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Emploi

424 messages - Inverser l'ordre

Nouveau courrier   
21/10/13
Déytresse  (Régina)

Bonjour à tous, je lance un appel de détresse à ceux qui se sentiront concerné par mon histoire. Je suis interdite bancaire je ne peux même pas honorer mes factures et je me retrouve sans ressource pour cause......Je suis mère de 3 enfants l'aîné de 17ans et demi est en D.U.T. à Lyon (378euros/mois le logement), le cadet 15 ans est en 1ère S à Lama-Prévot (1100euros le trimestre sachant que 12 w-e dans l'année il se retrouve à la porte le dimanche s'il prend le bus (120euros l'année), sinon un parent se dévoue le lundi matin "4h"

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15/11/13
Bibi  (Matoury)

Bonjour,
Voici un mail reçu ce matin relatif à une nouvelle circulaire gourvernementale:

"NOTE CIRCULAIRE DU 14 NOVEMBRE 2013
Madame, Monsieur,
Après avoir initié en 2012 une campagne de contrôles d’assiette des cotisations de sécurité sociale et de cotisations d’assurance chômage, les services des URSSAF de

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16/11/13
Philippe2  (Matoury)

En réponse au message de Bibi du 15/11/13

Bonjour,
Voici un mail reçu ce matin relatif à une nouvelle circulaire gourvernementale:

"NOTE CIRCULAIRE DU 14 NOVEMBRE 2013

Madame, Monsieur,

Après avoir initié en 2012 une campagne de contrôles d’assiette des cotisations de sécurité sociale et de cotisations d’assurance chômage, les services des URSSAF de Guyane ont décidé de s’attaquer au travail dissimulé.

Aussi, tenons-nous par la présente à vous rappeler les risques et les conséquences du recours au travail dissimulé. En effet, connaître la loi et respecter vos obligations sont les meilleurs moyens de vous en prémunir.

I. QU’EST-CE QUE LE TRAVAIL DISSIMULE ?

Le travail dissimulé est le fait de soustraire délibérément au droit du travail des situations qui en relèvent normalement. Sont ainsi illicites d’après les articles L 8221-3 et L8221-5 du Code du travail aussi bien la dissimulation d’activité que la dissimulation d’un emploi salarié.

Sont ainsi réputées dissimulées les activités exercées à titre indépendant, dans un but lucratif et en violation des obligations commerciales, fiscales ou sociales, comme la non-immatriculation au registre du commerce et des sociétés, au répertoire des métiers, l’absence de déclaration auprès de l’URSSAF et/ ou de l’administration fiscale.

De même est réputé travail dissimulé par dissimulation d'emploi salarié le fait, pour tout employeur, de se soustraire intentionnellement à l'accomplissement de l'une des formalités prévues aux articles L. 1221-10 et L. 3243-2 (absence de déclaration préalable à l’embauche, absence de bulletin de paie ou encore la mention sur le bulletin de paie d'un nombre d'heures de travail inférieur à celui réellement effectué constitue, si cette mention ne résulte pas d'une convention ou d'un accord d’annualisation du temps de travail)

Enfin les faux statuts (faux travailleurs indépendants, stagiaires, bénévoles, faux gérants mandataire) constituent un travail dissimulé.

ð Des sommes versées à des indépendants qui se révèlent non-inscrits auprès de la Chambre de Commerce ou de la Chambre des Métiers,

Des primes versées à des salariés et non soumises à cotisations sociales,

Des acomptes versés à des salariés et jamais déduits,

Des sommes versées à des « jobbeurs »,

… sont autant d’infractions qui seront redressées lors d’un contrôle.

II. QUELS SONT LES RISQUES ENCOURUS ?

Recourir au travail dissimulé entraîne des sanctions :

Sanctions pénales

Les personnes physiques risquent 3 ans d’emprisonnement et une amende de 45.000€, qui sont doublés en cas de récidive et majorés en cas d’emploi dissimulé d’un mineur soumis à l’obligation scolaire.

Les personnes morales encourent quant à elles une amende de 225 000€ ainsi que la dissolution et la fermeture de l’établissement.

D’autres sanctions peuvent également être prononcées telles que la publication du jugement, la confiscation des outils de production et des stocks, l’interdiction de marchés publics pendant 5 ans…

Sanctions financières

Des sanctions administratives peuvent être prononcées et s’appliquent aux cinq années civiles qui précèdent la constatation de l’infraction et à l’année en cours. Il s’agit du rappel des cotisations, impôts et taxes dus, avec application de majorations et pénalités et sans bénéfice des mesures de réduction ou d’exonération de cotisation ou l’annulation rétroactive des réductions et exonérations de cotisations appliquées ou encore le refus des aides à l’emploi ou à la formation professionnelle pendant 5 ans.

De la même façon, les personnes faisant appel à une entreprise ne déclarant pas son personnel encourent des sanctions financières.

Autres risques encourues

- résiliation d’un marché public en cours si une situation illégale est constatée;

- aucune garantie en cas de malfaçon des travaux réalisés;

- responsabilité en cas d’accident du travail.

ð Soit une entreprise ayant versé 150 €uros par mois à un « jobbeur » au cours d’une année civile, le simple redressement des cotisations de sécurité sociale et d’assurance chômage est de 53.30% (parts salariale et patronale – avec un taux d’accident du travail de 2.40%) sur 5 ans (sans compter l’année en cours) soit 4 798 €uros.

ð Soit une entreprise employant du personnel déclaré pour lequel elle bénéficie de l’exonération LODEOM et redressée au titre d’un travail dissimulé, la perte de l’exonération des charges de sécurité sociale est en moyenne de 4 800 €uros par an par salarié (déclaré).

ð Si un employé non déclaré auprès de la CGSS (DUE non établie) a un accident du travail, l’entreprise doit rembourser l’ensemble des frais médicaux à la Sécurité Sociale, payer les indemnités journalières de sécurité social au salarié et éventuellement les rentes invalidités ou décès… soit un risque estimé à 1 M d’€uros pour un décès, couvert par aucune assurance.

III. NOS PRECONISATIONS ET NOTRE ASSISTANCE EN LA MATIERE

Si vous faites appel à une entreprise (personne physique ou société) pour de la sous-traitance ou comme prestataire de services, il vous suffit de demander les documents suivants :

- attestation de fourniture des déclarations sociales et de paiement des cotisations et contributions des candidats à une commande au moins égale à 3 000 €.

- récépissé de dépôt de déclaration auprès du Centre de formalités des entreprises

- extrait de l’inscription au registre du commerce et des sociétés ou carte justifiant l’inscription au répertoire des métiers s’il s’agit d’un artisan, d’un commerçant ou d’une personne appartenant à une profession réglementée.

La consultation du site internet http://avis-situation-sirene.insee.fr/avisitu/jsp/avis.jsp vous permet de vérifier que cette entreprise est bien active.

Si vous faites appel à un particulier, les Titres de Travail Simplifiés sont une solution simple et légale pour ces emplois précaires de courtes durées.

Il convient de compléter une demande auprès de la CGSS et une autorisation de prélèvement automatique. Votre banque vous fournit alors ce chéquier, gratuitement, qui sera à votre disposition le moment opportun.

Nous nous tenons à votre disposition pour vous en expliquer les avantages plus en détail ainsi que les modalités d’établissement.

Si l’embauche doit être plus pérenne ou régulière, vous devez la déclarer quels que soient votre secteur d'activité, les conditions d'exercice de la profession et la durée d'engagement (DUE préalable à l’embauche). "

le seul problème, c'est que les services sociaux payent sans vérifier quoi que ce soit, que personne ou presque n'est contrôlé, alors pourquoi les fraudeurs s'en inquièteraient? le gouvernement se sert dans la poche des contribuables et puisqu'on est en démocratie, on peut toujours causer...

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17/11/13
Gilles Slm  (St laurent)

En réponse au message de Bibi du 15/11/13

Bonjour,
Voici un mail reçu ce matin relatif à une nouvelle circulaire gourvernementale:

"NOTE CIRCULAIRE DU 14 NOVEMBRE 2013

Madame, Monsieur,

Après avoir initié en 2012 une campagne de contrôles d’assiette des cotisations de sécurité sociale et de cotisations d’assurance chômage, les services des URSSAF de Guyane ont décidé de s’attaquer au travail dissimulé.

Aussi, tenons-nous par la présente à vous rappeler les risques et les conséquences du recours au travail dissimulé. En effet, connaître la loi et respecter vos obligations sont les meilleurs moyens de vous en prémunir.

I. QU’EST-CE QUE LE TRAVAIL DISSIMULE ?

Le travail dissimulé est le fait de soustraire délibérément au droit du travail des situations qui en relèvent normalement. Sont ainsi illicites d’après les articles L 8221-3 et L8221-5 du Code du travail aussi bien la dissimulation d’activité que la dissimulation d’un emploi salarié.

Sont ainsi réputées dissimulées les activités exercées à titre indépendant, dans un but lucratif et en violation des obligations commerciales, fiscales ou sociales, comme la non-immatriculation au registre du commerce et des sociétés, au répertoire des métiers, l’absence de déclaration auprès de l’URSSAF et/ ou de l’administration fiscale.

