153 messages - Inverser l'ordre
En réponse au message de 3wap du 15/02/15
Il me semble que vous poussez le bouchon un peu loin. Se déguiser, brailler, défiler au rythme de percussions, tous les gosses de la terre adorent ce genre de culture-là. On a donc beaucoup de mal à y voir une quelconque pratique culturelle discriminante...sauf peut-être envers ceux qui aspirent à la quiétude, loin, bien loin, de ces bataillons de gnomes bigarés qui font bruyament le tour du quartier et de leur école. Et de fait, pour avoir dû m'en coltiner un certain nombre, appareil photo à la main, je puis vous assurer que les gosses de toutes origines, y participent. Et il me semble bien que c'est aussi l'occasion où leurs parents, divers et variés eux aussi, se côtoient un moment en souriant.
"Si notre carnaval de rue est en train de basculer dans la violence, c'est bien parce qu'il a été pris en main par une population trop jeune de carnavaliers qui n'en comprend pas le sens et qui n'en détient pas les codes."
Ceux auxquels vous faites allusion, sont surtout des jeunes (et moins jeunes) qui ont hélas développé une culture de la violence, et qui en profitent pour l'exprimer dans la rue. Mais je ne vois franchement pas quel lien on pourrait vouloir faire, entre cette dérive sociétale (que l'on retrouve partout ailleurs y compris en dehors du contexte carnavalesque) et ces défilés bien innocents organisés par l'école. Bien au contraire, ce jour-là les maîtresses et les parents qui les accompagnent, "enseignent" justement aux gamins à défiler sagement et en s'amusant... Quel drame.
J'appartiens à une génération où les enfants ne faisaient pas le carnaval de rue, ni avec leurs parents, ni avec l'école. Ils avaient leurs propres réjouissances, bal du mardi gras, le vidé avec leurs parents, défilé de la mi-Carême, jour férié supprimé par le Rectorat de la Guyane alors que nos voisins Antillais ont réussi à préserver cette tradition. Je confirme, pour
En réponse au message de Probst Raymonde du 15/02/15
J'appartiens à une génération où les enfants ne faisaient pas le carnaval de rue, ni avec leurs parents, ni avec l'école. Ils avaient leurs propres réjouissances, bal du mardi gras, le vidé avec leurs parents, défilé de la mi-Carême, jour férié supprimé par le Rectorat de la Guyane alors que nos voisins Antillais ont réussi à préserver cette tradition.
Je confirme, pour appartenir au corps enseignant depuis longtemps, que depuis quelques années, selon les villes et les quartiers, bien sûr, que le tiers voir la moitié des classes est absent le jour de ces défilés de rue scolaires.
Notre vidé a été supprimé et aux dires d'un membre du comité carnavalesque de Cayenne, sur les ondes radio, les défilés de rue risquent de l'être aussi à cause justement de cette culture de la violence qui profite du carnaval pour s'exprimer alors que des familles avec des enfants sont présents pour admirer un spectacle et non une guerre urbaine avec armes, alcool, drogues, insultes, agressions de toutes sortes.À trop de démagogie sur la liberté d'expression, on en arrive à une société sans loi ni maître ou Dieu, selon,
Le carnaval, bien que manifestation païenne par excellence, a ses codes qui sont quasi religieux. " Se déguiser, brailler, défiler au rythme des percussions, ce genre de culture" comme vous l'écrivez,, ce n'est pas l'essence de notre carnaval.
Selon vous, on peut tout enseigner aux enfants:
"enseigner à défiler sagement et en s'amusant..."
Pourquoi pas aussi: "enseigner à boire de l'alcool sagement et en s'amusant, enseigner à flirter et plus sagement et en s'amusant... Puisqu'il n'y a plus d'âge requit pour accéder à des pratiques et réjouissances d'adulte et qu'on ne respecte plus rien ni personne. Triste et désespérant pour nos enfants.
Ce que vous dites si justement s'est produit aussi en Allemagne pays de carnaval s'il en est, comme quoi les occidentaux sont diversifiés mais pas forcément si différents. Le carnaval était comme une soupape de sécurité pour relâcher (j'ai enfin trouvé comment mettre le chapeau sur le a sur ce clavier défaillant) la pression dans des sociétés laborieuses
Je revendique l'apprentissage des cultures de la société guyanaise et du pays Guyane dans l'école et j'y participe pleinement et activement.
Travailler autour du thème du carnaval a toujours existé dans les écoles, toute la classe y participe et aucun enfant ne manque à l'appel car ces activités mettent en oeuvre de véritables apprentissages scolaires dans différents domaines, le carnaval n'étant qu'un prétexte. Les enfants sont toujours sortis déguisés les dimanches souvent avec leurs créations scolaires et
En réponse au message de Probst Raymonde du 15/02/15
J'appartiens à une génération où les enfants ne faisaient pas le carnaval de rue, ni avec leurs parents, ni avec l'école. Ils avaient leurs propres réjouissances, bal du mardi gras, le vidé avec leurs parents, défilé de la mi-Carême, jour férié supprimé par le Rectorat de la Guyane alors que nos voisins Antillais ont réussi à préserver cette tradition.
Je confirme, pour appartenir au corps enseignant depuis longtemps, que depuis quelques années, selon les villes et les quartiers, bien sûr, que le tiers voir la moitié des classes est absent le jour de ces défilés de rue scolaires.
Notre vidé a été supprimé et aux dires d'un membre du comité carnavalesque de Cayenne, sur les ondes radio, les défilés de rue risquent de l'être aussi à cause justement de cette culture de la violence qui profite du carnaval pour s'exprimer alors que des familles avec des enfants sont présents pour admirer un spectacle et non une guerre urbaine avec armes, alcool, drogues, insultes, agressions de toutes sortes.À trop de démagogie sur la liberté d'expression, on en arrive à une société sans loi ni maître ou Dieu, selon,
Le carnaval, bien que manifestation païenne par excellence, a ses codes qui sont quasi religieux. " Se déguiser, brailler, défiler au rythme des percussions, ce genre de culture" comme vous l'écrivez,, ce n'est pas l'essence de notre carnaval.
Selon vous, on peut tout enseigner aux enfants:
"enseigner à défiler sagement et en s'amusant..."
Pourquoi pas aussi: "enseigner à boire de l'alcool sagement et en s'amusant, enseigner à flirter et plus sagement et en s'amusant... Puisqu'il n'y a plus d'âge requit pour accéder à des pratiques et réjouissances d'adulte et qu'on ne respecte plus rien ni personne. Triste et désespérant pour nos enfants.
