Rorota et Vidal sont sous arrêtés de fermeture depuis.........2000 risque : chute d'arbres et glissement de terrain. Vu la configuration de Rorota, ce sont des risques qui ne seront jamais évacués à 100 % et risques inhérents à tous les sentiers de promenade de Guyane.
Alors vont-ils tous les fermer ? Ou des gens plus réfléchis vont-ils se montrer percutants en organisant des rondes de "prévention du risque" les lendemains de grands vents, quitte à fermer ces sentiers le temps de les relever ?
Remarque un arbre qui va tomber, prévient, si ta vue n'est pas alertée (y'en a tellement) ton oreille passe en alerte vitale et comme il entraîne des potes avec lui , tu as le temps de prendre tes jambes à ton cou et te barrer dans le sens inverse de la chute ou alors c'est que tu as des envies suicidaires . Le plus embêtant reste la branche qui chute plus vite, mais bon, élaguer les forêts ça frise le ridicule.
Combien de touristes ou promeneurs morts écrasés par des arbres ? Quelqu'un a des chiffres ? Aucun, c'est vrai que si tu fermes les sentiers touristiques, t'as rien à chiffrer.

Et bien aujourd'hui, j'y suis allé courir et contrôle des gendarmes qui nous ont dit que la prochaine fois c'est 90 euros pour le non respect de l'arrêté.

Je suis allée au Rorota dimanche dernier. J'ai effectivement vu la pancarte d'interdiction.
Comme les autres personnes présentes (je sais ce n'est pas une raison), je suis passée outre...
Le sentier a été remis en état (branches coupées mais également escalier refait, rampe...)
Je ne me suis jamais sentie autant en sécurité...
La protection des responsables j'imagine (et je comprends dans ce monde si procédurier).

Bonjour,
quelqu'un connait t'il la raison de la fermeture du Rorota? Peut on quand même y aller marcher et courir? merci

un dimanche apres midi à cayenne...
apres avoir dégusté le bouillon d'awara (c'est pas wara maintenant?) en famille, nous avons décidé de profiter de la fin d'aprés midi pour digérer et nous promener vers la pointe buzaré. quelle désastre! des voitures garées au plus pres du bord de mer et dans les allées avec bien sur la musique a fond pour que tout le monde s'amuse(ou pas). je pense que si les beaufs pouvaient se baigner avec leur vehicule,ils le feraient,c'est sur. et puis les dechets(canettes,gobelets,papiers et autres) qui jonchent la totalité du site(c'est vrai que les poubelles sont rares, mais quand meme, on est porc ou on ne l'est pas). d'ailleurs je serais curieux de savoir si les personnes qui se trouvaient sous le dernier carbet couvert tout au fond on pris leur deux gros sacs poubelles qui débordaient et ramassait tout les cadavres sur la table avant de partir. enfin bref, on continue notre ballade, les chaines brisées, la rue schoelcher(une autre voiture-sound-system avec une dame qui, entre deux déanchements de fessiers, gueule pour rappeller son gosse qui s'approche trop prés du bord de mer-de mangrove-), on passe par un passage derriere les maisons ou plutot une décharge(immonde) derriere les maisons avec un type bizarre dans un squat qu'on évite de regarder et puis on arrive aux amandiers. là c'est plus calme et propre mais on arrive quand meme à entendre le brouhaha des autos de la pointe buzaré.
alors on se dit que il ya du boulot, que c'est pas gagné et que si on veut attirer des touristes, et donner une belle image de notre pays,à commencer par la ville-capitale, il va falloir retrousser les manches,éduquer tout ce petit monde et que le courage vient à manquer rien que d'y penser
bon courage pour l'avenir!

QUI VA ARRÊTER LES BUS FANTÔMES à KOUROU????????
Amusez vous à compter le nombre de passagers, ce n'est pas difficile des bus il y en a partout et des passagers aucun!!!!QUI PAYE POUR CELA?
Ils polluent , les moteurs étant en marche même à l'arrêt pour faire marcher la clim? Ils rendent la circulation très compliquée (allez au marché un samedi) .
Alors on décide quoi?On les remet gratuits au moins ils serviront, on les rend disponibles pour les écoles .
ON FAIT QUOI? QUI FAIT QUOI?