De même est réputé travail dissimulé par dissimulation d'emploi salarié le fait, pour tout employeur, de se soustraire intentionnellement à l'accomplissement de l'une des formalités prévues aux articles L. 1221-10 et L. 3243-2 (absence de déclaration préalable à l’embauche, absence de bulletin de paie ou encore la mention sur le bulletin de paie d'un nombre d'heures de travail inférieur à celui réellement effectué constitue, si cette mention ne résulte pas d'une convention ou d'un accord d’annualisation du temps de travail)

Enfin les faux statuts (faux travailleurs indépendants, stagiaires, bénévoles, faux gérants mandataire) constituent un travail dissimulé.

ð Des sommes versées à des indépendants qui se révèlent non-inscrits auprès de la Chambre de Commerce ou de la Chambre des Métiers,

Des primes versées à des salariés et non soumises à cotisations sociales,

Des acomptes versés à des salariés et jamais déduits,

Des sommes versées à des « jobbeurs »,

… sont autant d’infractions qui seront redressées lors d’un contrôle.

II. QUELS SONT LES RISQUES ENCOURUS ?

Recourir au travail dissimulé entraîne des sanctions :

Sanctions pénales

Les personnes physiques risquent 3 ans d’emprisonnement et une amende de 45.000€, qui sont doublés en cas de récidive et majorés en cas d’emploi dissimulé d’un mineur soumis à l’obligation scolaire.

Les personnes morales encourent quant à elles une amende de 225 000€ ainsi que la dissolution et la fermeture de l’établissement.

D’autres sanctions peuvent également être prononcées telles que la publication du jugement, la confiscation des outils de production et des stocks, l’interdiction de marchés publics pendant 5 ans…

Sanctions financières

Des sanctions administratives peuvent être prononcées et s’appliquent aux cinq années civiles qui précèdent la constatation de l’infraction et à l’année en cours. Il s’agit du rappel des cotisations, impôts et taxes dus, avec application de majorations et pénalités et sans bénéfice des mesures de réduction ou d’exonération de cotisation ou l’annulation rétroactive des réductions et exonérations de cotisations appliquées ou encore le refus des aides à l’emploi ou à la formation professionnelle pendant 5 ans.

De la même façon, les personnes faisant appel à une entreprise ne déclarant pas son personnel encourent des sanctions financières.

Autres risques encourues

- résiliation d’un marché public en cours si une situation illégale est constatée;

- aucune garantie en cas de malfaçon des travaux réalisés;

- responsabilité en cas d’accident du travail.

ð Soit une entreprise ayant versé 150 €uros par mois à un « jobbeur » au cours d’une année civile, le simple redressement des cotisations de sécurité sociale et d’assurance chômage est de 53.30% (parts salariale et patronale – avec un taux d’accident du travail de 2.40%) sur 5 ans (sans compter l’année en cours) soit 4 798 €uros.

ð Soit une entreprise employant du personnel déclaré pour lequel elle bénéficie de l’exonération LODEOM et redressée au titre d’un travail dissimulé, la perte de l’exonération des charges de sécurité sociale est en moyenne de 4 800 €uros par an par salarié (déclaré).

ð Si un employé non déclaré auprès de la CGSS (DUE non établie) a un accident du travail, l’entreprise doit rembourser l’ensemble des frais médicaux à la Sécurité Sociale, payer les indemnités journalières de sécurité social au salarié et éventuellement les rentes invalidités ou décès… soit un risque estimé à 1 M d’€uros pour un décès, couvert par aucune assurance.

III. NOS PRECONISATIONS ET NOTRE ASSISTANCE EN LA MATIERE

Si vous faites appel à une entreprise (personne physique ou société) pour de la sous-traitance ou comme prestataire de services, il vous suffit de demander les documents suivants :

- attestation de fourniture des déclarations sociales et de paiement des cotisations et contributions des candidats à une commande au moins égale à 3 000 €.

- récépissé de dépôt de déclaration auprès du Centre de formalités des entreprises

- extrait de l’inscription au registre du commerce et des sociétés ou carte justifiant l’inscription au répertoire des métiers s’il s’agit d’un artisan, d’un commerçant ou d’une personne appartenant à une profession réglementée.

La consultation du site internet http://avis-situation-sirene.insee.fr/avisitu/jsp/avis.jsp vous permet de vérifier que cette entreprise est bien active.

Si vous faites appel à un particulier, les Titres de Travail Simplifiés sont une solution simple et légale pour ces emplois précaires de courtes durées.

Il convient de compléter une demande auprès de la CGSS et une autorisation de prélèvement automatique. Votre banque vous fournit alors ce chéquier, gratuitement, qui sera à votre disposition le moment opportun.

Nous nous tenons à votre disposition pour vous en expliquer les avantages plus en détail ainsi que les modalités d’établissement.

Si l’embauche doit être plus pérenne ou régulière, vous devez la déclarer quels que soient votre secteur d'activité, les conditions d'exercice de la profession et la durée d'engagement (DUE préalable à l’embauche). "

Se la péter assis sous la climatisation, c'est un. Mais d'ici à les voir sur les chantiers, leurs petites chaussures dans la bouillasse, il va se passer un moment !

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29/11/13
Bibi  (Matoury)

Bonjour,
Chomage, les chiffres sont ils "pipés",
en réalité l'ensemble des chomeurs cat A B C font +0,8% soit 40.000 chomeurs de plus.
http://www.liberation.fr/economie/2013/11/28/chomage-une-baisse-en-trompe-l-oeil

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29/11/13
Tagada  (Paris)

Le Président de la République annonce triomphalement un renversement de la courbe du chomage (il n'a pas osé dire "une baisse"). Cependant, ce qu'il n'a pas dit, c'est que ce renversement est dû, dans sa grande majorité, aux emplois aidés et non à la création d'emplois dans le secteur marchand. Coût pour la collectivité : 3,5 milliard d'euros !!!
C'est pas beau la vie quand on est socialiste et que l'on jongle avec les impôts des contribuables ???

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29/11/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 29/11/13

Le Président de la République annonce triomphalement un renversement de la courbe du chomage (il n'a pas osé dire "une baisse"). Cependant, ce qu'il n'a pas dit, c'est que ce renversement est dû, dans sa grande majorité, aux emplois aidés et non à la création d'emplois dans le secteur marchand. Coût pour la collectivité : 3,5 milliard d'euros !!!
C'est pas beau la vie quand on est socialiste et que l'on jongle avec les impôts des contribuables ???

Ah bon, ces emplois aidés ne permettent donc pas aussi, à des enfants de contribuables de trouver un emploi dans le secteur marchand?
http://www.emploi.gouv.fr/dispositif/cui-cae-dom
"Le contrat d’accès à l’emploi (CUI-CAE-DOM) est un contrat aidé dans le secteur marchand qui facilite, grâce à une aide financière pour l'employeur, l'accès durable à

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30/11/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 29/11/13

Ah bon, ces emplois aidés ne permettent donc pas aussi, à des enfants de contribuables de trouver un emploi dans le secteur marchand?

http://www.emploi.gouv.fr/dispositif/cui-cae-dom

"Le contrat d’accès à l’emploi (CUI-CAE-DOM) est un contrat aidé dans le secteur marchand qui facilite, grâce à une aide financière pour l'employeur, l'accès durable à l'emploi des personnes rencontrant des difficultés d'insertion professionnelle."

Un emploi aidé cela signifie aussi que l'employeur, qui est bien un contribuable lui aussi, bénéficie donc d'une aide de l'état ou des collectivités pour créer un emploi. Et n'importe quel gosse de contribuable y a droit... Cette façon de toujours vouloir ériger, envers et contre tout, les contribuables contre le reste du monde, ressemble donc fortement à de l'enfermement rhétorique et idéologique...

A lire votre réaction épidermique, on en arrive à se dire que vous ne payez pas d'impôts !
Ceci expliquerait donc cela ...

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30/11/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 30/11/13

A lire votre réaction épidermique, on en arrive à se dire que vous ne payez pas d'impôts !
Ceci expliquerait donc cela ...

Je vous remercie de vous soucier à ce point de ma fiscalité... Et je tiens donc à vous rassurer sur le fait que, pour ma part, je sois très fier de pouvoir contribuer à l'effort de solidarité nationale. au-delà de ce que j'en attends ou exige en retour.
Ceci-dit, plutôt que de colporter ainsi de but en blanc de telles contre-vérités sur

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30/11/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 29/11/13

Ah bon, ces emplois aidés ne permettent donc pas aussi, à des enfants de contribuables de trouver un emploi dans le secteur marchand?

http://www.emploi.gouv.fr/dispositif/cui-cae-dom

"Le contrat d’accès à l’emploi (CUI-CAE-DOM) est un contrat aidé dans le secteur marchand qui facilite, grâce à une aide financière pour l'employeur, l'accès durable à l'emploi des personnes rencontrant des difficultés d'insertion professionnelle."

Un emploi aidé cela signifie aussi que l'employeur, qui est bien un contribuable lui aussi, bénéficie donc d'une aide de l'état ou des collectivités pour créer un emploi. Et n'importe quel gosse de contribuable y a droit... Cette façon de toujours vouloir ériger, envers et contre tout, les contribuables contre le reste du monde, ressemble donc fortement à de l'enfermement rhétorique et idéologique...