À vous lire: "Pourquoi pas aussi: "enseigner à boire de l'alcool sagement et en s'amusant, enseigner à flirter et plus sagement et en s'amusant... Puisqu'il n'y a plus d'âge requit pour accéder à des pratiques et réjouissances d'adulte et qu'on ne respecte plus rien ni personne."
Et en observant ceci: http://www.franceguyane.fr/actualite/culture-et-patrimoine/les-enfants
Il faudrait donc y voir des pratiques irrespectueuses...Pourtant, il y a-t-il la moindre
En réponse au message de Probst Raymonde du 15/02/15
J'appartiens à une génération où les enfants ne faisaient pas le carnaval de rue, ni avec leurs parents, ni avec l'école. Ils avaient leurs propres réjouissances, bal du mardi gras, le vidé avec leurs parents, défilé de la mi-Carême, jour férié supprimé par le Rectorat de la Guyane alors que nos voisins Antillais ont réussi à préserver cette tradition.
Je confirme, pour appartenir au corps enseignant depuis longtemps, que depuis quelques années, selon les villes et les quartiers, bien sûr, que le tiers voir la moitié des classes est absent le jour de ces défilés de rue scolaires.
Notre vidé a été supprimé et aux dires d'un membre du comité carnavalesque de Cayenne, sur les ondes radio, les défilés de rue risquent de l'être aussi à cause justement de cette culture de la violence qui profite du carnaval pour s'exprimer alors que des familles avec des enfants sont présents pour admirer un spectacle et non une guerre urbaine avec armes, alcool, drogues, insultes, agressions de toutes sortes.À trop de démagogie sur la liberté d'expression, on en arrive à une société sans loi ni maître ou Dieu, selon,
Le carnaval, bien que manifestation païenne par excellence, a ses codes qui sont quasi religieux. " Se déguiser, brailler, défiler au rythme des percussions, ce genre de culture" comme vous l'écrivez,, ce n'est pas l'essence de notre carnaval.
Selon vous, on peut tout enseigner aux enfants:
"enseigner à défiler sagement et en s'amusant..."
Pourquoi pas aussi: "enseigner à boire de l'alcool sagement et en s'amusant, enseigner à flirter et plus sagement et en s'amusant... Puisqu'il n'y a plus d'âge requit pour accéder à des pratiques et réjouissances d'adulte et qu'on ne respecte plus rien ni personne. Triste et désespérant pour nos enfants.
et si on se fie au faciès des enfants qui défilaient hier dans les rues de Cayenne, c'était plutot la joie! depuis des années je trouvais que la grande parade de Kourou supplantait celle de Cayenne, hier soir la tendance s'inversait, tant au niveau de l'originalité des costumes qu'à celui du nombre de groupes. petit bémol, mon neveu de 4 ans m'a demandé pourquoi les filles
En réponse au message de 3wap du 15/02/15
À vous lire:
"Pourquoi pas aussi: "enseigner à boire de l'alcool sagement et en s'amusant, enseigner à flirter et plus sagement et en s'amusant... Puisqu'il n'y a plus d'âge requit pour accéder à des pratiques et réjouissances d'adulte et qu'on ne respecte plus rien ni personne."
Et en observant ceci:
http://www.franceguyane.fr/actualite/culture-et-patrimoine/les-enfants-font-leur-carnaval
Il faudrait donc y voir des pratiques irrespectueuses...Pourtant, il y a-t-il la moindre indécence, ou la moindre dépravation dans ces images? Et qui seraient donc les discriminés qui n'y figurent pas?
Vous êtres quasiment en train de faire un procès en moralité (pourquoi pas l'alcool et le flirt) à de simples défilés d'enfants, parfaitement innocents. N'est-ce pas très exagéré?
Sinon, qu'elle serait donc cette si fameuse essence de "notre" carnaval? Que l'on comprenne mieux en quoi ces défilés de carnavaliers demi-portions, la pervertissent à ce point.
Toi, le 3*Toi, t'as pas compris que pour certains en Guyane, ce qui est "introduit" par les cultures extérieures n'aura qu'une conséquence sur la culture locale. Le MAL.
Fais un effort quoi ! La culture, c'est un monolithe ! Figé dans le socle surtout pas commun, raide et puis droit comme un i. Et les ennemis de cet droiture transgénérationnelle n'ont en
En réponse au message de Probst Raymonde du 14/02/15
Le carnaval et les enfants
Depuis plusieurs années, l'école apprend aux enfants, dès la maternelle, la pratique du carnaval de rue.
Le carnaval, "FÊTE DE LA CHAIR" est une réjouissance pour adultes. Pour preuve, il n'existe pas de chansons de carnaval pour enfants.
L'école doit rester dans son rôle, son cadre pédagogique, apprendre le fait culturel et ou religieux, apprendre à connaître l'autre, apprendre à vivre ensemble. Dès lors qu'elle introduit une pratique discriminante, elle s'écarte de la laïcité en excluant, lors de ces défilés, des enfants dont ce n'est pas la culture. Le jour de ces défilés de rue scolaires, un nombre important d'élèves ne vient pas à l'école. De plus, regardez bien, dans ces défilés d'enfants, ce sont surtout les adultes qui dansent preuve que les enfants ne sont pas prêts pour ce type d'apprentissage, sans parler les paroles de chansons licencieuses qu'ils répètent en toute innocence.
Si notre carnaval de rue est en train de basculer dans la violence, c'est bien parce qu'il a été pris en main par une population trop jeune de carnavaliers qui n'en comprend pas le sens et qui n'en détient pas les codes.
Apprenons aux enfants à grandir pas à pas. Chaque âge a ses réjouissances.
Piti piti, toti monté montangn.
Le carnaval n'est pas le même partout. Pour celui de mon enfance, c'était les enfants qui se deguisaient, couraient dans les rues et faisaient du porte à porte. Jamais un adulte n'y participait. Carnaval c'était la fête des enfants.
En réponse au message de Weenana du 16/02/15
Toi, le 3*Toi, t'as pas compris que pour certains en Guyane, ce qui est "introduit" par les cultures extérieures n'aura qu'une conséquence sur la culture locale. Le MAL.
Fais un effort quoi ! La culture, c'est un monolithe ! Figé dans le socle surtout pas commun, raide et puis droit comme un i.