Au fait ma fille aimerait conduire des bus aussi !!!! :)

Comment ça ? Il n'y a pas de bus à Kourou ? Et tous ceux qui circulent à vide alors ?? Laurent, tu déconnes !! Lol :)

Bonjour,
Le circuit pédestre du domaine Pascaud Félix Potin devient hebdomadaire et aura donc lieu tous les dimanches matin à 8 H 30 à compter du 20 Avril 2014
Le circuit fait environ 3, 5 Km pour une durée de 3 H 00 environ,
Il comprend la viste de la dernière ferme de cacao de Guyane (Félix Potin) , les vestiges de l'habitation Pascaud, découverte des plantes aromaiques et médicinales, une cacaoyère, les trois sites de roches gravées Palulu, Mahury et serpent Pascaud.
Discussion sur le cacao et le chocolat , dégustation de chocolat Walapulu.
La visite est payante, tarif : 7 € , comprenant la visite, une tablette de chocolat Walapulu, (2 € reversé à l'association rurale et agricole de Guyane), Gratuit pour les moins de 18 ans et les scolaires.
Résevations au 06.94.26.37.52
Limité à groupes de 20 adultes maximun
Possibilité de visites en semaine pour groupes de + de 10 personnes
Tenue promenade en forêt chaussures fermées
plus de détails sur http://yvordewalapulu.wordpress.com/
Adessias galinettes

Super! Le Tourisme Guyanais vise la clientèle haut de gamme... Ca fait peur! Des hôtels sous barbelés, des cars escortés par la gendarmerie... Et l'argument ultime... La population Guyanaise est la richesse du tourisme!!!! C’en est fini de l’enfer vert vive les Lodges démoustiqués, les serveurs en livrée blanches, les populations payées pour faire carnaval toute l’année. Fini les ordures le long des routes (ceux sur le circuit des Touristes) vive la pelouse au cordeau et les façades repeintes. Et des tonnes de fuel pour la clim d’hôtels de luxe. Un casino ? Des joailliers avenue De gaule ?
Et je suppose que l’on va encore subventionner ce projet voué à l’échec.
Et pendant la saison des pluies ?
La Guyane on l'aime comme elle est, même si elle pourait être mieux....

Comment ça ? Il n'y a pas de bus à Kourou ? Et tous ceux qui circulent à vide alors ?? Laurent, tu déconnes !! Lol :)

Comment ça ? Il n'y a pas de bus à Kourou ? Et tous ceux qui circulent à vide alors ?? Laurent, tu déconnes !! Lol :)

Si j'ai bien noté les horaires d'ouverture au public du nouveau centre Kalapa, pour visiter le site des gravures amérindiennes de la Carapa à Kourou, ce serait donc 8H à 17H en semaine, et fermé le week-end... Gageons que les personnes chargées d'animer cet endroit vont pouvoir se la couler douce et faire concurrence à celles qui "travaillent" à l'office de tourisme... Pour les touristes locaux ou non, circulez, y a rien à voir le week-end! J'espère que quelqu'un à la nouvelle gouvernance de la ville va réfléchir un peu à tout ça. Surtout qu'en semaine, même les scolaires ne pourront visiter le lieux puisqu'ils n'ont pas accès aux bus...

Voilà, c'est fini: le Carnaval 2014 est terminé!.. Si vous êtes nostalgiques des carnavals passés, je vous conseille vivement le site du Comité de Tourisme de la Guyane qui vous propose toujours actuellement le programme du Carnaval... 2013 ! Au fait, ce ne sont pas quelques 105 millions d'euro qui viennent d'être alloués au développement du tourisme en Guyane? Je ne sais pas quelle somme va aller au Comité de Tourisme mais ce sera toujours ça de trop, vu le travail fourni pour ne serait-ce que mettre son site à jour !!!

Voilà, c'est fini: le Carnaval 2014 est terminé!.. Si vous êtes nostalgiques des carnavals passés, je vous conseille vivement le site du Comité de Tourisme de la Guyane qui vous propose toujours actuellement le programme du Carnaval... 2013 ! Au fait, ce ne sont pas quelques 105 millions d'euro qui viennent d'être alloués au développement du tourisme en Guyane? Je ne sais pas quelle somme va aller au Comité de Tourisme mais ce sera toujours ça de trop, vu le travail fourni pour ne serait-ce que mettre son site à jour !!!

Le Comité du Tourisme de la Guyane investit un million d'euros dans une nouvelle campagne de communication :
http://www.tourmag.com/La-Guyane-veut-deux-fois-plus-de-touristes_a64265.html

Tata ti , tata ta. Beaucoup de beaux discours, peu d'actes.
Ma maxime :
Avant de vous diagnostiquer une dépression, ou de vous sous-estimer, assurez vous que vous n'êtes pas tout simplement entourés de connards.

Et donc? L'indolence légendaire des seuls individus locaux s'exprimant en créole?