C'est étonnant comme les bonnes ames de gauche deviennent amnésiques lorsque l'on évoque un problème qui les gène, comme un petit cailloux qui s'est glissé dans la chaussure. Vous écrivez : "Le contrat d’accès à l’emploi (CUI-CAE-DOM) est un contrat aidé dans le secteur marchand" ... Ignorez-vous que, pour les 540000 emplois aidés prévus

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30/11/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 30/11/13

Je vous remercie de vous soucier à ce point de ma fiscalité... Et je tiens donc à vous rassurer sur le fait que, pour ma part, je sois très fier de pouvoir contribuer à l'effort de solidarité nationale
au-delà de ce que j'en attends ou exige en retour.
Ceci-dit, plutôt que de colporter ainsi de but en blanc de telles contre-vérités sur les emplois aidés, en vous réfugiant ensuite une fois vos balivernes éventrées, dans la posture argumentaire étriquée du type qui pour noyer son chien, et le poisson par la même occasion, les accuse d'avoir la rage...
Et bien vous pourriez aussi faire l'effort de vous renseigner un tout petit peu...

Et sinon, c'est bien ce que j'expliquais l'autre fois à El Carbetvara, On commence par ne plus être solidaire avec les plus démunis au prétexte qu'ils sont trop étrangers...et puis sur cette lancée, on fini par prendre l'habitude de couiner à propos du moindre principe de solidarité. Celui qui bénéficie de l'aide de la nation devenant systématiquement à son tour, ce nouvel étranger au cercle de ces contribuables, que certains ne daignent plus reconnaître comme l'un des leurs.

Et le plus absurde, c'est qu'en plus lorsque l'on y réfléchit deux secondes, ces emplois aidés dont bénéficie le secteur privé, ne sont finalement rien d'autre qu'une façon détournée de diminuer les charges patronales tout en créant de l'emploi... Une véritable hérésie socialiste à n'en pas douter!

Etes vous capable de lire, de comprendre et de croire un rapport de la Cour des Comptes ? "Le constat d’ensemble qui ressort du présent rapport est plus sévère, notamment parce qu’il peut désormais s’appuyer sur des études françaises et internationales concluant à un impact très faible des contrats aidés sur l’emploi.... Les observations relatives à

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30/11/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 30/11/13

C'est étonnant comme les bonnes ames de gauche deviennent amnésiques lorsque l'on évoque un problème qui les gène, comme un petit cailloux qui s'est glissé dans la chaussure.

Vous écrivez : "Le contrat d’accès à l’emploi (CUI-CAE-DOM) est un contrat aidé dans le secteur marchand" ... Ignorez-vous que, pour les 540000 emplois aidés prévus par le gouvernement d'ici la fin décembre :
- près de 400000 sont des contrats uniques d'insertion dont 340000 dans des secteurs non marchands;
- 100000 sont des contrats d'emploi avenir d’abord utilisés par le secteur public comme les associations et les collectivités locales, avec une subvention de 75 %;
- le solde, 40000 contrats de génération qui eux doivent être affectés au secteur marchand.

Si l'on fait le compte, il apparait donc bien que plus de 400000 emplois sont prévus dans le secteur public ou associatif, c'est à dire que ce sont des emplois qui n'apporteront aucune richesse à l'économie nationale mais qui couteront au contribuable, pour l'année 2013, environ 2 milliards d'euros !!!

Pardon d'y revenir, mais avant de piursuivre et d'aboutir à un consensus sur le bilan mitigé des contrats aidés, pouvez-vous au moins me confirmer que ces dispositifs bénéficient aussi aux contribuables et à leur proches?

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01/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 30/11/13

Pardon d'y revenir, mais avant de piursuivre et d'aboutir à un consensus sur le bilan mitigé des contrats aidés, pouvez-vous au moins me confirmer que ces dispositifs bénéficient aussi aux contribuables et à leur proches?

"ces dispositifs bénéficient aussi aux contribuables et à leur proches"
Pouvez vous nous (c'est à dire les lecteurs de Blada) combien coûte, par foyer fiscal, ce dispositif et quels sont les avantages que chacun en retire ?
Je m'étonne que vous n'ayez pas avancé d'arguments contre les conclusions

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02/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 01/12/13

"ces dispositifs bénéficient aussi aux contribuables et à leur proches"
Pouvez vous nous (c'est à dire les lecteurs de Blada) combien coûte, par foyer fiscal, ce dispositif et quels sont les avantages que chacun en retire ?

Je m'étonne que vous n'ayez pas avancé d'arguments contre les conclusions du rapport de la Cour sur Comptes . Ah! j'oubliais que votre idole, François Hollande, a été magistrat dans cette institution, et cela doit vous peiner de critiquer les travaux menés aujourd'hui sous la présidence de Didier Migaud (ancien député socialiste)., Il a très bien résumé le travail qu'IL (lui, FH, pas les autres) y effectuait.
http://www.youtube.com/watch?v=WtX_bSI3d_M

Maintenant, qu'il est à la tête de l'Etat, il a changé de stratégie par rapport à cette période bénie : il y ajoute quelques voyages, et pas toujours en TGV.

Avant de faire ce calcul si savant, encore une fois, j'aimerais tout de même savoir si "les contribuables" sont oui ou non une espèce hors sol ne bénéficiant jamais de ces mesures, efficaces ou non, pour lesquels ils sont mis à contribution...L'hôpital de Cayenne ayant prévu d'embaucher 35 personnes par le biais de ces contrats aidés, à vous lire ce serait donc une pure gabegie pour les contribuables...Du jonglage avec leur impôt...Vous confirmez?

Répondre

02/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 02/12/13

Avant de faire ce calcul si savant, encore une fois, j'aimerais tout de même savoir si "les contribuables" sont oui ou non une espèce hors sol ne bénéficiant jamais de ces mesures, efficaces ou non, pour lesquels ils sont mis à contribution...L'hôpital de Cayenne ayant prévu d'embaucher 35 personnes par le biais de ces contrats aidés, à vous lire ce serait donc une pure gabegie pour les contribuables...Du jonglage avec leur impôt...Vous confirmez?

Pour vous faire plaisir, je vous dirai que ce je ne connais pas le bilan du public concerné par ces nouveaux contrats aidés. Il est annoncé que le dispositif cible principalement les jeunes non qualifiés des quartiers défavorisés. Croyez-vous que c'est dans cette catégorie que l'on rencontre le plus de contribuables ??? Par contre, j'ai connu les dispositifs

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02/12/13
Jl97310  (Kourou)

En réponse au message de Tagada du 02/12/13

Pour vous faire plaisir, je vous dirai que ce je ne connais pas le bilan du public concerné par ces nouveaux contrats aidés. Il est annoncé que le dispositif cible principalement les jeunes non qualifiés des quartiers défavorisés. Croyez-vous que c'est dans cette catégorie que l'on rencontre le plus de contribuables ???

Par contre, j'ai connu les dispositifs antérieurs (SIVP pour le gouvernement Mauroy, TUC pour Fabius,, CES pour Rocard, emplois jeunes pour Jospin,CPE-vite retiré- pour de Villepin) .
Les SIVP étaient destinés à des jeunes sans qualification ou demandeurs d'emploi.
Les TUC étaient pourvus par des jeunes en recherche d'emploi. Les employeurs bénéficiaires étaient des collectivités publiques, des hôpitaux et des établissements publics.
Les CES étaient destinés à l'ensemble des salariés, toutefois les contrats d'embauches étaient soumis à l'aval des directions départementales du travail qui veillaient à ce que les bénéficiaires soient en priorité des chomeurs de longue durée (Tiens, ne serait-ce pas une discrimination à l'emploi :-) ? ).

la grande majorité des publics concernés par ces dispositifs d'aide à l'emploi n'était pas assujettie à l'impôt sur le revenu. et je vous confirme que les contribuables (enfin, ceux qui sont assujettis à l'impôt et qui le règlent) ne bénéficiaient en aucune façon des retombées de ces mesures .

L'intérêt pour l'hôpital de Cayenne de recruter 35 personnes par l'intermédiaire de ce dispositif est de bénéficier d'une main d'oeuvre précaire et bon marché. Par contre, chaque emploi coutera à l'Etat envrion 20000 € par an en moyenne. Quant à l'obligation de formation, on a vu par le passé ce qu'en ont fait les employeurs : rien !!!

Ces dispositifs introduisent à nouveau des emplois précaires dans la fonction publique. Dites moi donc ce qu'il adviendra de ces personnes à l'issue de leur contrat ? Qui les recrutera de façon définitive ?

Le meilleur système pour concilier formation et emploi des jeunes c'est l'apprentissage en alternance qui avait été considéré comme prioritaire avec l'attribution de nouveaux budgets très importants (quasi doublement) par le précédent gouvernement.
Mais, le nouveau gouvernement a mis aux oubliettes tout ce qui concernait

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02/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 02/12/13

Pour vous faire plaisir, je vous dirai que ce je ne connais pas le bilan du public concerné par ces nouveaux contrats aidés. Il est annoncé que le dispositif cible principalement les jeunes non qualifiés des quartiers défavorisés. Croyez-vous que c'est dans cette catégorie que l'on rencontre le plus de contribuables ???