Et les ennemis de cet droiture transgénérationnelle n'ont en réalité qu'une pensée durant leur passage sur cette terre bénie , la souiller, la détourner, la diluer, voir pour les plus sataniques d'entre eux, l'éliminer simplement...
et les parents qui ont tout compris - dont tu n'es pas, semblerait-il, moi nous d'ailleurs, puisque nous entonnons "papiyon volé" depuis des années - font biens de ne pas mettre leurs enfants à l'école, le jour de la cavalcade.
Car ces enfants resteront culturellement pures.
Ces "certains" sont issus du moule des intégristes de tous poils qui submergent d'amour et diffusent des atomes de bonheur sur la totalité de la planète.
Vous m'accusez d'intégrisme car je veux préserver ma culture, OUI, je veux la préserver comme les bretons,les alsaciens,les corses ect...car elle nous singularise et raconte l'histoire de notre peuple. Demandez à nos compatriotes de métropole , ceux de Dunkerque, Nice, et tous les autres, s'ils souhaitent que leur carnaval ( car c'est de celà dont on parle)" soit
En réponse au message de 3wap du 15/02/15
Il me semble que vous poussez le bouchon un peu loin. Se déguiser, brailler, défiler au rythme de percussions, tous les gosses de la terre adorent ce genre de culture-là. On a donc beaucoup de mal à y voir une quelconque pratique culturelle discriminante...sauf peut-être envers ceux qui aspirent à la quiétude, loin, bien loin, de ces bataillons de gnomes bigarés qui font bruyament le tour du quartier et de leur école. Et de fait, pour avoir dû m'en coltiner un certain nombre, appareil photo à la main, je puis vous assurer que les gosses de toutes origines, y participent. Et il me semble bien que c'est aussi l'occasion où leurs parents, divers et variés eux aussi, se côtoient un moment en souriant.
"Si notre carnaval de rue est en train de basculer dans la violence, c'est bien parce qu'il a été pris en main par une population trop jeune de carnavaliers qui n'en comprend pas le sens et qui n'en détient pas les codes."
Ceux auxquels vous faites allusion, sont surtout des jeunes (et moins jeunes) qui ont hélas développé une culture de la violence, et qui en profitent pour l'exprimer dans la rue. Mais je ne vois franchement pas quel lien on pourrait vouloir faire, entre cette dérive sociétale (que l'on retrouve partout ailleurs y compris en dehors du contexte carnavalesque) et ces défilés bien innocents organisés par l'école. Bien au contraire, ce jour-là les maîtresses et les parents qui les accompagnent, "enseignent" justement aux gamins à défiler sagement et en s'amusant... Quel drame.
L'organisation des défilés de rue pour les enfants par l'école est une pratique discriminante contraire à la laïcité car ils ont lieu durant le temps scolaire et de ce fait excluent les enfants dont ce n'est pas la culture. Si ces défilés ont lieu en dehors de ce temps, oui, chaque parent étant libre de faire ou de pas faire participer son enfant à la manifestation. Je
En réponse au message de Probst Raymonde du 17/02/15
L'organisation des défilés de rue pour les enfants par l'école est une pratique discriminante contraire à la laïcité car ils ont lieu durant le temps scolaire et de ce fait excluent les enfants dont ce n'est pas la culture. Si ces défilés ont lieu en dehors de ce temps, oui, chaque parent étant libre de faire ou de pas faire participer son enfant à la manifestation. Je crois que vous mélangez tout, carnaval de rue ou cavalcade de rue, défilé ou parade. Je persiste, les enfants et les adolescents n'ont rien à faire dans les cavalcades de rue du dimanche après-midi.
Si je vous suis bien, il faudrait donc interdire aussi la fête du Créole qui a lieu chaque année dans les écoles, durant le temps scolaire. Car il s'agit d'une culture bien moins partagée que celle du carnaval...Exact?
En réponse au message de Probst Raymonde du 17/02/15
L'organisation des défilés de rue pour les enfants par l'école est une pratique discriminante contraire à la laïcité car ils ont lieu durant le temps scolaire et de ce fait excluent les enfants dont ce n'est pas la culture. Si ces défilés ont lieu en dehors de ce temps, oui, chaque parent étant libre de faire ou de pas faire participer son enfant à la manifestation. Je crois que vous mélangez tout, carnaval de rue ou cavalcade de rue, défilé ou parade. Je persiste, les enfants et les adolescents n'ont rien à faire dans les cavalcades de rue du dimanche après-midi.
les enfants au lit ! ou bien devant la télé à regarder des débilités?
souffrez qu'ici les guyanais respectent les traditions, un peu de bonheur, de rires, de sourires, de bonne humeur ne font pas de mal.
quant à la laïcité, expliquez moi en quoi le carnaval y est mêlé, merci de ne pas nous laisser idiots.
En réponse au message de Probst Raymonde du 16/02/15
Vous m'accusez d'intégrisme car je veux préserver ma culture, OUI, je veux la préserver comme les bretons,les alsaciens,les corses ect...car elle nous singularise et raconte l'histoire de notre peuple. Demandez à nos compatriotes de métropole , ceux de Dunkerque, Nice, et tous les autres, s'ils souhaitent que leur carnaval ( car c'est de celà dont on parle)" soit souillé, détourné, dilué,voir éliminé par des cultures extérieures" comme vous l'écrivez..Allez donc leur proposer le nôtre et revenez nous dire ce qu'ils vous auront répondu Tirer en conclusion que mes propos et mes observations sur le carnaval de Guyane me rangent dans le camp des "certains" adeptes de la pureté culturelle et refusant toute évolution n'engage que vous.Pour ma part, je trouve que les vôtres, à mon égard, ont des relents de néocolonialisme.
Je ne vous salue pas, Weenana
Désolée de vous décevoir, mais il y a sûrement plus de ferveur à accueillir les differences dans les festivités dans les villes que vous citez, qu'ici là à Cayenne, et sûrement, les retombées économiques s'en ressentent.
La Guyane aurait beaucoup à gagner à être plus ouverte, le monde change d'une génération à l'autre.
En réponse au message de 3wap du 17/02/15
Si je vous suis bien, il faudrait donc interdire aussi la fête du Créole qui a lieu chaque année dans les écoles, durant le temps scolaire. Car il s'agit d'une culture bien moins partagée que celle du carnaval...Exact?
L'enseignement des langues régionales date d'une loi de 1951 et depuis 1982 c'est une matière à part entière au même titre que les maths, le français, les arts ect...Quant au créole, il est enseigné depuis 2002 dans certaines classes en Guyane et donc s'adresse à tous les écoliers. Aucun parent, ni enfant ne peut s'opposer à un apprentissage prévu par les textes
Carnaval, suite et fin (pour moi).
