monde animal qui vit autour d'elles.
Attention, d'autres stars se sont glissées dans ce post

Ma loupe a un problème de vue: c'est quoi la toute tite chose tachetée au premier plan devant une dame poule ?

C'est un ch'ti poussin qui a échappé à mon collectionneur de ch'ti poussin de chat. En fait de dame poule ? tu parles de cette chaudasse de Carlita qui tend ses reins à CoÏtus Rapidus ?

Moi, aussi, je veux jouer à : "Bataille d'orchidées". Tu connais déjà la "garce" celle qui a mis 5 ans à fleurir, une fois qu'elle a été exilée au milieu du jardin. Je la snobe ouvertement même si depuis son installation comme star du jardin, elle me fait des hampes de plus touffues. Ma préférence va toujours pour celles qui rivalisent en merveilles de gracilité et dans le soin de chaque détail . Je me transforme alors en chatte curieuse, en dehors des soins que je leur prodigue, je reste à les observer de longues minutes en les caressant des yeux, les remerciant de m'offrir leur si belle compagnie et celle de tout le petit monde animal qui vit autour d'elles.
Attention, d'autres stars se sont glissées dans ce post

Elle aime le soleil tes orchidées jaune apparemment , 5 ans tu me dit pour fleurir !? tu ne la cajole pas assé . elle est magnifique surtout quand c'est la notre ont est tout fière , et les poupoules c'est a toi ou du voisin ? Je vais te présenter les mienne, des vandas .

Tes vandas toujours dans les mêmes tons ? Ces photos et le choix des coloris, c'est trop beau.
La basse-cour ? Elle appartient à des voisins. C'est de ce groupe qu'avait surgi dans mon jardin, la poule volante qui a beaucoup amusé mes chiens.
Ma panthère d'orchidées. Pour être honnête avec toi, quand on me l'a offert, elle avait une hampe en fleur et telle une amoureuse avouée des orchidées, de mon hamac, je passais de longs moments à en admirer les détails. Elle m'avait petit à petit menée à l'addiction de sa beauté insolente.
Comme une amante possessive, je la tenais jamais très loin de mon regard guettant le prochain déploiement de ses charmes.
Et là, plus rien.
Pendant 5 ans, à chaque période de floraison, j'étais le nez dans ses feuilles à chercher l'annonce d'un bourgeon.
Persuadée qu'elle n'aimait pas l'endroit où je l'avais exposé, je l'ai changé de place à plusieurs reprises, prés des roucous, à coté des hibiscus rouge sang, prés des roses thé, rien plus rien.
"Tiens, Marie promène son orchidée" qu'ils se marraient tous
En désespoir de cause et en l'injuriant ouvertement, je l'ai posé (abandonné ?) à coté des orchidées qui n'étaient pas aussi prudes qu'elle.
Toujours rien, en passant la débroussailleuse, j'ai déchiqueté son pot et résignée, j'ai écouté la colère qui grondait au fond de moi depuis 5 ans "CREVE S.......E"
La tenue léopard, une beauté insolente, j'étais tombée sur une adepte du SM.
PS : je pense surtout que je m'en suis trop occupée. Mes autres orchidées ne m'ont jamais fait un tel cinéma.

Les plantes sont étonnante des fois , je voit tout a fait le truc , je pense que la prochaine fois elle métras moins de temps a fleurir , ne lui fait surtout pas de sourire alors ! je te crois il y a des plantes qui n'aime pas être cajolé , j'ai un exemple flagrant chez les pervenches , j'ai toute les couleurs et j'ai plantais dans des pots , elles étai magnifique sauf une la saumon , toujours a faire la tête , un jour j'ai dépoté tout le monde dans un rond au milieux du jardin et je me suis dit , toi aussi tu y vas, temps pis pour ta tête! , je te laisse devine la suite .
Pour mes vandas , j'ai 7 couleurs différente , la jaune a fleuris il y a pas longtemps , le problèmes c'est que il ne faut pas laisser sur la pluies , j'ai fait l'erreur et la fleur est morte très vite , j'ai deux autres qui sont en fleur , justement celles des photos , cet fois ci je les est mises au sec .
Ce rose me met de bonne humeur dé le matin , il ne faut pas exité a mettre des couleurs choc sur les murs oublier , ça donne des vibration positive et ça chasse les chauves souris .