Par contre, j'ai connu les dispositifs antérieurs (SIVP pour le gouvernement Mauroy, TUC pour Fabius,, CES pour Rocard, emplois jeunes pour Jospin,CPE-vite retiré- pour de Villepin) .
Les SIVP étaient destinés à des jeunes sans qualification ou demandeurs d'emploi.
Les TUC étaient pourvus par des jeunes en recherche d'emploi. Les employeurs bénéficiaires étaient des collectivités publiques, des hôpitaux et des établissements publics.
Les CES étaient destinés à l'ensemble des salariés, toutefois les contrats d'embauches étaient soumis à l'aval des directions départementales du travail qui veillaient à ce que les bénéficiaires soient en priorité des chomeurs de longue durée (Tiens, ne serait-ce pas une discrimination à l'emploi :-) ? ).

la grande majorité des publics concernés par ces dispositifs d'aide à l'emploi n'était pas assujettie à l'impôt sur le revenu. et je vous confirme que les contribuables (enfin, ceux qui sont assujettis à l'impôt et qui le règlent) ne bénéficiaient en aucune façon des retombées de ces mesures .

L'intérêt pour l'hôpital de Cayenne de recruter 35 personnes par l'intermédiaire de ce dispositif est de bénéficier d'une main d'oeuvre précaire et bon marché. Par contre, chaque emploi coutera à l'Etat envrion 20000 € par an en moyenne. Quant à l'obligation de formation, on a vu par le passé ce qu'en ont fait les employeurs : rien !!!

Ces dispositifs introduisent à nouveau des emplois précaires dans la fonction publique. Dites moi donc ce qu'il adviendra de ces personnes à l'issue de leur contrat ? Qui les recrutera de façon définitive ?

Vous semblez à ce point certain que les contribuables ne peuvent avoir de gamins susceptibles de bénéficier de ce type de contrat...D'où vous vient cette certitude? Les enfants des contribuables seraient donc épargnés par les problèmes d'emploi? J'ai un peu l'impression que vous raisonner selon une logique de classe...Il y a les

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03/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 02/12/13

Vous semblez à ce point certain que les contribuables ne peuvent avoir de gamins susceptibles de bénéficier de ce type de contrat...D'où vous vient cette certitude? Les enfants des contribuables seraient donc épargnés par les problèmes d'emploi? J'ai un peu l'impression que vous raisonner selon une logique de classe...Il y a les contribuables...et puis il y a les autres...La solidarité républicaine ne serait-elle plus qu'une valeur socialiste?

Et sinon, si les 35 techniciens qui vont être embauchés pour faire fonctionner l'extension de l'hôpital de Cayenne n'avaient pas été embauchés par le biais de ce type de contrat, il aurait cependant bien fallu en embaucher par d'autres biais et in fine le coût aurait été rigoureusement le même pour les contribuables. Dans ce cas, le recours aux contrats aidés ou non, ne change donc rien à la donne pour le contribuable...Je me trompe? Car à partir du moment ou un individu est embauché pour effectuer un travail dans le cadre d'un service public..en quoi cela change-t-il quelque chose qu'il ait bénéficié d'un contrat aidé?

Comme à votre habitude, vous ne répondez pas aux questions qui vous sont posées.
Je vous rappelle ma dernière question :
"Ces dispositifs introduisent à nouveau des emplois précaires dans la fonction publique. Dites moi donc ce qu'il adviendra de ces personnes à l'issue de leur contrat ? Qui les recrutera de façon définitive ?"
J'attends avec intérêts votre réponse §

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03/12/13
Didou973  (Saint sylvain (corréze))

En réponse au message de Tagada du 03/12/13

Comme à votre habitude, vous ne répondez pas aux questions qui vous sont posées.
Je vous rappelle ma dernière question :
"Ces dispositifs introduisent à nouveau des emplois précaires dans la fonction publique. Dites moi donc ce qu'il adviendra de ces personnes à l'issue de leur contrat ? Qui les recrutera de façon définitive ?"
J'attends avec intérêts votre réponse §

Moi je peux vous donner un début de réponse...ces contrats aidés dans la Police il y en a beaucoup. Ces jeunes que l'on appelle "adjoints de sécurité" qui sous contrat de 5 ans (6 il me semble maintenant) font le même boulot que les gardiens de la paix pour un salaire moindre.
Ils ont accés en plus des concours normaux, aux concours spéciaux qui

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03/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 03/12/13

Comme à votre habitude, vous ne répondez pas aux questions qui vous sont posées.
Je vous rappelle ma dernière question :
"Ces dispositifs introduisent à nouveau des emplois précaires dans la fonction publique. Dites moi donc ce qu'il adviendra de ces personnes à l'issue de leur contrat ? Qui les recrutera de façon définitive ?"
J'attends avec intérêts votre réponse §

Si l'on se réfère à la précédente expérience des emplois jeunes, même si le bilan est lui aussi mitigé, on peut lire ceci:
"Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui

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03/12/13
Koro  (Roura)

En réponse au message de 3wap du 03/12/13

Si l'on se réfère à la précédente expérience des emplois jeunes, même si le bilan est lui aussi mitigé, on peut lire ceci:

"Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui monte à 85% au bout de 18 mois, dont 72% en CDI."

http://www.lemonde.fr/comment-la-gauche-est-passe-des-emplois-jeunes-aux-emplois-d-avenir
Pour répondre à votre question, on peut donc raisonnablement imaginer qu'il doit en être de même pour les bénificiaires des dispositifs actuels...

J'en profite pour reposer ma propre question qui semble vous ennuyer:

Admettez-vous que les enfants des contribuables bénéficient eux aussi de ces emplois?

Et par conséquent, même si vous avez parfaitement le droit de contester l'éfficacité de ces choix politiques, il n'est pas très honnête d'opposer comme vous le faites les contribuables au non contribuables, s'agissant de politiques nationales menées dans l'intérrêts de tous. Et n'oubliez pas qu'in fine, en cas de casse sociale faute de politiques volontaristes d'insertion dans l'emploi, ce sont au bout du compte toujours les contribuables qui regèleront la facture... Alors autant que ce soit en créant de l'emploi...

Moi, je n'admets pas que les enfants de contribuables bénéficient de ces emplois d'avenir, pas plus que les autres, sachant que cela se termine à 75 % par des emplois de fonctionnaires, qu'il faudrait supprimer. Donc, la question n'est pas chômeur ou fonctionnaire, mais plutôt chômeur dans l'attente d'une solution pérêne. Mais, laquelle, vous qui avez réponse à tout ?

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04/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Koro du 03/12/13

Moi, je n'admets pas que les enfants de contribuables bénéficient de ces emplois d'avenir, pas plus que les autres, sachant que cela se termine à 75 % par des emplois de fonctionnaires, qu'il faudrait supprimer. Donc, la question n'est pas chômeur ou fonctionnaire, mais plutôt chômeur dans l'attente d'une solution pérêne. Mais, laquelle, vous qui avez réponse à tout ?

Ah mais, j'aurais bien deux ou trois idées... Mais tel que je vous connais vous risquez fort d'en être réduit à me traiter de gauchiste. Alors épargnons-nous ces enfantillages...

Répondre

04/12/13
Koro  (Roura)

En réponse au message de 3wap du 04/12/13

Ah mais, j'aurais bien deux ou trois idées... Mais tel que je vous connais vous risquez fort d'en être réduit à me traiter de gauchiste. Alors épargnons-nous ces enfantillages...

Vous ais-je déjà traité de gauchiste ? Pas besoin, vous le faites vous même ! La France n'a pas de pétrole, mais nous avons des idées ! Mais lesquelles si ceux qui en ont les cachent. Toujours votre art de ne pas répondre lorsque cela dérange.

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04/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 03/12/13

Si l'on se réfère à la précédente expérience des emplois jeunes, même si le bilan est lui aussi mitigé, on peut lire ceci:

"Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui monte à 85% au bout de 18 mois, dont 72% en CDI."

http://www.lemonde.fr/comment-la-gauche-est-passe-des-emplois-jeunes-aux-emplois-d-avenir
Pour répondre à votre question, on peut donc raisonnablement imaginer qu'il doit en être de même pour les bénificiaires des dispositifs actuels...

J'en profite pour reposer ma propre question qui semble vous ennuyer:

Admettez-vous que les enfants des contribuables bénéficient eux aussi de ces emplois?

Et par conséquent, même si vous avez parfaitement le droit de contester l'éfficacité de ces choix politiques, il n'est pas très honnête d'opposer comme vous le faites les contribuables au non contribuables, s'agissant de politiques nationales menées dans l'intérrêts de tous. Et n'oubliez pas qu'in fine, en cas de casse sociale faute de politiques volontaristes d'insertion dans l'emploi, ce sont au bout du compte toujours les contribuables qui regèleront la facture... Alors autant que ce soit en créant de l'emploi...

" Alors autant que ce soit en créant de l'emploi..."
Mais, où donc voyez-vous des créations d'emploi dans ces dispositifs ??? Ou alors, changez de pseudo et adoptez "Madame Soleil" !!!

