ABOLITION VIOLATION INVASION FALSIFICATION AGGLOMERATION
Après l’abolition enfin consentie au bout de 45 années d’annonces et de contre-décisions face à la fronde entretenue par Toussaint Breda devenu Louverture puis Victor Schoelcher, la traite des crédules natifs ou pas de Saint Domingue devenue Haïti n’a toujours pas cessé. La fripouille caribéenne et périphérique organise le viol de la territorialité française présente dans l’ensemble des départements d’Amérique.
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ABOLITION VIOLATION INVASION FALSIFICATION AGGLOMERATION
Après l’abolition enfin consentie au bout de 45 années d’annonces et de contre-décisions face à la fronde entretenue par Toussaint Breda devenu Louverture puis Victor Schoelcher, la traite des crédules natifs ou pas de Saint Domingue devenue Haïti n’a toujours pas cessé. La fripouille caribéenne et périphérique organise le viol de la territorialité française présente dans l’ensemble des départements d’Amérique.
Alors que les années 2020 et 2021 ont été sous le joug de mesures exceptionnelles de gel des déplacements et de « l’étanchéité des frontières », on a tout de même assisté à l’invasion de la ville de Saint Laurent du Maroni par une foule d’individus déplacés grâce à la vente de charters aériens entre Port au Prince et Paramaribo.
En effet, le 06 mai 2021, sous la plume de Frédéric Farine, on apprend qu’une « affaire d’état » est en cours du fait de l’organisation d’un trafic humain sous la coordination d’un concessionnaire automobile au Surinam également prédicateur. Un délire absolu si l’on ajoute que toutes les procédures internationales en vigueur en période de pandémie ont été bafouées comme le confirment la préfecture de Cayenne et l’ambassade au Surinam. Ce dernier, à travers une comptabilité certainement hasardeuse doit reconnaître une positivité aux virus actuellement connus supérieure à 35% mais qu’à cela ne tienne, pour être bien propre sur les autres, on produit des faux certificats PCR négatifs.
J’ai indiqué à l’ambassade en mai 2019 que les français sont déconsidérés dans ce pays et bons qu’à subir tous les rackets officiels de visas, d’assurances automobiles, de limitation de vitesse débile, de financements étatiques ou européens réguliers, de saturation de la maternité du CHOG. Comme certains l’affirment à raison, tout çà ne déclenche que des accords ou autres « coopérations » bidons de la part de l’appareil de Paramaribo. Pour ce dernier dossier, son ministre des affaires étrangères n’a sorti que des banalités « pour que çà ne se reproduise pas » ; ce qui est régulièrement contredit comme chacun le sait. Aucune excuse alors que les explications demandées par notre diplomatie ont subi des lenteurs de réaction.
Tout ceci n’a que la consistance de manœuvre illicite avec complicité gouvernementale, usage de faux, trafic d’enfants non accompagnés, plan de vol international paradoxal pour la compagnie Surinam Airways…Il suffit de vérifier le coût des divers transports déployés avec le prix payé par chaque migrant pour prouver l’abus.
En outre, eu égard aux obligations de lutte contre les virus, à l’appui de quelle logique on a accepté de laisser circuler en grand nombre des migrants animés uniquement par un esprit de conquête défiant les règles d’entrée sur un territoire national.
Une fois de plus, la République française se ridiculise avec des attitudes de complaisance. Les mots prononcés envers le gouvernement ce lundi 10 mai soir par un député sur La Chaîne Parlementaire sont « laxisme et incompétence… »
Va-t-on tester et isoler ces migrateurs-là ? Cela fait plusieurs jours que nous les voyons entassés sur le sol ; c’est un beau cluster en pleine éclosion qui va répandre sa traînée à St Laurent Iracoubo et Cayenne. La statistique a déjà la fièvre. Le CRA est malade.
Pourquoi la sous-préfecture contribue à entretenir cette situation ? Le droit d’asile a des règles internationales mais subitement la santé des habitants et la charge de l’hôpital doivent passer après… ?? Nos infrastructures sont de base en déficit. On veut Mayotte bis ?
Il y a déjà assez de ghettos et de bidonvilles dans nos agglomérations pour ne plus admettre qui que ce soit. C’est devenu ingérable pour nos collectivités de tous niveaux. Ce ne sont plus des villes mais des mosaïques de townships sans structure sociétale et sans contrôle de l’ordre.
La foire à l’andouille c’est dans le Calvados, à Vire.
Les andouilles de Guyane, eux, veulent que les envahisseurs, on les vire.
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