Pour tous ceux qui échangent sur ce thème,
Vous avez l'art et la manière d'entraîner les personnes sur des terrains nauséabonds. Relisez mon message initial en date du 14/02/15. Noël, comme le carnaval, est un thème abordé à l'école, on étudie le fait religieux , les origines de cette fête, c'est aussi un prétexe à différents apprentissages mais nous n'allons pas jusqu'à initier les enfants au "chanté Nwèl" ou au chemin de croix (pour ceux qui ne comprennent le sens de la laïcité).
MO BOUT Ké ZÒT!
En réponse au message de Probst Raymonde du 17/02/15
L'enseignement des langues régionales date d'une loi de 1951 et depuis 1982 c'est une matière à part entière au même titre que les maths, le français, les arts ect...Quant au créole, il est enseigné depuis 2002 dans certaines classes en Guyane et donc s'adresse à tous les écoliers. Aucun parent, ni enfant ne peut s'opposer à un apprentissage prévu par les textes officiels. À toutes fins utiles, vous pouvez vérifier sur Eduscol les textes de références concernant l'enseignement des langues régionales.
Quant à la laïcité, ce principe fondateur de notre civilisation,elle doit nous apprendre et nous permettre de vivre ensemble, sans exclusion. Elle est l'ennemie de l'intolérance.
Suite à mes propos tenus sur l'évolution du carnaval de Guyane, de ses us et coutumes, voilà où nous en sommes: la fête du créole dans les écoles de Guyane, pratique discriminatoire.
AHURISSANT!!!
Il y aurait donc une géométrie variable impliquant que certains thèmes culturels soient plus discriminants que d'autres... Des bambins venus d'autres horizons s'enrichiraient donc en apprenant un chant ou une poésie créole. Ce que je crois volontiers. Mais les mêmes seraient fatalement relégués et condamnés à rester chez eux, lorsqu'il s'agirait de défiler
En réponse au message de Probst Raymonde du 17/02/15
L'enseignement des langues régionales date d'une loi de 1951 et depuis 1982 c'est une matière à part entière au même titre que les maths, le français, les arts ect...Quant au créole, il est enseigné depuis 2002 dans certaines classes en Guyane et donc s'adresse à tous les écoliers. Aucun parent, ni enfant ne peut s'opposer à un apprentissage prévu par les textes officiels. À toutes fins utiles, vous pouvez vérifier sur Eduscol les textes de références concernant l'enseignement des langues régionales.
Quant à la laïcité, ce principe fondateur de notre civilisation,elle doit nous apprendre et nous permettre de vivre ensemble, sans exclusion. Elle est l'ennemie de l'intolérance.
Suite à mes propos tenus sur l'évolution du carnaval de Guyane, de ses us et coutumes, voilà où nous en sommes: la fête du créole dans les écoles de Guyane, pratique discriminatoire.
AHURISSANT!!!
« L’enseignement facultatif de langue et culture régionales est proposé dans l’une des deux formes suivantes :
« 1° Un enseignement de la langue et de la culture régionales ;
« 2° Un enseignement bilingue en langue française et en langue régionale.
(loi de refondation de l'école et
http://cache.media.education.gouv.fr/langues_regionales_guide_web_295372.pdf p.8, 9, 10)
CARNAVAL 2016 : Vu dans le journal de ce matin : "Dimanche 3 janvier - Rémire-Montjoly - Arrivée du prince Armire, avec Mayouri Tchô Nèg, au marché aux puces de Vaval".
C'est très bien tout ça, mais à quelle heure doit-il arriver au marché ? Suivra-t-il un circuit ou sera-t-il stationnaire ?
Merci pour toute info.
Sauf le respect que l'on doit au Carnaval Guyanais s'agit-il encore d'un carnaval?
Tan lontan,l'esprit y était,gran moun yan te gen respè pou ye ko.
Maintenant,avons nous affaire à une fête de la violence dans la rue considérée comme "normale",voire légitime par ceux qui la pratique?
Et pour les dancing...?
merci à tous ceux qui ont défilé à Kourou dimanche dernier; un esprit bougon comme moi regrette les costumes psychédéliques de Manaré mais enfin que de couleurs et de bonne humeur.
les organisateurs ne devraient pas permettre aux groupes non déguiés de parader au milieu des autres, mais simplement en fin de cortège; un vidé au milieu d'un défilé quel non sens, cela se fait peut être au Brésil, ça ne doit pas l'être en Guyane.
En réponse au message de Philippe2 du 02/02/16
merci à tous ceux qui ont défilé à Kourou dimanche dernier; un esprit bougon comme moi regrette les costumes psychédéliques de Manaré mais enfin que de couleurs et de bonne humeur.
les organisateurs ne devraient pas permettre aux groupes non déguiés de parader au milieu des autres, mais simplement en fin de cortège; un vidé au milieu d'un défilé quel non sens, cela se fait peut être au Brésil, ça ne doit pas l'être en Guyane.
Les temps changent les carnavals aussi. Les supporters "fanatiks" des groupes suivent leur groupe préféré, si c'est pour la fête, pourquoi pas. Tu as les sympathisants mais également, les petites mains ceux qui travaillent dans l'ombre pour faire éclater les sons et les couleurs. Je ne suis pas très objective pour le coup, je préfère le défilé de rue, où tu suis si tu
En réponse au message de Philippe2 du 02/02/16
merci à tous ceux qui ont défilé à Kourou dimanche dernier; un esprit bougon comme moi regrette les costumes psychédéliques de Manaré mais enfin que de couleurs et de bonne humeur.
les organisateurs ne devraient pas permettre aux groupes non déguiés de parader au milieu des autres, mais simplement en fin de cortège; un vidé au milieu d'un défilé quel non sens, cela se fait peut être au Brésil, ça ne doit pas l'être en Guyane.
D'accord avec vous ; deux vidés derrière deux groupes n'a pas beaucoup de sens en Guyane mais comme le carnaval est une "fête" pluri ethnique pourquoi pas ; le public appréciera. Mais le grand gourou carnavalesque kouroucien, perché sur le monstre rutilant, drainait, au son de la musique, devant et derrière lui, tel "le joueur de flûte de hamelin", plus de
Nicolas Quendez, photographe à Rémire-Montjoly, nous présente ses photos de la parade du littoral à Kourou et, ce qui est plus rare, des images de la préparation des costumes du groupe Siliko qui a défilé dimanche sur le thème des animaux.
merci aux groupes qui ont défilé à Cayenne faisant fi de la pluie;
la plupart des carnavaliers ont renoué avec la tradition guyanaise de porter le masque, bravo;
beaucoup de jeunes qui, plutot que de bruler des voitures ont passé des heures à répéter leurs chorégraphies, leurs partitions musicales, et à créer leurs costumes.
merci à tous pour ce moment de joie.