Répondre

04/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 03/12/13

Si l'on se réfère à la précédente expérience des emplois jeunes, même si le bilan est lui aussi mitigé, on peut lire ceci:

"Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui monte à 85% au bout de 18 mois, dont 72% en CDI."

http://www.lemonde.fr/comment-la-gauche-est-passe-des-emplois-jeunes-aux-emplois-d-avenir
Pour répondre à votre question, on peut donc raisonnablement imaginer qu'il doit en être de même pour les bénificiaires des dispositifs actuels...

J'en profite pour reposer ma propre question qui semble vous ennuyer:

Admettez-vous que les enfants des contribuables bénéficient eux aussi de ces emplois?

Et par conséquent, même si vous avez parfaitement le droit de contester l'éfficacité de ces choix politiques, il n'est pas très honnête d'opposer comme vous le faites les contribuables au non contribuables, s'agissant de politiques nationales menées dans l'intérrêts de tous. Et n'oubliez pas qu'in fine, en cas de casse sociale faute de politiques volontaristes d'insertion dans l'emploi, ce sont au bout du compte toujours les contribuables qui regèleront la facture... Alors autant que ce soit en créant de l'emploi...

""Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui monte à 85% au bout de 18 mois, dont 72% en CDI.""
Comme vous l'indiquez, les avis sont largement partagés. En effet, si l'on en croit Libération : "Les emplois-jeunes ont-ils cependant fonctionné comme un tremplin vers l’emploi ? Pas si sûr. Selon Alberto Lopez, directeur du Cereq et auteur, avec Bernard Gomel, d’une étude réalisée pendant dix ans sur les anciens emplois-jeunes, «à moyen terme,

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04/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 04/12/13

""Selon la Dares, près des trois quarts des bénéficiaires d'un emploi jeune d'une durée de plus de deux ans ont trouvé un emploi à l'issue du dispositif. Un taux qui monte à 85% au bout de 18 mois, dont 72% en CDI.""

Comme vous l'indiquez, les avis sont largement partagés. En effet, si l'on en croit Libération :
"Les emplois-jeunes ont-ils cependant fonctionné comme un tremplin vers l’emploi ? Pas si sûr. Selon Alberto Lopez, directeur du Cereq et auteur, avec Bernard Gomel, d’une étude réalisée pendant dix ans sur les anciens emplois-jeunes, «à moyen terme, l’effet en matière d’accès à l’emploi est nul». "
http://www.liberation.fr//les-emplois-jeunes-un-precedent-au-bilan-mitige

En ce qui concerne l'effet pervers de ces dispositions, nous pouvons nous référer au rapport du Sénat sur le bilan à mi-parcours des emplois-jeunes :
"L'emploi-jeune a créé une forme de " sécurité trompeuse " qui a dissuadé un certain nombre de jeunes de postuler à un emploi dans le secteur privé, soit au moment de la création de l'emploi-jeune lui-même, soit en cours d'exécution de celui-ci. La création des emplois-jeunes a entraîné certainement un effet d'éviction à l'encontre de l'emploi privé."
http://www.senat.fr/rap/r00-025/r00-0258.html

Le même rapport précise :
" il est important de rappeler que la pérennisation des emplois-jeunes ne signifie pas que tous les jeunes titulaires d'un poste puissent bénéficier d'une reconduction de leur contrat "

En outre, en ce qui concerne le secteur public, le rapport note :
"La situation des adjoints de sécurité recrutés par le ministère de l'Intérieur est révélatrice à cet égard.
En l'espèce, les adjoints de sécurité devraient intégrer la Police nationale à travers un concours spécifique prévu initialement pour les auxiliaires. Il est envisagé que les adjoints de sécurité puissent accéder, après trois ans d'expérience, à 40 % des postes de gardiens de la paix ouverts aux concours. En réalité, le dispositif des emplois-jeunes n'a fait que décaler dans le temps des flux de recrutement annuel dans la fonction publique."

Reconnaissez que dans les conditions économiques actuelles, il n'est pas responsable pour nos gouvernants d'augmenter les charges publiques par des dépenses qui, par le passé, et quelle que soit leur dénomination de l'époque, ont fait la preuve de leur inéfficacité . Mais je reconnais à nos gouvernants qu'ils ont de la suite dans les idées... Il est regrettable qu'ils mettent ce cararctère au service d'une politique rétrograde.

Vous avez bien raison de citer des experts...Mais accorderez-vous du crédit à leur avis jusqu'au bout http://www.20minutes.fr/emplois-avenir-un-choix-defend-alberto-lopez
"Miser sur le secteur marchand en période de grande crise, c’est très difficile. Au vu de la conjoncture actuelle, ces emplois d’avenir sont un choix qui se défend et qui répond à l’urgence de la situation. On peut penser qu’il y aura moins d’effet d’aubaine en misant sur

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05/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 04/12/13

" Alors autant que ce soit en créant de l'emploi..."
Mais, où donc voyez-vous des créations d'emploi dans ces dispositifs ??? Ou alors, changez de pseudo et adoptez "Madame Soleil" !!!

Évidement, vu que vous considérez que les emplois créés dans le secteur non marchand, n'en sont pas... Pour vous, lorqu'une association offre un nouveau service pour le public et qu'elle crée pour cela un emploi par le biais de ce type de contrat... C'est juste du vent! Hein? Selon vous, aucuns emplois crédibles en dehors d'une logique de marché... C'est bien cela n'est-ce pas mon cher Milton?

Répondre

05/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 05/12/13

Évidement, vu que vous considérez que les emplois créés dans le secteur non marchand, n'en sont pas... Pour vous, lorqu'une association offre un nouveau service pour le public et qu'elle crée pour cela un emploi par le biais de ce type de contrat... C'est juste du vent! Hein? Selon vous, aucuns emplois crédibles en dehors d'une logique de marché... C'est bien cela n'est-ce pas mon cher Milton?

Mais quelle valeur ajoutée ces "emplois" apportent à l'économie nationale ? Aucune ! Et quelle sera leur pérénité ? Rappelez-vous du nombre d'emplois-jeunes qui se sont retrouvés sans aucune ressource, mis à part le RMI, à l'issue de leur contrat ?
Dans ces conditions, ce que vous appelez "emploi" je l'appelle "assistanat"...

Répondre

05/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 05/12/13

Évidement, vu que vous considérez que les emplois créés dans le secteur non marchand, n'en sont pas... Pour vous, lorqu'une association offre un nouveau service pour le public et qu'elle crée pour cela un emploi par le biais de ce type de contrat... C'est juste du vent! Hein? Selon vous, aucuns emplois crédibles en dehors d'une logique de marché... C'est bien cela n'est-ce pas mon cher Milton?

Mais quelle valeur ajoutée ces "emplois" apportent à l'économie nationale ? Aucune ! Et quelle sera leur pérénité ? Rappelez-vous du nombre d'emplois-jeunes qui se sont retrouvés sans aucune ressource, mis à part le RMI, à l'issue de leur contrat ?
Dans ces conditions, ce que vous appelez "emploi" je l'appelle "assistanat"...

Répondre

05/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 05/12/13

Mais quelle valeur ajoutée ces "emplois" apportent à l'économie nationale ? Aucune ! Et quelle sera leur pérénité ? Rappelez-vous du nombre d'emplois-jeunes qui se sont retrouvés sans aucune ressource, mis à part le RMI, à l'issue de leur contrat ?
Dans ces conditions, ce que vous appelez "emploi" je l'appelle "assistanat"...

A vous lire, on en conclurait presque que les emplois liés au secteur non-marchand...n'auraient donc pas de valeur ajoutée économique? Pourtant un emploi qui produit un service gratuit ou presque, créée une valeur ajoutée au moins égale à ce que cette gratuité permet aux citoyens de répercuter dans le secteur marchand... Cela vous avait-donc échappé?

Répondre

05/12/13
Koro  (Roura)

En réponse au message de 3wap du 05/12/13

A vous lire, on en conclurait presque que les emplois liés au secteur non-marchand...n'auraient donc pas de valeur ajoutée économique? Pourtant un emploi qui produit un service gratuit ou presque, créée une valeur ajoutée au moins égale à ce que cette gratuité permet aux citoyens de répercuter dans le secteur marchand... Cela vous avait-donc échappé?

Aucun de ces emplois gratuit n'est gratuit ! Et cette gratuité payée par nos impôts n'en est pas une, puisque répercutée sur les prix du secteur marchand qui paye ces impôts et donc les amortit.

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05/12/13
Gilles Slm  (St laurent)

En réponse au message de 3wap du 05/12/13

A vous lire, on en conclurait presque que les emplois liés au secteur non-marchand...n'auraient donc pas de valeur ajoutée économique? Pourtant un emploi qui produit un service gratuit ou presque, créée une valeur ajoutée au moins égale à ce que cette gratuité permet aux citoyens de répercuter dans le secteur marchand... Cela vous avait-donc échappé?

Un emploi créé par une association, cela reste un emploi subventionné, sans aucune valeur "marchande". Cette association, quel est son financement ? Subventions de : Mairie, Conseil Général et/ou Régional, État ? Emploi : aidé ?
La relance de l'économie ne passera que par la reprise de l'emploi "marchand".