À moins évidement qu'il ne s'agisse-là d'une critique collective dont la conextualisation linguistique ne serait que fortuite. N'est-ce pas justement quelque peu paresseux comme genre de cliché? Car quel intérrêt que de désigner ainsi une catégorie d'individus plutôt qu'une autre, en lui abandonnant ce faisant sans raisons, les rênes et la responsabilité du développement local, alors même que l'effort à fournir est censé être collectif et indépendant de toute assignation ethnique ou pseudo-ethnique?

Il faut convenir aussi qu'ils ont d'autres atouts en matière touristique...

J'ai vécu 11 années à La Réunion. Ils sont juste un plus ... dynamiques !! Et n'hésitent pas à faire bouger et évoluer leur pays. Ici, c'est "Mo la Mo la, tranquille" ... Forcément , tout s'explique.

J'ai vécu 11 années à La Réunion. Ils sont juste un plus ... dynamiques !! Et n'hésitent pas à faire bouger et évoluer leur pays. Ici, c'est "Mo la Mo la, tranquille" ... Forcément , tout s'explique.

Faut demander à Cilaos à la Réunion comment ils font, il y a plus de 400 000 touristes par an...

Le Comité du Tourisme de la Guyane investit un million d'euros dans une nouvelle campagne de communication :
http://www.tourmag.com/La-Guyane-veut-deux-fois-plus-de-touristes_a64265.html

Ouverture prochaine d’une nouvelle ligne de bus à Kourou.

De sources proches des Services Techniques Municipaux, on apprend l’ouverture imminente d’une ligne à vocation touristique et culturelle reliant le Marché aux Poissons à la déchetterie de Pariacabo.

Ambition de la Municipalité : offrir à ses administrés mais également aux visiteurs contraints de séjourner quelques heures ou quelques jours à Kourou la possibilité de découvrir les trésors architecturaux et urbanistiques de la Cité Spatiale.

- Départ à proximité du pittoresque port de pêche des Balourous.

Les épaves de voiliers engluées dans la vase se mêlant aux tapouilles et aux carcasses de réfrigérateurs échouées dans les palétuviers constituent un tableau délicieux propre à ravir les esthètes les plus exigeants…

Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

Durant cette première partie du trajet on portera également une attention particulière à un étonnant dépôt de véhicules hors d’usage situé rue Duchesne face à l’ancien lycée technique. Des dizaines d’épaves entassées sur plusieurs couches superposées permettent de contempler en un seul regard trente ans d’histoire de l’automobile.

- Une rapide incursion dans le village Saramaca. Quel dépaysement, on pourrait se croire à Bangui ou dans un faubourg de Lagos.

N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

Le parcours devient un peu plus sportif, mais n’est ce pas normal ? En effet nous roulons maintenant sur une voie antique dont on devine par endroit les traces du revêtement bitumineux d’origine… Mon Dieu quelle émotion !!!

- Déjà nous approchons du terme de notre Odyssée.

La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

L’envol des urubus au coucher du soleil lorsque de lourdes fumées saturées en hydrazine  s’élèvent au dessus de la décharge municipale, croyez moi c’est comme la Baie de Naples : un truc qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie !

Alors chers amis à bientôt sur nos lignes ?

Ouverture prochaine d’une nouvelle ligne de bus à Kourou.

De sources proches des Services Techniques Municipaux, on apprend l’ouverture imminente d’une ligne à vocation touristique et culturelle reliant le Marché aux Poissons à la déchetterie de Pariacabo.

Ambition de la Municipalité : offrir à ses administrés mais également aux visiteurs contraints de séjourner quelques heures ou quelques jours à Kourou la possibilité de découvrir les trésors architecturaux et urbanistiques de la Cité Spatiale.

- Départ à proximité du pittoresque port de pêche des Balourous.

Les épaves de voiliers engluées dans la vase se mêlant aux tapouilles et aux carcasses de réfrigérateurs échouées dans les palétuviers constituent un tableau délicieux propre à ravir les esthètes les plus exigeants…

Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

Durant cette première partie du trajet on portera également une attention particulière à un étonnant dépôt de véhicules hors d’usage situé rue Duchesne face à l’ancien lycée technique. Des dizaines d’épaves entassées sur plusieurs couches superposées permettent de contempler en un seul regard trente ans d’histoire de l’automobile.

- Une rapide incursion dans le village Saramaca. Quel dépaysement, on pourrait se croire à Bangui ou dans un faubourg de Lagos.

N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

Le parcours devient un peu plus sportif, mais n’est ce pas normal ? En effet nous roulons maintenant sur une voie antique dont on devine par endroit les traces du revêtement bitumineux d’origine… Mon Dieu quelle émotion !!!