En réponse au message de Philippe2 du 07/02/16
merci aux groupes qui ont défilé à Cayenne faisant fi de la pluie;
la plupart des carnavaliers ont renoué avec la tradition guyanaise de porter le masque, bravo;
beaucoup de jeunes qui, plutot que de bruler des voitures ont passé des heures à répéter leurs chorégraphies, leurs partitions musicales, et à créer leurs costumes.
merci à tous pour ce moment de joie.
bonsoir,
Philippe2, en parlant de carnaval et des traditions, et plus spécifiquement des masques, je voulais savoir s'il existe une tradition "du" masque en Guyane, et si "oui", quels sont ces masques. j'adore voir des groupes folkloriques défiler masqués, et je me demandais s'il y avait quelque-chose de semblable à ceci (voir lien) en Guyane ?
https://www.pinterest.com/pin/378865387372449470/
En réponse au message de Patrice C du 08/02/16
bonsoir,
Philippe2, en parlant de carnaval et des traditions, et plus spécifiquement des masques, je voulais savoir s'il existe une tradition "du" masque en Guyane, et si "oui", quels sont ces masques. j'adore voir des groupes folkloriques défiler masqués, et je me demandais s'il y avait quelque-chose de semblable à ceci (voir lien) en Guyane ?
https://www.pinterest.com/pin/378865387372449470/
le masque a pour but la non identification de la personne, en Guyane comme le montrent les photos, en Allemagne, et certainement ailleurs.
les touloulous se régalent de faire danser ceux qu'elles veulent, qui ne les auraient certainement pas invités sinon; dans ma famille on raconte toujours que lors des carnavals du temps passé les maîtres étaient ravis de s'encanailler à bon prix et avec la bénédiction des autorités!
Nicolas Quendez, photographe à Rémire-Montjoly, nous présente ses photos de la parade de Cayenne.
Bon visionnage.
www.nicolas-quendez.com
En réponse au message de Philippe2 du 09/02/16
le masque a pour but la non identification de la personne, en Guyane comme le montrent les photos, en Allemagne, et certainement ailleurs.
les touloulous se régalent de faire danser ceux qu'elles veulent, qui ne les auraient certainement pas invités sinon; dans ma famille on raconte toujours que lors des carnavals du temps passé les maîtres étaient ravis de s'encanailler à bon prix et avec la bénédiction des autorités!
bonsoir,
merci Philippe2. En Guyane, le masque a donc pour fonction de cacher, en Allemagne, il représente quelque-chose : sorcière, homme atteint de la peste, la mort, les esprits des bois...la fonction du masque est légèrement différente, apparemment.
cela est très certainement dû à l'origine des carnavals, entre ici, et l'Europe.
monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur.
effectivement ils doivent mettre moins d'ardeur à chercher du travail (à démontrer) à monter une entreprise (quand on sait toutes les tracasseries administratives que cela sous tend) ils mettent aussi moins de gout à bruler des voitures. l'état de déresponsabilité ambiante les y prépare d'ailleurs, quand on sait qu'il vaut mieux toucher des aides sociales que de bosser! et
En réponse au message de Philippe2 du 11/02/16
monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur.
effectivement ils doivent mettre moins d'ardeur à chercher du travail (à démontrer) à monter une entreprise (quand on sait toutes les tracasseries administratives que cela sous tend) ils mettent aussi moins de gout à bruler des voitures. l'état de déresponsabilité ambiante les y prépare d'ailleurs, quand on sait qu'il vaut mieux toucher des aides sociales que de bosser! et que l'on ne me dise pas le contraire, un département de l'est de la France avait demandé aux gens touchant le RSA de donner quelques heures par semaine à des associations, même la ministre a rappelé que la loi s'opposait à un nouvel STO !
monseigneur sait d'ailleurs ce que veut dire "gagner son pain à la sueur de son front", lui qui ne cesse de répéter qu'il (notez le pronom) se doit de rémunérer les prêtres alors qu' il attend tout simplement que la communauté toute entière s'en charge!
Bonjour
Je trouve qu'il n'a pas complétement tord.
Je suis ici depuis plus de quinze ans mais originaire de la région de l'est que vous citez et croyez moi que la notion de travail n'est pas du tout la même à Cayenne qu'à Strasbourg.
cdlt
En réponse au message de Philippe2 du 11/02/16
monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur.
effectivement ils doivent mettre moins d'ardeur à chercher du travail (à démontrer) à monter une entreprise (quand on sait toutes les tracasseries administratives que cela sous tend) ils mettent aussi moins de gout à bruler des voitures. l'état de déresponsabilité ambiante les y prépare d'ailleurs, quand on sait qu'il vaut mieux toucher des aides sociales que de bosser! et que l'on ne me dise pas le contraire, un département de l'est de la France avait demandé aux gens touchant le RSA de donner quelques heures par semaine à des associations, même la ministre a rappelé que la loi s'opposait à un nouvel STO !
monseigneur sait d'ailleurs ce que veut dire "gagner son pain à la sueur de son front", lui qui ne cesse de répéter qu'il (notez le pronom) se doit de rémunérer les prêtres alors qu' il attend tout simplement que la communauté toute entière s'en charge!
L'évêque de Guyane n'a pas parlé de jeunes, il parlait aux guyanais en général! Et vu votre courroux, il a du appuyer la où cela fait mal!
En réponse au message de Philippe2 du 11/02/16
monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur.
effectivement ils doivent mettre moins d'ardeur à chercher du travail (à démontrer) à monter une entreprise (quand on sait toutes les tracasseries administratives que cela sous tend) ils mettent aussi moins de gout à bruler des voitures. l'état de déresponsabilité ambiante les y prépare d'ailleurs, quand on sait qu'il vaut mieux toucher des aides sociales que de bosser! et que l'on ne me dise pas le contraire, un département de l'est de la France avait demandé aux gens touchant le RSA de donner quelques heures par semaine à des associations, même la ministre a rappelé que la loi s'opposait à un nouvel STO !
monseigneur sait d'ailleurs ce que veut dire "gagner son pain à la sueur de son front", lui qui ne cesse de répéter qu'il (notez le pronom) se doit de rémunérer les prêtres alors qu' il attend tout simplement que la communauté toute entière s'en charge!
"monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur"
"Ce qui me plaît [dans le carnaval], ce sont les trois journées à thème.[...] J’imagine qu’il y a un travail solidaire entre les membres de groupes pour créer les costumes. C’est cet aspect
En réponse au message de Philippe2 du 11/02/16
monseigneur Laffont, évêque de Guyane s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur.
effectivement ils doivent mettre moins d'ardeur à chercher du travail (à démontrer) à monter une entreprise (quand on sait toutes les tracasseries administratives que cela sous tend) ils mettent aussi moins de gout à bruler des voitures. l'état de déresponsabilité ambiante les y prépare d'ailleurs, quand on sait qu'il vaut mieux toucher des aides sociales que de bosser! et que l'on ne me dise pas le contraire, un département de l'est de la France avait demandé aux gens touchant le RSA de donner quelques heures par semaine à des associations, même la ministre a rappelé que la loi s'opposait à un nouvel STO !
monseigneur sait d'ailleurs ce que veut dire "gagner son pain à la sueur de son front", lui qui ne cesse de répéter qu'il (notez le pronom) se doit de rémunérer les prêtres alors qu' il attend tout simplement que la communauté toute entière s'en charge!
La phrase exacte selon F.G. :" quand la Guyane mettra autant d'énergie au travail qu'elle en met dans le carnaval, alors rien ne lui résistera. Elle sera au top du monde" . C'est un peu vrai mais il faut voir aussi le côté défouloir ou plutôt canalisation et dépense d'énergie qu'il est préférable de voir dans les cavalcades de rues que dans des agressions ou
En réponse au message de Gilles du 11/02/16
Bonjour
Je trouve qu'il n'a pas complétement tord.
Je suis ici depuis plus de quinze ans mais originaire de la région de l'est que vous citez et croyez moi que la notion de travail n'est pas du tout la même à Cayenne qu'à Strasbourg.
cdlt
monseigneur Laffont devrait donc aller prêcher à Strasbourg donc pour y être compris;
quant à la notion de travail, pourquoi tenir tant à se lever tôt le matin quand on vous sert presque autant en restant chez vous?
et puis excusez moi de voir la poutre dans l'oeil de cet ecclésiastique qui n'a pas dû suer beaucoup pour gagner son pain, il est vrai qu'il doit plus souvent déguster des petits fours.
En réponse au message de Lematourien du 11/02/16
L'évêque de Guyane n'a pas parlé de jeunes, il parlait aux guyanais en général! Et vu votre courroux, il a du appuyer la où cela fait mal!
je bats donc ma coulpe; les guyanais sont des fainéants jouisseurs. amen!
En réponse au message de Robespierre du 11/02/16
La phrase exacte selon F.G. :" quand la Guyane mettra autant d'énergie au travail qu'elle en met dans le carnaval, alors rien ne lui résistera. Elle sera au top du monde" . C'est un peu vrai mais il faut voir aussi le côté défouloir ou plutôt canalisation et dépense d'énergie qu'il est préférable de voir dans les cavalcades de rues que dans des agressions ou autres délits . Certes c'est éphémère mais mieux que rien ; à part ça il y a le sport qui est plus encadré plus contraignant et donc moins prisé surtout pour ceux originaires d'un milieu "carencé".
Le carnaval est quand même une soupape sécuritaire même s'il y a parfois des débordements et ne doutons pas que les sponsors en béton du carnaval vont les aider à s'intégrer professionnellement ; il me semble que s'est déjà prévu dans les contrats d'embaucher obligatoirement des jeunes en formation .
Quant à l'évêque et ses officiants n'ont-ils pas un rôle sécuritaire au sein de la société ? Et que ceux qui "assistent" ou "participent" à leur office mettent la main à la poche un peu plus généreusement , le smic horaire étant établi à 9,68 €, arrondir à l'euro supérieur serait une moindre contribution et réglerait sans doute le salaire des prêtres en Guyane.
vous avez raison, comme la plupart des carnavaliers sont des jeunes.... qui désertent les églises catholiques. mea culpa! vous avez raison, le carnaval a toujours été une soupape de sécurité, en Europe dès le moyen age d'ailleurs.
il est quand même impudent de donner des leçons de civisme lorsque soi même (l'évêque) on se fait nourrir par la communauté entière plutot que par ses seules ouailles dans une république laïque!
En réponse au message de Philippe2 du 12/02/16
monseigneur Laffont devrait donc aller prêcher à Strasbourg donc pour y être compris;
quant à la notion de travail, pourquoi tenir tant à se lever tôt le matin quand on vous sert presque autant en restant chez vous?
et puis excusez moi de voir la poutre dans l'oeil de cet ecclésiastique qui n'a pas dû suer beaucoup pour gagner son pain, il est vrai qu'il doit plus souvent déguster des petits fours.
Monseigneur Lafont déguste souvent des petits fours : une habitude prise après ces années passées à lézarder au frais dans le bidonville de Soweto.
En réponse au message de Philippe2 du 12/02/16
monseigneur Laffont devrait donc aller prêcher à Strasbourg donc pour y être compris;
quant à la notion de travail, pourquoi tenir tant à se lever tôt le matin quand on vous sert presque autant en restant chez vous?
et puis excusez moi de voir la poutre dans l'oeil de cet ecclésiastique qui n'a pas dû suer beaucoup pour gagner son pain, il est vrai qu'il doit plus souvent déguster des petits fours.
Bonsoir
D'autant plus qu'il serait payé par l'état également....
Cordialement
En réponse au message de Bonpom du 12/02/16
Monseigneur Lafont déguste souvent des petits fours : une habitude prise après ces années passées à lézarder au frais dans le bidonville de Soweto.
si vous étiez allé à Soweto, vous sauriez qu'il y a au moins 5 quartiers très différents; je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes; qu'y aurait fait? les gens qui l'habitent, les nouveaux arrivants à Johannesburg, n'y restent pas tant ils passent de temps à chercher du travail et quand il y reviennent c'est pour dormir; quant aux autres quartiers, les
En réponse au message de Philippe2 du 13/02/16
si vous étiez allé à Soweto, vous sauriez qu'il y a au moins 5 quartiers très différents; je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes; qu'y aurait fait? les gens qui l'habitent, les nouveaux arrivants à Johannesburg, n'y restent pas tant ils passent de temps à chercher du travail et quand il y reviennent c'est pour dormir;
quant aux autres quartiers, les anciennes casernes de l'armée transformées en habitation, celui des deux pièces, avec cuisine et toilettes dans la cour (où Mandela a vécu quand il était avocat), celui des trois pièces, celui des villas, enfin celui des villas avec deux garages.... auquel pensiez vous? (j'ajoute que le dernier, où le président Mandela a demeuré était la seule villa clôturée mais où les murs de quatre à cinq mètres n'avaient plus de fils électrifiés, mais encore leurs supports)
il me semble que le prêtre de Soweto n'est qu'un vague souvenir pour l'éminence que la Guyane connait!