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06/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Gilles Slm du 05/12/13

Un emploi créé par une association, cela reste un emploi subventionné, sans aucune valeur "marchande". Cette association, quel est son financement ? Subventions de : Mairie, Conseil Général et/ou Régional, État ? Emploi : aidé ?
La relance de l'économie ne passera que par la reprise de l'emploi "marchand".
Les autres formes d'emplois ne sont que des aménagements politiques de nos impôts.
Des impôts du secteur "marchand" seulement s'entend, les impôts de quelque fonctionnaire que ce soit n'étant qu'un retour du "coût" de ce fonctionnaire envers les finances publiques.

Ces autres emplois non-marchands, sont pourtant essentiels au fonctionnement de la société (sécurité, santé, éducation, organisation juridique et politique, protection sociale, prise en charge sociale, etc. etc.)...Supprimer-les, elle s'effondre et le secteur marchand avec. Donc ils ont bien aussi une valeur.

Répondre

07/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 06/12/13

Ces autres emplois non-marchands, sont pourtant essentiels au fonctionnement de la société (sécurité, santé, éducation, organisation juridique et politique, protection sociale, prise en charge sociale, etc. etc.)...Supprimer-les, elle s'effondre et le secteur marchand avec. Donc ils ont bien aussi une valeur.

"Ces autres emplois non-marchands, sont pourtant essentiels au fonctionnement de la société (sécurité, santé, éducation, organisation juridique et politique, protection sociale, prise en charge sociale, etc. etc.)"
Ces emplois sont existants depuis des lustres et n'ont rien à voir avec les contrats aidés que vous défendez et qui sont l'objet de ce débat ! Cette disgression démontre soit votre incohérence intellectuelle soit, au contraire, un esprit pervers .

Répondre

07/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 07/12/13

"Ces autres emplois non-marchands, sont pourtant essentiels au fonctionnement de la société (sécurité, santé, éducation, organisation juridique et politique, protection sociale, prise en charge sociale, etc. etc.)"
Ces emplois sont existants depuis des lustres et n'ont rien à voir avec les contrats aidés que vous défendez et qui sont l'objet de ce débat ! Cette disgression démontre soit votre incohérence intellectuelle soit, au contraire, un esprit pervers .

Votre réponse est absurde...vous n'êtes de toute évidence pas en mesure d'affirmer l'inutilité des emplois du secteur non-marchand en général. Mais vous insinuez cependant que les contrats aidés créant des emplois dans ce secteur, sont inutiles par nature...
"Ces emplois sont existants depuis des lustres"...Drôle de démonstration...

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08/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 07/12/13

Votre réponse est absurde...vous n'êtes de toute évidence pas en mesure d'affirmer l'inutilité des emplois du secteur non-marchand en général. Mais vous insinuez cependant que les contrats aidés créant des emplois dans ce secteur, sont inutiles par nature...

"Ces emplois sont existants depuis des lustres"...Drôle de démonstration... Et les emplois dans le secteur en devenir de l'aide aux personnes âgées ou handicapées. Vous voulez vraiment nous faire croire que ces emplois existent aussi depuis des lustres?

Quant aux emplois nouveaux à créer dans le domaine des activités périscolaires (animation, sport, culture) censées accueillir les enfants dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires. Ils existeraient donc aussi depuis des lustres, vraiment?

" Et les emplois dans le secteur en devenir de l'aide aux personnes âgées ou handicapées. Vous voulez vraiment nous faire croire que ces emplois existent aussi depuis des lustres?"
J'ai travaillé pendant 42 ans dans les hôpitaux, aussi je sais certainement aussi bien que vous (pour ne pas dire mieux, que les "emplois-aidés" dans ce secteur ont été particulièrement inutiles.

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08/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 07/12/13

Votre réponse est absurde...vous n'êtes de toute évidence pas en mesure d'affirmer l'inutilité des emplois du secteur non-marchand en général. Mais vous insinuez cependant que les contrats aidés créant des emplois dans ce secteur, sont inutiles par nature...

"Ces emplois sont existants depuis des lustres"...Drôle de démonstration... Et les emplois dans le secteur en devenir de l'aide aux personnes âgées ou handicapées. Vous voulez vraiment nous faire croire que ces emplois existent aussi depuis des lustres?

Quant aux emplois nouveaux à créer dans le domaine des activités périscolaires (animation, sport, culture) censées accueillir les enfants dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires. Ils existeraient donc aussi depuis des lustres, vraiment?

" Mais vous insinuez cependant que les contrats aidés créant des emplois dans ce secteur, sont inutiles par nature..." Mais quels emplois sont créés au moyen des emplois-aidés ? Donnez-nous donc la nature et le nombre de ces emplois ? Comme il me semble que vous ayez une mémoire courte et selective, je vous rappelle que vous citiez, comme

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09/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 08/12/13

" Mais vous insinuez cependant que les contrats aidés créant des emplois dans ce secteur, sont inutiles par nature..."
Mais quels emplois sont créés au moyen des emplois-aidés ? Donnez-nous donc la nature et le nombre de ces emplois ? Comme il me semble que vous ayez une mémoire courte et selective, je vous rappelle que vous citiez, comme secteurs qui allaient bénéficier de la manne des emplois-aidés "Ces autres emplois non-marchands, sont pourtant essentiels au fonctionnement de la société (sécurité, santé, éducation, organisation juridique et politique, protection sociale, prise en charge sociale, etc. etc.)".
Nos policiers, nos médecins, nos soignants, nos enseignants, etc. doivent être heureux d'apprendre que, jusqu'à 2013, il n'existaient pas mais que maintenant, grace à l'arrivée de ces petits jeunes NON FORMES, tout va aller mieux.

Expliquez nous donc comment vous allez nous fabriquer des infirmières (bac + 3) , des enseignants (bac +3 au minimum), etc.

Quels emplois? Et bien par exemple...
Les AVS dans l'éducation nationale, pour s'occuper des enfants des contribuables...
http://www.ac-nice.fr/ia-06/sections/l_inspection_academi/personnels/contrats_aidesLds animateurs d'activités périscolaires mise en place par les mairies pour s'occuper

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09/12/13
Koro  (Roura)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Quels emplois? Et bien par exemple...

Les AVS dans l'éducation nationale, pour s'occuper des enfants des contribuables...
http://www.ac-nice.fr/ia-06/sections/l_inspection_academi/personnels/contrats_aides

Les animateurs d'activités périscolaires mise en place par les mairies pour s'occuper des enfants des contribuables...
http://www.esseylesnancy.fr/accueil/emploi/contrat-davenir-hf-animations-periscolaire

Vous les jugez inutiles?

Ces emplois sont forcément inutiles, surtout néfastes dans la mesure où ce sont des fonctionnaires déguisés qui ne donneront pas des emplois pérennes, ou se transformeront à terme en vrais fonctionnaires qu'il faudrait supprimer.

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09/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Quels emplois? Et bien par exemple...

Les AVS dans l'éducation nationale, pour s'occuper des enfants des contribuables...
http://www.ac-nice.fr/ia-06/sections/l_inspection_academi/personnels/contrats_aides

Les animateurs d'activités périscolaires mise en place par les mairies pour s'occuper des enfants des contribuables...
http://www.esseylesnancy.fr/accueil/emploi/contrat-davenir-hf-animations-periscolaire

Vous les jugez inutiles?

Quels beaux exemples vous nous donnez là !!!
Les AVS ? Si j'en crois le site que vous citez, leurs missions sont :
"Aide à la scolarité des élèves handicapés dans le 1er ou le 2nd degré ( se reporter à AVS)
- Aide administrative aux directeurs d'écoles. Dans certaines écoles maternelles

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09/12/13
Bonpom  (Remire)

En réponse au message de Tagada du 09/12/13

Quels beaux exemples vous nous donnez là !!!

Les AVS ?
Si j'en crois le site que vous citez, leurs missions sont :
"Aide à la scolarité des élèves handicapés dans le 1er ou le 2nd degré ( se reporter à AVS)
- Aide administrative aux directeurs d'écoles
Dans certaines écoles maternelles ou élémentaires du département, les directeurs peuvent bénéficier d'une aide pour assurer leurs tâches administratives trés variées : secrétariat, accueil, saisie informatique, etc...
- Emplois de Vie Scolaire dans le 2nd degré
Des collèges ou des lycées peuvent employer en contrat aidé des surveillants d'externat ou des aides administratifs"


Donc, selon vous, jusqu'à la création récente des emplois-aidés, les élèves handicapés n'étaient ni accueillis, ni intégrés dans le 1er ou le second degré ! Mais à quoi servent les enseignants spécialisés
(http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/enseignant-e-specialise-e) ?
Les enseignants chargés des fonctions de directeur d'école n'accomplissaient pas cet aspect de leurs fonctions, en dépit de la décharge d'activité dont ils bénéficiaient !!!
Les surveillants ou maitres d'internat n'existaient pas non plus !!!