- Déjà nous approchons du terme de notre Odyssée.

La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

L’envol des urubus au coucher du soleil lorsque de lourdes fumées saturées en hydrazine  s’élèvent au dessus de la décharge municipale, croyez moi c’est comme la Baie de Naples : un truc qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie !

Alors chers amis à bientôt sur nos lignes ?

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De sources proches des Services Techniques Municipaux, on apprend l’ouverture imminente d’une ligne à vocation touristique et culturelle reliant le Marché aux Poissons à la déchetterie de Pariacabo.

Ambition de la Municipalité : offrir à ses administrés mais également aux visiteurs contraints de séjourner quelques heures ou quelques jours à Kourou la possibilité de découvrir les trésors architecturaux et urbanistiques de la Cité Spatiale.

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Les épaves de voiliers engluées dans la vase se mêlant aux tapouilles et aux carcasses de réfrigérateurs échouées dans les palétuviers constituent un tableau délicieux propre à ravir les esthètes les plus exigeants…

Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

Durant cette première partie du trajet on portera également une attention particulière à un étonnant dépôt de véhicules hors d’usage situé rue Duchesne face à l’ancien lycée technique. Des dizaines d’épaves entassées sur plusieurs couches superposées permettent de contempler en un seul regard trente ans d’histoire de l’automobile.

- Une rapide incursion dans le village Saramaca. Quel dépaysement, on pourrait se croire à Bangui ou dans un faubourg de Lagos.

N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

Le parcours devient un peu plus sportif, mais n’est ce pas normal ? En effet nous roulons maintenant sur une voie antique dont on devine par endroit les traces du revêtement bitumineux d’origine… Mon Dieu quelle émotion !!!

- Déjà nous approchons du terme de notre Odyssée.

La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

L’envol des urubus au coucher du soleil lorsque de lourdes fumées saturées en hydrazine  s’élèvent au dessus de la décharge municipale, croyez moi c’est comme la Baie de Naples : un truc qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie !

Alors chers amis à bientôt sur nos lignes ?

Pourquoi ne pas filmer tout ça et balancer sur Youtube avec les bons tags! A une époque j'ai fait ça pour la route de Cacao! Vous liez avec Twitter et vous avez une vraie bombe entre les mains à faire péter au milieu des zélus!

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- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

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N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

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La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

L’envol des urubus au coucher du soleil lorsque de lourdes fumées saturées en hydrazine  s’élèvent au dessus de la décharge municipale, croyez moi c’est comme la Baie de Naples : un truc qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie !

Alors chers amis à bientôt sur nos lignes ?

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De sources proches des Services Techniques Municipaux, on apprend l’ouverture imminente d’une ligne à vocation touristique et culturelle reliant le Marché aux Poissons à la déchetterie de Pariacabo.

Ambition de la Municipalité : offrir à ses administrés mais également aux visiteurs contraints de séjourner quelques heures ou quelques jours à Kourou la possibilité de découvrir les trésors architecturaux et urbanistiques de la Cité Spatiale.

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Les épaves de voiliers engluées dans la vase se mêlant aux tapouilles et aux carcasses de réfrigérateurs échouées dans les palétuviers constituent un tableau délicieux propre à ravir les esthètes les plus exigeants…

Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

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- Une rapide incursion dans le village Saramaca. Quel dépaysement, on pourrait se croire à Bangui ou dans un faubourg de Lagos.

N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

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Kikiwi persifleur

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Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

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Durant cette première partie du trajet on portera également une attention particulière à un étonnant dépôt de véhicules hors d’usage situé rue Duchesne face à l’ancien lycée technique. Des dizaines d’épaves entassées sur plusieurs couches superposées permettent de contempler en un seul regard trente ans d’histoire de l’automobile.

- Une rapide incursion dans le village Saramaca. Quel dépaysement, on pourrait se croire à Bangui ou dans un faubourg de Lagos.

N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants. Ici un petit peuple amical et industrieux vous proposera indifféremment  des objets en bois sculpté, des I pads et autres smart phones dernière génération tombés du camion, des produits stupéfiants voire des services sexuels de qualité, le tout à des prix ridiculement bas.

- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

Le parcours devient un peu plus sportif, mais n’est ce pas normal ? En effet nous roulons maintenant sur une voie antique dont on devine par endroit les traces du revêtement bitumineux d’origine… Mon Dieu quelle émotion !!!

- Déjà nous approchons du terme de notre Odyssée.

La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

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Ambition de la Municipalité : offrir à ses administrés mais également aux visiteurs contraints de séjourner quelques heures ou quelques jours à Kourou la possibilité de découvrir les trésors architecturaux et urbanistiques de la Cité Spatiale.