"si vous étiez allé à Soweto, vous sauriez qu'il y a au moins 5 quartiers très différents; je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes"
Je ne suis pas allé comme vous à Soweto ; par contre, au temps de l'apartheid, Emmanuel Lafont y a été le curé de Soweto, 11 ans passés dans le bidonville, le seul homme blanc.Vous pouvez contester les actions et avis de M. Lafont sans pour autant de réécrire le passé. Emmanuel Lafont découvrait un pays ravagé par les discriminations
En réponse au message de Bonpom du 13/02/16
"si vous étiez allé à Soweto, vous sauriez qu'il y a au moins 5 quartiers très différents; je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes"
Je ne suis pas allé comme vous à Soweto ; par contre, au temps de l'apartheid, Emmanuel Lafont y a été le curé de Soweto, 11 ans passés dans le bidonville, le seul homme blanc.
Vous pouvez contester les actions et avis de M. Lafont sans pour autant de réécrire le passé.
Emmanuel Lafont découvrait un pays ravagé par les discriminations raciales, mais aussi un peuple chaleureux. « J'étais avec les gens pas seulement sur les heures de travail, mais 24 heures sur 24."
« Le curé de Soweto, dans l'ombre de Nelson Mandela », éd. du Rocher, 2011.
http://www.lanouvellerepublique.fr/2013/06/30/Quand-le-pere-Lafont-etait-cure-a-Soweto
merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen! est ce que son héroïsme passé lui donne le droit de juger les guyanais? fainéants et jouisseurs! je me permet de lui renvoyer la balle; fainéant car il me semble que de moins en moins de gens se pressent dans les églises catholiques, en
En réponse au message de Bonpom du 13/02/16
"si vous étiez allé à Soweto, vous sauriez qu'il y a au moins 5 quartiers très différents; je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes"
Je ne suis pas allé comme vous à Soweto ; par contre, au temps de l'apartheid, Emmanuel Lafont y a été le curé de Soweto, 11 ans passés dans le bidonville, le seul homme blanc.
Vous pouvez contester les actions et avis de M. Lafont sans pour autant de réécrire le passé.
Emmanuel Lafont découvrait un pays ravagé par les discriminations raciales, mais aussi un peuple chaleureux. « J'étais avec les gens pas seulement sur les heures de travail, mais 24 heures sur 24."
« Le curé de Soweto, dans l'ombre de Nelson Mandela », éd. du Rocher, 2011.
http://www.lanouvellerepublique.fr/2013/06/30/Quand-le-pere-Lafont-etait-cure-a-Soweto
Je ne défends pas le père Lafont, et pense que nous ne devrions pas payer le salaire des prêtres avec nos impôts. Mais, la description de Soweto de Philippe ressemble à du Wikipédia ou à un temps lointain. Et de toutes façons, la situation en Afrique du sud est beaucoup plus complexe que certains veulent bien le dire, croyant détenir "la vérité".
En réponse au message de Philippe2 du 15/02/16
merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen! est ce que son héroïsme passé lui donne le droit de juger les guyanais? fainéants et jouisseurs! je me permet de lui renvoyer la balle; fainéant car il me semble que de moins en moins de gens se pressent dans les églises catholiques, en tout cas peu de jeunes!
jouisseur? qui vous garantie que ce monseigneur ne se déguise pas en tololo certains jours, il se déguise bien en dame, armé d'une crosse qui n'a plus guère d'ouailles à ramener au bercail! (vous n'avez pas l'utilité de répondre à ce dernier paragraphe d'une mauvaise foi évidente!
"merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen!"
Vous pouvez contester les actions de Mgr Lafont sans pour autant réécrire son passé.
Vous êtes allé à Soweto (du temps de l'apartheid?) et vous affirmiez pourtant dans votre post : " je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes".
N'hésitez pas bien sur à critiquer les propos de Mgr L., tant que vous ne les déformez pas.
En réponse au message de Philippe2 du 15/02/16
merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen! est ce que son héroïsme passé lui donne le droit de juger les guyanais? fainéants et jouisseurs! je me permet de lui renvoyer la balle; fainéant car il me semble que de moins en moins de gens se pressent dans les églises catholiques, en tout cas peu de jeunes!
jouisseur? qui vous garantie que ce monseigneur ne se déguise pas en tololo certains jours, il se déguise bien en dame, armé d'une crosse qui n'a plus guère d'ouailles à ramener au bercail! (vous n'avez pas l'utilité de répondre à ce dernier paragraphe d'une mauvaise foi évidente!
Je ne suis pas croyant et ne suis pas d'accord avec le fait de payer les prêtres, nous avons déjà pour cela assez d'indépendantistes fonctionnaires à engraisser. Cependant je trouve qu'il y a une marge entre critiquer et salir, marge que tu franchis aisément. Même la couleur des curés, où va se nicher la bassesse ? Avec l'âge tu deviens aigri et petit.
En réponse au message de Philippe2 du 15/02/16
merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen! est ce que son héroïsme passé lui donne le droit de juger les guyanais? fainéants et jouisseurs! je me permet de lui renvoyer la balle; fainéant car il me semble que de moins en moins de gens se pressent dans les églises catholiques, en tout cas peu de jeunes!
jouisseur? qui vous garantie que ce monseigneur ne se déguise pas en tololo certains jours, il se déguise bien en dame, armé d'une crosse qui n'a plus guère d'ouailles à ramener au bercail! (vous n'avez pas l'utilité de répondre à ce dernier paragraphe d'une mauvaise foi évidente!
Ah ah ! Philippe ! Bien que vous invitez à ne pas répondre, je le fais quand même car vous m'avez instruit. Recherchant l'étymologie du mot ouailles, j'ai découvert 2 sens très proches... Et historiquement cela vaut son pesant de cacahuètes ! Ouailles = brebis, moutons ! = fidèles sous l'autorité d'un ordre ecclésiastique ! Très bon !