Quant aux animateurs d'activités peri-scolaires, n'est-ce pas là la conséquence de l'inconsequence de notre ministre de l'éducation nationale ? Et de plus, pouvez-vous nous précisez si ces activités sont gratuites ou payantes ?
Je vous renvoie à un article du Nouvel Observateur qui écrit, en ce qui concerne Paris :
" Plus de 8.000 ateliers attendent les bambins les mardi et vendredi, jours retenus pour les temps périscolaires qui se tiendront de 15 heures à 16h30. La liste des activité est longue, et détaillée sur le site de la Ville. Quelques exemples : ateliers d'éducation alimentaire ou de lecture pour les maternelles. Pour les élémentaires : création d'un web-magazine, jeux de mots, boxe et karaté, calligraphie, percussions corporelles... mais aussi plus simplement, projection de films. Le coût annuel pour la Ville sera d'environ 50 millions d'euros par an. L'Etat apportera un concours de 6,5 millions d'euros. La CAF, elle, a promis de verser 70 millions d'euros sur les quatre prochaines années."
Je vous laisse faire le compte de ce que celà va coûter en plus à la commune et, par voie de conséquence, aux contribuables qui auront déjà, par ailleus, financé le concours de l'Etat et la participation de la CAF. Et encore, ceci concerne l'une des villes les plus riches de France. Mais qu'en sera-t-il dans nos petites communes rurales ?

"Donc, selon vous, jusqu'à la création récente des emplois-aidés, les élèves handicapés n'étaient ni accueillis, ni intégrés dans le 1er ou le second degré ! Mais à quoi servent les enseignants spécialisés"
Encore faudrait-il qu'il y ait suffisamment de ces enseignants spécialisés en Guyane.
Et qu'ils soient spécialisés dans tous les handicaps : moteurs, physiques, intellectuels

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09/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 09/12/13

Quels beaux exemples vous nous donnez là !!!

Les AVS ?
Si j'en crois le site que vous citez, leurs missions sont :
"Aide à la scolarité des élèves handicapés dans le 1er ou le 2nd degré ( se reporter à AVS)
- Aide administrative aux directeurs d'écoles
Dans certaines écoles maternelles ou élémentaires du département, les directeurs peuvent bénéficier d'une aide pour assurer leurs tâches administratives trés variées : secrétariat, accueil, saisie informatique, etc...
- Emplois de Vie Scolaire dans le 2nd degré
Des collèges ou des lycées peuvent employer en contrat aidé des surveillants d'externat ou des aides administratifs"


Donc, selon vous, jusqu'à la création récente des emplois-aidés, les élèves handicapés n'étaient ni accueillis, ni intégrés dans le 1er ou le second degré ! Mais à quoi servent les enseignants spécialisés
(http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/enseignant-e-specialise-e) ?
Les enseignants chargés des fonctions de directeur d'école n'accomplissaient pas cet aspect de leurs fonctions, en dépit de la décharge d'activité dont ils bénéficiaient !!!
Les surveillants ou maitres d'internat n'existaient pas non plus !!!

Quant aux animateurs d'activités peri-scolaires, n'est-ce pas là la conséquence de l'inconsequence de notre ministre de l'éducation nationale ? Et de plus, pouvez-vous nous précisez si ces activités sont gratuites ou payantes ?
Je vous renvoie à un article du Nouvel Observateur qui écrit, en ce qui concerne Paris :
" Plus de 8.000 ateliers attendent les bambins les mardi et vendredi, jours retenus pour les temps périscolaires qui se tiendront de 15 heures à 16h30. La liste des activité est longue, et détaillée sur le site de la Ville. Quelques exemples : ateliers d'éducation alimentaire ou de lecture pour les maternelles. Pour les élémentaires : création d'un web-magazine, jeux de mots, boxe et karaté, calligraphie, percussions corporelles... mais aussi plus simplement, projection de films. Le coût annuel pour la Ville sera d'environ 50 millions d'euros par an. L'Etat apportera un concours de 6,5 millions d'euros. La CAF, elle, a promis de verser 70 millions d'euros sur les quatre prochaines années."
Je vous laisse faire le compte de ce que celà va coûter en plus à la commune et, par voie de conséquence, aux contribuables qui auront déjà, par ailleus, financé le concours de l'Etat et la participation de la CAF. Et encore, ceci concerne l'une des villes les plus riches de France. Mais qu'en sera-t-il dans nos petites communes rurales ?

Pour votre information, certains professionnels du handicap ne partagent pas votre amalgame approximatif entre le rôle des enseignants spécialisés et celui des AVS.
http://informations.handicap.fr/art-infos-handicap-2012-811-4923.php
Quant au développement du périscolaire, vous pouvez critiquer ce choix de société, mais vous aurez du mal à convaincre bon nombre de parents contribuables, ayant conscience

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09/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Koro du 09/12/13

Ces emplois sont forcément inutiles, surtout néfastes dans la mesure où ce sont des fonctionnaires déguisés qui ne donneront pas des emplois pérennes, ou se transformeront à terme en vrais fonctionnaires qu'il faudrait supprimer.

Sans bien évidement souscrire à votre phobie pour le fonctionnariat, qui vous appartient... C'est en effet l'un des gros reproches pouvant être fait à cette dérive consistant finalement à remplacer des emplois de fonctionnaires par des contrats de droit privé. On démantèle en partie la fonction publique (ex. suppression de postes

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09/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Pour votre information, certains professionnels du handicap ne partagent pas votre amalgame approximatif entre le rôle des enseignants spécialisés et celui des AVS.

http://informations.handicap.fr/art-infos-handicap-2012-811-4923.php

Quant au développement du périscolaire, vous pouvez critiquer ce choix de société, mais vous aurez du mal à convaincre bon nombre de parents contribuables, ayant conscience de l'investissement que cela représente, que la prise en charge de leurs enfants (nécessitant parfois une participation) en dehors du temps scolaires, ne doit surtout pas faire l'objet de création de nouveaux métiers et donc notamment de création d'emploi par le biais des contrats aidés.

"Mais qu'en sera-t-il dans nos petites communes rurales ?"

Justement, la prise en charge par l'état ou les grandes collectivités d'une grosse partie du contrat aidé, permet notamment aux plus petites communes de recruter et ainsi de créer des services qu'elles n'auraient pu se "payer" toutes seules. Ça s'appelle de la solidarité...

"Justement, la prise en charge par l'état ou les grandes collectivités d'une grosse partie du contrat aidé, permet notamment aux plus petites communes de recruter et ainsi de créer des services qu'elles n'auraient pu se "payer" toutes seules. Ça s'appelle de la solidarité.."
Allez donc expliquer cela aux maires puisque votre ministre en a été incapable !
Malgré un débat au sein du grand auditorium du parc des expositions, les élus de

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09/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Pour votre information, certains professionnels du handicap ne partagent pas votre amalgame approximatif entre le rôle des enseignants spécialisés et celui des AVS.

http://informations.handicap.fr/art-infos-handicap-2012-811-4923.php

Quant au développement du périscolaire, vous pouvez critiquer ce choix de société, mais vous aurez du mal à convaincre bon nombre de parents contribuables, ayant conscience de l'investissement que cela représente, que la prise en charge de leurs enfants (nécessitant parfois une participation) en dehors du temps scolaires, ne doit surtout pas faire l'objet de création de nouveaux métiers et donc notamment de création d'emploi par le biais des contrats aidés.

"Mais qu'en sera-t-il dans nos petites communes rurales ?"

Justement, la prise en charge par l'état ou les grandes collectivités d'une grosse partie du contrat aidé, permet notamment aux plus petites communes de recruter et ainsi de créer des services qu'elles n'auraient pu se "payer" toutes seules. Ça s'appelle de la solidarité...

"Pour votre information, certains professionnels du handicap ne partagent pas votre amalgame approximatif entre le rôle des enseignants spécialisés et celui des AVS."
Le site que vous mettez en ligne écrit :
"Le 25 juin 2013, Pénélope Komitès remettait son rapport sur la « professionnalisation des accompagnants pour la réussite des enfants et adolescents en situation de handicap

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09/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de Bonpom du 09/12/13

"Donc, selon vous, jusqu'à la création récente des emplois-aidés, les élèves handicapés n'étaient ni accueillis, ni intégrés dans le 1er ou le second degré ! Mais à quoi servent les enseignants spécialisés"
Encore faudrait-il qu'il y ait suffisamment de ces enseignants spécialisés en Guyane.
Et qu'ils soient spécialisés dans tous les handicaps : moteurs, physiques, intellectuels !
Il est évident qu'en collège ces profs sont trop rares et qu'une AVS peut permettre, par exemple, qu'un enfant autiste suive une classe de 6è presque normalement plutôt qu'être dans un établissement spécialisé.
Une AVS prendra en charge 1 ou 2 élèves, ce qui lui permet de s'adapter beaucoup plus facilement qu'un prof (même spécialisé) face à 30 élèves. L'accueil d'un élève handicapé dans une classe "normale" quand c'est possible est (souvent) plus positive pour l'élève que son placement dans un centre spécialisé (beaucoup plus coûteux, quand il existe).