- Départ à proximité du pittoresque port de pêche des Balourous.

Les épaves de voiliers engluées dans la vase se mêlant aux tapouilles et aux carcasses de réfrigérateurs échouées dans les palétuviers constituent un tableau délicieux propre à ravir les esthètes les plus exigeants…

Tout proche, le Palais du Squash, formidable arène sportive dont la construction entreprise au siècle dernier n’a jamais été achevée, dresse sa silhouette imposante.

- Dans la traversée du Bourg vous pourrez découvrir, se mêlant harmonieusement aux fragiles construction traditionnelles en bois tôles et carton, des bâtiments résolument contemporains aux lignes audacieuses (mentions spéciales aux n°  65 et  71 de l’avenue du Général de Gaulle).

Durant cette première partie du trajet on portera également une attention particulière à un étonnant dépôt de véhicules hors d’usage situé rue Duchesne face à l’ancien lycée technique. Des dizaines d’épaves entassées sur plusieurs couches superposées permettent de contempler en un seul regard trente ans d’histoire de l’automobile.

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- La traversée de la Plaine de Jeux constitue assurément un des points forts du périple !

A gauche, les ruines des thermes dans lesquelles quelques Kourouciens d’âge respectable assurent s’être baignés un jour,

A droite, les vestiges de plusieurs « jeux de paume »,

Plus loin, enfouies dans une végétation luxuriante, les traces à peine visibles du parcours pédestre du Lac Bois Chaudat et son réseau d’irrigation intégré sur la destination duquel les archéologues les plus éminents n’ont pas fini de s’interroger.

- Continuons notre voyage ! Déjà nous entrons dans la Zone d’Activités de Pariacabo.

Le parcours devient un peu plus sportif, mais n’est ce pas normal ? En effet nous roulons maintenant sur une voie antique dont on devine par endroit les traces du revêtement bitumineux d’origine… Mon Dieu quelle émotion !!!

- Déjà nous approchons du terme de notre Odyssée.

La dernière étape, lors de laquelle nous allons emprunter un court tronçon de route de montagne serpentant entre deux murs d’immondices avant de déboucher sur le site de la Déchetterie de Pariacabo, constitue bien évidemment le clou de la croisière.

Kikiwi persifleur

L’envol des urubus au coucher du soleil lorsque de lourdes fumées saturées en hydrazine  s’élèvent au dessus de la décharge municipale, croyez moi c’est comme la Baie de Naples : un truc qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie !

Alors chers amis à bientôt sur nos lignes ?

c'est vraiment à se demander ce qui vous fait rester en Guyane .... consternant

Cela me fait penser à l'époque ( 2010) où je tentais de finaliser un projet de thèse ayant pour sujet l'écotourisme en Guyane. J'explorais les dimensions du thème en recensant toutes les "ressources" locales, ... en vain . Le Comité du Tourisme de la Guyane en était encore au stade du "marketing" et sortait de la campagne d'affichage ( On ne vous croira pas !... ). S'agissant d'un "satellite" de la Région, il y avait beaucoup de baratins mais aucun axe pertinent de développement, aucun projet structurant pour étayer le sempiternel discours sur les "potentialités touristiques de la Guyane". A ce jour,la filière demeure une chimère, tandis que l'on ne peut citer, tant au Parc Naturel Régional qu'au Parc Amazonien , aucune expérience d'écotourisme qui ait abouti. ... Circuler, il n'y a rien à voir !

Ce qui est clair c'est que je ne vie pas dans la même Guyane que vous ...

Effectivement, à l'époque il était question de développer la retenue de petit saut. D'ailleurs un cabinet spécialisé parisien (excusez du peu) fut missionné par le CTG pour réaliser une étude chiffrée (de quelques millions de francs....) Trois scénarios furent pondus, dont le plus cher comprenait: altiport à saut-lucifer, télésiège au dessus de la canopée, hôtels de luxe aux abords de la mise à l'eau... pour viser une "cible" de jeune cadres dynamiques en mal de verdure équatoriale. Et je vous le donne en mille.... Quel scénario fut choisi ? Hein ? Gagné ! c'est bien le plus cher qui devait être réalisé....Entre temps il a fallu ré équiper les nombreux postes de travail du CTG en climatiseurs, photocopieurs, ordinateurs et sièges ergonomiques... Et pourtant, il y avait une belle participation financière du fond Européen... C'est sûr, personne ne vous croira...
 

Ce qui est clair c'est que je ne vie pas dans la même Guyane que vous ...