En réponse au message de Bonpom du 15/02/16
"merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen!"
Vous pouvez contester les actions de Mgr Lafont sans pour autant réécrire son passé.
Vous êtes allé à Soweto (du temps de l'apartheid?) et vous affirmiez pourtant dans votre post : " je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes".
N'hésitez pas bien sur à critiquer les propos de Mgr L., tant que vous ne les déformez pas.
Quand vous lui attribuez : "[...] les guyanais? fainéants et jouisseurs!"
"monseigneur Laffont [...] s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur"
il est dommage que vous ne preniez jamais la peine de citer leur source.
Quand le père Lafont était curé à Soweto
http://www.lanouvellerepublique.fr//Quand-le-pere-Lafont-etait-cure-a-Soweto
En réponse au message de Bonpom du 15/02/16
"merci à ce curé qui devait être le seul blanc à pénétrer et évangéliser le bidonville de soweto, alelouyah, amen!"
Vous pouvez contester les actions de Mgr Lafont sans pour autant réécrire son passé.
Vous êtes allé à Soweto (du temps de l'apartheid?) et vous affirmiez pourtant dans votre post : " je doute que ce prélat ait été dans le bidonville plus de 5 minutes".
N'hésitez pas bien sur à critiquer les propos de Mgr L., tant que vous ne les déformez pas.
Quand vous lui attribuez : "[...] les guyanais? fainéants et jouisseurs!"
"monseigneur Laffont [...] s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur"
il est dommage que vous ne preniez jamais la peine de citer leur source.
"décrier les jeunes"? mais un autre lecteur m'avait fait la remarque inverse, i.e. le sermon "concernait les guyanais" (et pas seulement les jeunes...)
personnellement je ne reconnais pas à cet ecclésiastique ce droit. le droit à s'amuser, il devrait essayer juste une fois! qu'il s'occupe de remplir les églises, travail qu'il n'a pas fait au top, lui
En réponse au message de Philippe2 du 16/02/16
"décrier les jeunes"? mais un autre lecteur m'avait fait la remarque inverse, i.e. le sermon "concernait les guyanais" (et pas seulement les jeunes...)
personnellement je ne reconnais pas à cet ecclésiastique ce droit. le droit à s'amuser, il devrait essayer juste une fois!
qu'il s'occupe de remplir les églises, travail qu'il n'a pas fait au top, lui ,
voila un autre travail qu'il n'a pas réussi à réaliser ! lui qui se permet de piquer du fric dans la gamelle commune tout en proclamant encore et encore que les fidèles devaient assumer ;
il est plus facile de critiquer les autres que de faire son méa coulpa ! c'est là le vrai visage du catholicisme moderne! pas étonnant que les gens aillent chercher ailleurs ce qui leur manque; je constate que des églises (protestantes) fleurissent ça et là, en attendant une grande mosquée, mais qu'en dit le père Laffont?
"décrier les jeunes"? mais un autre lecteur m'avait fait la remarque inverse, i.e. le sermon "concernait les guyanais" (et pas seulement les jeunes...)
Je ne fais que citer exactement VOS propos (11/02) au sujet de mgr Lafont :
"monseigneur Laffont [...] s'est autorisé à décrier les jeunes" Quant à savoir si le "sermon"
En réponse au message de Pierre33 du 16/02/16
Quand le père Lafont était curé à Soweto
http://www.lanouvellerepublique.fr//Quand-le-pere-Lafont-etait-cure-a-Soweto
Quand le père Lafont était curé à Soweto
http://www.lanouvellerepublique.fr//Quand-le-pere-Lafont-etait-cure-a-Soweto
Ce post est certainement destiné à Philippe2 qui affirme : "je doute que [mgr Lafont] ait été dans le bidonville plus de 5 minutes" (13/02).
Je ne pense pas que ce post me soit destiné : j'ai déjà donné ce lien en réponse dans le court post du 13/02.
Errare humanum est
En réponse au message de Bonpom du 16/02/16
"décrier les jeunes"? mais un autre lecteur m'avait fait la remarque inverse, i.e. le sermon "concernait les guyanais" (et pas seulement les jeunes...)
Je ne fais que citer exactement VOS propos (11/02) au sujet de mgr Lafont :
"monseigneur Laffont [...] s'est autorisé à décrier les jeunes"
Quant à savoir si le "sermon" ne concernait pas les jeunes malgré ce que vous aviez écrit, ou disait tout autre chose ... ce serait possible si vous preniez la peine de citer votre source (ce que vous ne faîtes toujours pas).
Si vous attribuez à mgr Lafont les propos :
"[...] les guyanais? fainéants et jouisseurs!"
"monseigneur Laffont [...] s'est autorisé à décrier les jeunes qui se décarcassent pour faire du carnaval un moment de bonheur"
je suppose que vous ne l'avez pas inventé mais lu quelque part !
"les guyanais fainéants et jouisseurs", le propos est de moi, seulement entrevu dans les propos de monseigneur.
je maintiens aussi que si mgr Laffont était un excellent curé de Soweto, comme il le dit lui même, il n'est qu'un piètre évêque de Guyane, car les résultats son action n'est certainement
En réponse au message de Philippe2 du 17/02/16
"les guyanais fainéants et jouisseurs", le propos est de moi, seulement entrevu dans les propos de monseigneur.
je maintiens aussi que si mgr Laffont était un excellent curé de Soweto, comme il le dit lui même, il n'est qu'un piètre évêque de Guyane, car les résultats son action n'est certainement pas au top, serait il contaminé par l'ambiance qu'il décrit?
les églises se vident, ne restent qu'en majorité des dames agées alors que les églises protestantes foisonnent et que la grande mosquée de Cayenne sera certainement bénie par le dit prélat .
pas plus coruscant non plus par ses appels au denier de l'église, le dit prélat entends toujours faire subventionner les prêtres par de l'argent public .
rappelez moi qui parlait de la paille et la poutre? monseigneur devrait relire les évangiles et surtout s'en inspirer .
" "les guyanais fainéants et jouisseurs", le propos est de moi, seulement entrevu dans les propos de monseigneur."
..." entrevu dans les propos de monseigneur" ... que vous n'avez jamais cité.
Je supposais dans le post précédent que vous n'aviez pas inventé les propos de Mgr Lafont, je me suis trompé. Vous pouvez contester les propos de Mgr Lafont sans pour autant lui inventer des paroles qu'il ne tient pas, ni réécrire son passé.
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