"Par ailleurs, elle crée un nouveau dispositif qui se superpose à l'existant, mais sans penser son articulation avec ce même existant : création d'un nouveau diplôme là où on en compte déjà un certain nombre menant aux métiers de l'accompagnement des personnes handicapées, mise en place d'une nouvelle architecture, sous la forme d'un GIP, sans en prévoir les modalités de coordination avec les services d'accompagnement qui existent déjà en la matière (SESSAD ou services à domicile, entre autres)."
Mais je suis totalement en accord avec vous sur ce point. L'intégrations scolaire des handicapés a été l'une des facettes de mon activité professionnelle, du moins lorsque je travaillais dans des établissement qui géraient soit un secteur de pédo-psy, soit

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09/12/13
Laurent  (Kourou)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Sans bien évidement souscrire à votre phobie pour le fonctionnariat, qui vous appartient... C'est en effet l'un des gros reproches pouvant être fait à cette dérive consistant finalement à remplacer des emplois de fonctionnaires par des contrats de droit privé. On démantèle en partie la fonction publique (ex. suppression de postes d'enseignants spécialisés) pour les remplacer par des auxiliaires relevant du contrat aidés de droit privé, souvent plus généralistes, et sans doute moins coûteux, compte tenu de niveaux de diplômes ou de formation moins élevés (ex. développement des postes d'AVS). Ne reste plus ensuite qu'une RGPP vienne à décider, pour satisfaire aux injonctions d'économie du FMI par exemple, la suppression de ces postes qui ne sont plus protégés (comme le sont les emplois de fonctionnaires) et le mammouth est vite dégraissé.
Mais ça c'est la théorie...dans la réalité les parents contribuables qui ont par exemple des enfants en situation de handicap, ne peuvent légitiment tolérer que ce qui est supprimé d'un côté ne soit pas compensé de l'autre...

Sans le savoir visiblement, Tagada et vous-mêmes, défendez donc une vision à l'ancienne de la fonction publique pléthorique. Et c'est plutôt mignon...

Il convient parfois de rappeler les fonctions régaliennes de l'Etat: l'éducation, la défense, la sécurité, la justice. Nul part je n'y voit l'aide aux entreprises privées, surtout dans un système qu'on veut capitaliste.

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09/12/13
3wap  (Montjo)

En réponse au message de Tagada du 09/12/13

"Pour votre information, certains professionnels du handicap ne partagent pas votre amalgame approximatif entre le rôle des enseignants spécialisés et celui des AVS."

Le site que vous mettez en ligne écrit :
"Le 25 juin 2013, Pénélope Komitès remettait son rapport sur la « professionnalisation des accompagnants pour la réussite des enfants et adolescents en situation de handicap » (actuels AVS)." Ceci ne signifie-t-il pas que les AVS ne sont pas des professionnels (ou, pour le moins, insuffisamment formés) ?

"Parmi les premiers à rendre leur verdict : la FEGAPEI et Trisomie 21 France. Dans un communiqué, elles tiennent à souligner que la principale proposition faite, à savoir la création des « Accompagnants de jeunes handicapés » (AJH) employés au sein d'un Groupement d'intérêt public (GIP), ne constitue pas une réponse suffisante.". Il semble que les AJH (ou AVS) ne constituent pas une réponse correcte aux problèmes rencontrés dans la prise en charge des handicapés.

"Par ailleurs, elle crée un nouveau dispositif qui se superpose à l'existant, mais sans penser son articulation avec ce même existant : création d'un nouveau diplôme là où on en compte déjà un certain nombre menant aux métiers de l'accompagnement des personnes handicapées, mise en place d'une nouvelle architecture, sous la forme d'un GIP, sans en prévoir les modalités de coordination avec les services d'accompagnement qui existent déjà en la matière (SESSAD ou services à domicile, entre autres)." Tout est dit : ON REINVENTE LA ROUE !

Bravo pour votre démonstration...

Prenons un cas concret...Dans la classe de l'un de mes garçons qui est en 6ème, l'un de ses camarades a ne déficience visuelle lourde. Il a donc une AVS quasiment tout le temps avec lui dans la classe et presque à tous les cours (sauf en sport et arts plastiques) afin de l'aider dans sa prise de note. Hormis cet handicap, il est parfaitement intégré à tous les niveaux et fait même parti des "tronches" de la classe. L'AVS en question n'a

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10/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Prenons un cas concret...Dans la classe de l'un de mes garçons qui est en 6ème, l'un de ses camarades a ne déficience visuelle lourde. Il a donc une AVS quasiment tout le temps avec lui dans la classe et presque à tous les cours (sauf en sport et arts plastiques) afin de l'aider dans sa prise de note. Hormis cet handicap, il est parfaitement intégré à tous les niveaux et fait même parti des "tronches" de la classe. L'AVS en question n'a pas besoin de compétences éducatives particulières, si ce n'est être capable de lui retranscrire les infos des profs, en s'abstenant de faire le travail à sa place.

À vous lire le fait qu'il dispose d'une AVS est donc une totale absurdité... Vous auriez apparemment préféré qu'il soit dans une classe spécialisée avec un enseignement spécialisé pour chaque discipline, et avec d'autres enfantsortant un handicap similaire. Ce qui aurait aussi signifié une structure unique à l'échelle de l'agglomération, car ce serait évidement trop coûteux de multiplier le dispositif dans chaque établissement...

Ma question est la suivante... Comment concilier vous une telle approche de la prise en charge, avec les principes édictés par la loi de 2005 sur le handicap, votée par la droite (gouvernement Raffarin):'

"La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté."

"Le recours à l'accompagnement par un auxiliaire de vie scolaire pour l’aide -individuellle (AVS-I) ou un auxiliaire de vie scolaire pour l’aide -mutualisée (AVS-M) et à des matériels pédagogiques adaptés concourent à rendre possible l'accomplissement de la scolarité."


http://www.education.gouv.fr/cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html

Vous parler de "réinventer la roue"...Or l'on voit pourtant bien comment l'évolution positive, il me semble, de l'intégration du handicap et des nouvelles politiques de prises en charge du handicap (loi de 2005) adoptées en ce sens, impliquent des besoins nouveaux... En effet, à partir du moment où l'on considère que certains handicaps ne doivent plus faire obstacle à une scolarité ordinaire, et bien il convient alors d'adapter le mode de prise en charge, non plus en ayant des enseignants et des établissement spécialisés, mais simplement des auxiliaires de vie accompagnant le gamin dans une scolarité normale...D'où les AVS moins diplômés ou professionnalisés que des profs spécialisés.  En quoi cette logique adoptée par un gouvernement de droite, vous paraît-elle donc à ce point insensée?   

Croyez-vous que l'on ait attendu l'année 2005 pour mettre en oeuvre l'intégration scolaire des jeunes handicapés ? Les premières instructions en ce sens, qui se sont traduites en particulier par des conventions Rectorat-Centres Hospitaliers Spécialisés en vue soit de l'intervention de personnels de santé au sein des établissements scolaires,

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10/12/13
Tagada  (Paris)

En réponse au message de 3wap du 09/12/13

Prenons un cas concret...Dans la classe de l'un de mes garçons qui est en 6ème, l'un de ses camarades a ne déficience visuelle lourde. Il a donc une AVS quasiment tout le temps avec lui dans la classe et presque à tous les cours (sauf en sport et arts plastiques) afin de l'aider dans sa prise de note. Hormis cet handicap, il est parfaitement intégré à tous les niveaux et fait même parti des "tronches" de la classe. L'AVS en question n'a pas besoin de compétences éducatives particulières, si ce n'est être capable de lui retranscrire les infos des profs, en s'abstenant de faire le travail à sa place.

À vous lire le fait qu'il dispose d'une AVS est donc une totale absurdité... Vous auriez apparemment préféré qu'il soit dans une classe spécialisée avec un enseignement spécialisé pour chaque discipline, et avec d'autres enfantsortant un handicap similaire. Ce qui aurait aussi signifié une structure unique à l'échelle de l'agglomération, car ce serait évidement trop coûteux de multiplier le dispositif dans chaque établissement...

Ma question est la suivante... Comment concilier vous une telle approche de la prise en charge, avec les principes édictés par la loi de 2005 sur le handicap, votée par la droite (gouvernement Raffarin):'

"La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté."

"Le recours à l'accompagnement par un auxiliaire de vie scolaire pour l’aide -individuellle (AVS-I) ou un auxiliaire de vie scolaire pour l’aide -mutualisée (AVS-M) et à des matériels pédagogiques adaptés concourent à rendre possible l'accomplissement de la scolarité."


http://www.education.gouv.fr/cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html

Vous parler de "réinventer la roue"...Or l'on voit pourtant bien comment l'évolution positive, il me semble, de l'intégration du handicap et des nouvelles politiques de prises en charge du handicap (loi de 2005) adoptées en ce sens, impliquent des besoins nouveaux... En effet, à partir du moment où l'on considère que certains handicaps ne doivent plus faire obstacle à une scolarité ordinaire, et bien il convient alors d'adapter le mode de prise en charge, non plus en ayant des enseignants et des établissement spécialisés, mais simplement des auxiliaires de vie accompagnant le gamin dans une scolarité normale...D'où les AVS moins diplômés ou professionnalisés que des profs spécialisés.  En quoi cette logique adoptée par un gouvernement de droite, vous paraît-elle donc à ce point insensée?   

"Vous auriez apparemment préféré qu'il soit dans une classe spécialisée avec un enseignement spécialisé pour chaque discipline, et avec d'autres enfantsortant un handicap similaire."
Mettez d'un côté un enseignant spécialisé face à 5 jeunes handicapés et, de l'autre côte, 5 AVS derrière 5 jeunes handicapés, et dites-moi donc quelle est la solution la plus économique !

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