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

C’est la période où j’aime rester en forêt jusqu’à l’heure où le jour abandonne son royaume à la nuit. A cette l’heure où la lumière décline pour assister au ballet des lucioles, minuscules led qui pointillent les buissons dans leur danse amoureuse.
Elles rivalisent de lueur et donnent à la forêt l’aspect des forêts des contes, des forêts enchantées.
Les chiens comme à leur coutume truffent plusieurs mètres devant moi.
Eux et moi, nous n’avons pas les mêmes préoccupations. Leur impatience dénote de ma marche en apesanteur.
Les buissons bruissent sur ma gauche, à deux mètres et mon esprit comme à chaque fois, pense « cochon bois » et le réflexe habituel, me fait chercher des yeux le premier arbre de secours, à droite à 4 m.
Et mes yeux reviennent au buisson, d’où émergent au ralenti, cette trompe velue qui fait tomber toutes mes gardes, Derrière le museau, long si long cette tête, bonne tête de peluche grise en forme d’entonnoir qui précède un corps effilé et une queue impossible.
Un grand tamanoir se glisse sur le layon avec une lenteur surprenante vu la bête inconnue – moi - qui se dresse à portée de narine. Bien moins grand que celui de ma précédente rencontre, celui que mes chiens avaient débusqué.
Il m’a vu sur sa droite et sa tête se tourne vers moi, si je tendais mes doigts, je pourrais lui caresser le nez.
Il continue au ralenti, à s’approcher.
Et là, je pense à la Girafe, et au câlin de son tamanoir . Je ne me sens pas prête à accepter de tendres enlacements par un animal de ce format et mes deux gardes du corps auraient vite fait de lui apprendre les bonnes manières.
J’étais là à trier toutes les questions qui se bousculaient dans ma tête, quand du buisson dont il avait émergé, un petit cri accompagné par un autre bruissement de feuilles. « Si le grand mâle est là, je reprends l’option arbre à 4 m sur la droite ».
Mon tamanoir toujours en mode ralenti s’est retourné et a rejoint le fouillis de forêt d’où il était sorti.
J’en ai profité pour doucement reprendre mon chemin, juste au moment où mes Tic et Tac revenaient oreilles au vent.
Je les ai bloqué au collier et j’ai attendu, silencieuse, eux tout autant immobiles, leurs truffes tournées vers les buissons où « ça » s’agitait toujours.
L’avantage avec les chiens d’arrêt, c’est leur faculté à se mettre sur le mode pause et de se statufier au moment opportun.
Nous nous sommes rapprochés, la distance tenait au double mètre pas plus.
Nous n’avons pas eu à attendre longtemps, Elle est ressortie de là où elle avait disparu, toujours aussi placide, sans signe extérieur d’inquiétude.
Elle tenait, juchée sur son dos, au bas des reins, un tout petit accroché par les griffes dans la toison épaisse implantée à cet endroit
Nous n’étions plus dans le vent. Nous étions juste d’étranges formes plantées là sur le chemin. Statufiés par le sort d’une ensorceleuse et de son enfant.
Ils ont disparu lentement, très lentement dans les fourrés en face, et bientôt craquements de branches et bruissements divers se sont estompés.
J’ai maintenu les chiens au collier durant un moment pour étouffer leur velléité de poursuite en même temps que je baptisais, la mère et son petit : Carla et Giula.
Le bonheur se reconnait à ces instants qui prennent la forme d'une éternité et de la joie d'avoir été invitée à partager cette éternité.

Oui, bien vu le nouvel agenda!
Oh mais, je vais pas copier-coller ton post quand meme!
Qui a vu un saki ici? (Pithecia pithecia) j'ai pris quek photos c'matin mais comme l'individu était à 35m, meme avec un télé... bof!

Salut à tous,
Pour tous les passionnés de nature: découvrez les abeilles mélipones, partagez vos expériences, développez votre méliponaire, et protégez ce patrimoine naturel de l'Amazonie. Rendez vous sur le groupe de discussion : AMABEILLES.
http://fr.groups.yahoo.com/group/Amabeilles
Remplaçons l'oiseau en cage par une abeille libre.

Salut à tous,
Pour tous les passionnés de nature: découvrez les abeilles mélipones, partagez vos expériences, développez votre méliponaire, et protégez ce patrimoine naturel de l'Amazonie. Rendez vous sur le groupe de discussion : AMABEILLES.
http://fr.groups.yahoo.com/group/Amabeilles
Remplaçons l'oiseau en cage par une abeille libre.

Merci beaucoup d'avoir attiré notre attention sur ces petites abeilles. Depuis, je les cherche... Pouvez-vous me dire si celles que j'ai photographiées aujourd'hui sur des fleurs de palmier sont des abeilles mélipones ? Merci.
D'autres liens pour ceux qui sont intéressés : élevage de Mélipones au Mexique, Beekeeping.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

Au retour de notre carbet, hier sur le Kourou, ce jaguar traversait le fleuve à une vitesse impressionnante.

bonjour,
normal ce devait être une jaguar
adessias galinettes
félicitations, pour n'avoir utilisé que l'appareil photo